Mari perdant : vos actions. Mon homme est un perdant ! ou un homme a toujours le potentiel de croissance et de développement.Comment un homme se sent-il comme un perdant face à une femme ?

Dans sa soif d'amour, une femme russe est si docile et optimiste qu'elle accepte d'envisager n'importe quelle option et d'entrer dans une relation selon le principe : "Je l'ai aveuglé de ce qui était, et puis ce qui s'est passé, je suis tombé amoureux." Mais est-ce toujours « ce qui s'est passé », en principe, digne de notre attention, et encore plus des projets de vie ? Après tout, pour être heureux, il faut avant tout s'aimer et s'apprécier, tout site internet féminin y est dédié. Hélas, à la recherche du bonheur personnel, il y a parfois des types avec lesquels il vaut mieux ne pas s'impliquer, et l'un des plus sans joie est un perdant chronique, c'est-à-dire un perdant.

A la première rencontre, il ne faut pas se prononcer de manière imprudente, et encore plus sur la base de signes extérieurs de réussite (ils sont trompeurs). Cependant, il existe des signes qui indiquent assez clairement que vous êtes face à un perdant endurci.

Un perdant est une personne qui a tendance à constamment se justifier en attribuant ses échecs à n'importe quelles circonstances. Les raisons de s'apitoyer sur son sort sont toujours à portée de main, il est facile de deviner qu'il commence à former cette liste dès l'enfance. Ni le pays, ni la famille, ni l'environnement dans lequel j'ai grandi, ni le degré de douance et, bien sûr, le manque d'amour. Assurez-vous qu'il vous blâmera également pour tous vos péchés à l'occasion (si vous parvenez à le contacter). Les revendications exprimées sur son propre destin, qui ne l'aidaient pas à satisfaire, donnent également naissance à une qualité telle que l'envie. Incapable de changer les circonstances de sa vie, un homme perdant envie ceux qui réussissent.

Le perdant se concentre sur le mal. Une personne qui réussit ne gaspillera pas son énergie dans des monologues ennuyeux sur ses propres problèmes et ceux des autres. Seul un perdant peut constamment s'indigner contre quelque chose et "charger" les autres. Il trouve facilement des problèmes et les crée lui-même à partir de zéro, de sorte qu'il y ait quelque chose à contraindre et à se plaindre. Naturellement, dans la communication, il est méfiant, sceptique, mais en même temps possède une ambition qui l'aide, à l'occasion, à développer une discussion à la manière de « toutes les chèvres ».

Le perdant n'aime pas dépenser de l'argent. Cela s'applique à la fois à l'argent et aux coûts émotionnels et énergétiques. Il est radin en tout. Et, naturellement, il aime les cadeaux plus que toute autre chose. Les personnes qui réussissent (avec l'aide des bonnes femmes) parviennent à surmonter leurs habitudes de plouc et leurs déficiences émotionnelles. Mais l'avarice est une maladie qui ne se guérit pas. Elle va de pair avec infériorité : si ce tandem s'est développé, il n'y a rien à faire pour une femme là-bas.

Le perdant ne valorise pas le temps, ni le sien ni celui des autres. Il ne comprend même pas quel temps est consacré à l'avantage, et pourquoi ils ont besoin de chérir et non de "tuer". C'est pourquoi il peut traîner sans quitter les forums, les chats et les sites de rencontres (l'efficacité d'un tel passe-temps, en règle générale, est nulle). C'est pourquoi il préfère s'asseoir devant un écran de télévision ou un ordinateur avec une bouteille à tout type de loisir. C'est pourquoi il est problématique de nouer des relations commerciales avec lui ... Après tout, il peut prendre non seulement du temps, mais aussi l'énergie des autres.

Une caractéristique distinctive d'un perdant est sa réticence à commettre des actes qui caractérisent une personnalité adulte indépendante. Ce n'est pas pour rien que les femmes américaines rendent un verdict catégorique : si une personne de plus de 25 ans continue de vivre chez ses parents, c'est un perdant. Et cela a son propre sermyaga. Avec une connaissance intime d'une personne, il suffit de se demander ce qu'il a fait pour vivre une vie indépendante à part entière, comment la réponse commence à émerger, s'il a des perspectives et s'il en est digne.

Une autre caractéristique distinctive est le manque d'envie de progresser. En règle générale, tout ce qu'un perdant fait, il le fait de force. Il habite là où il se produit et avec qui il se produit, exerce un travail qu'il n'aime pas, communique non avec ceux avec qui il aimerait, mais avec ceux qui acceptent de communiquer avec lui, etc. En même temps, toute tentative de lancer le volant d'inertie de son travail mental est vain : avec le même succès, on peut s'attendre à des changements personnels de la part d'un cobaye. Mais lui-même n'est pas d'accord avec cette affirmation (voir le paragraphe sur l'auto-justification).

La valeur la plus importante pour un perdant est sa zone de confort personnelle. Si une personne qui réussit, réfléchie et créative a besoin d'un espace personnel pour la récupération et la création, alors le perdant veut seulement être laissé seul et autorisé à s'endormir sans entrave, expérimenter ses petites joies et chérir ses rêves. Il peut même avoir des passe-temps, mais leur résultat n'a aucune valeur artistique et aucune utilité pratique. Après tout, il n'était pas habitué à s'imposer de sérieuses exigences.

Et enfin. Les Américains ont un dicton : « use it or lose it », qui peut être traduit par : « use it or lose it ». Un perdant est une personne qui non seulement ne peut pas, mais refuse obstinément d'utiliser toutes les chances qui lui sont offertes, car le destin offre à chacun de nous quelque chose. L'une de ces chances est l'amour. La tragédie est qu'un perdant perdra définitivement cette chance. J'espère que vous ne voudrez jamais en être convaincu par votre propre expérience.

Valentina Movillo

Le désir naturel de chaque femme est d'avoir un mari qui sera toujours un soutien, un garant fiable d'un avenir stable pour la famille. Cependant, cela ne fonctionne pas toujours comme vous le souhaitez. Et certaines d'entre nous sont confrontées à la compréhension que leur mari est un échec. Quelles en sont les raisons et que peut faire une femme dans une telle situation ?

Pourquoi mon mari est-il un échec ?

Premièrement, il convient de noter que le concept même de « perdant » est très subjectif. Une femme peut considérer son mari comme un perdant, incapable d'atteindre les sommets souhaités en raison de sa paresse et de sa capacité à se retrouver dans diverses situations désagréables. Dans un autre couple, le conjoint est considéré comme un échec s'il n'a pas atteint les sommets de sa carrière, bien qu'il ait montré de grandes promesses dans sa jeunesse.

Dans le monde moderne, la solvabilité financière d'un homme devient le critère principal de sa chance. Et ce n'est pas surprenant. La richesse matérielle indique la capacité de surmonter les difficultés de la vie, le désir d'améliorer les conditions de vie. Un homme qui est enfantin, passif, évite de prendre des décisions sur des questions importantes peut difficilement fournir un arrière fiable à la famille.

Pourquoi un mari devient-il un échec ? Les psychologues notent qu'en règle générale, un tel homme est un introverti. Il est généralement non contentieux, avec un caractère doux, plutôt fermé. Le signe principal d'un perdant est la passivité, et dans tout : dans la carrière, les relations personnelles, les problèmes quotidiens. Un énorme doute de soi se traduit par une peur des erreurs, des doutes constants.

Et si votre mari était un perdant ? Vous devez d'abord comprendre les raisons de ce phénomène, puis choisir les tactiques de comportement.

Né pour être un échec

Certains hommes sont nés perdants. Ils n'ont ni fierté, ni capacités, ni désirs, ni vitalité. Il est intéressant de noter que toutes ces qualités sont clairement visibles même à l'adolescence. Mais certaines femmes sont sûres qu'en se mariant, elles pourront faire d'un tel homme un homme. D'autres choisissent le perdant comme mari par pitié. Ceux-ci et d'autres s'attendent à ce qu'avec l'âge, un homme devienne plus actif, il ait le désir d'atteindre la richesse et le bien-être. Cependant, en règle générale, ni la naissance d'un enfant, ni les problèmes matériels ne peuvent inspirer une telle personne à des exploits de travail.

Ce qui peut être fait? Il est absolument faux de croire qu'un échec naturel peut être modifié. Une femme vivant dans un tel mariage ne peut s'attendre qu'à deux scénarios possibles : soit s'accommoder de la pauvreté, soit donner des coups de pied sans cesse à son mari, cependant, sans grand succès. Naturellement, le mieux serait de se séparer. De plus, s'il y a des enfants dans le mariage, un tel père ne sera pas un bon exemple à suivre pour eux.

Perdant temporaire

Aucun d'entre nous n'est à l'abri des mauvais moments de sa vie. Un homme peut ne pas s'adapter aux nouvelles réalités du monde qui l'entoure, perdre son emploi. Et il arrive qu'il soit difficile pour une personne de maîtriser les nouvelles technologies. Dans ce cas, il a besoin de temps pour s'adapter aux nouvelles conditions de vie ou de travail.

Ce qui peut être fait? Ce n'est pas grave si vous travaillez pendant un certain temps et que votre mari prend en charge le ménage. Laissez le conjoint apprendre les bases de la cuisine, passer l'aspirateur dans l'appartement, emmener les enfants à des séances d'entraînement ou à d'autres activités. De plus, les devoirs sont si monotones et ennuyeux si rapidement que tout le monde voudra s'en débarrasser dès que possible. N'est-ce pas une incitation à trouver un nouvel emploi?

Des besoins croissants

Une autre raison assez courante pour laquelle nous considérons notre mari comme un échec est les besoins toujours croissants de la vie. Vous voyez que le niveau de vie de vos connaissances augmente rapidement. Et vous avez le désir d'atteindre la même chose. Ensuite, il y a le mécontentement vis-à-vis des revenus de son mari, qui, jusqu'à récemment, semblaient tout à fait acceptables. Vous donnez l'exemple à vos connaissances pour votre mari, lui reprochez constamment qu'il n'est pas en mesure de gagner de l'argent pour une nouvelle voiture ou une rénovation moderne de l'appartement. Souvent, dans une telle situation, le conjoint commence à penser que vous n'avez besoin que d'argent de sa part. En conséquence - inhibition subconsciente ou consciente de l'avancement professionnel.

Ce qui peut être fait? Tout d'abord, vous devez vous débarrasser du sentiment d'envie. Vous devez vous rappeler que, malgré l'achat, par exemple, d'une nouvelle voiture, les amis ont assez de leurs propres problèmes. Si vous voulez vraiment pousser votre mari à développer une carrière, mieux vaut essayer de l'intéresser. Par exemple, vous pourriez rêver ensemble de l'opportunité de passer des vacances dans un pays exotique et penser à combien vous devez économiser chaque mois pour cela. Après avoir calculé le montant requis, le conjoint peut lui-même conclure qu'il a besoin de plus de revenus.

Si une femme n'est pas prête à supporter son mari perdant, mais n'a pas non plus l'intention d'être séparée de lui, tout doit être fait pour améliorer la situation. En plus des recommandations ci-dessus, nous vous suggérons d'utiliser les conseils de psychologues qui aideront à éliminer ce problème :

  • Ne diminuez pas l'estime de soi des hommes. Vous ne devriez pas constamment blâmer votre conjoint pour les échecs, dire à quel point il est maladroit et paresseux. Mieux cultiver l'estime de soi en lui, par exemple, confier des choses dans lesquelles il peut montrer son meilleur côté, et les féliciter pour les avoir faites ;
  • Laissez votre mari résoudre ses problèmes tout seul. Il n'est pas nécessaire de courir à la rescousse de votre conjoint lorsque cela est nécessaire. Le destin masculin est d'agir et d'être responsable de ses actes ;
  • Ne sacrifiez pas tout pour maintenir la relation vivante. N'oubliez pas que vous êtes une femme faible qui a besoin de soins. Souvenez-vous-en souvent, surtout lorsque vous avez envie de faire quelque chose à la place de votre conjoint ;
  • Réalisez-vous en tant que personne. Développez votre carrière, cherchez de nouvelles idées, élargissez vos horizons de vie. Assez souvent, le mari commence à rechercher une telle femme, après tout, la fierté masculine est un excellent moteur pour le développement de la personnalité.

Un mari perdant n'est pas une peine pour une femme. Vous devriez essayer de changer la situation, aider votre conjoint à sortir du cercle vicieux des échecs. Mais si tous vos efforts sont infructueux, demandez-vous si vous avez besoin de cet homme.

Pourquoi un homme est un perdant et comment vivre avec un mari perdant : les conseils d'un psychologue

Teneur

1. Comment reconnaître un perdant ?
2. Originaire de l'enfance
3. Dans la même équipe avec un perdant
4. Règles de conduite

Comment reconnaître un perdant ?

Peu importe ce qu'ils entreprennent, il n'en sort rien. Ils peuvent chercher du travail pendant des mois, passer des dizaines d'entretiens et être rejetés partout. Dans le même temps, d'autres hommes parviennent à gravir les échelons de leur carrière, à aller à la mer et à acheter une voiture. Sont-ils simplement chanceux ou la racine du problème est-elle plus profonde qu'il n'y paraît ?

Pour comprendre pourquoi un homme est un raté, une analyse superficielle et une conversation franche avec lui ne suffisent pas. Il ne connaît peut-être pas lui-même la vraie raison de sa malchance sans fin. Ou il sait - mais se cache soigneusement : c'est plus facile pour lui de vivre ainsi.

Les psychologues distinguent plusieurs types de perdants.

"Victime". De tels hommes ont tendance à s'immerger dans leurs problèmes, à les " chérir " - et à ne les résoudre en aucune façon. Peu à peu, ils s'habituent à leur état, se programmant pour être négatifs. Les « victimes » recherchent des trucs sales dans tout, rejettent toute opportunité et se sentent sincèrement désolées pour elles-mêmes.
"Hérisson dans le brouillard". Aujourd'hui, c'est bien, demain c'est comme ça que ça se passera. C'est ainsi que se disputent les perdants, qui ne voient pas leurs objectifs, ne font pas de projets pour l'avenir. Essayer de leur imposer une motivation ou de les pousser doucement vers elle est vain.
"Rêveur". Une belle maison, une belle voiture, une carrière réussie - tout cela est plus qu'un rêveur. C'est vrai, seulement dans les plans globaux. Un tel homme croit sincèrement que tous les avantages seront un jour - cependant, il n'y a pas de temps pour atteindre les objectifs et les opportunités, en fin de compte, sont limitées.
"L'amasseur". Sa collection contient toutes les techniques avancées. Le thésauriseur ne reconnaît pas les moyens traditionnels d'atteindre ses objectifs, il trouve constamment des séminaires "magiques", y assiste et y dépense beaucoup d'argent. Conclusion : le temps presse, les méthodes ne fonctionnent pas. Et rien n'a changé...

Originaire de l'enfance ?

Les perdants ne sont pas nés, mais il existe des « programmes » efficaces qui déclenchent le mécanisme de la malchance.

Première histoire. Nina a toujours rêvé d'un fils, et quand son garçon est né, elle s'est sentie comme la femme la plus heureuse du monde. Dès le premier jour de la vie de l'enfant, Nina a décidé : il deviendra le plus intelligent et le plus fort. Dès que le bébé a appris à marcher, des cercles d'étude sans fin ont commencé: natation, lutte, anglais ... À l'âge de 5 ans, le garçon a montré de manière inattendue des capacités de danse pour tout le monde, mais sa mère les a catégoriquement rejetées. Dis, ce n'est pas un métier d'homme ! Les tentatives pour briser son fils ont été couronnées de succès : le fils a cessé de demander à danser, mais il est devenu absolument indifférent aux autres activités. Il fréquentait honnêtement tous les cercles, étant constamment sous la tutelle du mot "must". Résultat : au lieu d'un homme fort et sûr de lui, a grandi un perdant absolu, en aucun cas adapté à la vie.

La deuxième histoire. Anton est le fils unique de Natalia et Vitaly. Dès l'enfance, il a grandi dans une famille absolument démocratique, où la liberté d'action était encouragée. Tout était permis pour le garçon - c'est ainsi que les parents voulaient élever une personnalité harmonieuse. Qu'est-ce qui n'a pas fonctionné et à quel moment - c'est devenu clair après de nombreuses années. Cependant, dans sa petite enfance, Anton s'est rapidement rendu compte qu'il était le centre de l'Univers. La liberté ne se manifestait pas dans l'initiative, mais dans la paresse, qui possédait massivement l'adolescent.

La psychologie indique de nombreuses raisons pour l'émergence d'un échec chez un homme. Parfois, il faut plusieurs mois pour les trouver, et sans la participation d'un spécialiste compétent, ils conduisent rarement au résultat souhaité.

Dans une équipe avec un perdant

Qu'est-ce que ça fait de vivre sous le même toit avec une personne en échec ? Un mauvais pleurnichard peut-il devenir un homme qui réussit et combien de temps cela prendra-t-il ? Pour commencer, une femme doit décider fermement si elle veut maintenir une relation avec un perdant. Si le désir de ne pas rompre les liens est motivé uniquement par la pitié et que l'homme lui-même nie toute tentative de l'aider, il est peu probable que la fin justifie les moyens. Cela n'en vaut pas la peine simplement parce qu'il n'y a pas d'autres hommes à l'horizon.

C'est une tout autre affaire lorsqu'une femme aime son mari et voit en lui des perspectives. Bien sûr, vous ne pourrez pas tout changer radicalement du jour au lendemain. Il existe de nombreux cas connus où, à côté d'une femme, un homme était un perdant sans espoir, de l'autre, il a fait une carrière vertigineuse en peu de temps.

Règles de comportement

Un perdant est une nature subtile qui ne tolère pas la pression ou, au contraire, la douceur excessive. Il faut de la patience et de la sagesse pour aider un homme à sortir de la mare de la malchance. Vous ne devez pas vous fier entièrement à vos propres forces : elles ne sont efficaces que lorsqu'elles sont dirigées dans la bonne direction au bon angle.

Traiter avec les perdants a ses propres subtilités. Voici quelques règles pour aider un homme à traverser plus rapidement sa séquence de malchance.

1. Ne rappelez pas à chaque occasion le "statut" du satellite. La plupart des hommes perçoivent de tels reproches comme un aveu de leur insuffisance, qui blesse douloureusement par orgueil.
2. Soutenez - mais n'en faites pas trop. Rappelez-vous les bons moments, insinuez que les barres noires arrivent à tout le monde. Ne soyez pas désolé !
3. Essayer activement de poursuivre la carrière d'un mari n'est pas d'une grande aide. Le satellite doit analyser lui-même la situation et tirer les conclusions nécessaires.
4. Faites plus attention à votre homme. Ne le laissez pas s'accrocher à ses problèmes. La pensée positive fait des merveilles !

Une lettre est arrivée, qui m'a fait mal et m'a donné envie de hurler. Encore une fois, j'étais convaincu que les perdants devaient être identifiés dans l'œuf et même pas autorisés à s'approcher de moi. Les temps difficiles ne passeront jamais pour eux, et les regretter et les aider signifie s'enterrer et rester dans un creux brisé.

Lettre:
Mon mari m'a quitté il y a six mois. Nous avons vécu ensemble pendant 5 ans. Des années assez difficiles, mais heureuses. Marié. Nous avons un fils de 4 ans. Nous avons vécu de chèque de paie en chèque de paie, 2 fois mon mari a perdu son travail. Avec des dettes, mais rien, ils ont tenu bon. Lorsque mon mari a perdu son emploi pour la deuxième fois, je suis sorti travailler, laissant l'enfant avec une nounou, il avait alors 2 ans. Le mari a rapidement trouvé un emploi aussi.

Et là, le malentendu a commencé, me semble-t-il. Des horaires différents, moi à 8h, lui à 12h. Pour m'emmener loin, course, footing, blocage éternel, après le boulot tu cours littéralement pour libérer la nounou, cuisiner le dîner, jouer avec l'enfant, dormir, cuisiner le lendemain, nettoyer l'appartement . Le mari rentre du travail à 12h, pour le caresser, s'éteint à 2h, se réveille à 6h.
Au début, j'ai tenu bon, puis j'étais tout simplement épuisé. Je devenais irritable, je m'endormais souvent avec l'enfant, et je faisais moins souvent l'amour, et j'étais de mauvaise humeur et j'en voulais qu'il n'y ait pas d'aide à la maison. D'autre part, avec son emploi du temps - quand aider. Le matin, il voulait aussi parler à l'enfant, venait la nuit, s'offusquait que la maison ne soit pas rangée, si je m'endormais, il était mécontent que le sexe soit moins courant.
La vie de tous les jours, la vie de tous les jours, la vie de tous les jours.

En été, nous sommes allés chez sa mère en vacances. Il est, bien sûr, dans sa ville natale, pour moi ce sont des vacances douteuses. La belle-mère est une personne difficile.
Après un an sans vacances, je voulais vraiment aller à la mer avec mon enfant, je voulais vraiment être avec mon fils, et pas dans la cuisine de la maison de la belle-mère. Mon mari l'a pris très catégoriquement.

Il était très offensé que je ne veuille pas l'accompagner. Ils juraient, juste des insultes venant de lui. Je ne croyais pas que cela pouvait arriver, j'ai dit, d'accord, allons-y ensemble, ils m'ont répondu - non, vous n'êtes pas nécessaire là-bas.

3 semaines avant les vacances, il n'a pas passé la nuit à la maison plusieurs fois, a bloqué le téléphone, a été très dur. Je suis devenu fou, réalisant que quelque chose d'irréparable se passait, j'ai essayé de parler, cela s'est avéré être un scandale, dans une crise j'ai crié - eh bien, vivez là où vous marchez. Il s'est à nouveau offusqué et est parti. Je venais à la douche le matin, dormais, parlais dans la voiture, et ainsi une semaine s'écoula avant les vacances.

Vacances séparément : Je suis avec un enfant en mer, il est avec sa mère. Après la mer, j'ai emmené l'enfant chez ma belle-mère, espérant se réconcilier. Il semblait qu'ils parlaient normalement et étaient d'accord. Et sur le chemin du retour, il a dit qu'il partait - je veux garder une bonne relation, je viendrai voir l'enfant, j'ai décidé que je paierais la moitié de la nounou et la maternelle, tu as tout gâché avec ton attitude.

Ce qui m'arrivait... J'essayais de comprendre ce qui se passait, pourquoi, ce que j'avais fait, je me reprochais, mes parents, ses amis, mes amis. J'ai proposé une issue, j'ai demandé une conversation à plusieurs reprises, il s'est comporté avec cruauté, était impoli, a dit qu'il s'en fichait. Il n'a pas aidé avec de l'argent, il a seulement promis, il a dit qu'il avait loué une maison et qu'il n'y avait pas d'argent.

2 mois - cela a duré 2 mois.

Il m'a dit que je suis une mauvaise épouse, que je ne cuisine pas pour lui ce qu'il aime, que j'ai du bordel. Et au bout de 2 mois j'ai découvert qu'il avait vécu tout ce temps avec une femme, une serveuse de son travail, de 6 ans son aînée, avec sa fille de 10 ans.

C'était si douloureux ... Au début, il a dit qu'il était allé la voir parce qu'il n'y avait nulle part où vivre, plus tard il a dit lui-même que tout avait commencé avant les vacances. J'ai juste eu un ennui, et je me suis battu avec lui, je me suis humilié, je suis venu à leur travail.

Le matin je me suis réveillé, et même maintenant, je pense, comme ça, ton fils est à la maison, il y a un enfant étrange, pourquoi, pourquoi. C'est dur pour moi, nous sommes en détresse, et il est là. Et il se sent bien, et il n'aide même pas, comment ça se fait, ce n'est pas lui, je le connais, j'ai vécu avec lui pendant 5 ans, il n'est pas comme ça.

Vous vous endormez avec ces pensées et pardonnez toujours, vous cherchez une excuse pour lui, et tout à coup c'est difficile pour lui, il ne sait pas ce qu'il a fait, ou peut-être que je suis vraiment une si mauvaise femme.

Ensuite, nous nous sommes rapprochés un peu, avons commencé à venir nous asseoir avec l'enfant, avons aidé avec de l'argent pendant quelques mois et le sexe est à nouveau apparu. Je ne savais pas, et je ne sais pas comment le faire correctement, je l'aime, je ne suis pas un amant, il est avec moi maintenant, puis il va vers elle. Et le sexe n'est pas comme entre parents. Mais j'ai pensé, s'il le tire, il pourrait revenir, et alors je ne pourrais pas résister, je ne peux pas le faire, humiliant. Et ils se disputèrent à nouveau.

Et j'ai essayé de détruire les ponts, car dans les limbes je ne peux plus. Et elle l'a encore expulsé. Il ne vient plus voir l'enfant, il se promène une fois tous les 10 jours. - Tu m'as dit de ne pas me présenter chez toi, je ne me présenterai pas.

Je lui ai demandé d'aller à l'église, il refuse. J'ai décidé de simplement prier pour lui chaque fois que le ressentiment et la douleur m'envahissent. Je demande au Seigneur de nous aider à nous guider à la fois sur le droit chemin et à calmer mon âme. Et je lui souhaite bonne chance.

Et ça facilite les choses. Là, il équipe son appartement, achète des meubles, et mon fils et moi choisissons des produits moins chers. Encore du ressentiment. Je prie à nouveau, j'ai décidé de ne lui demander rien d'autre, aucune aide, rien. Lui-même aidera, je dirai merci.

Je ne sais pas quoi faire. Est-il possible d'améliorer les relations, ne me suis-je pas trompé. Peut-être que je ne fais que prolonger l'état douloureux avec ma cécité ? Ou peut-être que ce n'est pas en vain - je sens que c'est mon propre mari de toute façon, et j'attends, je ne comprends pas comment construire une relation entre un fils et un père, l'enfant s'ennuie, dessine des images où nous sommes tous ensemble, mais quand je demande à venir vers l'enfant, c'est perçu comme une manipulation. Je n'en peux plus, que puis-je faire ? "" "

Enlevez vos lunettes roses ! Votre ex, remarquez bien, c'est déjà un ancien, vit et construit la vie dans une autre famille, il ne s'y trompe pas - il est volontairement parti, volontairement pris une maîtresse et de la même manière délibérément habite avec elle, fait des réparations, part pour épiceries. Et toi, hélas, tu ne peux en aucun cas rompre avec lui, tu vis dans un monde d'illusions, tu ne veux vraiment pas croire que la personne que tu observes maintenant de l'extérieur et celle avec qui tu as vécu ne font qu'un et le même. Mais posez-vous une question : peut-être l'avez-vous idéalisé ? Peut-être qu'il a toujours été un perdant, et même un menteur, mais vous ne vouliez pas faire face à la vérité.

Votre ex-mari n'a pas l'esprit embrumé, et la probabilité qu'il vous revienne est nulle, car il fonde déjà une famille LÀ. Et vous devez commencer à vivre votre vie. Et pour commencer par un divorce, cela vous dégrisera et vous ramènera à un état de réalité. Bonne chance!

Et maintenant, le principal est que nous, les femmes, aimons idéaliser nos héros et ne remarquons pas leurs faiblesses jusqu'à ce qu'ils nous donnent un coup de pied dans la tête, à tel point que nous tombons de nos sabots et qu'il nous faut ensuite beaucoup de travail pour nous relever. .

Tout était clair dès le début, il n'y avait pas de travail, il ne pouvait pas prévoir qu'elle devait laisser le bébé et aller travailler. Alors ici aussi, ils n'ont pas apprécié, la pouliche n'a pas tiré à la fois la vie, et l'enfant, et le travail. Tout cela était sûrement visible au tout début de la relation. Voici les principaux signes des hommes, dont il faut fuir, pétillants de talons : égoïste, coureur de jupons, paresseux, peu sûr de soi, grincheux, accro à l'alcool, aux jeux, aux mères. Mais nous avons lyubofff, pahuuu...

Je vois des hommes qui sont des perdants à un kilomètre, la vie m'a appris, mais vous ?

Menace, je vous le rappelle, sous le tag réalité je publie des histoires vraies, dont les personnages peuvent nous lire et suivre vos conseils pour passer à l'action...