Spurs - L'histoire de la pédagogie et de l'éducation - le fichier n1.doc. Vues pédagogiques et activité de I.I. Bezzky

État russe et affaires publiques, illumineuse

Le fils extramarité du maréchal de terrain général I. Yu. Trubetsky (dont le nom de famille abrégé a ensuite porté la plus tard) et le baroness suédois (selon d'autres sparres); Né au cours de son père en captivité suédoise, a passé l'orphelinat à Stockholm. Vous avez obtenu une éducation à domicile, étudiée dans le Corps des cadets à Copenhague, puis elle a servi dans l'armée danoise, puis à cause de la blessure fut contrainte de quitter le service militaire. Apparemment, en 1718, accompagnée de son père est revenu en Russie, mais se rendit à nouveau en Europe avec des fins éducatives. Langues françaises et allemandes librement possédées.

En 1722-1726, il vivait et étudié à Paris, composé en même temps d'une secrétaire en Russie après V. L. Dolgoruk. À la demande du père rentré en Russie, il a servi sous son début le schéma d'adjudant à Kiev et à Moscou. Il y avait parmi les nobles qui ont signé les pétitions contre le "Verkhovov" en faveur de Anna John (1730). En 1729-1747, a servi dans le collège des affaires étrangères, Berlin, Vienne, Paris visité comme un courrier. Après 1740, la chambre de la "petite cour" de l'héritier de Peter Fedorovich, en 1744, il a rencontré sa femme, future Catherine II. En 1756-1761, avec le neveu d'E. D. Golitsyn et son mari, D. M. Golitsyn's Diplomat, a fait un long voyage de passage à travers les Pays-Bas, la France, l'Italie; Le célèbre salon littéraire parisien Mary Teresa Jofren a visité le célèbre salon littéraire parisien, était intéressé par la peinture et la sculpture modernes.

Après être venu au pouvoir, Peter III (1761) a reçu une ordonnance de retour en Russie, où il a été nommé directeur du bureau des bâtiments. Le jour du Coup 28 juin 1762, accompagné de l'empereur, s'est enfui de Peterhof à Oranienbaum, au cours des premiers mois du règne de Catherine II n'a pas joué un rôle actif. Puis rapidement entré le nombre d'empresses approximatives, devenant le "lecteur" officiel (secrétaires personnels) (1762-1779).

En 1763, introduisait l'impératrice de la maison éducative ("l'établissement général de l'éducation du Groupe de travail de Junior"), consonante avec ses aspirations libérales, dans lesquelles les vues pédagogiques de J. Loka sous la forme révisée, qui a été retravaillée par le Vues pédagogiques de J. Locke, Zh. Rousseau Les projets et les billets de rapport ont été officiellement, qui ont conduit leur large publicité, les plus importants d'entre eux ont été traduits en français et ont été publiés pour la distribution en Europe.

Président de l'Académie des arts (1764-1791, avec 1763 Gestion), en 1765-1766, la gestion du logement enclavé. Ces dernières années, la vie a perdu son influence sur la cour, en 1782, la terre, environ 1789 presque à la retraite des affaires.

Les idées pédagogiques du beetk remontent aux concepts d'émergence générale de l'éducation dans leur interprétation française populaire; Également pris en compte la pratique des écoles européennes. En 1760 - début 1770. Créé un système d'établissements d'enseignement fermé d'une salle de classe en Russie pour les enfants de 5 à 6 à 18 à 20 ans. L'Institut Smolny était les nobles institutions éducatives (en 1764 une école d'Ekaterininskaya similaire à Moscou, a été ouverte) et le pays du Corps de la navette (selon la Charte 1766). Pour les immigrants d'autres classes (mais pas Serfs), des écoles spéciales «Meshchanansk» à l'Académie des arts (1764) ont été créées, le monastère de la résurrection NovoDevichy (Smolny) (1765), la terre du bâtiment de Shankhaetsky (1766), la Moscou École de commerce (1772).

La tâche principale de l'illumination était considérée comme une création ciblée en Russie "le troisième rang" (classe), composée de personnes éduquées: enseignants, gouvernants, artistes, marchands - l'état utile de la "race" de personnes, qui Distribuez les principes de nouvelle éducation sur toute la société à travers la famille. Dans ce cas, un rôle particulier a été attribué à la maison éducative, qui a repris des bébés abandonnés par les parents; Ses diplômés qui ont reçu des compétences d'artisanat sont devenus «libres» et ont dû reconstituer le domaine de Meshchansky. Il a été supposé que les écoles seraient produites de différentes manières formées, mais des nobles instruits uniformément instruits et allouent, avec leurs nouvelles idées sur la vie publique: de bons chrétiens, des citoyens fidèles, des personnes honnêtes.

Bezzka croyait que par eux-mêmes "la science et l'art" ne produisent pas "avertissement", de sorte que l'éducation de l'importance préférentielle de la formation réelle. Il a considéré l'école comme une "école de morale", où les enfants font d'abord "vertueux", puis "éclairé".

De nombreux projets étaient intenables et les écoles elles-mêmes ont reçu une évaluation publique contradictoire. L'état insatisfaisant des établissements d'enseignement, le faible niveau d'éducation des élèves a conduit à la révision du système éducatif et au début de la préparation de la réforme de l'éducation 1782-1786.

Travaux principaux

Institutions et chartes relatifs à l'éducation et à l'apprentissage en Russie de la jeunesse des deux sexes. Partie 1-2. SPB., 1774.

Réunion d'institutions et de réglementations concernant l'éducation en Russie des deux messieurs du noble et du Meshman; Avec d'autres institutions en faveur de la société. Partie 1-3. Saint-Pétersbourg., 1789-1791.

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Ivan Ivanovich Betskaya (1704-1795) était un enseignant professionnel éduqué à l'étranger, où, sous l'influence des idées des Lumières françaises, il a été formé comme penseur et un apprenant de l'éducation. I.I. Bezzka a pleinement partagé l'idée de Catherine II sur la nécessité de renforcer la "nouvelle race de personnes" dans des établissements d'enseignement fermé d'une classe.

I.I. Petska était le fils extramarité du prince I.yu. Trubetsky, né à Stockholm et travaillé depuis de nombreuses années à Paris. Ses vues pédagogiques ont été formées sous l'influence de Ya.a. Komensky, D. Lokka, J.-zh. Rousseau, D. Didro et d'autres enseignants progressifs de l'Europe occidentale. C'est Ekaterina II qu'il a chargé de créer un système d'établissements d'enseignement en Russie, tout d'abord, pour les enfants nobles.

Dans le document "Généralités de l'éducation à l'éducation des deux sexes" (1764) et de la main-d'œuvre "Des directives courtes choisies parmi les meilleurs auteurs, avec certaines notes physiques sur la levée des enfants de la naissance à la jeunesse" (1766) I.I. Bezzka a présenté ses points de vue sur l'éducation globale des nobles "idéaux". C'était dans l'éducation qu'il a vu «la racine de tout le mal et le bien»; Il devrait s'agir d'une sorte de nature des enfants, de se développer dans les qualités de la personnalité, de la courtoisie, de la décence, du travail acharné, de la capacité de gérer eux-mêmes et de la connaissance du "bâtiment de la maison". L'éducation sans éducation, selon sa conviction, ne nuit que la nature de l'enfant, le gâte, dégoûte de la vertu.

Une forme optimale d'éducation et d'apprentissage appropriées, à son avis, il doit exister une institution éducative fermée, où les enfants devaient être pris de 5 à 6 ans et être dedans jusqu'à 18-20 ans. Tout au long de leur séjour dans un établissement d'enseignement, les enfants devraient être isolés de l'exposition environnementale, même de la famille. De cette manière, il a été supposé que les «nouveaux pères et mères», et ceux-ci devaient à leur tour augmenter leurs enfants non sur la base de vieilles traditions, mais sur la base de la faisabilité pédagogique.

Prévoyez de la création du système d'éducation de l'Etat, selon Catherine II et I.I. Beetsky, a commencé à être mis en œuvre avec la création de l'école à l'Académie des arts (1764), des maisons éducatives de Moscou (1764) et de Saint-Pétersbourg (1770), la Société éducative de Noble Maidens à Saint-Pétersbourg (1764) et l'école de commerce (1773). Chaque établissement d'enseignement a eu sa propre charte, qui était commune à qui: l'interdiction des châtiments corporels et de l'intimidation des enfants, une approche individuelle pour évaluer les capacités de chaque élève, l'orientation de l'ensemble des activités pédagogiques pour résoudre les tâches du développement de la personnalité de l'étudiant unique.

Cependant, l'absence d'enseignants spécialement formés en Russie, il y a presque toutes les bonnes intentions de I.I. Petsky. Tenter l'invitation du personnel de l'enseignant à l'étranger n'a pas changé la situation. La déception spéciale lui a apporté les activités des maisons éducatives, où son idée a été réellement mise en œuvre sur la supériorité de l'éducation sur l'apprentissage. Cela a été ajouté ici, des bébés illégitimes, qui, selon les plans de Catherine II et I.I. Bezzky devait être pleinement élevé, recevoir une éducation primaire, puis une formation professionnelle dans des ateliers. Dans la déclaration des affaires dans la maison éducative de Moscou à 1755 I.I. Bezzka a écrit qu'aucune des tâches éducatives et éducatives n'a été résolue ici, à nouveau à cause de l'incompétence extrême et du Korestolobius d'éducateurs et de maîtres.

Ce n'était pas mieux à propos de l'école des garçons à l'Académie des arts. Selon la Charte de l'école, il y avait trois classes pendant trois ans d'étude dans chacune d'elles. Ici, ils ont été enseignés diplômés russes, langues étrangères, dessin, arithmétique, géométrie, histoire, géographie, mythologie. École graduée, résistant à l'examen, entra dans l'Académie des arts ou engagée dans des activités pratiques dans leur spécialité. En 1772, visiter l'école, I.I. Bezzka avec déception a écrit qu'il n'a pas trouvé l'esprit de haute illumination ici. De même, ils ont été caractérisés par les activités de l'école à l'Académie des sciences et transformées sur la base des nouvelles idées pédagogiques du logement de la Landlock. Un large éventail de disciplines éducatives générales n'a pas contribué au développement moral des élèves, la méthode des "enfants de premier plan jouant et avec gentille", comme il l'appelait, n'a pas conduit à une éducation adéquate et sa théorie humaine totale de l'éducation dans la pratique était insolvable.

La seule activité réussie de la Société éducative des nobles filles, l'Institut Smolny, qui a lancé le début de l'éducation des femmes en Russie. En 1764, dans toutes les provinces, les provinces et les villes ont été envoyées au décret impérial "sur l'éducation des nobles filles de Saint-Pétersbourg au monastère de Rossensensky", appelée Smolny dans la vie quotidienne. Selon le décret, chaque noble pourrait donner à ses filles pour éduquer cette institution.

En fait, le nom «Society of Noble Maiden» a été inscrit dans la moitié de cet établissement éducatif - Nikolaev la moitié. La seconde moitié de la moitié s'appelait l'école Alexandrovsky.

À la moitié de Nikolaev, les filles de nobles héréditaires, qui avaient le rang non inférieur au colonel ou au conseiller de statistique, et sur Alexandrovskaya - Filles des petits nobles du capitaine de rang, le conseiller titulaire du colonel, le conseiller du collège, ainsi que les filles des prêtres introduites dans la troisième partie du noble livre. Avec elle, il y avait une école pour les jeunes filles, la branche de Meshchanansky, où ils se sont préparés à des activités dans le rôle des futurs enseignants et éducateurs (1765). Les principes des données et de la rating de l'éducation ont été observés très strictement.

Les élèves-noblesse ont été combinées dans les classes de groupe "Âge" qui ont sa forme comme un signe de différences. Les jeunes filles de 5 à 9 ans étaient des robes brunes, elles s'appelaient "cafetière"; Les filles d'Adolescence 9-12 ans habillées de robes bleues, de 12 à 15 ans - en gris et de 15-18 ans sont allées aux cours de vert, sur des balles - dans des robes blanches.

La réception dans la première classe d'âge devait avoir lieu, selon la conception initiale, une fois tous les trois ans. Dans les 12 ans suivant la formation, les parents n'avaient pas le droit de prendre leur fille à la maison. Le contenu d'apprentissage a été élaboré en tenant compte des innovations pédagogiques de cette époque et comprenait l'étude des langues russes et étrangères, arithmétique, géographie, histoire. Nous avons également formé des poèmes, des musices, des dessins. En pratique, seules les langues sont sérieusement étudiées - français et allemand.

Une tâche importante des éducateurs était un enseignement des élèves de lecture, d'abord des romans de Français, qui auraient dû encourager l'amour du travail comme source de toutes sortes, d'élever la compassion aux pauvres. Aux fins de l'éducation globale à l'Institut Smolny dans les années 1770, un théâtre amateur opérait, où ils ont mis les pièces de théâtre russes célèbres, par exemple "Semir" A.P. Sumaro.

La succursale de Meshchanansky à l'Institut Smolny est devenue une source en Russie dans la préparation du personnel des enseignants. Ici, les enseignants se préparaient à la fois pour l'Institut et les enseignants à domicile, les éducateurs. Depuis les années 90 du XVIIIe siècle. Les filles de la noble classe ont également reçu le droit d'étudier à ce département.

La préparation de «dames-enseignement» et d'éducateurs était très importante, car en Russie de l'ère de Catherine, des pensions privées ont été organisées partout, où des étrangers ont été enseignés, ce qui n'avait pas d'éducation pédagogique, n'enseignant souvent que la langue, les manières et les danses.

Les vues éducatives sur l'éducation et la formation des enfants ont été prononcées non seulement par des partisans et des artistes interprètes des idées de l'impératrice, mais également de ses adversaires et ses adversaires. Le Nikolai Ivanovich Novikov (1744-1818) était une politique essentielle de politique éducative plutôt modérée. Selon Catherine II, il était un "homme intelligent et dangereux", bien qu'il soit partisan de la monarchie éclairée, mais il était sans tribunal et l'enquête a été conclue dans la forteresse de Shlisselburg.

N.i. Novikov était un penseur plus social et un éditeur que d'un enseignant. En tant qu'utilisateur, il a dirigé des activités éducatives actives, édition des traductions de la main-d'œuvre Rousseau, Dritro, Montesquée, Voltaire et d'autres Lumières françaises. En tant que philosophe, il a exploré le problème de l'homme et de sa formation morale, estimant que la voie de la plus haute moralité humaine est principalement liée à la surmontée de l'ignorance et de l'éducation à part entière.

L'idée d'élever de bons citoyens, de la patrie heureuse et utile, de ses patriotes, des combattants contre le "State Slave" était au cœur du programme éducatif N.I. Novikova. Étant dans sa vision du monde de l'illumineuse, il croyait que la prospérité de l'État, le bien-être du peuple dépend de la moralité, qui est accordée à l'éducation et à l'éducation. Il croyait que les personnes de toutes classes, avec une éducation appropriée, réaliseraient avec succès leurs fonctions, seraient travailleuses, propriétaires de maternité. Par conséquent, l'éducation de la jeunesse est nécessaire et le premier devoir du dirigeant du pays et de chaque parent.

Critique équitable de N.I. Novikov soumise à lui le système de noble éducation: l'éducation à domicile, confiée souvent loin de la pédagogie aux personnes; Éducation et formation à l'étranger, où les jeunes se livrent plus de plaisir, passe-temps inactif, que des sciences; L'éducation dans les institutions textiles fermées, coupées de la vie réelle, n'accorde pas l'éducation dans le vrai sens du mot.

Sa position pédagogique n.I. Novikov décrit dans le traité "sur l'éducation et l'instruction des enfants" (1783). L'éducation, à son avis, comprend trois parties principales: l'éducation physique réalisée afin de réaliser la santé corporelle des enfants; Morale, sans laquelle personne ne peut être heureux de l'interne, est définitivement avec des êtres chers, ne peut pas être un bon citoyen et la formation de l'esprit qui a besoin d'une personne et d'un citoyen pour répondre à toutes ses fonctions.

Éducation dans les établissements d'enseignement fermé N.I. Novikov a examiné le mauvais et préféré à l'éducation publique et en réalité scolaire, ce qui peut considérablement mieux préparer la jeune génération à la vie et aux activités de la société.

Un rôle important dans le développement de l'homme N.I. Novikov a pris une éducation familiale et une éducation à la maison raisonnablement organisée. Il a appelé parmi les facteurs les plus importants pour la formation d'une personne humaine. À cet égard, il était un adversaire direct de l'idée de Catherine II, qui avait supposé l'isolement des enfants des parents. Un exemple positif des parents a été considéré comme un moyen de détermination d'éducation.

N.i. Novikov a parfaitement compris que les décrets, les traités pédagogiques, peu importe leur qualité, ne donneraient pas d'effet positif, sinon de se préparer à l'incarnation des idées pédagogiques d'un enseignant instruit professionnellement. Selon sa condamnation, il est nécessaire, non seulement de préparations particulièrement des enseignants, mais également de créer des conditions pour leur vie décente. Un vrai professeur d'enseignant devrait être une personnalité morale, un modèle pour les élèves à tous égards.

Les pensées de Catherine II sur la conversion de l'affaire et l'éducation des jeunes ont été incarnées dans les documents de réforme de l'école 1782-1786. Au cours de cette période de son règne, elle a largement révisé son poste éducatif et a souligné la création d'écoles pour les Bourghers, les établissements d'enseignement général dans les villes des provinces et des comtés de l'empire russe. À l'idée de l'éducation de la "nouvelle race de personnes", elle n'a pas fait appel à ce moment-là.

Pour préparer la réforme de l'école, une commission a été créée sur l'institution d'école dirigée par le sénateur P.V. Zavadovsky. Le plan de réforme et les matériaux suivants ont été préparés par Fyodor Ivanovich Yankovich de Mirievo (1741-1814) - Enseignant autrichien, orthodoxe, Serbe par nationalité, invité à la Russie sur la recommandation de l'empereur autrichien Joseph II. FI. Yankovich dans cette commission a joué un rôle majeur. Il s'est traduit par des instructions autrichiennes et allemandes de Russie pour les enseignants, les lois scolaires, les aides à la formation, qui ont permis aux enseignants russes et aux hommes d'État de se familiariser avec le niveau de développement de l'Europe occidentale de l'école.

En 1786, la Commission sur la création d'écoles folkloriques a publié le document en chef de la réforme de l'école - "Charte des écoles populaires dans l'empire russe". Dans toute la Russie, des écoles folkloriques de deux types devaient être créées dans toutes les villes et dans les grandes villes: dans les villes provinciales - les principales écoles nationales avec une durée d'études depuis 5 ans et dans les villes de comté et des villages - petites écoles folkloriques avec une période de formation pendant 2 ans. Selon la "charte ..." dans tous les collèges, il a été recommandé d'introduire un système de chronométrage au lieu d'un travail individuel traditionnel avec des étudiants.

Petit programme scolaire comprenait la lecture, la lettre, l'arithmétique, le dessin et le catéchisme avec une histoire sacrée. Les écoles principales étaient censées créer de quatre classes. Le contenu de la formation des deux premières classes correspondait au contenu de l'apprentissage dans les petites écoles; Dans deux notes principales des écoliers principaux, les écoliers auraient dirigé la grammaire russe, le début de l'histoire universelle, de la géographie, de la physique, de la mécanique, de la géométrie, de l'Évangile. Après avoir obtenu son diplôme de la part de l'école en chef, il était possible de poursuivre la formation à l'université, pour laquelle les principales classes des écoles populaires principales ont également été formées en latin et une autre langue étrangère, principalement allemande. Dans les petites écoles, la formation a été conduite par deux enseignants et dans les six. Le contenu des écoles populaires a été attribué aux autorités locales.

La Commission a également publié des "règles pour les étudiants des collections folkloriques" (1783), qui a complété la "charte" avec une liste claire des responsabilités de l'école d'école. Sur la base de ces règles, la réception de l'école a été réalisée 2 fois par an - en été et en hiver. En hiver, ils ont étudié de 8 à 11 heures et après le déjeuner de 2 à B l'après-midi, et en été - de 7 à 10 ans et de 2 à 5 heures. Les cours ont commencé à prier, la formation était jointe pour les garçons et les filles, bien qu'ils soient assis à part. L'enseignant était censé faire en sorte que les garçons et les filles ne sortent pas de l'école. Les punitions corporelles étaient interdites. Les règles de comportement en dehors des écoles et des maisons, sur la base des traditions de l'éducation orthodoxe russe et des règles de bonne tonalité, adoptées dans la société laïque de cette époque ont été peintes en détail.

En 1783, «Gestion des enseignants des premier et deuxième classe» du célèbre enseignant silésien-autrichien à I.I. Felbiger, adapté aux conditions russes F.I. Yankovich. La "gestion" a clarifié la signification et l'ordre d'un système de classe A-Time, qui, avant cette heure, les enseignants russes ne sont pas pratiqués. La "gestion" a été considérée comme officielle, c'est-à-dire obligatoire pour l'exécution dans le processus pédagogique, les didactiques. Il consistait en quatre parties.

La première partie a été consacrée à la technique de travail. Les enseignants ont été obligés de traiter de la classe entière et de ne pas apprendre tout le monde. Recommandé comme l'une des méthodes d'enseignement pour effectuer une série d'exercices avec une augmentation progressive de la difficulté et une augmentation de l'indépendance des étudiants dans leur mise en œuvre; Adopté une technique d'enquête, etc.

La deuxième partie contenait des méthodes individuelles de sujets enseignées dans l'école populaire; La troisième - décrit l'identité de l'enseignant et de ses qualités professionnelles; Dans la quatrième partie, il s'agissait de l'organisation de toute la vie scolaire, toutes les activités de l'enseignant étaient strictement réglementées.

Les écoles folkloriques créées à Epoch de Catherine II étaient nouvelles pour la Russie avec le type d'établissements d'enseignement destinés aux enfants de la population désinvestie. Pour ces écoles, de nouveaux livres éducatifs ont pris. Le livre principal était le livre "sur les postes d'homme et un citoyen" (1783). Le livre a été publié en deux versions: pour les étudiants et les enseignants où les directives contenaient et en fait, une liste de questions que l'enseignant devraient demander aux enfants.

Le tutoriel a été divisé en quatre parties. Pour y introduire, le but de l'éducation a été déterminé comme une réalisation d'un homme de bien-être, qui n'est possible qu'avec une attitude fidèle à l'égard du système autocratique, la fidélité à sa classe, la vertu chrétienne, la santé physique et le travail acharné.

Dans la première partie, les caractéristiques du monde intérieur de l'homme ont été révélées et des sections sur l'âme, la mémoire, le testament, l'esprit, etc. ont été allouées. Dans cette partie du livre, les responsabilités d'une personne, une dette devant Dieu, avant le plus proche et devant lui-même.

Dans la deuxième partie, nous avons été dépensés à l'éducation physique, parlant des mots du manuel, "soins du corps". L'étudiant a donné des recommandations détaillées concernant l'hygiène, le traitement des maladies simples et des soins aux patients, clarifié les causes des maladies, etc.

Dans la quatrième partie, des informations sur le ménage, des sciences, des arts, de la pêche et de l'artisanat, ce qui a permis de préparer des écoliers au futur travail indépendant.

D'autres manuels pour les écoles folkloriques ont également été compilés. Pour la première fois pour l'école, un manuel sur la science naturelle a été écrit - «Histoire naturelle d'inscription» (1786), qui a été utilisée dans les écoles jusqu'en 1828. L'auteur du manuel v.f. Zuev (1754-1794) s'appuyait sur le principe de la présentation scientifique et de la disponibilité de la présentation des matériaux. Le manuel était attaché à l'Atlas zoologique, quels enseignants utilisaient comme un avantage visuel. Pour la première fois en russe, la théorie évolutive, couvrant les problèmes de géologie, de la botanique et de la zoologie, était clairement révélée.

Professeur de l'Université de Moscou E.B. Sreechikov (esprit 1790) pour les écoles folkloriques a été écrite «brève grammaire russe» (1787). Dans la préface du manuel, l'auteur décrit les recommandations didactiques et méthodiques basées sur les principes de la séquence et de la communication du matériel étudié avec la vie. Les enseignants ont été consultés de ne pas encourager les enfants à confirmer, mais d'utiliser des exemples vives, clarifier des endroits difficiles, pour atteindre des documents appris étudiés par la répétition.

Mathématicien et physicien russe célèbre, neveu m.v. Lomonosova, M.e. Golovin (1756-1790), enseignant de la principale école populaire de Saint-Pétersbourg, créé pour les aides à la formation des écoles populaires sur l'arithmétique, la géométrie, la mécanique, la physique, les accompagnant par des directives et des avantages visuels. Dans le "bref guide de la géométrie" (1786), des lignes directrices ont été données non seulement aux enseignants, mais également aux étudiants. Les conseils de l'auteur témoignent de l'étudiant de les considérer comme les caractéristiques de l'âge des enfants et le soutien sur le principe de la visibilité.

Un nouveau système d'établissements d'enseignement et de nouveaux manuels exigés et la préparation de nouveaux enseignants. En 1783 par les efforts de F.I. Yankovich à Saint-Pétersbourg dans la principale école populaire, la formation des enseignants pouvant travailler professionnellement dans des conditions d'un système d'enseignement cool a commencé. À cette fin, du séminaire Saint-Pétersbourg Alexander Nevsky-Split, où la tentative a déjà été faite d'organiser la formation des enseignants des écoles populaires, les meilleurs étudiants exposés aux activités des enseignants ont été envoyés.

En 1786, le séminaire de l'enseignant s'est étendu de la principale école des gens et est devenu le premier en Russie avec la plus haute institution pédagogique éducative, qui a libéré leurs murs à la fin du XVIIIe siècle. Plus de 400 enseignants des classes inférieure et la plus élevée d'écoles populaires. Catherine II elle-même a effectué un contrôle sur les activités du séminaire.

Le nombre d'écoles populaires en Russie était en général petit: à la fin du siècle, il n'y avait que 288 institutions éducatives dans lesquelles peu de 20 000 enfants ont été étudiés, les filles n'étaient qu'un dixième de tous les écoliers. Nous ne devrions pas induire en erreur les écoles «des gens», car la majorité écrasante des enfants d'un peuple simple et presque tous les enfants de paysans de forteresse ont été privées de la possibilité d'étudier dans ces domaines de l'État, organisé sur des échantillons d'Europe occidentale. Les enfants de la noble domaine, clergé et partie des marchands ont étudié ici.

Cet état de fait ne pourrait pas provoquer une forte opposition aux politiques éducatives de l'État. Le représentant le plus frappant à la fin du XVIIIe siècle. Alexandre Nikolaevich Radishchev (1749-1802). Il n'était pas un enseignant professionnel, mais comme une illumineuse de la direction extrême révolutionnaire a accordé une attention sérieuse aux tâches et aux moyens de la formation des "fils de la patrie", des patriotes russes, des citoyens de la Grande Russie.

UN. Radishchev a demandé une formation large et complète pour les enfants de tous les Russes, quelle que soit leur affiliation de classe, car les «fils de vrais fils de la patrie» devraient figurer parmi les nobles, et parmi les paysans, et pour cela et d'autres devraient recevoir une éducation et une éducation appropriées. Ses idées pédagogiques n'ont pas reçu de réflexions dans un traité particulier, elles sont dispersées dans un tel travail, comme "Word sur Lomonosov", "Velost", des têtes de "Zaitsevo" et "Surey" dans "Voyage de Saint-Pétersbourg à Moscou" , "Conversation Le fait qu'il y ait le fils de la patrie" et "raisonnement sur le travail et l'oisiveté". Le mot imprimé était son seul moyen de lutte contre l'empire, cependant, Catherine II l'a appelé le "Buntocker pire que le pugacheva".

UN. Radishchev était un homme de l'ère qui est allé au changement d'une illumination. Son objectif n'est pas de corriger le monde et sa morale par les moyens d'illumination et la noquation du système où l'injustice sociale règne. Par conséquent, de son point de vue, il ne prend pas que l'éducation, mais l'éducation politique d'une personne, de manière exhaustive pour les travaux sur la réorganisation de la société basée sur l'idéal de la justice.

En général, il convient de reconnaître que pendant le XVIIIe siècle. En Russie, un réseau d'établissements d'enseignement - des petites et des grandes écoles populaires ont été créées - avec des programmes unifiés, une forme de formation organisé à terme, avec des méthodes uniformes d'enseignement des articles éducatifs, des manuels unifiés et une formation professionnelle des enseignants ont commencé, etc.

Dans le domaine de l'éducation et de la pensée pédagogique, la Russie a atteint un niveau qualitativement nouveau: divers types d'écoles laïques publiques qui ont servi de base à la création d'un système d'éducation centralisé de l'État du XIXe siècle ont été créés et prouvés dans la pratique. ; Un système d'idées a été développé sur l'éducation et la formation d'une personne - un citoyen de sa patrie qui est devenu un environnement nutritionnel pour le développement du mouvement socio-pédagogique russe de la première moitié du XIXe siècle.

Vues pédagogiques et activité de I.I. Bezzky

Ivan Ivanovich Betskaya (1704-1795) était un enseignant professionnel éduqué à l'étranger, où, sous l'influence des idées des Français éclairés, il a été formé comme un penseur et un apprenant de l'éducation. I.I. Bezzka a complètement divisé l'idée de Catherine II sur la participation extrêmement importante de l'éducation de la race de personnes '' 'dans les établissements d'enseignement fermé d'une classe.

I.I. Petska était le fils extramarité du prince I.yu. Trubetsky, né à Stockholm et travaillé depuis de nombreuses années à Paris. Ses vues pédagogiques ont été formées sous l'influence de Ya.a. Komensky, D. Lokka, J.-zh. Rousseau, D. Didro et d'autres enseignants progressifs de l'Europe occidentale. C'est Ekaterina II qu'il a chargé de créer un système d'établissements d'enseignement en Russie avant tout pour les enfants nobles.

Dans l'établissement Document'Genoral sur l'éducation des deux sexe de la jeunesse '' (1764) et de la main-d'œuvre »Instruction personnalisée choisie parmi les meilleurs auteurs, avec certaines notes physiques sur la levée des enfants de la naissance à la jeunesse» (1766). Bezzka a souligné ses points de vue sur les nobles de l'éducation à l'éducation tout posilée. C'était dans l'éducation qu'il a vu le «kine dans tout le mal et le tout» '' '' ' Il doit s'agir d'une sorte de nature des enfants, de développer en eux les qualités de la personnalité de la permission, de la décence, de la diligence, de la capacité de se contrôler et de la connaissance de la construction. L'éducation sans éducation, selon sa conviction, ne nuit que la nature de l'enfant, le gâte, dégoûte de vertueux.

La forme optimale d'organisation de l'éducation et d'apprentissage approprié, à son avis, il doit exister une institution éducative fermée, où les enfants devraient être pris de 5 à 6 ans et jusqu'à 18-20 ans. Pendant tout le séjour dans un établissement d'enseignement, les enfants doivent être isolés de l'exposition environnementale, même de la famille. De cette manière, il a été supposé que les pères et les mères, et ceux qui, à leur tour, devaient élever leurs enfants non sur la base des anciennes traditions, mais sur la base de l'intelligence pédagogique.

I. I. Betskaya

Prévoyez de la création du système d'éducation de l'Etat, selon Catherine II et I.I. Beetsky, a commencé à être mis en œuvre avec la création de l'école à l'Académie des arts (1764), des maisons éducatives de Moscou (1764) et de Saint-Pétersbourg (1770), la Société éducative de Noble Maidens à Saint-Pétersbourg (1764) et l'école de commerce (1773). Chaque institution éducative avait sa propre charte, qui était commune à qui: l'interdiction des punitions corporelles et de l'intimidation des enfants, une approche individuelle pour évaluer les capacités de chaque élève, l'orientation des activités éducatives et pédagogiques pour résoudre les tâches de développement de l'unique. la personnalité de l'étudiant.

Dans le même temps, l'absence d'enseignants spécialement formés en Russie, il n'y a pas presque toutes les bonnes intentions de I.I. Petsky. Tenter l'invitation du personnel de l'enseignant à l'étranger n'a pas changé la situation. Les activités des maisons éducatives pour les bébés soulevés et illégitimes, qui, selon les plans de Catherine II et I.i, ont été déceptions spéciales. Beetsky, ils auraient dû être élevé ici, recevoir une formation primaire et une formation professionnelle dans des ateliers, où son idée devait être mise en œuvre sur la supériorité de l'éducation.

Dans de telles maisons éducatives, selon les idées de I.I. Bezzky, les enfants de moins de 2 ans doivent être sur la prise en charge des nannies et des corps, de plus de 7 ans, des garçons et des filles soulevées ensemble auraient dû être conduits à un travail facile, de moins de 11 ans - aller 1 heure par jour à l'école, apprendre la lecture et la loi de Dieu. Les garçons travaillent comprenaient des bas de tricot, des casquettes, des réseaux, du travail dans le jardin. Les filles étaient engagées dans la filature et la dentelle tissée. Jusqu'à 14 ans, continuant de s'engager dans divers artisanats, les enfants auraient dû apprendre à compter, écrire, tirer, se familiariser avec des éléments de géographie. À ce sujet, leur éducation aurait dû compléter.

Dans le même temps, les idées de I.I. Petsky a divergé de la réalité. La déclaration des affaires dans la maison éducative de Moscou à 1755 ᴦ. Il a écrit qu'aucune des tâches éducatives et éducatives n'a été choisie à nouveau en raison de l'incompétence extrême et de la korestatubie des éducateurs et des maîtres.

Ce n'était pas mieux à propos de l'école des garçons à l'Académie des arts. Selon la Charte de l'école, il y avait trois classes pendant trois ans d'étude dans chacune d'elles. Ici, ils ont été enseignés diplômés russes, langues étrangères, dessin, arithmétique, géométrie, histoire, géographie, mythologie. École graduée, résistant à l'examen, entra dans l'Académie des arts ou engagée dans des activités pratiques dans leur spécialité.

En 1772 ᴦ., Posteiv School, I.I. Bezzka avec déception a écrit qu'il n'a pas trouvé l'esprit de haute illumination ici. De même, il a été caractérisé par les activités de l'école à l'Académie des sciences et transformée sur la base des nouvelles idées pédagogiques du logement du losslock. Un large éventail de disciplines éducatives générales n'a pas contribué au développement moral des élèves, à la technique des enfants qui jouent et avec gentille '' ', comme il l'a appelée, n'a pas conduit à une éducation obligatoire et toute sa théorie humaine de l'éducation dans la pratique était insolvable.

La seule activité réussie de la Société éducative des nobles filles de l'Institut Smolny a été publiée sur l'éducation des femmes en Russie. En 1764 ᴦ. Dans toutes les provinces, les provinces et les villes ont été envoyées à l'éducation impériale de l'éducation de la noble Maiden à Saint-Pétersbourg au monastère de la résurrection, appelée Smolny dans la vie quotidienne. Selon le décret, chaque noble pourrait donner à ses filles pour éduquer cette institution.

En fait, le nom de la noble fille a été inscrit dans la moitié de cet établissement éducatif - la moitié de Nikolaev. La seconde moitié de la moitié s'appelait l'école Alexandrovsky.

À la moitié de Nikolaev, les filles de nobles héréditaires, ayant un rang inférieur au colonel ou conseillère de statistique, et sur les filles Alexandrovskaya - Filles de petits nobles du rang de siège, le conseiller titulaire du colonel, le conseiller en collège, comme ainsi que les filles du prêtre - de croire, incluses dans la troisième partie des nobles livres. Il y avait aussi une école pour les jeunes filles de la classe Meshchanansky, où ils préparaient les futurs enseignants et éducateurs (1765).

Les principes des données et de la rating de l'éducation ont été observés ici très strictement. Les élèves-noblesse étaient unis dans des classes liées à l'âge qui ont porté leurs vêtements comme un signe de différences. Les jeunes filles (âgées de 5 à 9 ans) portaient des robes brunes͵͵ Ils s'appelaient '' KOFFEOSI '' '' '' ''; Les filles d'Adolescence (9-12 ans) vêtues de robes bleues, de 12 à 15 ans - en gris et âgées de 15-18 ans sont allées aux classes en vert, sur des balles - dans des robes blanches.

La réception dans la première classe d'âge devait avoir lieu, selon la conception initiale, une fois tous les trois ans. Dans les 12 ans suivant la formation, les parents n'avaient pas le droit de prendre leur fille à la maison. Le contenu d'apprentissage a été élaboré en tenant compte des innovations pédagogiques de cette époque et comprenait l'étude des langues russes et étrangères, arithmétique, géographie, histoire. Nous avons également formé des poèmes, des musices, des dessins. En pratique, seules les langues sont sérieusement étudiées en français et en allemand.

Une tâche importante de l'éducateur était l'enseignement des élèves de lecture avant tout le bord des romans français, qui auraient dû éveiller l'amour du travail acharné, la source de toutes sortes, d'élever la compassion aux pauvres. Pour le développement esthétique dans l'Institut Smolny dans les années 1770. Le théâtre amateur a fonctionné, où les joueurs de dramaturges russes célèbres ont été mis, par exemple A.P. Sumaro.

La division Meshchanansky de l'Institut Smolny est devenue une source de formation des enseignants en Russie. Ici, ils préparaient des enseignants à la fois pour l'institution elle-même et les enseignants à domicile-éducateurs. Des années 90. XVIIIe siècle Certaines noblesse ont également commencé à étudier sur ce département.

La préparation des «agents d'enseignement des dams» et des éducateurs de la Russie de la Catherine Epoch est très important pour la Russie, car à cette époque, les pensions privées étaient dominées, où des étrangers ont été enseignés, ce qui n'avait pas d'éducation pédagogique, souvent enseignant seulement. la langue, les manières et les danses.

Les vues éducatives sur l'éducation et la formation des enfants ont exprimé non seulement des partisans et des artistes interprètes des idées de l'impératrice, mais également de ses adversaires et ses adversaires. Une critique assez modérée de la politique éducative d'Ekaterina II était Nikolai Ivanovich Novikov (1744-1818). Selon Catherine II, il était intelligent et dangereux et dangereux, qu'elle a conclu dans la forteresse de Shlisselburg sans tribunal et l'enquête.

N.i. Novikov

N.i. Novikov était plutôt un penseur social, publié, éclairé, plutôt qu'un enseignant. En éditeur, il a publié des traductions de Laborness Rousseau, Dritro, Montesquieu, Voltaire et d'autres Français éclairés. En tant que philosophe, l'attirait au problème de l'homme et de sa formation morale. Il croyait lui-même que la voie de la plus haute moralité humaine se déroule principalement par l'ignorance et l'éducation à part entière.

L'idée d'adopter de bons citoyens, de la patrie heureuse et saine, des patriotes, des combattants contre l'État de '' '' 'était central dans le programme éducatif N.I. Novikova. Étant dans sa vision du monde de l'illumination de type européen, il croyait que la prospérité de l'État, le bien-être des personnes dépendantes de la moralité, qui est accordée à l'éducation et à l'éducation. Il croyait que le peuple al-clauses, avec une éducation appropriée, réaliserait avec succès leurs fonctions, deviendra du travail ardu, les propriétaires de blanchiment. Pour cette raison, l'éducation des jeunes est nécessaire et le premier devoir du dirigeant du pays et de chaque parent.

Critique équitable de N.I. Novikov soumis à la Système de noble Education: l'éducation à domicile, de confiance avec des personnes aléatoires; Éducation et formation à l'étranger, où les jeunes se livrent plus de plaisir, passe-temps inactif, que des sciences; L'éducation dans des établissements fermés, déchirées de la vie réelle, est tout cela, à son avis, n'allageait pas dans le vrai sens du mot.

Sa vue pédagogique de N.I. Novikov a décrit le plus pleinement dans le traité "O" Education et instruction des enfants "" (1783). L'éducation, à son avis, devrait inclure trois parties principales: l'éducation physique réalisée afin de réaliser la santé corporelle des enfants; Morale, sans laquelle personne ne devrait être interne heureux, récemment avec des êtres chers deviendra de bon citoyen, ainsi que la formation d'esprit, il est extrêmement important pour l'homme et un citoyen de remplir ses fonctions.

Éducation dans les établissements d'enseignement fermé N.I. Novikov a examiné le mauvais et préféré à l'éducation publique et en réalité scolaire, ce qui peut considérablement mieux préparer la jeune génération à la vie et aux activités de la société.

Un rôle important dans le développement de l'homme N.I. Novikov a pris une éducation familiale et une éducation à la maison raisonnablement organisée. Il a appelé parmi les facteurs les plus importants pour la formation d'une personne humaine. À cet égard, il était un opposant de l'idée de Catherine II, qui avait supposé l'isolement des enfants du parent. Un exemple positif d'un parent -Eis a été considéré comme un moyen d'éducation déterminant, cependant, de tels exemples à cette époque étaient un peu un peu.

N.i. Novikov a parfaitement compris que des décrets, des traités pédagogiques, quel que soit leur bien, ne donnera pas d'effet positif. Si ce n'est pas pour la réalisation de leurs idées enseignant formé par des idées. Selon lui, il est nécessaire non seulement de préparer spécialement l'enseignant, mais également de créer des conditions pour leur vie décente. Un vrai professeur d'enseignant devrait être une personnalité morale, un modèle pour les élèves dans toute la relation, occupant un lieu approprié dans la société.

Les pensées de Catherine II sur la transformation de l'affaire et l'éducation des jeunes ont été incarnées dans les documents de la réforme de l'école de 1782-1786. Au cours de cette période de son règne, elle a largement révisé son poste éducatif et a souligné la création d'écoles pour les bourgeois dans les villes de la province et du comté le long de l'empire russe. À l'idée de l'éducation de la race'''noy '', elle n'était plus retournée à cette époque.

Pour préparer la réforme de l'école, une commission a été créée sur l'institution d'école dirigée par le sénateur P.V. Zavadovsky. Le plan de réforme et les matériaux associés à celui-ci ont été préparés Fedor Ivanovich Yankovich de Mirievo (1741-814) - Enseignant autrichien, orthodoxe, Serbe par nationalité, invité à la Russie sur la recommandation de l'empereur autrichien Joseph II. FI. Yankovich dans cette commission a joué un rôle majeur. Il s'est traduit par des instructions de Russie Autrichiennes et allemandes pour les Chartes d'enseignants et de l'école, aux aides pédagogiques, qui ont permis aux enseignants russes et aux hommes d'État à se familiariser avec l'Organisation de l'Europe occidentale.

FI. Yankovich de Mirievo

En 1786 ᴦ. La Commission sur la création d'écoles folkloriques a publié le document en chef de la réforme de l'école - '' сто aux personnes dans l'empire russe. Dans toute la Russie, les écoles folkloriques de deux types étaient censées être créées dans des villes solides et de grands villages; Dans les villes provinciales - les principales écoles populaires avec une durée d'études depuis 5 ans et dans les villes de comté et des villages - petites écoles populaires avec une durée d'études pendant 2 ans. Par '' Demoju '' 'Dans toutes les écoles, il a été recommandé d'introduire un système de chronométrage au lieu d'un travail individuel traditionnel avec les étudiants.

Petit programme scolaire comprenait la lecture, la lettre, l'arithmétique, le dessin et le catéchisme avec une histoire sacrée. Les écoles principales étaient censées créer de quatre classes. Le contenu de la formation Les deux premières classes correspondent au contenu de la formation dans les petites écoles, dans deux notes principales des écoles principales, les écoliers auraient dû étudier la grammaire russe, le début de l'histoire totale, la géographie, la physique, la mécanique, la géométrie. Après la fin de l'école en chef, il était possible de poursuivre leurs études à l'université, pour lesquelles dans les classes principales des écoles populaires principales, ils ont également été formés en latin et une autre langue étrangère, principalement l'allemand dans les petites écoles, deux Les enseignants apprenaient et dans les écoles principales - six. Le contenu des écoles populaires a été attribué aux autorités locales.

La Commission a également publié des "élèves dans les écoles popolaires" "" "" "" "" (1783 "(1783), qui a complété la" police ", une liste claire des responsabilités de l'écolier. Sur la base de ces règles, la réception de l'école a été réalisée deux fois par an - en été et en hiver. En hiver, ils ont étudié de 8 à 11 heures et après le dîner de 2 à 6 heures de la journée, et en été - de 7 à 10 ans et de 2 à 5 heures. Les cours ont commencé à prier, la formation était jointe pour les garçons et les filles, bien qu'ils soient assis à part. L'enseignant était censé faire en sorte que les garçons et les filles ne sortent pas de l'école. Les punitions du corps étaient interdites. Les règles de comportement en dehors des écoles et des maisons, sur la base des traditions de l'éducation orthodoxe russe et des règles de bonne tonalité, adoptées dans la société laïque de cette époque ont été peintes en détail.

En 1783 ᴦ. Il a été publié avec les enseignants des première et deuxième classe '' ', le célèbre enseignant silésien-autrichien I. I. Felbiger, adapté aux conditions russes de F.I. Yankovich. "" Revo-formant "" "a clarifié la signification et les principes d'organiser un système d'enseignement de classe-A, qui n'a pas été pratiqué par les enseignants russes plus tôt. '' Rukovodstvo '' '' a été considéré comme officiel .. Obligatoire pour l'exécution, didactique. Il consistait en quatre parties.

La première partie a été consacrée à la technique de travail. Les enseignants ont été obligés de s'engager dans la salle de classe et de ne pas enseigner à chacun par un. Recommandé comme l'une des méthodes d'enseignement pour effectuer une série d'exercices avec une augmentation progressive de la difficulté et une augmentation de l'indépendance des étudiants dans leur mise en œuvre; Adopté une technique d'enquête, etc.

La deuxième partie contenait des méthodes individuelles de sujets enseignées dans l'école populaire; La troisième - décrit l'identité de l'enseignant et de ses qualités professionnelles; Dans la quatrième partie, il s'agissait de l'organisation de la vie scolaire, toutes les activités de l'enseignant ont été strictement réglementées.

La principale méthode d'apprentissage a été considérée comme une instruction cumulative et une lecture cumulative .. Le travail de l'enseignant avec l'ensemble des enfants en même temps: une - lit ou répond, et le reste l'écoute. Dans le même temps, il a été recommandé de lire un article pour 10-15 fois, tant que les enfants eux-mêmes sont bons pour le lire et répondre aux questions. Un exemple d'enseignant arithmétique devrait d'abord décider du conseil d'administration, puis dans cet exemple, le meilleur étudiant a décidé du conseil l'exemple suivant et seulement après avoir été dicté par les disciples.

Ainsi, les élèves des classes se développaient, ce qui, essentiellement, était une nouvelle organisation pour la Russie, puisque chaque élève a travaillé individuellement sur les instructions de l'enseignant.

Lors de la lecture de la lecture, il a été recommandé d'utiliser l'image des mots via les lettres initiales lorsque le texte a étudié non seulement entièrement, mais également selon les premières lettres de mots individuels. Les enseignants ont donné des conseils sur l'élaboration de tables avec une brève présentation du contenu du livre ou de son plan; Particulièrement recommandé, «vesoming» '' ''. Questions de l'enseignant à toute la classe pour vérifier la compréhension du matériel étudié étudiant et le début de la conversation - explications.

Une grande attention in''Ruovka-formation « » « » nous a été donnée à la personnalité de l'enseignant, les vertus qu'il devait avoir à travailler avec les enfants: la paix et la décence, la bonne humeur constante de l'Esprit et le corps, une attitude loyale envers autocratique la construction, la loyauté à sa classe, la vertu chrétienne, la santé du corps et travailleur.

Les collèges populaires qui ont ouvert l'époque de Catherine II étaient nouveaux pour la Russie avec le type d'établissements d'enseignement destinés aux enfants de la population allouée. Pour ces écoles, de nouveaux livres éducatifs étaient nécessaires. Le principal avantage est le livre mentionné précédemment « de l'homme et du citoyen « » » (1783), publié en deux versions: pour les étudiants et enseignants, où les directives contenues, et en fait, une liste de questions que l'enseignant devrait demander aux enfants.

Le manuel était divisé en quatre parties. Dans l'introduction, le but de l'éducation a été déterminé comme la réalisation d'un homme de bien-être, n'est possible qu'avec une attitude fidèle à l'appareil, la loyauté à sa classe, la vertu chrétienne, la santé corporelle et le travail acharné.

Dans la première partie, les caractéristiques du monde intérieur de l'homme ont été révélées et des sections sur l'âme, la mémoire, le testament, l'esprit, etc. ont été déchargées. Dans cette partie du livre, les fonctions d'une personne ont également été expliquées devant Dieu, devant le voisin et devant lui-même.

Dans la deuxième partie, nous avons été dépensés en éducation physique, en disant les mots du manuel, par habitant sur le corps '' '' '' '' ''. Les élèves ont reçu des recommandations détaillées concernant l'hygiène, le traitement des maladies simples et les soins aux patients, clarifié les causes des maladies, etc.

Dans la quatrième partie, des informations sur le ménage, des sciences, des arts, de la pêche et de l'artisanat, ce qui a permis de préparer des écoliers au futur travail indépendant.

D'autres manuels pour les écoles folkloriques ont également été compilés. Pour la première fois pour l'école, un manuel sur la science naturelle a été écrit peut-être l'histoire naturelle '(1786), qui a été utilisée dans les écoles à 1828 ᴦ. L'auteur du manuel, le célèbre voyageur et des ressources naturelles de l'académicien. Zuev (1754-1794), s'appuyait sur le principe de la science et de la disponibilité de la présentation du matériau. Le manuel était attaché à l'Atlas zoologique, quels enseignants utilisaient comme un avantage visuel. Pour la première fois en russe, la théorie évolutive, couvrant les problèmes de géologie, de la botanique et de la zoologie, était clairement révélée.

Professeur de l'Université de Moscou E.B. Sreechikov (esprit 1790) pour les écoles folkloriques a été écrite de la grammaire russe par'kratkaya '' '(1787). Dans la préface du manuel, l'auteur décrit les recommandations didactiques et méthodiques basées sur les principes de la séquence et de la communication du matériel étudié avec la vie. Les enseignants ont été consultés de ne pas encourager les enfants à JAR, mais en utilisant des exemples brillants, clarifier des endroits difficiles à rechercher des documents appris par la répétition.

Célèbre mathématicien russe et physicien, neveu m.v. lomonosova, M.E. Golovin (1756-1790), enseignant de la principale école populaire de Saint-Pétersbourg, créé pour les aides à la formation des écoles populaires sur l'arithmétique, la géométrie, la mécanique, la physique, les accompagnant par des directives et des avantages visuels. Leadership in'kratique pour la géométrie '' '' (1786), des lignes directrices ont reçu des directives méthodologiques non seulement pour les enseignants, mais également les étudiants. Les conseils de l'auteur ont témoigné à son désir de prendre en compte les caractéristiques de l'âge des enfants et s'appuyer sur le principe de la visibilité.

Lors de l'étude dans tous les objets, l'attention a été portée à leur valeur appliquée. Par exemple, lors de l'enseignement de la grammaire, la capacité de composer des lettres, d'établir des reçus, des comptes; Dans l'étude de la nature, l'attention a été accordée aux connaissances pouvant être bénéfiques pour l'homme, sa santé, sa nutrition, ses échanges; Lors du dessin - ce qui est nécessaire pour les travaux d'angoissons et les métiers.

Selon le plan f.i. Les écoles récemment ouvertes de Yankovich devaient contenir des autorités locales, sélectionner des locaux, inviter et préparer des enseignants à donner des fonds. En même temps, presque rien n'a été fait à l'affaire, du trésor de l'Etat n'a pas reçu d'argent, il n'y avait pas assez d'enseignants avec un catastrophique: un seul séminaire des enseignants a été découverte pour toute la Russie à l'école à Saint-du-Main populaire Pétersbourg (1783), et les autres grandes écoles avec la tâche de préparer les enseignants pour les petites écoles tout simplement ne pas faire face.

En 1786 ᴦ. Le séminaire de l'enseignant s'est étendu de la principale école des gens et est devenu le premier établissement éducatif pédagogique en Russie, qui a libéré leurs murs à la fin du XVIIIe siècle. Plus de 400 enseignants et écoles populaires. Catherine II elle-même a effectué un contrôle sur les activités du séminaire.

Le nombre d'écoles populaires en Russie était en général petit: à la fin du siècle, il y avait 2 88 institutions éducatives, dans lesquelles un peu plus de 20 000 enfants ont été étudiés, les filles n'étaient que le dixième des écoliers. Il ne doit pas être induit en erreur par le nom de « International » « » « » « » « » « » i, étant donné que la majorité écrasante des enfants ont été privés de la possibilité d'apprendre dans ces sociétés d'État, sur les modèles de l'Ouest européen ORGANISÉ, écoles. Les enfants de la noble domaine, clergé et partie des marchands ont étudié ici.

En général, les tentatives de Catherine II organisent l'illumination de la population ne réussissaient pas avant tout, car elle a essayé de transférer mécaniquement le modèle autrichien étranger vers le sol domestique sans prendre en compte les besoins et les capacités de son pays. Le plan projeté de l'éducation nationale n'a été réalisé que en partie et l'illumination folklorique n'a jamais commencé. Les écoles principales et les petites difficultés ont été ouvertes presque exclusivement dans les villes. Rural, la population paysanne s'est avérée pratiquement en dehors du système d'illumination. De plus, au cours des réformes, les écoles vieillies impropres ont souvent été abolies, qui au cours des siècles donnaient une connaissance primaire aux enfants d'un peuple simple.

Cet état de fait ne pourrait pas provoquer une forte opposition aux politiques éducatives de l'État. Le représentant le plus brillant est à la fin du XVIIIe siècle. A été Alexander Nikolaevich Radishchev (1749-1802). Il n'a pas été un enseignant professionnel, mais comme un illuminateur de l'extrême direction révolutionnaire, a accordé une attention sérieuse aux tâches et les moyens de la formation de la formation de la patrie, les patriotes russes, les citoyens de la Grande Russie.

UN. Radishchev a demandé une éducation large et à part entière pour les enfants de la Fédération de Russie, quelle que soit leur affiliation de classe, car les fils silencieux de la patrie devraient faire partie des nobles, et parmi les paysans, et pour cela et d'autres devraient recevoir une éducation appropriée. et éducation. Ses idées pédagogiques ne ont reçu des réflexions dans aucun traité spécial, ils sont dispersés dans l'emploi d'un tel, as''slovo à propos de Lomonosov « » « » « » volosti « » « » « » « » « » « Veliya » « » « » '' '' '' '' Teveraiya de Saint-Pétersbourg à Moscou '' '' '' 'Bessed qu'il y avait un fils du fils de la patrie' '' SUADOR sur le travail et l'oisiveté '' '' '' '' Le mot imprimé était son seul moyen de lutte contre l'empire, néanmoins, Catherine II a appelé le pire que Pugacheva '' '' '' '.

UN. Radishchev était un homme d'une époque qui allait au changement d'âge de l'illumination. Son objectif n'est pas de corriger le monde et sa morale par les moyens d'illumination, mais la noquence du système où l'injustice sociale règne. Pour cette raison, de son point de vue, pas seulement une éducation est nécessaire, mais l'éducation politique d'une personne, préparée allilatéralement pour la réorganisation de la société sur la base de l'idéal de la justice.

UN. Radishchev

Dans le même temps, en général, il convient de reconnaître que InXVIIIe siècle. En Russie, une tentative a été faite de créer un réseau d'établissements d'enseignement - petites et grandes écoles nationales - avec des programmes unifiés, une forme d'organisation de formation agréable, avec des méthodes d'enseignement uniformes d'articles de formation, des manuels uniformes, de la formation de formation, etc. . Tout cela a servi de base à la création d'ATXIX. Système d'éducation centralisé de l'État. Cependant, des penseurs du XVIIIe siècle. Un certain nombre d'idées sur l'éducation et la formation d'une personne - un citoyen de sa patrie, qui devint un environnement nutritionnel pour le développement du mouvement socio-pédagogique russe du premier semestre siècle de six siècles ont été exprimés.

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Vues pédagogiques et activité de I.I. Beetsk - Concept et espèce. Classification et caractéristiques de la catégorie «Vues pédagogiques et activités de I.I. Bezzky» 2017, 2018.

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Introduction ................................................. ....................................... 3

2.1 maison d'enseignement en Russie et le concept de I.I. Beetsk ............ .15

2.2 L'éducation des femmes en Russie La deuxième moitié du XVIIIe siècle:

projets Catherine II et I.I. Bezzky (théorie et pratique) .................. ..28

Conclusion ................................................. ............................................. .46

Liste des sources utilisées et de la littérature ......................................... ... 48

introduction

Ivan Ivanovich Petskaya (1704-1795) - est resté dans l'histoire en tant qu'éducation de l'éducation russe de premier plan, secrétaire personnel d'Empress Ekaterina II (1762-1779), président de l'Académie impériale des arts (1763-1795), l'initiateur de la création de Un institut smolny et la maison éducative. Il a également dirigé la Commission sur le bâtiment de pierre à Saint-Pétersbourg et à Moscou.

La pertinence de l'étude de la vie et de l'activité de II. Betsky est qu'il a servi d'organisateur de l'environnement éducatif dans les établissements d'enseignement fermé de Russie (maisons éducatives, Corps des cadets, Institut de nobles filles, etc.) La seconde moitié du XVIIIe siècle. Pendant cette période, l'organisation du média éducatif a été réalisée dans les conditions d'influence intensive de la culture occidentale, empruntant des modèles étrangers d'éducation, les adaptant aux réalités intérieures de cette époque, ainsi que la compréhension active de l'éducation nationale traditionnelle. Les résultats de l'activité de Beetsk ont \u200b\u200baffecté les générations ultérieures d'éducateurs: théoriciens et praticiens.

L'étude de l'activité de Beetsky fait partie d'un sujet plus vaste, à savoir les thèmes des réformes éducatives de Catherine. Ces réformes ont fait l'objet d'études des chercheurs nationaux des XIX-XXe siècles. Parmi eux devrait être sélectionné A.C. Voronova, V.v. Grigorieva, D.A. Tolstoï, M.I. Sukhomlinova, C.B. Noël, p.m. Majkova, A. A. Pouchkine Musina, A.C. Lappo-Danilevsky, P.F. Capteleva, P.N Milioukova, i.t. Poshkov et d'autres. Les projets de ces auteurs ont révélé les principaux problèmes et aspects de la politique éducative de la seconde moitié du XVIIIe siècle.

Une place particulière dans un certain nombre de travaux de recherche sur les questions de l'éducation et de l'éducation de la seconde moitié du XVIIIe siècle est occupé par des travaux sur les vues pédagogiques et activités d'un des plus grands réformateurs de l'environnement Ekaterininsky, mentionné ci-dessus I.I. Petsky. Premier travail dédié à I.I. Betchom, atteint en 1904 son auteur, p.m. Mikov, a utilisé les documents d'archives disponibles relatives à l'identité du réformateur, a étudié les cas des assemblées manuscrites du Sénat d'administration, l'Académie impériale des Arts, la Société éducative de Maiden Noble à Saint-Pétersbourg, les archives des conseils de tutelle. Travail P.M. Majkova contient de nombreuses informations réelles sur l'environnement éducatif des établissements d'enseignement fermé créés sous l'influence directe de Beetsky.

A.C. s'est tourné vers le problème des établissements d'enseignement fermé. Lappo-danilevsky. Dans son travail "I.I. Betskaya et son système éducatif "(1904) contiennent une analyse critique du livre de P.M. Maikova. Montrant les forces et les faiblesses de ce travail, en même temps ..C. Lappo-Danilevsky a contribué à l'étude du système éducatif et de l'activité pratique I.I. Petsky.

Dans l'historiographie soviétique, l'environnement éducatif dans les établissements d'enseignement fermé n'était pas un objet d'études monographiques. Dans la plupart des travaux généralisants sur l'histoire de l'éducation, divers types d'essais et de monographies collectives sur l'histoire de la pédagogie I.I. Bezzka n'a pas été considérée comme un défenseur du système féodal-serf, a proclamé l'idée de former une "nouvelle race de personnes". Selon les auteurs, ses idées ont servi de tâche d'éducation obéissant aux serviteurs de la "noblesse éclairée". Une telle position de nombreux scientifiques a persisté presque au présent. Il est donc nécessaire d'indiquer une perte de dispositions positives sans-sommets sur les activités de I.I. Beetsk, identifié par des chercheurs au début du XXe siècle.

Des œuvres d'historiens soviétiques, les œuvres de MT doivent être mises en évidence. Belyavsky 1 k.n. Kornilova et d'autres personnes. Dans lequel une tentative a été faite pour comprendre les problèmes historiques d'éduquer la jeune génération avec de nouvelles approches méthodologiques.

Une nouvelle étape de compréhension du problème de l'organisation d'un environnement éducatif en Russie de la seconde moitié du XVIIIe siècle. Situé avec la démocratisation de la société à la fin du XXe siècle et l'orientation de l'éducation de la jeune génération sur les traditions nationales. De nombreuses études dédiées à, par exemple, les établissements d'enseignement fermé, des travaux devraient être appelés V.I. SELLAKOVA, G.I. Magnana, L. Vasilyeva, etc., cherchant à se libérer de timbres pour déterminer la politique éducative de Catherine et évaluer le vecteur éducatif de cette politique conformément à de nouvelles approches méthodologiques. Un certain nombre d'études ont été consacrées à la formation et le développement des idées de l'éducation dans la pensée pédagogique de la période étudiée (H. N. Barkova, V. I. Blinov, N. A. Vaulin, A.A. Gagaev P.A. Gagaev, S. B. Gontcharov). Travaux sont apparus sur les établissements d' enseignement individuels (3.I. Ravkin, CB des requins) et la recherche de l' éducation et les réformes scolaires (Egorov S. F., V. M. Clain, M.A. Kontratyeva, D.I. latine, A. I. Piskunov). Comprendre le destin de l'école russe et la formation de l'environnement éducatif des établissements d'enseignement fermé de la Russie la seconde moitié du XVIIIe siècle. Propriété Faces Z.V. Viyakova, V.M. Menshikova et al.

Sources d'écriture de ce travail servi:

Le document associé aux activités pédagogiques de I.I. Bezzky (I.I. Etablissement général de Betskaya "Création générale sur l'éducation des deux sexes de la jeunesse", confinée par sa majesté impériale de 1764, 12 mars);

Essaye Z.e. Mordvinova (1914) À propos des premières années de l'Institut Smolny. 2.

Le but de ce document consiste dans la description et la compréhension de la contribution historique de I.I. Bezzky dans le domaine de l'éducation et de l'illumination de la Société russe de la seconde moitié du XVIIIe siècle.

Analyser les sources de formation de la vision du monde pédagogique I.I. Betsky;

Créez des exemples de l'origine et du fonctionnement des projets Petsky sur l'exemple d'une maison éducative et de l'Institut Smolny.

1. Le Worldview est i.i. Bezzky

1.1 Biographie I.I. Bezzky

I.I. Bezzka fut le fils extramarité du maréchal du marais Prince Ivan Ivan Yurevich Trubetsky, le nom abrégé dont il a reçu plus tard et probablement le baronessa. Il est né à Stockholm, où son père était en captivité et une enfance y a vécu. Avoir d'abord sous la direction du Père "Enseignement du PreacDay", Bezzka a été envoyé pour des études ultérieures à Copenhague, au Corps des cadets locaux; Ensuite, il servi depuis longtemps dans le régiment de la cavalerie danoise, lors de l'enseignement, a été rebellé par un cheval et blessé constamment que, apparemment, et l'a forcé à abandonner le service militaire. 3.

Voyagé depuis longtemps en Europe et 1722-1726 tenue « pour la science » à Paris, où, en même temps, se composait de secrétaire en russe après et était représenté par la duchesse de John Elizabeth Anhalt-Cerebst (mère du futur impératrice Catherine II), qui , en ce moment, et lui par la suite appelé très gracieusement (grâce à laquelle il y avait une hypothèse que Catherine II est sa fille).

En Russie, Petskaya a d'abord consisté d'abord un adjudant de cheminée sous son père à Kiev et à Moscou, et en 1729, il a décidé au service du collège des affaires étrangères, d'où elle a souvent été envoyée en courrier à Berlin, à Vienne et à Paris. un bureau. Grâce au Père et à la seule soeur d'Anastasia Ivanovna, l'épouse du prince Ludwig Gessen-Gomburg, Bezzka est devenue proche de la cour d'impératrice Elizabeth Petrovna. Dans la nuit de l'entrée dans le trône d'Empress Elizabeth (le 24 au 25 novembre 1741), il était à l'étranger au souverain, qui l'a attribué à l'ordre de l'ordre de St. Catherine, tirée par lui. Peu de temps après la duchesse, Anhalt-Crebstskaya apporta sa fille à Saint-Pétersbourg, élu à l'héritier du trône, le grand prince Peter Fedorovich. Bezzka a été nommé composé d'une mère duchesse, et après son départ de la Russie en 1747, il a pris sa retraite, probablement en raison des registerings du chancelier Bestoujev, et est allé à Paris. quatre

Sur la route, l'étranger a essayé, selon ses propres mots: "Ne manquerait rien du vaste livre vivant de la nature et tout était visible, expresse toutes sortes de livres d'apprentissage pour apprendre toutes les informations importantes à la grande formation du cœur et écouter." 5 Cette fois, la frontière de Beetskaya a vécu pendant 15 ans, principalement à Paris, où les salons laïques ont assisté, la connaissance avec les encyclopédistes et les conversations et la lecture ont appris ses idées à la mode, par exemple des théories éducatives.

L'empereur Pierre III au début de 1762 a causé Bezzky à Saint-Pétersbourg, le fit à Lentar général et nommé directeur en chef du bureau des bâtiments et des maisons de Sa Majesté. Dans le coup d'État le 28 juin 1762 (le renversement de Peter III), Bezzka n'a pas participé à la préparation de ses préparatifs, apparemment, ne savait rien; Peut-être parce que cela a toujours été indifférent à la politique à son propre sens.

Catherine II, qui savait Betsky de l'arrivée même à la Russie, l'a rapproché de lui-même, a apprécié son éducation, son goût élégant, sa tombe au rationalisme, sur laquelle elle-même a été construite. 6

En général, les États de l'État Betskaya n'interfèrent pas et il n'y avait aucune influence sur eux; Il a lancé une zone spéciale - éducative.

Par décret le 3 mars 1763, le Beetsk a été confié au Bureau et, en 1764, il a été nommé président de l'Académie des arts au cours de laquelle il a fait une école éducative.

Le 1er septembre 1763, un manifeste sur la création d'une maison éducative de Moscou selon le plan, compilée, selon les mêmes données, Beetsky lui-même, selon un autre - professeur d'Université de Moscou A.A. Barsov, selon les directions du beetk.

Selon les pensées de Petsky, la « Société de l'éducation Noble Maiden » a ouvert ses portes à Saint-Pétersbourg (par la suite Institut Smolny), confié à ses soins principal et le leadership.

En 1765, Betska a été nommé chef de la coque enclavée, pour laquelle la Charte était fatiguée sur les nouveaux principes.

En 1768, Catherine II a produit Petsky dans le menton d'un conseiller secret valide.

En 1773, selon le plan de Betsky et les moyens de Prokopiya Demidov, une école de commerce éducative a été créée pour les enfants marchands.

Après avoir tiré la direction de toutes les institutions éducatives et éducatives, Catherine lui a donné une grande richesse, dont une part importante qu'il a donnée aux affaires de la charité et, en particulier au développement d'établissements d'enseignement. Selon le modèle de Moscou, Petskaya a ouvert la maison éducative à Saint-Pétersbourg et, avec elle, il a créé une veuve et le Trésor préservé, basé sur de généreux dons faits par lui.

En 1773, le Sénat à la réunion solennelle a rompu le Beetskom pour être assommé en son honneur, pour la création de bourses d'études en 1772, une grande médaille d'or, avec l'inscription: "Pour l'amour pour la patrie. Du Sénat le 20 novembre 1772. "

Considérant que, à l'exception de l'éducation, de l'observation des bâtiments officiels, en tant que directrice du Bureau des bâtiments, Betskaya se souciait de la décoration de Saint-Pétersbourg; Les monuments de cette activité préservée: le monument à Pierre le Grand (Falconeta), le réseau du jardin d'été, le pont Nevsky et talus granit de la Neva et les canaux. 7.

À la fin de la vie de Fetsk, Catherine, refroidie à lui, privé son titre de son lecteur. À son avis, « Betskaya lui-même donné à la gloire de l'État » - il est possible de penser que la cause du refroidissement est enracinée dans la confiance de l'impératrice que Betskie attribue uniquement au mérite de réforme de l'éducation, quant à lui que Catherine et elle-même revendiqué un rôle important dans cette affaire.

Petskaya enterré dans Alexander Nevsky Lavra. À son monument de pierre tombale, les médaillons représentés avec l'image de la médaille "pour l'amour pour la patrie" et l'inscription "Ce qui méritait vos journées utiles sera un monument et dans le dernier siècle Quod Aevo Promeruit, Aretane Obtinuit."

1. Vues pédagogiques sur I.I. Betsky

En tant que coupable et chercheur en chef de la réforme pédagogique en Russie, la seconde moitié du XVIIIe siècle, Bezzka était évasée par l'idée (incité par les encyclopédistes et J. Rousseau) sur la possibilité de créer une nouvelle race de personnes qui étaient plus capable de perception a commencé à être la civilisation européenne, mais aussi négligé le sol russe, mais loin de la société russe. huit

Catherine II, qui était autant que Betskaya, un étudiant de "philosophie éducative", imprégnée du même intérêt mentale avec lui, ne pouvait pas ne pas sympathiser avec cette idée audacieuse et de cette grande idée et a donné aux moyens étendus de la bezzom pour sa mise en œuvre.

Ces idées étaient basées sur le "maître de l'éducation", conçue Catherine à la participation la plus proche de Betsky. Reconnaissant le pouvoir de l'éducation, qui "est donné par le nouvel être et produit un nouveau rhodium de sujets", a ri de Betskaya à rire de l'État le devoir d'éduquer le peuple et du nouveau système pédagogique devrait éradiquer les deux principales lacunes de la précédent: unilatéralité de l'éducation spéciale et le mépris du principe moral dans le développement des capacités humaines. Selon les pensées des ecyscyclopédistes, Rousseau, Catherine et Beetsky, un enseignement est impuissant à produire des citoyens vraiment utiles: en plus d'éclaircir l'esprit de la science, le cœur est nécessaire. Cet élément moral devrait occuper la première place de l'éducation: l'avertissement des étudiants devrait être préféré à leurs succès. neuf

Description du travail

Le Worldview est i.i. Petsky ......................................................... .. 7.
Biographie I.I. Beetsky ......................................................... ........ 7.
vue pédagogique I.I. Betski ....................................... 10
Activité I.I. Bezzky ................................................. .... 15

Le but de ce document consiste dans la description et la compréhension de la contribution historique de I.I. Bezzky dans le domaine de l'éducation et de l'illumination de la Société russe de la seconde moitié du XVIIIe siècle.
Tâches:
- Analyser les sources de formation de la vision pédagogique de I.I. Betsky;
- Créez des exemples de l'origine et du fonctionnement des projets de Beetsky sur l'exemple d'une maison éducative et de l'Institut Smolny.

Le contenu du travail

Introduction ................................................. ....................................... 3.
Le Worldview est i.i. Petsky ......................................................... .. 7.
Biographie I.I. Beetsky ......................................................... ........ 7.
vue pédagogique I.I. Betski ....................................... 10
Activité I.I. Bezzky ................................................. .... 15
2.1 Maison éducative en Russie et le concept de I.I. Beetsk ............ .15
2.2 Éducation des femmes en Russie La seconde moitié du XVIIIe siècle:
Projets Catherine II et I.I. Bezzky (théorie et pratique) ....................28
Conclusion ................................................. ..................................46.
Liste des sources utilisées et de la littérature ......................................... ... 48

Une entreprise éducative très importante mise en œuvre par Catherine II avec la participation active de Betsky était la création d'une institution d'enseignement moyenne, qui a marqué le début de l'éducation féminine grave et systématique. Selon l'exemple de l'Institut basé sur elle, d'autres institutions sont apparues et des instituts, avec quelques changements, les femmes ont développé des gymnases pour femmes.

Avant Catherine II, personne ne se soucie d'une formulation sérieuse de l'éducation des femmes, le nombre de femmes compétentes était négligeable. Dans les familles sécurisées, la formation de filles était familiale et avec un rapprochement progressifs avec l'Ouest et une marée sur la Russie, les pensions étrangères des femmes privées ont été arises. L'éducation, la famille et la pension étaient peu satisfaisants. Bien sûr, une famille séparée vivant dans la province, embaucher de bons enseignants était non seulement difficile, mais aussi tout simplement impossible; Dans les chambres d'hôtes étrangères privées, ils ont été très mal enseignés, comme des étrangers, contenant des chambres d'hôtes et formés à eux, dans l'énorme majorité n'étaient pas tout simplement pas enseignants, mais aussi ignorants et même immoraux. Selon le secrétaire de l'ambassade de France de La Messeler (ses notes sur la séjour à la Russie appartiennent à 1757-1759), dans la plupart des plus de poids de l'ambassade des Français et de la Française, qui se brillait en Russie pour l'éducation de la les jeunes, étaient en cours d' exécution hors de France et en se cachant de déserteurs de la police, en faillite, seigneur des deux sexes. I. I. Shuvalov, le fondateur de l'Université de Moscou, a déclaré qu'il avait écrit pour le Corps des cadets huit Français-Lakeev et ils étaient tous divisés par des enseignants à la maison. Dans de telles conditions, la création de Catherine de deux grandes institutions de femmes éducatives gouvernementales: une - pour les nobles et l'autre - pour le patron - était une question d'importance historique majeure.

Lors de la mise en place de femmes établissements d'enseignement, ainsi que de transformations masculines, Catherine a poursuivi un défi de grande histoire - renouveler la Russie en créant une nouvelle génération de personnes qui, sans avoir les carences des générations précédentes, amélioreraient la vie et profiteraient de bonheur. Par conséquent, les écoles d'ekaterinine des femmes étaient étrangères au professionnalisme et au premier plan ont mis le développement de propriétés publiques agréables - grâces, graisses, la capacité de parler et de faire pivoter dans la société, ils ont cherché à donner une bonne éducation des sentiments et de signaler certaines connaissances. Dans leurs détails, l'organisation des établissements d'enseignement des femmes a été prise par Catherine de France, de Saint-Sira School, plus précisément - dès la première fois de l'existence de cette école. Il s'agissait de là qui ont été empruntés: retirer les enfants des familles et les transférer tôt à l'Institut, obligatoire et séjournant à long terme des enfants de l'Institut sans le droit de retourner à la famille au moins pour le plus peu de temps, entièrement laïque et Même quelques divertissements nature de l'éducation et de l'éducation (danse, déclaménation, performances théâtrales, poèmes, soirées), division dans des âges et d'autres personnes. Il va sans dire qu'à l'Institut, en tant qu'enseignant et à Warels, de nombreux étrangers, même économies, comptable et les Suisse étaient des étrangers. Les langues étrangères ont été le principal sujet d'étude, même le français essayait de rendre la langue d'enseignement de divers sujets, tels que la physique, d'un enseignant russe exigeait des connaissances sur les langues étrangères et les traductions. En plus des langues étrangères, l'Institut a appris les points suivants: la loi de Dieu, russe, arithmétique, géographie, histoire, poème, architecture et héraldique, dessin et miniature, danse, musique vocale et instrumentale, coudre et tricoter toutes sortes, toutes les parties de l'économie. L'étude de l'histoire est liée à la moraling et à l'étude des réceptions du "passage laïc"; La formation de l'arithmétique a été reconnue comme nécessaire "pour le contenu de continuer dans l'ordre approprié de l'économie à domicile". D'autres parties de mathématiques, à l'exception de l'arithmétique, n'ont pas été confrontées, ainsi que des sciences naturelles. L'institut féminin était une institution noble stricte et ne représentait rien de plus qu'une cellule de hachage féminine. Les chartes de l'Institut féminin et du Corps de Slyham écrit par des betteraves étaient très similaires aux principales idées pédagogiques.

Avec l'institution de l'éducation de la noblesse - elle s'appelait la Société éducative des nobles filles (1764) - un établissement a été créé pour le Meshchanok, avec un cours de formation plus limité, avec l'élimination des "vertus laïques", qui sont Pas nécessaire pour le patron, mais avec la formulation de l'école dans l'esprit des principales idées beetsky. La Vierge a été élevée dans l'école de Meshchanansky se préparait pour le "service économique" et à la fin du cours a reçu tous les avantages et la libération attribuées aux élèves de Meshchanansky de l'Académie des arts.

Littérature

1. Ivan Ivanovich Petskaya. Mikes à p.m. Saint-Pétersbourg., 1904. GL.II.

2. Pédagogie historique en Russie: Reader / Sost. Egor Egorov - M.: IC "Academy" .1999.

3. Histoire de la pédagogie: UCH. Adresse pour ST-TOV Ped.in-tov / Sous Rouge Shabayeva m.f. - M.: l'illumination. 1981.

4. Histoire de la pédagogie et de l'éducation. De l'origine de l'éducation dans la société primitive jusqu'à la fin du XXe siècle: un guide d'étude des établissements d'enseignement pédagogique / Ed. Académicien rao a.i. Piskunova, 2001. - 512 p.

Ivan Ivanovich Betskaya (1704-1795) était un enseignant professionnel éduqué à l'étranger, où, sous l'influence des idées des Lumières françaises, il a été formé comme penseur et un apprenant de l'éducation. I.I. Betska a pleinement partagé l'idée de Catherine II sur la nécessité de renforcer la "nouvelle race de personnes" dans des établissements d'enseignement fermé d'une classe.

I.I. Petska était le fils extramarité du prince I.yu. Trubetsky, né à Stockholm et travaillé depuis de nombreuses années à Paris. Ses vues pédagogiques ont été formées sous l'influence de Ya.a. Komensky, D. Lokka, J.-zh. Rousseau, D. Didro et d'autres enseignants progressifs de l'Europe occidentale. Il s'agissait d'Ekaterina II chargé de créer un système d'établissements d'enseignement en Russie, principalement pour les enfants nobles.

Dans le document "Création générale de l'éducation des deux sexes" (1764) et de la main-d'œuvre "Des directives courtes choisies parmi les meilleurs auteurs, avec certaines notes physiques sur la levée des enfants de la naissance à la jeunesse" (1766) I.I. Bezzka a présenté son point de vue sur l'éducation globale des nobles "idéaux". C'était dans l'éducation qu'il a vu «la racine de tout le mal et le bien»; Ce doit être une sorte de nature des enfants, de se développer en eux les qualités de la personnalité en tant que courtoisie, décence, travail acharné, capacité à se contrôler et à la connaissance de «bâtiment». L'éducation sans éducation, selon sa conviction, ne nuit que la nature de l'enfant, le gâte, dégoûte de la vertu.

La forme optimale d'organisation d'une éducation et d'apprentissage appropriées, à son avis, les enfants devraient être fermés de 5 à 6 ans et y avoir jusqu'à 18-20 ans. Tout au long de leur séjour dans un établissement d'enseignement, les enfants devraient être isolés de l'exposition environnementale, même de la famille. De cette manière, il a été supposé que les «nouveaux pères et mères», et ceux-ci devaient à leur tour augmenter leurs enfants non sur la base de vieilles traditions, mais sur la base de la faisabilité pédagogique.

Prévoyez de la création du système d'éducation de l'Etat, selon Catherine II et I.I. Beetsky, a commencé à être mis en œuvre avec la création de l'école à l'Académie des arts (1764), des maisons éducatives de Moscou (1764) et de Saint-Pétersbourg (1770), la Société éducative de Noble Maidens à Saint-Pétersbourg (1764) et l'école de commerce (1773). Chaque établissement d'enseignement a eu sa propre charte, qui était commune à qui: l'interdiction des châtiments corporels et de l'intimidation des enfants, une approche individuelle pour évaluer les capacités de chaque élève, l'orientation de l'ensemble des activités pédagogiques pour résoudre les tâches du développement de la personnalité de l'étudiant unique.

Cependant, l'absence d'enseignants spécialement formés en Russie, il y a presque toutes les bonnes intentions de I.I. Petsky. Tenter l'invitation du personnel de l'enseignant à l'étranger n'a pas changé la situation. Des déceptions spéciales lui ont apporté les activités des maisons éducatives pour les bébés soulevés et illégitimes, qui, selon les plans de Catherine II et I.I. Beetsky, ils auraient dû être élevé ici, recevoir une formation primaire et une formation professionnelle dans des ateliers, où son idée devait être mise en œuvre sur la supériorité de l'éducation.

Dans de telles maisons éducatives, selon les idées de I.I. Bezzky, les enfants de moins de 2 ans doivent être sur la prise en charge des nannies et des corps, de plus de 7 ans, des garçons et des filles soulevées ensemble auraient dû être conduits à un travail facile, de moins de 11 ans - aller 1 heure par jour à l'école, apprendre la lecture et la loi de Dieu. Les garçons travaillent comprenaient des bas de tricot, des casquettes, des réseaux, du travail dans le jardin. Les filles étaient engagées dans la filature et la dentelle tissée. Jusqu'à 14 ans, continuant de se livrer à divers métiers, les enfants auraient dû apprendre à compter, écrire, dessiner, connaître Xia avec des éléments de géographie. À ce sujet, leur éducation aurait dû compléter.

Cependant, idées I.I. Petsky a divergé de la réalité. Dans la situation dans la Chambre éducative de Moscou en 1755, il a écrit qu'aucune des tâches éducatives et éducatives n'avait encore été résolue ici à la suite de l'incompétence extrême et de la Coréstolubie d'éducateurs et de maîtres.

Ce n'était pas mieux à propos de l'école des garçons à l'Académie des arts. Selon la Charte de l'école, il y avait trois classes pendant trois ans d'étude dans chacune d'elles. Ici, ils ont été enseignés diplômés russes, langues étrangères, dessin, arithmétique, géométrie, histoire, géographie, mythologie. École graduée, résistant à l'examen, entra dans l'Académie des arts ou engagée dans des activités pratiques dans leur spécialité.

En 1772, visiter l'école, I.I. Bezzka avec déception a écrit qu'il n'a pas trouvé l'esprit de haute illumination ici. De même, ils ont été caractérisés par les activités de l'école à l'Académie des sciences et transformées sur la base des nouvelles idées pédagogiques du logement de la Landlock. Un large éventail de disciplines éducatives générales n'a pas contribué au développement moral des élèves, la technique "pour garder les enfants à jouer et avec sa gentillesse", comme il l'appelait, n'a pas conduit à l'éducation et à toute sa théorie humaine de l'éducation la pratique était insolvable.

La seule activité réussie de la Société éducative des nobles filles de l'Institut Smolny, qui a marqué le début de l'éducation des femmes en Russie. En 1764, dans toutes les provinces, les provinces et les villes ont été envoyées au décret impérial «sur l'éducation des nobles filles à Saint-Pétersbourg au monastère du dimanche», appelée Smolny dans la vie quotidienne. Selon le décret, chaque noble pourrait donner à ses filles pour éduquer cette institution.

En fait, le nom "Society of Noble Devinces" a été inscrit dans la moitié de cet établissement éducatif - Nikolaev la moitié. La seconde moitié de la moitié s'appelait l'école Alexandrovsky.

À la moitié de Nikolaev, a pris des filiales de nobles héréditaires, ayant un rang inférieur à celui du colonel ou du conseiller de statistique, ainsi qu'à Alexandrovskaya - Filles de petits nobles du rang de siège, conseiller titulaire du colonel, conseiller d'un collège, ainsi que des filles. des clergymen inclus dans la troisième partie du noble livre. Il y avait aussi une école pour les jeunes filles de la classe Meshchanansky, où ils préparaient les futurs enseignants et éducateurs (1765).

Les principes des données et de la rating de l'éducation ont été observés ici très strictement. Les élèves-buses ont été combinées dans des classes liées à l'âge que porté leurs vêtements en signe de différences. Les jeunes filles (5-9 ans) portés robes brunes, ils ont été appelés « coffeemen »; Les filles d'adolescence (9-12 ans) vêtues de robes bleues, de 12 à 15 ans - en gris et de 15-18 ans sont allées aux cours de vert, sur des balles - dans des robes blanches.

La réception dans la première classe d'âge devait avoir lieu, selon la conception initiale, une fois tous les trois ans. Dans les 12 ans suivant la formation, les parents n'avaient pas le droit de prendre leur fille à la maison. Le contenu d'apprentissage a été élaboré en tenant compte des innovations pédagogiques de cette époque et comprenait l'étude des langues russes et étrangères, arithmétique, géographie, histoire. Nous avons également formé des poèmes, des musices, des dessins. En pratique, seules les langues sont sérieusement étudiées en français et en allemand.

Une tâche importante des éducateurs était un enseignement d'élèves à lire principalement le bord des romans français, qui devraient éveiller l'amour du travail acharné, une source de toutes sortes de bonnes, d'élever la compassion aux pauvres. Pour le développement esthétique dans l'Institut Smolny dans les années 1770. Théâtre amateur fonctionnel, où les pièces de théâtre russes célèbres ont été posées, par exemple A.P. Sumaro.

La succursale de Meshchanansky à l'Institut Smolny est devenue une source en Russie pour préparer des enseignants. Ici, la préparation des enseignants ont été à la fois pour l'institut lui-même et les enseignants-éducateurs à domicile. Des années 90. XVIIIe siècle Certaines noblesse ont également commencé à étudier à ce département.

La préparation de "dames-enseignement" et des éducateurs de la Russie de l'ère Ekaterininsky est très importante pour la Russie, car à ce moment-là, les pensions privées étaient dominées, où des étrangers ont été enseignés, qui n'avaient pas d'éducation pédagogique, n'enseignant souvent que la langue, les manières et des danses.