On peut dire que les gens qui composent les programmes éducatifs sont des idiots. Cependant, ce n'est pas le cas. Leurs qualités intellectuelles sont dans les limites inférieures de la norme.

Fondamentalement, ces personnes sont tout simplement insensibles.

Oui, je parle aussi de ce que la langue anglaise appelle "common feeling", common sense, et se traduit en russe par "common sense", mais en plus du bon sens, ils n'ont pas non plus des compétences d'empathie suffisamment développées, c'est-à-dire , ils ne peuvent pas se mettre à la place d'un étudiant.

Il y a plein d'exemples, ils sont tous extrêmement petits, mais il y en a des milliers, ténèbres et ténèbres.

Eh bien, disons qu'un enfant en éducation préscolaire reçoit des données tabulaires. C'est-à-dire les données ordonnées dans un tableau - ligne, colonne, c'est tout. Et il faut faire quelque chose avec eux.

Ce serait formidable si le but ultime était d'apprendre à utiliser les tables. Mais non. L'idiot (ici, après tout, c'est plutôt idiot), qui a inventé cette tâche, a juste trouvé pratique de la structurer en un tableau et de demander à l'enfant de sélectionner la colonne et la ligne souhaitées.

La capacité d'utiliser des tables n'est pas innée, ale !

En revanche, "tout de même, les parents vont s'asseoir à côté et aider".

Au stade où les enfants connaissent déjà les lettres, une autre personne douée a décidé de leur donner des puzzles. Par exemple, si vous devez tracer un axe et mettre une apostrophe (') après, cela signifie que la dernière lettre du mot doit être supprimée et le mot "guêpe" est obtenu, ce qui signifie, comme on le sait, "grand mouches rayées."

Quelqu'un a-t-il expliqué aux enfants les règles de décodage des énigmes ? Probablement pas.

Eh bien, ou voici une histoire : une fois, un maître du téléphone est venu à Marshak pour réparer son téléphone. Et il s'est avéré que le maître s'adonne également à des comptines pendant son temps libre. Eh bien, Marshak a révélé son talent ici. C'est ainsi qu'est né le poète pour enfants Georgy Afanasyevich Ladonshchikov.

Et maintenant, un siècle plus tard, on demande à un enfant de première année de mémoriser ce chiromancie :

Le vent pousse les nuages
Le vent gémit dans les tuyaux
La pluie est oblique, froide
Des coups sur le verre.

Il y a des flaques sur les routes
Fronçant les sourcils du froid
Se cacher sous un auvent
Tristes tours.

Un vrai présage
Que l'été passe
Ce que demandent les champignons au miel
Eux-mêmes dans une boîte,

Qu'est-ce qui est pressé avec des cadeaux
L'automne est à nouveau lumineux
Qu'est-ce qui s'ennuie à l'école
Talker-appel.

Et pas seulement un enfant, mais toute une classe.

Les parents, bien sûr, introduisent de la poésie dans l'enfant, il en apprend, comme un mantra dénué de sens, posant parfois les questions « qu'est-ce qu'un auvent ? », « Qu'est-ce qu'une boîte ? » et autres (les parents de la classe ont été spécialement interrogés).

Je regarde cela et dis à ma femme qu'il n'est pas nécessaire d'inculquer la haine de la poésie à un enfant tout de suite, s'ils le lui demandent, alors laissez-le le lire sur un morceau de papier ou obtenez un « deux ».

Naturellement, tout dans ce verset est dégoûtant. C'est ce qu'on appelle un "vrai présage", mais je n'ai pas pu isoler exactement où se trouve ce présage particulier, ce qu'il est.

Non, vous pouvez tendre et comprendre la structure du verset: d'abord il y a des signes, puis il s'avère que ce sont des signes que l'été passe et d'autres séries synonymes (feuilles d'été - automne arrive).

Ce n'est pas un verset à demander à un élève de première année en octobre, pour un million de raisons. Tout d'abord, la moitié des concepts sont ringards inconnus, j'en ai parlé plus haut, mais vous pouvez répéter : par exemple, que fait le vent dans les tuyaux ? Eh bien, elle gémit. Quels tuyaux ? Quoi? Où?

Deuxièmement, en plus des concepts, il existe également des dispositifs artistiques, en particulier - une métaphore. Oui, les enfants en général devraient la connaître, ce sont de vraies personnes, mais avant d'apprendre un verset, l'enfant a besoin d'aide pour tout dérouler : pourquoi le vent gémit, qu'est-ce qu'une pluie oblique, comment les flaques se froissent, pourquoi la cloche est-elle un parleur?

Tout cela, bien sûr, peut être fait si vous voulez que l'enfant ne devienne pas fou en mémorisant ces ordures, mais plusieurs pensées surgissent, dont l'essence peut être réduite au fait que non, cela n'implique pas que quelqu'un expliquera à l'enfant sur les métaphores et c'est tout, sinon ils auraient choisi de meilleurs poèmes (par exemple, voici une excellente option - n'importe quel vers avec une intrigue!) Et, d'ailleurs, ils n'auraient pas demandé d'apprendre cela comme devoir pour demain(mais l'aurait fait en classe).

Et si vous le faites malgré ou avec le désir de faire « ce qu'il y a de mieux », alors pourquoi emmener l'enfant à l'école ? (Et ceci - pour tout expliquer correctement - n'est pas le genre de travail qu'on peut faire avec un enfant en une journée).

En même temps, l'école est la meilleure de la ville (comme c'est arrivé, sur le lieu de résidence), et leur professeur n'est pas mauvais.

C'est-à-dire "c'est même le meilleur, vous n'avez pas vu le pire".

VERSETS D'AUTOMNE POUR ENFANTS

Présage fidèle

Le vent pousse les nuages
Le vent gémit dans les tuyaux
La pluie est oblique, froide
Des coups sur le verre.
Il y a des flaques d'eau sur les routes
Fronçant les sourcils du froid
Se cacher sous un auvent
Tristes tours.
Un vrai présage
Que l'été passe
Ce que demandent les champignons au miel
Eux-mêmes dans une boîte,
Qu'est-ce qui est pressé avec des cadeaux
L'automne est à nouveau lumineux
Qu'est-ce qui s'ennuie à l'école
Talker-appel.

(G. Ladonshchikov)

Signes d'automne

Bouleau mince
Porter de l'or.
Ainsi, le présage de l'automne est apparu.

Les oiseaux s'envolent
Au pays de la chaleur et de la lumière,
en voici un autre pour toi
L'automne est un signe.

Gouttes de pluie
Toute la journée depuis l'aube.
Cette pluie aussi
L'automne est un signe.

Garçon fier, heureux :
Après tout, il porte
Chemise d'école,
Acheté en été.

Fille avec une mallette.
Tout le monde le sait : c'est -
Marche d'automne
Un vrai présage.

(L. Preobrazhenskaya)

Automne

Feuilles d'été babillage humide
Verset et éclairci.
Feuille d'érable comme un cygne
Cercles sur l'eau.
Bouleaux rassemblés en troupeaux,
Seuls les vents attendent.
Branches de fumée, pousse -
Quelque part les feuilles brûlent...
Et dans le jardin, dans une brume blanche
Entendu à cent milles de distance
Le bruit des pommes mûres qui tombent
Étoiles trop mûres.
(I. Gamazkova)

Voyez comme la journée est belle

Regarde comme la journée est belle
Et comme le ciel est clair
Comme les cendres brûlent sous le soleil,
L'érable brûle sans feu.

Et encerclant la clairière
Comme un oiseau de feu, la feuille est cramoisie.

Et cramoisi, comme des rubis,
Les baies de Rowan deviennent rouges
En attente d'invités -
Bouvreuils à poitrine rousse...

Et sur le tertre, dans les feuilles rouges,
Comme dans des manteaux de fourrure de renard luxuriants,
Chênes majestueux
Ils regardent tristement les champignons -

Vieux et petit
Russule écarlate
Et l'agaric de mouche violette
Au milieu des trous de ver...

Pendant ce temps, la journée touche à sa fin,
Va dormir dans la tour rouge
Le soleil est rouge du ciel...
Les feuilles meurent.
La forêt se meurt.
(I. Maznin)

Tapis de passage

Derrière les nuages ​​d'automne quelque part
La conversation de Crane se tut.
Sur les chemins où courait l'été
Le tapis multicolore s'est installé.

Le moineau était triste devant la fenêtre,
Les maisons étaient exceptionnellement calmes.
Sur les chemins de tapis d'automne
L'hiver arrive imperceptiblement.
(V. Orlov)

Feuille de nuit

j'étais assis aujourd'hui
Avant la nuit
Presque ouvert
Fenêtre.
Soudain sur le rebord de la fenêtre
Poser
doré
Un petit morceau de papier.
Il fait humide devant la fenêtre
Et il fait noir.
Alors il s'est envolé
Par ma fenêtre.
Il frissonne.
Et on peut voir que c'est pourquoi
La queue bouge
Lui.

(V. Orlov)

Prix ​​d'automne

Secoué
Bruit
Dans le fourré sombre
Pins, mangé!
Rencontrer le vent
Tellement heureux:
Il les remet
Récompenses!
Attache
"Ordre de l'érable"
Sur l'uniforme
Pin vert.
Commandez rouge,
Découper,
avec de l'or
Frontière!
Et une poignée
Médailles
De chaque mangé
Les vents ont donné !
Or
Oui rose -
"Osinov",
"Bouleau"!

(A. Chevtchenko)
Rassemblé et volé

Rassemblé et volé
Canards sur un long voyage.
Sous les racines d'un vieil épicéa
L'ours fait une tanière.
Le lièvre vêtu de fourrure blanche,
Le lapin est devenu chaud.
Porte un écureuil pendant un mois
Réserver les champignons dans un creux.
Les loups rôdent dans la nuit noire
Pour proie dans les forêts.
Entre les buissons au tétras endormi
Un renard s'y glisse.
Cache un casse-noix pour l'hiver
Dans les vieilles noix de mousse astucieusement.
Les aiguilles sont grignotées par les tétras des bois.
Ils sont venus hiverner chez nous
Bouvreuils du Nord.

(E. Golovine)

Feuille

Automne calme, chaud et doux


léger.
Sur les trottoirs, les pelouses, les ruelles
elle les verse, sans le regretter du tout, –

feuille.



feuille.


moment – et, contournant la large corniche,
descente!
(A. Starikov)

Automne dans la forêt

Forêt d'automne chaque année
Paye en or pour entrer.
Regarde le tremble -
Tout vêtu d'or
Et elle babille :
"J'ai froid ..." -
Et des frissons de froid.

Et le bouleau est heureux
Jaune le long :
« Quelle robe !
Quel délice! "
Les feuilles ont volé rapidement
Le gel est venu soudainement.
Et le bouleau murmure :
"Froideur! ..."

Fuite par le chêne
Manteau de fourrure doré.
Le chêne a pris, mais c'est trop tard
Et il fait du bruit :
"J'ai froid ! J'ai froid !"
Trompé l'or -
Pas sauvé du froid.

(De A. Gontar, traduit par V. Berestov)

Automne

Ralentis, automne, prends ton temps
Détendez vos pluies
Répandez vos brumes
sur la surface instable de la rivière.

Ralentir, automne, montrer
Tourne les feuilles jaunes pour moi,
Laissez-moi m'assurer, lentement,
Comme ton silence est frais

Et comme le bleu sans fond du ciel
Sur la flamme brûlante des trembles...

(L. Tatyanicheva)

Automne

Tous les arbres s'endorment
Les feuilles tombent des branches.
Seul l'épicéa ne s'effrite pas -
Elle ne s'endort en aucun cas.
La peur ne donne pas de repos :
Je ne dormirais pas trop la nouvelle année !

(M. Schwartz)

Automne

Une pluie ennuyeuse tombe sur le sol
Et l'étendue s'est fanée.
L'automne a éteint le soleil
Comme un réparateur d'ampoules.

(M. Schwartz)

Automne

Automne,
automne...
Le soleil
Humide dans les nuages –
Même à midi il brille
Mat et timide.
Du bosquet froid
Sur le terrain,
au chemin
Soufflé par un lièvre –
La première
Flocon de neige.

(T. Belozerov)

Couturière d'automne

Pour que la terre-miette hiverne sans tracas,
Elle lui coud une courtepointe en patchwork.
La feuille est soigneusement cousue à la feuille,
L'aiguille de pin ajuste le point.

Dépliants au choix - n'importe lequel vous sera utile.
Ici à côté des mensonges pourpres cramoisis,
Bien que la couturière aime beaucoup le doré,
Brown et même tacheté feront l'affaire.

Attachez-les soigneusement avec un fil de toile d'araignée.
Plus beau que cela, vous ne trouverez pas de photo.

(T. Gusarova ■ )

Marcheur de feuilles

La pluie rouge tombe du firmament,
Le vent porte des feuilles rouges...
Chute des feuilles,
Changement de saisons
Marcheur de feuilles sur la rivière, marcheur de feuilles.
Les bords de la rivière gèlent
Et il n'y a nulle part où aller du gel.
La rivière est recouverte d'un manteau de fourrure de renard,
Mais des frissons
Et il ne peut pas se réchauffer.

(V. Chouljik)

Automne coloré

Automne coloré – soirée de l'année–
Me sourit légèrement.
Mais entre moi et la nature
Un verre fin a émergé.

Ce monde entier – en pleine vue,
Mais je ne peux pas revenir en arrière.
Je suis aussi avec toi, mais en calèche,
Je suis aussi à la maison, mais en route.

(S. Marshak)

Les blizzards blancs arrivent

Les blizzards blancs arrivent
La neige sera soulevée du sol.
Envole-toi, envole-toi
Les grues se sont envolées.

N'entends pas le coucou dans le bosquet,
Et le nichoir était vide.
La cigogne bat des ailes -
S'envole, s'envole !

Balançoire à feuilles à motifs
Dans une flaque d'eau bleue sur l'eau.
Une tour marche avec une tour noire
Dans le jardin le long de la crête.

Émietté, jauni
Les rayons du soleil sont rares.
Envole-toi, envole-toi
Les tours s'envolèrent aussi.
(E. Blaginina)

Feuille

Automne calme, chaud et doux
porte partout des feuilles fanées,
peintures au citron, couleur orange
léger.
Sur les trottoirs, les pelouses, les ruelles
elle les verse, ne regrettant pas du tout, -
suspendu au-dessus de la fenêtre dans les toiles d'araignée
feuille.
Ouvrez grand la fenêtre. Et un oiseau crédule
Il est assis dans ma paume, tourne en rond,
léger et froid, doux et propre
feuille.
Un coup de vent. La feuille décolle de la paume
le voilà déjà sur le prochain balcon,
moment - et, contournant la large corniche,
descente!
(A. Starikov)

Le bosquet d'or

Automne! Le bosquet d'or !
Or, bleu,
Et sur le bosquet vole
Un troupeau de grues.
Haut sous les nuages
Les oies répondent
Avec un lac lointain, avec des champs
Dis au revoir pour toujours.
(A. Nouveau venu)

L'automne est venu

L'automne est venu
Les pluies ont commencé.
Quelle tristesse
Les jardins donnent.

Les oiseaux ont tendu la main
Aux terres chaudes.
L'adieu se fait entendre
Grue mordant.

Le soleil ne gâche pas
Nous avec notre chaleur.
Nord, glacial
Il fait froid.

c'est trop triste
Triste au coeur
De quel été
Ne revenez pas déjà.
(E. Arsenina)

Chute des feuilles

Des éclats de glace craquent sous le pied,
Je ne vois rien. Obscurité.
Et les feuilles bruissent - invisibles,
Voler de chaque buisson.
L'automne parcourt les routes de l'été
Tout est calme, il est facile de se reposer.
Seulement dans le ciel est festif de la lumière -
Le ciel a illuminé toutes les constellations ! ..
Ils sont semblables aux feuilles d'or,
Les étoiles tombent du ciel ... volant ...
Comme si dans un ciel sombre et étoilé aussi
Les feuilles d'automne tombent.
(E. Trutneva)

Chute des feuilles

Chute des feuilles,
Chute de feuilles !
Les oiseaux jaunes volent...
Ce ne sont peut-être pas des oiseaux
Vous partez pour un long voyage ?
Peut être ça
Juste l'été
S'envoler pour se reposer ?
Se reposer
Va gagner en force
Et retour à nous
Reviendra.

(I. Boursov)

Leçon de chute des feuilles

Et par paires, par paires après elle,
Pour son doux professeur
Nous quittons solennellement le village.
Et dans les flaques des pelouses, le feuillage se déversait !

"Regarde ! Sur les sapins de Noël sombres dans les sous-bois
Les étoiles d'érable brûlent comme des pendentifs.
Penchez-vous pour la plus belle feuille
Veiné de pourpre sur or.

Souviens-toi de tout, comment la terre s'endort,
Et le vent s'endort avec le feuillage."
Et dans l'érablière, c'est de plus en plus lumineux.
De plus en plus de feuilles s'envolent des branches.

Nous jouons et nous précipitons sous les feuilles qui tombent
Avec une femme triste et pensive à côté de lui.

(V. Berestov)

Conférence d'automne

Kalina a parlé à Kalina :

– Pourquoi es-tu, mon ami, dans le pétrin ?
Pourquoi est-ce si nuageux ?

Quel genre de douleur votre cœur souffre-t-il? ..

Kalina a répondu à Kalina :

– C'est pourquoi la rupture me ronge,

Cet hiver est déjà sur le pas de la porte

Qu'un blizzard est déjà en route

Ce n'est pas pour rien - pensez par vous-même ! –

Nos branches se sont envolées hier ! ..

(A. Kaminchuk)

Vent d'automne

Pluie. Nuages ​​au sol
Une succession ininterrompue.
Sous le buisson le sec est triste
Nid vide.

Le vent tourne et se précipite -
Feuilles tourbillonnantes, bruit et gémissement,
Peut-être se transformer en tempête
Pensait-il cette fois ?

La pluie se calme le soir.
Les rêves errent dans le jardin de nuit.
Et recroquevillé en boule, le vent
Semble endormi dans un nid vide.
(N. Zverkovskaïa)

Vent d'automne

Quelqu'un marche à la porte -
Il touchera la branche
Puis il ramassera les brins d'herbe
Et jetez-le.

Il commencera à plier le sorbier
Dans une datcha bouchée,
Ici, j'ai commencé à souffler sur une flaque d'eau,
Comme du thé chaud.

Et ne gèle pas sans manteau
Par une froide soirée bleue...
Ce quelqu'un n'est personne
Il est le vent d'automne.
(L. Derbenev)

Écho d'élan

Un élan sonna anxieusement :

L'été était - c'était fini.

Et l'alarme de la forêt

Roulé le long de la route.

Il s'est envolé vers les nuages ​​avec le vent,

J'ai couru le long des sentiers du renard.

Et des arbres un écho jaune

Feuilles d'automne tombées.
(V. Stepanov)

Grues

Au-dessus du champ de maïs brun
Cannabis
Voler paresseusement
Grues.
Volent
Ils font écho.
Ils regardent tout le monde
Dites au revoir
Avec des sapins de Noël
Vert,
Avec des bouleaux
Et avec des érables
Avec des vallées
Avec des lacs
Avec des êtres chers
L'immensité.
(G. Ladonshchikov)

Soins d'automne du lièvre

Qu'y a-t-il dans la tête d'un lièvre ?
Préparez-vous pour l'hiver.

Obtenez-le à l'extérieur du magasin
Une excellente doudoune d'hiver.

Blanc et blancheur
Pour y courir jusqu'au printemps.

Le premier est devenu un peu froid
Oui et – gris, et – trop petit.

Il est dans l'hiver de la meute ennemie,
Comme une cible sur une pente.

Ce sera plus sûr dans le nouveau
Pas plus perceptible pour les chiens et les hiboux.

Blanche neige et fourrure blanche –
Et plus chaud et plus beau que tout !

( T. Umanskaya)

Dernières feuilles

Volent au dessus des champs
Dernières feuilles,
Dernières feuilles
Ils volent dans la forêt.
Et le soleil, à peine
Briser les nuages
Dépose le dernier rayon non chauffant.
Je ne peux pas entendre sur la rivière
pas une chanson, pas un mot.
Les pêcheurs sont partis
Avec la dernière prise.
Mais ils croient obstinément
à la fois les humains et les oiseaux :
Tout renaîtra !
Tout se reproduira !

(A. Nouveau venu)

Conte d'automne

Le conte commence
L'automne est calme.
Elle marche à travers les bois
Comme une vache à orignal
Ne pas être vu
Ne pas entendre
Comme pour les branches.
Mais derrière elle nous sommes avec toi
Dépêchons-nous.
Vous voyez flashé
Bouquets de sorbier de septembre.
Voir le champignon devenu rouge
Sous le peuplier faux-tremble.
Se bloque dans une fumée légère
Il y a une toile d'araignée sur le pin.
L'été s'est embrouillé en elle
Feuille de tremble.
(G. Novitskaïa)

La forêt sent aussi les champignons

La forêt sent aussi les champignons
Et la feuille ne s'est pas détachée
Au tremble.
Et de la cendre de montagne brunie
Même la chaleur de l'été
N'a pas disparu.
je n'ai pas encore tout dit
Ruisseau,
Vivre sous les racines.
Mais la pluie
Déjà pressé après nous
Comme si les forêts
Je n'ai pas vu!
(G. Novitskaïa)

Sur la route, sur le chemin

Sur la route, sur le chemin
La forêt a perdu ses feuilles.
toile d'araignée
Il a grimpé dans mon col.

La nuit est devenue plus sombre
Et le coup du pic n'est pas audible.
Le plus souvent la pluie mouille les branches,
Aucun bruit de tonnerre ne sera entendu.

Le matin déjà sur une flaque d'eau
La première glace est apparue.
Et la neige file doucement
Connaître le gel sur le chemin, ça va.
(L. Nelyubov)

Tâches d'automne

Le matin dans la forêt
Au dessus du fil argenté
Les araignées s'affairent –
Opérateurs téléphoniques.
Et maintenant de l'arbre
Jusqu'au tremble,
Comme des fils scintillent
Toiles d'araignée.
Des appels sonnent :
– Attention! Attention!
Ecoutez l'automne
Tâches!
– Salut, ours !
– J'écoute! Oui oui!
– Juste au coin de la rue
Froid!
Jusqu'à l'arrivée de l'hiver
Au seuil
Vous avez besoin d'urgence
Trouvez une tanière!
Les appels sonnent
Écureuils et hérissons
Du haut
Et jusqu'aux étages inférieurs :
– Vérifiez bientôt
Propre garde-manger –
Y a-t-il suffisamment de fournitures
Pour l'hivernage.
Les appels sonnent
Au vieux marais :
– Les hérons ont tout prêt
Pour le départ ?
– Tout est prêt pour le départ !
– Bonne chance!
N'oublie plus
Regarder dans!
Les cloches sonnent au tilleul
Et l'érable :
– Salut! Raconter,
Qui est au téléphone ?
– Salut! Par téléphone
Fourmis!
– Fermer
Vos fourmilières !
– Dis-moi, est-ce une rivière ?
– Rivière, rivière !
– Pourquoi pour les écrevisses
Pas de place?
Et la rivière répond :
– C'est de la merde !
Je vais te montrer,
Où les écrevisses hibernent !
– Bonjour gars!
Bonne après midi les gars!
Déjà dans la rue
Il fait frais!
C'est l'heure des oiseaux
Des mangeoires suspendues –
Aux fenêtres, aux balcons,
Au bord !
Après tout, les oiseaux –
Vos fidèles amis,
Et à propos de nos amis
Vous ne pouvez pas oublier !

(V. Orlov)

Docteur Automne

Sur les épines des hérissons
Il existe deux emplâtres à la moutarde.
Cela signifie que quelqu'un les a mis,
Mais où est ce docteur ?
La forêt soupira
Et jeta les feuilles...
– je l'ai deviné ! C'est l'automne!

(E. Grigorieva)

De l'aube au crépuscule

Les forêts tournent
Dans les voiles peintes.
L'automne encore
Partir à nouveau
Sans commencement, sans fin
Au dessus de la rivière
Et par le porche.

Ici, ils flottent quelque part -
Puis de nouveau
Et puis allez-y.
De l'aube au crépuscule
Le vent les déchire.

Toute la journée
Pluies obliques
Tirer des fils à travers les bois
Comme s'ils réparaient peint
Voiles d'or...

(V. Stepanov)

Jusqu'à l'été prochain

Quitte tranquillement l'été,
habillé de feuillage.
Et reste quelque part
en rêve ou en réalité :
mouche d'argent
dans les filets d'araignées,
tasse non bue
lait frais.
Et un ruisseau de verre.
Et une terre chaude.
Et sur la clairière de la forêt
bourdon bourdonnant.

Vient tranquillement l'automne,
habillé de brouillard.
Elle apporte les pluies
de pays étrangers.
Et un tas de feuilles jaunes,
et l'arôme de la forêt,
et l'humidité dans les terriers sombres.

Et quelque part derrière le mur
réveil jusqu'à l'aube
gazouille sur la table :
"Jusqu'à boo-doo-shche-go-ta,
jusqu'à boo-doo-shche-go ... "

(Tim Sobakin)

Lettre

Brise d'automne en colère
J'ai cueilli une feuille du buisson.
Tourné avec une feuille pendant longtemps.
Encerclé au-dessus des arbres
Et puis à genoux
Déposez la feuille jaune.
J'ai touché mon visage avec froid:
« Trouvez la lettre !
L'automne te l'a envoyé,
Et un autre tas de jaunes,
Rouge,
Différentes lettres
J'ai laissé tomber.

(E. Avdienko)

Automne

Bruit sous les pieds
Feuilles à flancs jaunes.
C'est devenu humide, c'est devenu nu,
Nous devons nous préparer pour l'école.
j'ai à peine un cahier
Publié dans mon portfolio
Parmi les baies de sorbier,
Feuilles d'érable et de tremble
Glands et russule...
Et, probablement, Olezhek,
Mon collègue demandera :
"Qu'est ce que tout ca?" "C'est l'automne"...
(T. Agibalova)

Ryabinushka

Voir! Les trembles sont devenus rouges

Dans des châles de bouleaux jaunes sont ...

À la forêt prima donna de Rowan

Les perles brûlent avec un rubis écarlate.

Habillé comme une princesse,

Lors d'une splendide fête d'automne.

Sa sirène de la forêt, probablement,

Elle a tressé sa tresse le matin.

(L. Chadova)

Miracle d'automne

Maintenant c'est l'automne, le mauvais temps.
Pluie et gadoue. Tout le monde est triste :
Parce qu'avec l'été chaud
Ils ne veulent pas partir.

Le ciel pleure, le soleil se cache
Le vent chante plaintivement.
Nous avons fait un vœu :
Que l'été revienne à nous.

Et ce souhait s'est réalisé,
Les enfants s'amusent :
Un miracle maintenant - l'été indien,
Il fait chaud en plein automne !
(N. Samoniy)

L'automne pleure doucement dans une danse

Lâche ses tresses en automne
Un feu ardent.
Plus souvent le gel, moins souvent - la rosée,
La pluie est d'argent froid.

L'automne a dénudé ses épaules
Tous les arbres dans le décolleté -
Bientôt le bal, soirée d'adieu...
Le feuillage valse déjà.

Chrysanthèmes à la fourrure merveilleuse
Colorez la tenue d'automne.
Le vent n'est pas un obstacle à la balle -
Une musique plus forte cent fois !

Lâche ses tresses en automne,
Le vent fait flotter la soie de tes cheveux.
Plus souvent le gel, moins souvent - la rosée,
Le parfum des roses tardives est plus doux.

L'automne pleure doucement dans une danse
Les lèvres tremblent dans un murmure.
Dans les flaques, un regard triste se cache.
Les oiseaux tournent pitoyablement.

Tendant un morceau de papier comme une main,
Agitant un triste "Au revoir" ...
Automne, sentiment de séparation,
Chuchote en larmes : "Souviens-toi..."
(N. Samoniy)

Triste automne

Les feuilles se sont envolées
Suivre la volée d'oiseaux.
Je suis sur un automne rouge
Tu me manques jour après jour.

Le ciel est triste
Le soleil se décourage...
C'est dommage que l'automne soit chaud
ça ne dure pas longtemps !
(N. Samoniy)

Les prunes tombent dans le jardin...

Les prunes tombent dans le jardin
Un noble régal pour les guêpes...
Feuille jaune baignée dans un étang
Et accueille le début de l'automne.

Il s'imaginait comme un navire
Le vent des errances le secouait.
Alors nous naviguerons après lui
Aux amarres inconnues de la vie.

Et on sait déjà par cœur :
Dans un an, il y aura un nouvel été.
Pourquoi la tristesse universelle
Dans chaque vers de poésie ?

Parce qu'il y a des traces dans la rosée
Laver les averses et le froid des hivers ?
Parce que tous les moments
Fugace et unique ?

(L. Kuznetsova)

Automne. Silence dans le village datcha...

Automne. Silence dans le village datcha,
Et sonnant désertement sur le sol.
Une toile d'araignée dans un air transparent
Froid comme une fissure dans le verre

À travers les pins roses sablonneux
Le toit devient bleu avec le coq ;
Dans une brume légère, le soleil de velours -
Comme une pêche touchée par un duvet.

Au coucher du soleil, luxuriant, mais pas abrupt,
Les nuages ​​attendent quelque chose, figés ;
Se tenant la main, émaner de l'éclat
Les deux derniers, les plus dorés ;

Tous deux tournent leurs visages vers le soleil,
Les deux s'estompent à une extrémité ;
L'aîné porte la plume de l'oiseau de feu,
Le plus jeune est une plume de poussin de feu.
(N. Matveeva)

Fin de l'automne

Rejoué les couleurs de l'automne
Une émeute de couleurs s'estompe
Et des arbres au gris clair
Habillez-vous avec la première neige.

Seulement des pins et mangé
Ils n'enlèvent pas leurs manteaux de fourrure
Ni dans la chaleur ni dans le blizzard -
Les verts sont délicatement conservés.

Et vraiment, merveilleusement
Blanc et vert
Combinez magnifiquement
Seulement un hiver glacial !

(E. Yakhnitskaïa ■ )

Se plaint, pleure

Se plaint, pleure
L'automne par la fenêtre
Et cache des larmes
Sous le parapluie de quelqu'un d'autre...

Des passants importuns
les dérange –
Différent, différent,
Endormi et malade...

Qui peste ennuyeux
Désir venteux
Puis elle respire un rhume
Ville humide...

Qu'est-ce que vous voulez
Etrange madame ?
Et en réponse – énervant
Fouetter à travers les fils...
(A. Travianaya)

L'automne approche

De plus en plus froid
Et les jours sont devenus plus courts.
L'été court vite
Une volée d'oiseaux, clignotant au loin.

Déjà les sorbiers sont devenus rouges,
L'herbe s'est flétrie
Apparu dans les arbres
Feuillage jaune vif.

Le matin le brouillard tourbillonne
Immobile et aux cheveux gris
Et à midi le soleil se réchauffe
Comme dans la chaleur estivale.

Mais dès que le vent souffle
Et feuillage d'automne
Clignote dans une danse lumineuse
Comme les étincelles d'un incendie.
(I. Butrimova)

Automne doré d'une beauté merveilleuse

Ciel bleu, fleurs lumineuses
Automne doré d'une beauté merveilleuse.
Combien de soleil, de lumière, de douce chaleur,
L'automne nous a donné cet été indien.
Nous sommes heureux des derniers jours chauds et clairs,
Sur les souches d'agarics au miel, dans le ciel pour les grues.

Comme si un artiste avec une main audacieuse
J'ai peint des bouleaux avec de la peinture dorée,
Et, en ajoutant du rouge, j'ai peint les buissons
Érables et trembles d'une merveilleuse beauté.
Il s'est avéré que c'était l'automne – Accrocheur !
Qui d'autre peut dessiner comme ça ?
(I. Butrimova)

Chute des feuilles

Les feuilles tombées bruissent sous les pieds
La terre entière, recouverte d'un tapis multicolore,
Et les érables d'automne sont des flammes froides
Un feu d'adieu scintille au soleil.

Et le vent joue avec une branche de sorbier
Et les grappes scintillent dans le feuillage d'automne.
Il y a eu un signe parmi les gens depuis longtemps
Qu'il y a beaucoup de sorbier - pour un hiver froid.

Yeux d'or des dernières marguerites
Rappel à nouveau de la chaleur perdue
Et les gouttes de rosée, comme des larmes vivantes,
De leurs cils blancs qui coulent à l'aube.

Et le vent continue de souffler les feuilles tombées
Et les grues volent comme un coin.
Pour moi un train qui filait de l'été à l'automne,
Il brandira un ticket jaune au loin.
(I. Butrimova)

Ennuyé par la fenêtre

Je m'ennuyais devant la fenêtre... Et alors ?
Je profite de cette belle journée.

Je regarde les lacs du ciel, je m'y fond,
Dans la distance vertigineuse flottant loin.

Je respire l'odeur des feuilles avec un goût amer.
J'admire la dentelle de la toile d'araignée.

Et je me réjouis au moment où j'ai vécu
Dessiner une inspiration surnaturelle.

Il devenait paresseux devant la fenêtre... Et alors ?
Je profite de cette belle journée...
(N. Pristi)

Septembre nous attriste avec des larmes de pluie...

Septembre nous attriste avec des larmes de pluie...
Des herbes ont été cachées sous l'argent plus d'une fois,
Dans les flaques du matin il y a des cadres transparents,
Le sorbier sous la fenêtre rougit comme un enfant...
La rivière coule, se dépêche, essayant d'éviter
Sommeil douloureux et longue captivité...
Et le bouleau érable murmure avec inspiration,
Comme il sait attendre patiemment...
(O. Kukharenko)

Septembre est intelligent...

En bottes rouges, en costume jaune,
Septembre est sorti dans une tenue à la mode.
Dans une boucle de blé, à l'envie des vierges,
Le rubis viburnum est habilement tissé.

Dandy marche sur l'herbe du pré,
Apporte des cadeaux à ses amis.
Tremble dans le bosquet, dans la forêt de bouleaux
Ils attendent la couleur du miel et de l'or dans les tresses.

A donné toutes les couleurs en septembre généreux,
Mais il n'y avait pas assez de pin et de cèdre,
Et le tilleul et le chêne ne suffisent pas...
September demande l'aide de son frère.

En habit d'ambre, au tintement des ruisseaux,
Octobre se fête dans les jardins et les parcs,
Et l'or se déverse dans divers échantillons.
Novembre, tout en blanc, est déjà sur la route.

(I. Rasulova ■ )

Octobre est venu

Octobre est arrivé. Élevé sous les couronnes
Votre torche – les forêts s'enflammèrent.
Un pin avec feu vert
Des rires à tomber dans les yeux.
Le vent marche le long des ruelles
Avec feuillage aux noces d'or.
Et la forêt est triste pour les trilles des oiseaux,
Renverser un calme maussade.
(L. Bochenkov)

novembre

Les érables volent de plus en plus vite
La basse voûte céleste s'assombrit,
On voit de plus en plus comment les couronnes se vident,
La forêt s'engourdit de plus en plus,
Et se cache de plus en plus souvent dans l'obscurité
Le soleil refroidit jusqu'au sol...
(I. Maznin)

"Tirelire méthodique Nous apprenons des poèmes sur l'automne (6-7 ans) VRAI PRINCIPE AUTOMNE Le vent pousse les nuages, L'automne est venu, Le vent est dedans..."

Tirelire méthodique

Apprendre des poèmes sur l'automne (6-7 ans)

FIDÈLE PREMIER AUTOMNE

Le vent chasse les nuages, l'automne est arrivé,

Le vent gémit dans les tuyaux, les fleurs se sont taries,

La pluie est oblique, froide et ils ont l'air triste

Des coups sur le verre. Buissons nus.

Sur les routes, les flaques se fanent et jaunissent

Ils froncent les sourcils à cause du froid, L'herbe dans les prés, Ils se cachent sous la canopée Seuls les tristes tours verdissent. L'hiver dans les champs.

Un vrai présage, Un nuage couvre le ciel, Que l'été passe, Le soleil ne brille pas, Que les champignons demandent Le vent dans le champ hurle, Eux-mêmes dans une boîte, La pluie bruine..

Ce qui est pressé de cadeaux Les eaux bruissaient Encore un automne lumineux, Ruisseau rapide, Ce qui s'ennuie à l'école Les oiseaux s'envolèrent Talker-bell. Aux terres chaudes.

(Georgy Ladonshchikov) (Alexey Pleshcheev)

VACANCES DE RÉCOLTE

CIEL BLEU, FLEURS LUMINEUSES

Les parcs d'automne sont décorés de ciel bleu, de fleurs lumineuses, de feuillages colorés.

Automne doré d'une merveilleuse beauté.

L'automne se nourrit de récolte Combien de soleil, de lumière, de douce chaleur, Les oiseaux, les animaux et vous et moi.

L'automne nous a donné cet été indien.

Nous nous réjouissons des derniers jours chauds et clairs, Et dans les jardins, et dans le jardin, Sur les souches d'agarics de miel, dans le ciel pour les grues. Aussi bien en forêt qu'au bord de l'eau.

Préparé par la nature Comme si un artiste avec une main audacieuse Toutes sortes de fruits.

J'ai peint les bouleaux avec de la peinture dorée Et, en ajoutant du rouge, j'ai peint les buissons Les champs sont en train d'être récoltés Érable et tremble d'une beauté merveilleuse. Les gens ramassent du pain.

Il s'est avéré que c'était l'automne - vous ne pouvez pas quitter les yeux ! La souris fait glisser le grain dans le trou, Qui d'autre pourra dessiner comme ça ? Pour déjeuner en hiver.

(Irina Butrimova) Les écureuils sèchent les racines, les abeilles stockent le miel.

Grand-mère fait de la confiture, met des pommes à la cave.

La récolte est moche Collectionnez les cadeaux de la nature !

Dans le froid, dans le froid, par mauvais temps La récolte sera utile !

(Tatiana Bokova)

CHAMPIGNONS CHAMPIGNONS ENCORE FORET APPROCHE DE L'AUTOMNE

ça sent aussi les champignons

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LES NIVES SONT COMPRIMÉS, LES POUSSES DE TÊTE...

Les champs sont comprimés, les bosquets sont nus, De la brume d'eau et de l'humidité.

Le soleil tranquille descendait avec une roue derrière le bleu de la montagne.

La route foudroyée sommeille.

Aujourd'hui, elle rêvait que c'était très, très peu d'attendre l'hiver gris...

(Sergey Yesenin) Énigmes sur l'automne

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