Faits intéressants 

Éléments importants dans l'éducation d'un enfant obéissant. Un enfant obéissant est très dangereux.

Les enfants sont, en un sens, des êtres paradoxaux. Ils sont simultanément attirés "dans des directions opposées": ils aspirent à l'indépendance - et sont en même temps très enclins à l'obéissance. Il est plus facile d'obéir aux adultes, cela permet d'éviter les conflits « avec ceux au pouvoir » et même d'obtenir des récompenses.
Heureusement, les enfants sont aussi des créatures étonnamment flexibles : la plupart d'entre eux parviennent d'une manière ou d'une autre à combiner les deux tendances opposées dans leur comportement, c'est-à-dire à ne pas se quereller avec nous, les adultes, et à défendre leur liberté. Les enfants trouvent le plus souvent leur « voie médiane » entre le Scylla de la confrontation explicite avec les adultes et le Charybde de la complète soumission à eux. Mais les bébés ne réussissent pas toujours.
Rarement, mais il y a toujours des enfants - des conformistes absolus qui préfèrent toujours et inconditionnellement obéir aux adultes. Et pour nous, parents et éducateurs - nous aimons souvent ces enfants, nous les félicitons, les encourageons, les montrons même en exemple. Ignorant que le comportement d'un tel enfant est en fait une cause des plus grandes inquiétudes.

Lerochka est l'enfant le plus doux du groupe. Et son apparence correspond à son caractère : elle est petite, dodue, rose, comme une drôle de souris de conte de fées.
Lerochka ne dort jamais pendant l'heure tranquille. Bien sûr, un si petit enfant (et Lera a 5 ans) ne peut pas rester allongé là : il faut s'occuper de quelque chose. Lerochka parle doucement à Ksyusha, commence même à rire - de manière complètement inaudible, comme une souris. Mais Ksyusha a soudainement éclaté à haute voix. Aie! Lerochka jette un regard effrayé au professeur et se tait, se détourne même de Ksyusha.
Mais maintenant, l'agonie Quiet Hour est enfin terminée. Le cours commencera dans dix minutes. Dix minutes, c'est un abîme de temps ! Pour les enfants de cinq ans, dix minutes, c'est comme dix jours pour nous. Chacun s'occupe de ses affaires : ils jouent, discutent, se disputent, certains vont même se battre. Vivez la vie pleinement. Tout le monde - sauf Lera !
Elle se prépare pour la classe. Cela lui prend une quinzaine de minutes. Elle a absolument besoin de tout avoir à l'avance, de l'étaler, chaque objet à sa place, uniformément, géométriquement correctement. Elle est inquiète lorsqu'elle constate que des crayons ou de la pâte à modeler sont tordus : elle le corrige immédiatement. S'assoit et attend le début de la leçon. Calme, un peu ennuyeux.
Une fois, nous préparions un programme pour la nouvelle année. Un enfant, lors de la danse commune, a dû s'avancer et envoyer un baiser aux spectateurs-parents. Mais tous les enfants étaient timides et refusaient catégoriquement. Puis ils se souvinrent de Lera. Et elle a dû faire ce que personne ne voulait faire, car elle ne sait pas refuser.
Les préposés sont déjà partis et les jouets doivent être retirés. Lerochka, hé ! Emportez-le vite ! Et elle va docilement faire le ménage.
Bébé confortable. Et en effet, tout le monde "l'aime". Notre manager, par exemple, ne regarde pas Leroux différemment comme avec un doux sourire (comme devant une portion de glace au chocolat).
Mais que ressent la fille elle-même ? Et pourquoi est-elle comme ça ?

Dans le dossier personnel de Lera, tout d'abord, l'attention est attirée sur un énorme dossier médical bien garni. Pourquoi n'est-elle pas tombée malade juste pendant ses cinq ans ! Il est clair qu'elle est physiquement faible, son corps est affaibli. Maman tremble pour elle.
Ainsi, la fille est PHYSIQUEMENT AFFAIBLIE. Mais sa principale qualité humaine est aussi la FAIBLESSE. L'incapacité d'insister sur ses propres moyens, de se comporter de manière indépendante est une FAIBLESSE SPIRITUELLE ! Et mentalement, la fille est aussi faible : d'où l'amour de l'ordre et de la justesse. Après tout, un espace désorganisé et désordonné est plus difficile à percevoir et à maîtriser. C'est pourquoi elle arrange tout si soigneusement.
Ainsi, la RAISON D'OBÉIR EST LA FAIBLESSE DE L'ENFANT ! C'est vrai, je parle ici uniquement d'enfants comme Lera : ceux qui obéissent tout le temps, tous les adultes et toujours.
Mais si l'enfant se comporte toujours ainsi, est-ce vraiment nocif pour lui ? Oui, très nocif ! Le brillant psychiatre anglais Ronald Lang (auteur du best-seller psychiatrique "The Shattered Self") a montré de nombreux exemples que la principale cause de la schizophrénie est... l'obéissance inconditionnelle dans l'enfance ! Certes, seulement si un tel comportement de l'enfant était perçu par ses parents comme positif sans ambiguïté et était encouragé de toutes les manières possibles.
Il est intéressant de noter que les parents des futurs schizophrènes ne sont pas du tout des despotes, pas des Barmaley. Ils ne battent pas, ne grondent même pas leurs enfants. Ils encouragent simplement systématiquement l'obéissance inconditionnelle. Ils ne sont heureux avec leurs enfants que lorsqu'ils sont leurs OMBRES, n'ayant rien à eux, obéissant complètement aux adultes.
Bien que, bien sûr, tous les enfants obéissants ne deviennent pas malades mentaux: cela arrive heureusement rarement. Cependant, le développement - en particulier, le plus important, le développement personnel - d'un tel enfant est inhibé.
L'homme est par nature un être qui se développe lui-même. Une personne n'est pas comme un morceau d'argile, mais plutôt comme une plante. Les forces de développement, le désir de développement sont initialement inhérents à une personne. Mais cela signifie que l'enfant ne se développe que lorsqu'il le souhaite, le CAM décide et le CAM le fait.
Cela n'exclut pas la nécessité parfois, et même assez souvent, d'obéir aux adultes. Mais pas toujours! La soumission totale, hélas, bloque le développement.
C'est pourquoi un enfant idéalement confortable, calme, soigné, modeste et inconditionnellement obéissant est l'enfant le plus difficile, l'"objet" le plus difficile de l'éducation.

Ainsi, l'inclination à l'obéissance inconditionnelle est le problème pédagogique le plus sérieux ! Comment le résoudre? Comment apprendre à un enfant à ne pas nous obéir ?
Il y a ici trois points importants.
1. L'enfant ne devrait recevoir aucune récompense, ni éloge pour son obéissance. En général, rien de ce qui lui plaît ne doit être le résultat de l'obéissance.
En particulier, ces enfants aiment beaucoup le sentiment d'insouciance et de sérénité, qui découle du fait que le petit ne décide jamais pour lui-même : les adultes le font pour lui. Il ne porte aucune responsabilité et ne fait rien lui-même - et cela peut être très agréable pour lui. Ainsi, vous ne pouvez pas complètement empêcher les enfants, même très jeunes, de prendre des décisions indépendantes, de faire des recherches indépendantes, de surmonter indépendamment les difficultés, de résoudre leurs problèmes.
Un enfant a reçu un caillou dans sa chaussure en marchant. L'enfant sent : quelque chose ne va pas. Et court vers maman. Hélas, la plupart des mères dans une telle situation font tout POUR L'ENFANT - et en vain. Seuls les très jeunes, ceux qui ne savent pas encore se déchausser et se chausser, ont besoin d'aide. Pour les plus grands qui savent déjà se servir, il vaut mieux EXPLIQUER SIMPLEMENT quoi et comment faire, et attendre patiemment que le bébé fasse tout pour lui-même.
Et il en est ainsi toujours, constamment, patiemment, calmement et systématiquement.
Résoudre les problèmes POUR UN ENFANT est PLUS FACILE pour nous. Mais dans l'éducation, vous ne pouvez pas suivre le chemin le plus facile.
2. Le deuxième principe est de mettre régulièrement l'enfant dans de telles situations lorsque cela est nécessaire - DOIT ! - prendre des décisions indépendantes. Il n'est pas nécessaire de les inventer artificiellement : ils apparaissent constamment d'eux-mêmes. Que porter pour une promenade? Que construire avec des blocs de bois ? De quelle assiette vient-il ?
Habituellement, les adultes, encore une fois, décident de tout sans la participation de l'enfant. Et si le bébé est normal - c'est-à-dire plutôt méchant - alors ce n'est pas effrayant. Mais avec des enfants obéissants pathologiquement, ce n'est pas la façon de se comporter.
3. Avec un tel enfant, vous devez constamment discuter de tout ce qu'il ou vous allez faire avec lui afin de lui apprendre à se raisonner. Toute opinion doit susciter une réaction positive de la part des adultes, quelle qu'elle soit par essence. Cela, cependant, ne signifie pas qu'il est nécessaire et nécessaire de le faire, comme le suggère le petit.
Par exemple, si vous discutez de l'opportunité d'aller vous promener sous la pluie, et si vous y allez, alors quoi porter, et le bébé suggère de marcher pieds nus, parce que c'est plus amusant, alors une telle «proposition constructive» peut difficilement être acceptée . Cependant, il est possible de montrer à l'enfant son plaisir dans ce qu'il pense et exprime son opinion. Écoutez-le avec intérêt, souriez pour l'encourager, dites « Vous avez fait une excellente idée ! » - pouvez.
De plus, la discussion est l'occasion d'arriver à une solution GÉNÉRALE, qui vous convient à vous et à l'enfant : et cela doit être recherché. Il n'y aura alors aucune opposition entre les intentions d'un adulte et les désirs d'un enfant. Mais "l'obéissance" est la soumission à d'AUTRES intentions. Si ce ne sont pas des étrangers, pas ceux de quelqu'un, mais communs - c'est-à-dire les miens aussi - alors le problème est résolu.

Une personne bien élevée est une personne qui s'obéit. C'est ce à quoi nous devons nous efforcer.
Bien sûr, un petit enfant ne peut pas toujours obéir à lui-même. Il est encore trop faible, inepte, ne sait pas trop. Mais il peut s'obéir parfois, de temps en temps, quand cela est possible. Et il peut, en grandissant, s'obéir de plus en plus - et de moins en moins obéir aux autres.
C'est une éducation normale et un développement normal.

Si votre enfant est trop obéissant, vous devez :
1. lui donner régulièrement l'opportunité et même le forcer à résoudre ses problèmes par lui-même (mais seulement s'ils sont clairement à la portée de l'enfant) ;
2. le mettre régulièrement dans une situation où il est nécessaire de prendre une décision lui-même (à moins bien sûr que vous soyez sûr que cette décision ne s'avérera pas trop étrange et que l'enfant ne se blessera pas en la réalisant) ;
3. discutez constamment avec l'enfant de tout ce que vous faites avec lui, en essayant de parvenir à un « consensus » avec l'enfant ; l'encourager lorsqu'il exprime sa propre opinion;
4. tempérer mentalement et physiquement l'enfant, renforcer son corps et son psychisme (afin de "tempérer mentalement", vous avez tout d'abord besoin de nombreuses impressions et expériences différentes), car l'obéissance est une conséquence du général (physique, mental et personnelle) faiblesse de l'enfant;
5. Ne jamais féliciter ou encourager un enfant pour son obéissance de quelque manière que ce soit.

Salutations, chers amis, lecteurs et invités. Aujourd'hui, je suis à vous avec une autre question Nous avons beaucoup parlé et discuté des problèmes, qui sont de plus en plus nombreux. Les parents des agresseurs tirent la sonnette d'alarme, se montrent inquiets pour leur avenir. Et il y a des familles complètement différentes. Des familles dans lesquelles les enfants sont trop gentils et obéissants. De tels parents peuvent être fiers de leurs enfants, et ceux qui les entourent en font un exemple pour leur "okhlomon" et "désobéissant".

Quoi de mieux que des enfants éduqués et sympathiques qui savent communiquer avec les adultes, n'entrent pas en conflit avec leurs pairs et ne montrent aucune agressivité s'ils sont incités à le faire. Dans leurs paroles, et plus encore dans leurs actions, il n'y a pas une goutte de colère, de colère, d'irritation et de rage. Parfois, il semble qu'il s'agisse d'un "ange dans la chair", et ces parents n'ont jamais de problèmes de communication et d'interaction avec l'enfant. Les gens autour d'eux sont assez à l'aise avec eux.

Mais est-ce si bon quand l'enfant est trop obéissant et à l'aise ? Pourquoi est-ce que j'aborde le sujet des enfants trop gentils aujourd'hui ? Ensuite, pour que leurs parents pensent à quel point il est facile et confortable de mener une vie aussi "juste" pour l'enfant lui-même. Même la personne la plus gentille et la plus merveilleuse éprouve toujours des émotions négatives au cours de sa vie. Mais le fait est que les émotions ne passent pas dans le temps et ne disparaissent pas dans le néant. Soit ils s'accumulent, puis, même dans la situation la plus insignifiante, éclaboussent très violemment, soit ils trouvent immédiatement leur expression sous forme verbale ou dans une sorte d'action physique.

Récemment, nous avons discuté avec une mère qui se plaignait que son fils Kolya était trop gentil. Il ne se bat jamais et ne peut pas redonner aux délinquants de son groupe à la maternelle, mais se plaint constamment d'elle. L'enseignant refuse d'aider à résoudre le conflit. Elle croit qu'il doit lui-même apprendre à se battre et ne pas être un "ours en peluche" qui endure tout et se tait. A la question de ma mère : "Pourquoi tu ne peux pas frapper l'agresseur ?" Kolya répond : "Il va être blessé"...

Que peut-on faire dans une telle situation ? Dans un premier temps, vous pouvez lui apprendre à exprimer ses sentiments et son mécontentement : « J'ai mal et je ne veux plus te parler. Et seuls ceux qui ne peuvent penser à rien d'intéressant se comportent ainsi." De cette façon, bien sûr, il ne se vengera pas du coupable, mais il pourra libérer son indignation.

Deuxièmement, vous pouvez jouer la situation traumatisante et libérer votre charge négative. L'enfant peut représenter un monstre terrible, chassant ses amis. Vous pouvez jouer le rôle d'un personnage négatif lors d'une matinée pour enfants ou simplement organiser un cinéma maison avec votre famille. Et vous pouvez également faire un dessin sur le thème de la "colère" ou du "ressentiment", ainsi qu'une caricature du délinquant.

Si votre famille a des problèmes parce que l'enfant est trop gentil et obéissant, alors le plus important est de l'aider à changer sa vision du monde et de le convaincre que ses parents l'aiment même lorsqu'il « joue » des rôles négatifs.

Regardez des dessins animés ou des films pour enfants, puis discutez du fait que sans cet acteur talentueux qui a joué le méchant, le film ne serait pas si excitant et intéressant. Aidez votre enfant à accepter un nouveau regard sur les rôles négatifs et ensuite, en plus de rester obéissant, il apprendra à exprimer ses émotions, à devenir une personne active et heureuse. Devenu plus harmonieux intérieurement, il sera certainement capable de supporter adéquatement de nombreuses épreuves de la vie.

Les parents modernes sont des gens profondément anxieux, explique le psychothérapeute Robin Berman. Comment expliquer autrement le fait qu'ils ne peuvent pas toujours insister seuls, discuter de leurs problèmes avec les enfants comme avec des amis, et même laisser les enfants lever la main ? Voici cinq signes principaux de tels éducateurs potentiels. Si vous les remarquez dans votre famille, alors quelque chose doit être changé de toute urgence.

Trop de doutes

Les enfants apprennent mieux si vous insistez constamment sur le vôtre. Nous appelons cela "renfort fixe". C'est votre comportement qui enseigne aux enfants que vous dites ce que vous pensez et faites ce que vous dites. Si vous ne savez pas comment vous y prendre, les enfants en viennent à la conclusion que vous n'êtes pas digne de confiance. Vos exigences sont mieux perçues lorsqu'elles sont constantes. Vous serez surpris de la rapidité avec laquelle le comportement d'un enfant changera si vous apprenez à persister et à persister à votre manière.

Mais si parfois vous insistez sur votre propre, et parfois abandonnez des positions, cela conduira à des conséquences désastreuses. En psychothérapie, nous appelons cela « renforcement variable », ce qui signifie que le renforcement reçu en réponse à certains comportements est imprévisible.

Le jeu est un excellent exemple de ce phénomène. Lancer une pièce dans une machine à sous peut parfois toucher le jackpot, mais dans la grande majorité des cas, cela n'arrive pas. Néanmoins, vous retournez encore et encore à la machine et lancez une pièce avec la même pensée : "Et si...".

Le renforcement variable peut favoriser l'enracinement des mauvais comportements. Si les enfants sentent que vos menaces ne sont que des paroles creuses et que vous ne pouvez que parfois insister par vous-même, il sera presque impossible de les faire obéir. Si vous dites non et finissez par abandonner quatre fois sur cinq, vos mots ne veulent rien dire.

Trop de bavardage

Un autre problème dans la culture parentale d'aujourd'hui est qu'il y a trop de paroles et trop d'informations. Auparavant, il suffisait aux parents de dire : « Non, parce que je l'ai dit. Eh bien, aujourd'hui, au contraire, nous sommes prêts à expliquer chaque pas que nous faisons jusqu'à ce que nous virons au bleu.

J'ai regardé une fillette de deux ans jouer sur le balcon pendant que sa mère menait un monologue non-stop : « Emmy, ne t'approche pas du bord ! Vous pouvez tomber et frapper fort ! Ce sera horrible ! Quand tu es si près du bord, je deviens nerveux. Tu fais mamanêtre nerveux! Je vais bientôt devoir aller voir un psychothérapeute. Je ne veux pas qu'il t'arrive quelque chose de mal !"

Trop d'informations. L'enfant n'a que deux ans ! Il suffit à maman de se cantonner au court : "Chérie, tu ne peux pas y aller !" Et c'est tout! Parlez à votre enfant d'une manière courte et douce. Donnez-lui de petites informations qu'il pourra digérer facilement. Si le parent en dit trop, l'enfant peut cesser de percevoir ses paroles - ou, pire encore, absorber les peurs et les complexes parentaux pour la vie.

Nous devons désapprendre toutes nos propres peurs et expériences dans les conversations avec les enfants. Pour ce faire, vous devez délibérément nettoyer votre discours de ces ordures. Respirez profondément et réfléchissez quelques instants avant de parler. Jetez du discours préparé ce que l'enfant ne devrait pas entendre. Dans ce cas, moins on en dit, mieux c'est.

Choix trop large

Un autre problème, tout comme les conversations redondantes, est le problème du trop grand nombre de choix que vous offrez à vos enfants. Cela perturbe également l'équilibre et peut être écrasant pour l'enfant.

J'ai été très surpris lorsqu'un jour j'ai vu comment une mère consultait sa fille de cinq ans au sujet de sa future carrière : ?".

Attention : c'est dangereux pour le psychisme de l'enfant ! Le cerveau du bébé n'est pas encore prêt à prendre des décisions aussi sérieuses ! Les lobes frontaux du cerveau responsables de la pensée critique chez les enfants sont encore à un stade précoce de développement et finiront de se former à l'âge de 20 ans. Votre jeune progéniture, du point de vue de la neurologie, n'est donc pas encore prête à prendre des décisions. pour vous. À ce moment-là, la fille, regardant sa mère, lança : « Quoi ?! ». Eh bien, c'est une très bonne idée.

Les enfants peuvent avoir le droit de prendre des décisions - mais en fonction de leur âge. « Est-ce que tu vas être du poulet ou des pâtes ? » C'est un choix normal pour une fille de cinq ans. Mais la forcer à peser le pour et le contre de travailler dans une banque est absurde.

Trop égal

En essayant de devenir l'ami de votre enfant, vous jouez avec lui sur un pied d'égalité. Le problème est qu'il n'y a pas d'égalité entre vous et ne peut pas l'être. En construisant des amitiés avec les enfants, nous violons à nouveau la structure du pouvoir dans la famille. Si vous êtes un ami, pas un parent, alors votre enfant est orphelin.

En tant que psychothérapeute, je rencontre souvent des patients qui rêvaient que leurs parents prennent enfin leurs fonctions. Ainsi, la mère de Jill, une de mes patientes, a tout le temps essayé de devenir le conseil d'administration de sa fille. Elle a offert à sa compagnie des boissons alcoolisées alors qu'elles étaient encore mineures, a allumé la musique préférée de sa fille à plein volume dans la voiture et s'est habillée selon le dernier cri de la mode des jeunes.

Lorsque Jill, qui avait déjà 25 ans à l'époque, a invité sa mère à une séance de psychothérapie conjointe, elle a été choquée.

"Jill, tu es ma meilleure amie", a commencé sa mère. - Tu as toujours été elle, même quand tu étais encore un bébé. Je ne comprends pas, qu'est-ce qui ne va pas ?"

Jill regarda sa mère et les larmes lui montèrent aux yeux.

"Maman, tu as fait de ton mieux pour être mon amie", a-t-elle répondu. - Mais j'ai beaucoup d'amis, et ma mère - un seul. Je ne veux pas que tu sois mon amie - je veux que tu sois ma mère ! "

Un père merveilleux a appris par expérience comment fixer des limites peut aider à renforcer le sentiment de sécurité d'un enfant. La mère de son fils est décédée alors qu'il n'était qu'un enfant. Jay ne connaissait pas le bonheur de l'amour maternel inconditionnel. À cause de cela, son père a beaucoup souffert - et en conséquence a gâté son fils. Il n'a jamais puni le garçon pour mauvais comportement. À l'âge de 10 ans, Jay a fait un énorme scandale dans le magasin. Il voulait acheter un film que les distributeurs déconseillaient aux enfants de moins de 13 ans et que son père jugeait inadapté à son fils. Jay a fait rouler le vrai, frappant le sol et donnant des coups de pied.

Qui bat qui

Dans la pratique familiale moderne, ce qui m'étonne et m'horrifie le plus, c'est que les enfants battent leurs parents ! Hélas, un comportement aussi monstrueux et catégoriquement inacceptable aujourd'hui n'est pas rare.

Bien sûr, lorsque les générations précédentes de parents considéraient qu'il était normal de lever la main contre un enfant, ce n'était pas moins terrible. Avec ce mauvais exemple, les parents enseignent à leur enfant que la violence peut être utilisée pour résoudre des problèmes.

Réfléchissons au message que vous véhiculez ainsi : « Mon enfant est dégoûtant. Je vais le battre correctement - et lui faire savoir que s'il est contrarié par quelque chose, il a juste besoin d'aller battre quelqu'un ! "

Oui, vous pouvez obtenir l'obéissance immédiate ici et maintenant, mais à long terme, vous risquez de créer de nombreux problèmes. La recherche montre que les enfants qui ont été soumis à des châtiments corporels sont plus susceptibles d'être incapables d'obéir aux exigences de la discipline, sont plus susceptibles de faire preuve d'agression physique, sont plus susceptibles de devenir victimes de divers types de dépendances et d'éprouver des problèmes mentaux.

"J'ai été fouetté - et rien, j'ai grandi comme une personne normale!" - cette excuse est assez courante, mais elle ne la rend pas moins vile. Les souvenirs des châtiments corporels de l'enfance sont encore douloureux pour de nombreux adultes. Et le fait que les parents fouettent les enfants depuis des siècles ne fait pas du fouet la bonne méthode ni même acceptable.

Pourtant, il n'en est pas moins dégoûtant qu'aujourd'hui, avec la hiérarchie du pouvoir renversée, les enfants lèvent la main contre leurs parents.

Aujourd'hui, les pères et les mères envoient à leurs enfants le message suivant : « Vous êtes bouleversé, eh bien, venez ici et donnez-moi une bonne gifle ! Vous, bien que involontairement, lui apprenez à lever la main vers ses proches - à faire ce qui, comme déjà mentionné, ne devrait en aucun cas être fait.

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Discussion

Un sujet très urgent à notre époque. Il s'avère que nous pouvons étudier l'information et essayer de la mettre en œuvre étape par étape. C'est difficile, mais progressivement, je pense que c'est possible. De plus, maintenant ce sujet est soulevé sur la ressource familiale sur Internet, alors lisez et remplissez.Toute la patience et l'amour et un lien vers un article de cette nature [link-1]

Les enfants n'ont pas à battre obéissant!

Bon article, je m'abonne à chaque mot! Mais en tant que mère pratiquante, je peux dire que suivre ce cours est oh, comme c'est difficile !!! Mais si vous essayez, beaucoup s'avère, à mon avis, un énorme travail systématique pour établir des limites claires dans les comportements et un travail colossal pour maintenir ces règles dans toutes les situations ! Quant aux punitions corporelles, je ne peux pas me retenir, je peux bien fouetter et gronder mon fils, mais l'efficacité est nulle, mais pleurer dans un rêve - tout de suite! J'essaie de chercher des approches alternatives, je me comprends ainsi que la situation, et j'arrive à la conclusion que toute situation de conflit extrême lorsqu'un parent perd son sang-froid provient de problèmes internes du parent - au moment où il est agacé, fatigué, nerveux à propos aucune raison, et il n'a pas le temps et ne veut pas se plonger dans la situation de désobéissance, il n'a pas le temps de la régler d'une autre manière, et la patience éclate... Quand vous évaluez calmement la situation de l'extérieur, alors il y a de nombreuses façons d'éviter de manière constructive une explosion des deux côtés ! Par conséquent, nous devons toujours réfléchir à ce que nous faisons et à la façon dont cela affecte nos enfants, et essayer de limiter nos manifestations négatives !

Les punitions corporelles, entre autres, sont aussi un exercice inutile. J'ai compris cela il y a longtemps. Elle m'a giflé plusieurs fois les fesses, comme ma mère l'avait fait dans son enfance, l'enfant n'était que bouleversé, puis a continué à faire ce qu'il recevait.

Entraîné loin d'elle pour l'avenir. Plus tard, nous vérifierons la théorie en pratique)

Commentaire sur l'article "Enfant obéissant : pourquoi pas avec nous ? 5 erreurs des parents modernes"

comportement délibéré. J'ai un enfant super obéissant .. mais il y a deux ans, elle n'a pris aucune instruction du tout. J'ai surtout des enfants très obéissants. Surtout en public. Mais, je demande peu, crie, essaie de comprendre les enfants eux-mêmes.

Discussion

Le mien écoute. Mais elle est très maternelle, ma parole pour elle est très autoritaire. Ce n'était pas comme ça avec mon fils.

Oh, Len, je vais commencer un sujet similaire depuis longtemps. Un mois et demi plus tard, je vais travailler. Jusqu'à présent, j'ai du mal à imaginer comment j'aurai le temps de rassembler tout le monde le matin. Et le principal problème est dans la fille !!! Elle est distraite, ne veut pas faire ce qu'on lui demande, elle doit demander 10 fois. Maintenant, ce n'est plus si important - nous quittons la maison à 8h30. Mais à partir d'avril, vous devrez quitter la maison à 7h45 ...

Alors je suis allé lire le sujet. Jusqu'à ce que je trouve une approche qui fonctionnerait pour nous. Pendant une courte période, cela a fonctionné pour lui donner de l'indépendance et au lieu de lui rappeler ce qu'il lui restait à faire (par exemple, se brosser les dents, faire le lit, s'habiller, etc.), lui demander ce qu'elle devrait faire d'autre.

15/02/2017 11:50:57, De yukgirl

Discussion sur les questions d'adoption, les formes de placement des enfants dans les familles, l'éducation des enfants en famille d'accueil, l'interaction avec la tutelle, l'enseignement des parents d'accueil à l'école. Comme si les obéissants ne réussissaient pas, et le succès est une continuation obligatoire de la désobéissance.

Discussion

Comment ça va, Zveta ? J'ai regardé tu es enseignante, psychologue pour enfants !!! ????
Je devrais venir vous demander conseil sur ce qu'il faut faire avec mon vilain garçon ! J'ai eu la même chose, un gars de 9 ans, cousu aussi au même endroit + fille 6 = 2 ouragans. Mais ils obéissent (principalement) parce qu'ils savent s'ils seront privés de beaucoup des joies de la vie. MAIS! il faut être cohérent : si tu dis « tu n'iras pas te promener tant que tu ne l'auras pas nettoyé », alors il devrait en être ainsi... mais tu as déjà un cas négligé, bien sûr tu as dû l'éduquer plus tôt, Je peux imaginer à quel point il serait en colère si vous commenciez maintenant. Mais c'est mieux maintenant, sinon ce sera encore pire après. MAIS, bien sûr, une combinaison de renforcements positifs pour un bon comportement avec la privation de la « bonté » habituelle pour un mauvais comportement est nécessaire. Plus, bien sûr, des programmations pour "bon Dieu" comme : je sais, tu es un très bon garçon gentil, je t'aime... mais tu vas devoir annuler les dessins animés pour aujourd'hui (par exemple) Regardez aussi ma réponse sur le sujet "Comment se comporter avec votre fille" Soit dit en passant, de tels enfants commencent à se sentir mieux quand ils connaissent le cadre et finissent par arrêter de tester notre patience et passent à une communication constructive avec leurs parents, car ils commencent à comprendre que c'est beaucoup plus intéressant et rentable pour eux.

L'enfant n'obéit pas à la maison.. Relation enfant-parent. Enfant de 3 à 7 ans. Éducation, nutrition, routine quotidienne, fréquentation de la maternelle et relations avec Mais à la maternelle, après tout, c'est une enfant sociable gentille obéissante ! Je suis incroyablement fatigué de la guerre éternelle.

J'ai aussi un enfant, âgé de 3,5 ans, les cris sont capricieux il y a quelque chose que mâcher doux kotygoricheski refuse de tout faire pour le mal je dis je l'explique. Et dans de nombreuses familles scandaleuses, les enfants restent toujours calmes - obéissants. De quoi cela dépend-il ?

Discussion

L'enfant de Resko Meaitz va tomber dans l'hystérie si vous ne cédez pas

25/01/2019 10:11:17, Victoria

J'ai aussi un enfant, âgé de 3,5 ans, crie vilain il y a quelque chose qui mâche mollement kotygoricheski refuse de tout faire pour le mal
Je parle et explique. Cette crise ne sert à rien quand elle se termine j'irai dans un hôpital psychiatrique

22/06/2018 23:31:39, A. Irada

Section : - rencontres (enfant colérique). Trop colérique... nerveux... Il s'agit de moi à propos du fils aîné. Il est très colérique (tout comme un père, un premier mari). Comment lui apprendre à retenir ses émotions (et devraient-elles l'être du tout ?) Un enfant hyperactif et très impressionnable...

Discussion

C'est notre cas.
L'histoire de mon père à propos de son père (mon grand-père). Son père a environ 50 ans, pour diverses raisons, il ne travaillait pas à l'époque, il y avait trois enfants, seule maman travaillait, naturellement, il n'y avait pas d'argent pour les cornichons. Servir tout le monde avec du porridge. Lui : « Ah ! encore du porridge ! - et une assiette par terre. En général, du grand-père à mon fils, tout est colérique.
Immédiatement sur la médecine. Je suis très reconnaissant à ma mère de ne pas m'avoir traînée chez les neurologues et d'avoir jeté des sédatifs, dont un tas ont été évacués immédiatement, en un an ou un an et demi. Quand déjà à l'institut j'ai eu une commotion cérébrale et que la pression a commencé à monter, les neuropathologistes, avec des plaintes minimes, ont prescrit des sédatifs en "tonnes", je constate immédiatement que tout cela est inutile : soit ça a tendance à dormir, soit ça n'affecte pas, mais ne change pas de caractère. Je ne suis pas allée chez des médecins de ce profil avec mon fils, sauf pour un dossier médical et dans le style « tout va mieux chez nous ».
Que faire? Tout d'abord, n'amenez pas l'enfant à une réaction détaillée, réduisez l'action plus tôt. Si vous êtes avec des enfants, éloignez-les d'une telle entreprise et marchez séparément. En général, les mouvements calmes et non agressifs apaisent, l'adrénaline doit être brûlée par le travail physique. A partir d'un état calme, il est bienveillant d'expliquer ce qu'il ne faut JAMAIS faire (se battre, offenser les autres), de démonter ce qui s'est passé, de parler comme il se doit. Jusqu'à l'âge de 13 ans, j'ai joué avec mon fils à des jeux de rôle sur le thème d'un pays de conte de fées, insérant avec humour nos situations réelles. N'insistez jamais sur la crête d'excitation sur l'éducation : « Faites la paix. S'excuser. Partagez vos jouets." Louez plus souvent. Ne dites pas que "Masha, Petya et Vova sont bons, pas comme vous". Apprenez à ne pas utiliser de mots offensants (fou, stupide, sortir, etc.), mais choisissez plutôt quelque chose de plus politiquement correct (vous vous trompez, je pense différemment, on en reparlera plus tard, il est temps que je parte) ou partez sans explication pour se calmer. Mon fils n'est pas allé à la maternelle, tellement c'était plus facile : quand il y a du russe littéraire à la maison, le vocabulaire de l'enfant est différent de celui de la maternelle. Expliquez à votre fils qu'ils taquinent ceux qui s'excitent. S'il ne donne pas "un demi-tour" d'une réaction externe violente, alors ils cesseront de "l'allumer". Quand ça ne marche pas, mieux vaut venir à la rescousse plus tôt que de crier, de faire une pause. Distraire (« allons prendre le thé », « voilà une mandarine, mange-la et puis on continue », « voyons ce que fait grand-mère là-bas »). Apprenez séparément les actions difficiles pour l'enfant, afin qu'il ne provoque pas une telle tension "en public". Quelque chose "à ne pas remarquer". Jeté: "Plus jamais et pour rien!". Parfois, il est sage de ne pas discuter ou argumenter. Passez simplement à quelque chose de sympa. Et puis repartez comme sur une ardoise vierge, comme si vous n'aviez pas remarqué ce lancer. Mais pas sous la forme de "faites-le vous-même", mais d'une autre extrémité et ensemble. Il est difficile, d'une part, de ne pas « saisir » au moment de l'explosion, d'autre part, de montrer l'inéluctabilité du nécessaire. J'ai écrit des bâtons et des lettres avec mon fils pendant plus de six mois. Juste à travers tout : « Je ne veux pas ! Je ne le ferai pas ! Ça ne marche toujours pas." Il avait une hypertonie des mains. Elle m'a appris à détendre mes mains. Ils écrivaient petit à petit, à tour de rôle, « parlaient de mes dents », distribuaient des prix sous forme de raisins secs au chocolat, comptaient les bâtons ou lettres écrits ensemble et évaluaient les mérites de chacun (ici la question était pédagogiquement similaire encouragement ou non, mais mon fils a appris à écrire et c'est le principal). Après la lettre, nous avons joué ensemble.
Avec grand-mère - une chanson spéciale. Ma mère aimait aussi me raconter les péchés de son fils, et j'essayais d'écouter sans lui et de hocher la tête, oui, bien sûr, il vaudrait mieux faire autrement, mais pas pour démonter, pas pour réprimander l'enfant.
Avec l'âge, une personne apprend à se retenir, à relâcher les tensions dans des directions raisonnables (sports, loisirs, solitude ou grande entreprise). En général, comme le dit le médecin : "Soyez patiente, maman, nagez, ...".

Quant au déménagement.
1. Comportez-vous calmement, comme m'ont dit les gens intelligents "amenez-vous à un état calme", ​​car les enfants ressentent l'état de la mère.
2. Dites que dans un nouvel endroit, il sera possible de tout recommencer «à partir de zéro», de commencer une «nouvelle vie» dans laquelle il ne sera pas considéré comme un «dingue». Qu'il aura de nouveaux amis, et avec les anciens, il pourra parler au téléphone et se rencontrer occasionnellement. Il est conseillé que l'enfant ne s'inquiète pas, mais se réjouisse du mouvement.
3. Aux questions : "... comment puis-je me faire des amis, ..." - répondez en détail, sans hâte ni irritation, autant de fois que la question est posée, l'enfant a besoin de comprendre le stéréotype du comportement dans le nouvelle entreprise dans une conversation avec vous. Jouez de nouvelles connaissances. Le fils est venu vers vous pour faire connaissance. Tu es lui. Ours, lapin, toi et ton fils êtes dans la même compagnie. Il est pour lui, vous êtes pour tout le monde, il est souhaitable que l'enfant s'amuse. Tout d'abord, Mishka et un lapin jouent une scène basée sur le comportement réel de leur fils. Alors vous et le lapin êtes les mêmes, mais au lieu du comportement réel de l'enfant, vous montrez ce dont vous avez besoin. Puis quelque chose de similaire, mais déjà le fils avec quelqu'un, où il doit donner le bon comportement. Si c'est difficile pour vous, vous pouvez contacter un psychologue ici (vous voulez parler avec une personne qui vous apprendra à faire connaissance et à vous faire des amis ?).
4. Dans un nouvel endroit, aidez votre fils à faire connaissance avec les enfants. Par exemple, sortez avec lui dans la cour et plus loin le cas échéant. Par exemple, sortez un jouet commun (ballon, badminton), rencontrez vos parents dans la cour de récréation, proposez de fêter votre pendaison de crémaillère. Vous pouvez inviter chez vous ou organiser un jeu avec des rafraîchissements dans la cour, par beau temps, proposer par exemple de venir à une heure les mains propres, manger un melon ou un fruit ensemble et jouer à quelque chose d'intéressant (le rôle de l'animateur est à vous ou invitez quelqu'un que vous connaissez). Ici, dans notre cour, il y avait des papas qui ont commencé à jouer au ballon en cercle ou au football - une très bonne option et tout le monde était content.
5. Regardez, lequel des enfants "en contact" avec le fils lui convient en tant qu'amis en termes de stéréotype de comportement et d'âge. Il est souhaitable qu'il s'agisse d'un couple leader-suiveur de forces approximativement similaires (poussant, aucune ne doit s'envoler avec le risque de blessure), et que le compagnon ne réagisse pas violemment aux actions du fils. Essayez de sortir vous promener en même temps, rencontrez vos parents, parlez d'une "sortie" commune dans un musée, un zoo ou tout simplement le parc le plus proche, invitez chez vous, ... (ou une chose, selon les conditions).
6. Il y a généralement plusieurs cours dans le quartier, si nécessaire, différentes peuvent être contournées.
7. Au plus fort de l'excitation d'un nouvel endroit, marchez davantage avec votre fils pour qu'il se fatigue physiquement (ou laissez-le nager, faire du vélo). La fatigue physique fonctionne mieux que la valériane.
8. Si possible, "jetez" la jeune grand-mère (ou d'autres membres de la famille) et donnez à votre fils 2 semaines dans un nouvel endroit, mb. au prix de vacances à vos frais.

Hier, tout était différent. Papa l'a emmené dans le groupe et est parti tranquillement. Après 2,5 heures, ils nous ont appelés et nous ont dit : cours, prends-le, pleure. Papa est un cancre, il n'y a aucun moyen de dire clairement qu'il part. L'enfant a couru dans le groupe pour jouer et n'a même pas réalisé qu'il était seul, puis il a eu peur. Le soir, hystérie, la nuit aussi. C'est une réponse naturelle au stress. Il refusa catégoriquement d'aller au jardin. J'ai décidé de ne pas la conduire jeudi et vendredi, mais de réessayer lundi.
Tout le monde passe par là, mais quelle est la bonne chose à faire : faire des pauses ou vaut-il mieux marcher tous les jours ?

09/07/2006 10:30:15, prascovie

Je ne donnerai pas de conseils. dans notre groupe, les enfants qui se sont comportés de manière inappropriée l'année dernière se comportent aussi bien cette année. et l'un a généralement 4 ans, et il ne sera pas transféré de la crèche pour mauvaise conduite. Même s'il me semble que plutôt que de laisser ses enfants offenser, il vaudrait mieux les envoyer au starshaki au contraire. peut-être qu'ils l'auraient brisé, auraient compris de quoi il s'agissait.

C'est-à-dire que mon enfant obéissant est obéissant à mon avis. Et ce n'est que le début du désaccord. Puis la distance de compréhension commence à grandir avec plus.Par conséquent, il est étrange de lire "Je veux un enfant obéissant." Depuis l'option 3 : soit tout se passe naturellement dans la famille et la question est la suivante en général...

Discussion

Je ne sais pas ce qu'est « l'obéissance normale », je ne sais pas ce que cela devrait être, et je soupçonne même qu'il ne peut y avoir de normes ici.
J'attends mon enfant... maintenant, je vais trouver comment l'appeler - "obéissance consciente" ou quelque chose du genre. Celles. répondre à mes demandes qu'elle considère raisonnables. Je ne suis pas un robot pour émettre UNIQUEMENT des requêtes adéquates, bien que j'essaie de le faire. Moi aussi, je suis d'humeurs différentes et à des degrés divers de fatigue - je peux demander quelque chose, ce qui est en fait mon caprice du moment. Je ne considère pas que l'enfant soit obligé de répondre à mes caprices ... Et je veux vraiment qu'elle apprenne à distinguer de telles demandes des vraies, à prendre la décision de les satisfaire ou non, et d'apprendre à refuser de répondre aux demandes - non juste un simple "non", bien sûr, mais avec une explication de la raison...
Jusqu'à présent, semble-t-il, nous arrivons à maintenir ce style, Sanka nous permet de le faire.
Eh bien, en plus des demandes, il y a, bien sûr, des exigences.

A mon sens, toutes les punitions (quantités et méthodes) se réduisent à la question d'élever la volonté de l'enfant. Que voulez-vous accomplir - briser sa volonté, afin qu'il obéisse complètement à votre volonté, qu'il corrige sa volonté ou qu'il se soumette lui-même et le monde qui l'entoure à la volonté de l'enfant ? Je crois que briser la volonté d'un enfant, je lui ferai beaucoup de mal, tout en encourageant une volonté personnelle complète. Donc la question pour moi est de savoir comment apprendre à un enfant à "lire la situation" - quand "sa volonté", quand "sa volonté" mais il faut prendre en compte les intérêts des autres (glisser en bas de la colline à son tour, ou avertir qu'il arrivera en retard), quand il doit prendre une décision commune (avec des amis, avec les parents), et quand faire ce que les autres veulent (mère, enseignante, puis le patron). A un an et demi, j'essaye simplement de lui faire comprendre que dans sa vie libre il y a des choses qui ne peuvent pas être (la punition suivra), il y a des choses qui bouleversent une mère ou un enfant dans un bac à sable et il vaut mieux ne pas faire cela, et il y a aussi la possibilité de demander le jouet de quelqu'un d'autre, par exemple, et si cela est autorisé, alors "non autorisé" est remplacé par "vous pouvez". Donc nous vivons si loin.
Je comprends les punitions comme des conséquences négatives - elles peuvent être physiques, psychologiques et émotionnelles. Mais il est important de comprendre non seulement comment nous le voyons - la mère a donné une fessée, la mère a été offensée, la mère a crié, mais quelle est exactement la conséquence négative pour l'enfant - douleur physique, peur - la mère n'aime pas / n'arrête pas, peur et stress .. Cela fait mal de faire un exutoire pendant 5 à 10 secondes, mais vous pouvez " emporter " votre amour ... vous devez penser aux méthodes de punition pas moins qu'à ce qu'il faut punir et quoi pas .

J'ai laissé entrer Dobson dans la chute. Certes, le livre s'appelait d'une manière ou d'une autre différemment. Mais avec une personne qui considère que la meilleure vertu de son enfant est de s'endormir sans hésiter minute par minute (et si plus tard, le malheureux apporte une ceinture pour sa flagellation lui-même) et la capacité de s'asseoir pendant une heure dans un sermon sans un seul mouvement naturel pour un enfant, je n'ai rien en commun et ne le serai peut-être pas. Moral freak, un mot.

Un enfant obéissant est ennuyeux, pas intéressant. Et ce n'est pas un fait que le "furoncle" ne percera pas et qu'alors il ne récupérera pas ses ancêtres pour En fait, oui ! Le résultat est vraiment important pour lui. Le crash test ne fonctionnera pas, il est déjà dans sa troisième année , ça va être difficile. Je pense toujours qu'on a trop...

L'obéissance est traditionnellement une partie importante de l'éducation. L'une des plaintes les plus courantes des parents: "L'enfant ne m'obéit pas." Et presque jamais les parents d'enfants obéissants ne se tournent vers des spécialistes. Mais ils ont aussi des raisons de s'inquiéter.

L'accomplissement inconditionnel de toutes les instructions des adultes n'est pas du tout la norme (peu importe à quel point les parents le veulent). L'obéissance absolue peut être le signe de graves problèmes parentaux et peut entraîner des conséquences négatives à l'avenir.

Manque d'initiative

Un enfant trop obéissant s'habitue à être conduit. Avec l'âge, cela se traduit par une incapacité à être un leader ou, pire encore, par un manque total d'initiative. Le modèle de comportement, lorsque les adultes décident de tout pour l'enfant, devient rapidement fixe et, à l'avenir, il sera difficile pour votre enfant de prendre des décisions indépendantes.
Que faire. Laissez le libre choix à votre enfant. Laissez-le décider lui-même de quelques questions : ce qu'il va manger, ce qu'il veut jouer, quoi regarder ou lire. Soutenez les suggestions du bébé, faites-lui sentir que l'initiative n'est pas punissable.

Exposition à l'influence de quelqu'un d'autre

Vers l'âge de trois ans, une période commence dans la vie d'un enfant où il prend conscience de ses désirs et apprend à les défendre. Pendant cette période, le bébé est prêt à répondre à toutes les phrases avec le mot « non ». Et si ce «non» se heurte à une rebuffade dure et sans compromis, il sera alors difficile à l'avenir pour l'enfant de défendre son indépendance non seulement vis-à-vis de ses parents, mais également de tout environnement.

Les enfants trop obéissants ont du mal à dire "non", ils ne sont pas capables d'insister seuls.

Que faire... Soyez sensible aux souhaits du petit, encouragez sa manifestation. Respectez le choix de votre enfant. Permettre un peu de désobéissance, bien sûr, dans le cadre d'un comportement sécuritaire. Tous les « non » ne doivent pas être accueillis avec hostilité.

Faible estime de soi

La soumission est très souvent associée à une faible estime de soi, un manque de confiance en soi. L'enfant peut penser qu'il est « mauvais » et essayer de gagner l'amour de ses parents par un comportement exemplaire.

Que faire. Si l'amour parental dépend du comportement de l'enfant, il s'agit d'une situation extrêmement anormale et d'une énorme erreur d'éducation. Ici, vous ne pouvez pas faire avec de simples conseils, il est préférable de contacter un spécialiste.

Douleur

Les enfants trop obéissants sont sujets à diverses maladies chroniques et infectieuses. L'absence de manifestations externes d'insatisfaction ne signifie pas que l'enfant ne ressent pas d'émotions négatives. Le besoin de «tout garder en soi» nuit même à un adulte, sans parler de l'organisme en développement d'un enfant.

Que faire. Permettez à votre enfant de manifester son insatisfaction : il n'a pas à se réjouir de toutes vos consignes (instructions). Et plus encore - faites du sport. Les bienfaits de l'activité physique sont évidents, le sport régulier a un effet positif sur la sphère émotionnelle-volontaire des enfants. Naturellement, sans fanatisme.

Surcompensation

Il n'est pas rare que des enfants, privés d'indépendance et du droit de choisir, lorsqu'ils grandissent, tentent de compenser les limitations de leur liberté. Les garçons et les filles exemplaires « deviennent incontrôlables » et se transforment en « adolescents difficiles ». Le risque est accru par l'incapacité de ces enfants à résister aux mauvaises influences.

Que faire. L'enfant devrait avoir un "espace de liberté" - ces zones où il prend des décisions. Et avec l'âge, cet espace devrait progressivement s'étendre.

Il est anormal qu'un enfant obéisse avec résignation à la volonté d'un adulte contre ses propres désirs. L'obéissance n'est pas le but de l'éducation, mais seulement un moyen. L'objectif est un enfant heureux et en bonne santé (à l'avenir - un adulte). L'indépendance, la capacité d'insister sur sa propre force, la croyance en sa propre force - tout cela est impossible sans un brin de protestation, sans conflits, sans reniement. C'est-à-dire sans désobéissance.