Secoue sa tête. Pourquoi le bébé tourne-t-il la tête négativement ? Recours

23.01.2024

De nombreux parents peuvent s'inquiéter du fait que leur bébé tourne la tête d'un côté à l'autre au cours de la première année de sa vie. Il peut y avoir plusieurs raisons à cela. Essayons maintenant de les comprendre :

L'arrière de ma tête transpire
Rachitisme
Les camions à essence tourmentent
Comme

En fait, ce ne sont pas toutes les raisons. Si vous craignez que votre enfant tourne la tête d'un côté à l'autre, assurez-vous de le signaler lors d'une visite de routine chez le pédiatre ou montrez votre bébé à un neurologue.

Raisons pour lesquelles un enfant tourne la tête

Faites attention aux symptômes qui l'accompagnent - fièvre, régurgitation, repli des jambes, ou peut-être que le bébé fait cela quand il a faim ?

Il arrive qu'un enfant tourne la tête d'un côté à l'autre dans le contexte. Dans ce cas, il existe des symptômes tels qu'une transpiration accrue, principalement au niveau de la tête, et les poils à l'arrière de la tête sont effacés. Mais la présence de ces symptômes n'indique pas toujours inconditionnellement le développement du rachitisme, car la tête peut transpirer pendant l'alimentation. Ce n’est pas pour rien que les pédiatres recommandent de donner de la vitamine D à tous les bébés à titre préventif contre le rachitisme. Transpirer l'arrière de la tête apporte des désagréments considérables à l'enfant. C'est ce qui amène dans certains cas l'enfant à tourner la tête dans des directions différentes, en essayant de se gratter l'arrière de la tête.

Beaucoup de gens associent la poussée dentaire au fait que l'enfant tourne la tête dans des directions différentes.

La plupart des nourrissons souffrent. Si un bébé est tourmenté par les gaz, il rougit, rentre ses jambes, se tord et tourne la tête d'un côté à l'autre.

Pourquoi un enfant devrait-il tourner la tête d’un côté à l’autre ?

Mais il peut aussi y avoir des raisons tout à fait inoffensives. S'il n'y a aucune raison de s'inquiéter lorsque le bébé tourne la tête d'un côté à l'autre, peut-être qu'il aime ça, qu'il s'amuse ou qu'il se « berce ». Oui, cela arrive aussi. Bien que certains médecins soient fermement convaincus que de tels mouvements doivent être arrêtés.

Ou peut-être que votre bébé copie votre comportement ? Il s'intéresse à chaque nouveau mouvement, il apprend à connaître son corps et les tours rapides de la tête d'un côté à l'autre provoquent une intéressante sensation de mal des transports.

Mais quand même, si vous craignez que votre enfant tourne la tête d'un côté à l'autre, contactez votre pédiatre pour savoir pourquoi et pourquoi le bébé fait cela.

Si un petit enfant secoue la tête, les parents doivent se méfier et signaler ce signe au pédiatre. Au mieux, le problème résidera dans un manque d’attention. C'est-à-dire que le bébé hoche ou secoue périodiquement la tête, essayant de manipuler l'attention de ses parents (cela arrive quand il est gâté). Lorsque les parents, pour certaines raisons, passent moins de temps avec le bébé, celui-ci recourt à cette méthode. Si ce n'est pas la raison pour laquelle il secoue la tête dans des directions différentes, le bébé peut avoir des problèmes de santé.

Les tremblements de tête sont généralement basés sur les raisons suivantes :

Plaisir. Selon les neurophysiologistes et les pédiatres, lorsque le centre de l'équilibre du cerveau est surexcité, l'enfant aime le balancer. Ces actions lui remontent grandement le moral, mais cette condition n'a rien à voir avec l'autisme. Dans ce cas, les parents n'ont rien à faire ; comme vous le savez, après un an, les enfants hochent rarement la tête.
Mal de tête. L'enfant est capable de les vivre à cause d'un traumatisme. Non seulement il secoue la tête pour se distraire de la douleur, mais il agit également.
Toute autre douleur. L'otite moyenne, la poussée dentaire ou les crampes abdominales provoquent également des tremblements de la tête dans différentes directions. De cette façon, le bébé essaie de se distraire de la douleur intense.
Faiblesse générale du corps. Note aux parents : tous les muscles du cou des enfants se renforcent au fil des mois et ils sont capables de bouger la tête pendant l'allaitement. Durant les premiers mois, une femme doit tenir la tête de son bébé pendant l'allaitement. Mais après que l'enfant a commencé à le tenir avec confiance, les pédiatres recommandent à la mère de ne pas tenir sa tête, citant le fait que les muscles du cou du bébé sont ainsi mieux renforcés.
Rachitisme. C'est pire lorsqu'un enfant développe une maladie qui se traduit par une faiblesse générale, une incapacité à tenir la tête haute à 3-4 mois, des membres tordus, des troubles du sommeil, des larmoiements, une perte d'appétit et d'autres signes. Il convient de noter que cette maladie ne peut être négligée : les enfants commencent à développer des pieds plats, une scoliose, la poitrine fait saillie vers l'avant et la vision se détériore.
L’arrière de ma tête transpire. Souvent, les parents contrôlent mal la température dans la pièce ou enveloppent trop leur enfant. Il secoue la tête. Cependant, s'il a commencé à le faire en observant le régime de température, le problème réside dans une maladie neurologique.
Curiosité. De nombreux parents remarquent que leurs enfants entre 10 mois et un an commencent à bouger beaucoup la tête. L'action n'a rien à voir avec des conditions pathologiques ; les petits adorent cette action par curiosité.

Un bébé d'un an secoue la tête par curiosité

Maladies neurologiques

Si un enfant présente d'autres signes qui le gênent (dort mal, est capricieux, ne veut pas manger, etc.), les raisons acceptables sont ici :

épilepsie;
hydrocéphalie (traitement des nourrissons);
autisme;
tétraparésie réflexe : la tête s'incline d'un côté. Il est difficile pour un enfant de le tenir uniformément et pendant longtemps en raison de l'hypertonie musculaire et des réflexes pathologiques, et il le secoue périodiquement ;
une forte explosion émotionnelle, après quoi des attaques cyatoniques se produisent. Devant eux, le bébé secoue souvent la tête et émet un cri aigu et perçant, et lors d'une attaque, il expire brièvement, après quoi sa respiration s'arrête pendant un moment ;
Maladie de Krabbe : le nourrisson prend peu de poids, souffre de convulsions, d'allergies au lait, d'hyperpyrexie, de vomissements et pleure souvent ;
neuromyélite optique : le bébé a des vertiges lorsqu'il s'endort et, tout au long de la maladie, les parties distales des pieds et des mains sont touchées, une névrite optique apparaît et de fréquentes crises de maux de tête provoquent des tremblements périodiques de la tête. Parfois, des troubles du fonctionnement des organes pelviens surviennent.

Lorsqu'il s'endort, un bébé épileptique contracte ses membres et secoue la tête de temps en temps. Pendant le sommeil, les signes s'intensifient un instant, le bébé se met à pleurer fort, puis se calme rapidement. Selon la gravité de la maladie, le bébé subit des crises fréquentes et de graves maux de tête.

Parfois, des contractions surviennent avant le coucher. Il est impossible de ne pas remarquer cette affection ; les parents doivent absolument informer le médecin de ces signes chez leur enfant. À titre de diagnostic, un EEG est effectué sur le bébé, dont les résultats déterminent l'épilepsie ou une activité cérébrale accrue.

Un enfant peut secouer la tête en raison d'une maladie neurologique telle que l'autisme

Avec l'autisme, la tête d'un enfant s'incline parfois fortement vers l'arrière, sur le côté ou vers l'avant. Les parents de ces enfants se demandent souvent pourquoi leurs enfants, si doués dans certaines activités, n'éprouvent pas d'émotions positives, ne réagissent pas et secouent parfois la tête. Avant de poser un diagnostic, ils pensent que leurs filles ou leurs fils sont en parfaite santé, puis les pédiatres proposent de s'inscrire pour handicap.

Hydrocéphalie

Parmi d’autres maladies neurologiques, l’hydrocéphalie (hydropisie) entraîne des tremblements de tête pendant l’alimentation, avant le coucher ou à tout autre moment. En raison de l'accumulation de liquide cérébral dans les ventricules cérébraux, l'enfant souffre de graves maux de tête. Il lui est difficile de tenir sa tête et, dans certains cas (tout dépend de l'étendue de la maladie), c'est impossible.

Le bébé commence à relever la tête plus tard que les autres enfants ; en raison de sa lourdeur, il peut inconsciemment hocher la tête. Ce n'est qu'à l'âge de 10 mois, avec une hydrocéphalie communicante ou occlusive, qu'il commence à tenir sa tête avec confiance. Lorsque l'enfant essaie pour la première fois de faire des mouvements, la tête est rejetée en arrière ou inclinée en raison de la lourdeur des ventricules. Il convient de noter que le rejet de la tête en arrière peut se produire sur plusieurs décennies.

Avec cette maladie, il est souvent nécessaire de subir une intervention chirurgicale pour installer un dispositif de dérivation afin de drainer l'excès de liquide. Après l'intervention, l'écoulement du liquide céphalo-rachidien se normalise progressivement, la tête du bébé devient plus légère et la douleur le dérange moins. Cette maladie ne peut être traitée rapidement que si elle est diagnostiquée à temps. Une tendance a été constatée selon laquelle plus l'enfant atteint de cette maladie est âgé, plus la thérapie durera longtemps ; dans de rares cas, elle s'étendra sur plusieurs années ;

Si l'hydrocéphalie s'accompagne d'épilepsie, l'enfant doit être traité de toute urgence, car lorsque les crises des deux maladies coïncident, le bébé peut mourir subitement !

Demander de l'aide médicale

Si l'enfant secoue simplement la tête de temps en temps et n'est pas gêné par d'autres symptômes, dans la plupart des cas, des soins médicaux ne sont pas nécessaires. Mais si le comportement du bébé fait naître des soupçons de maladie chez les parents, il est nécessaire de déterminer pourquoi il secoue périodiquement la tête. Lorsqu'un bébé est confronté à une montée d'émotions due à une situation stressante, il ne sait pas comment y faire face. Lors d'une telle explosion émotionnelle, le bébé peut secouer la tête sur les côtés.

En secouant la tête, un enfant peut se blesser involontairement. Les parents ne devraient pas permettre que de telles situations se produisent.

Si un enfant de moins d’un an secoue la tête avant d’allaiter ou avant de se coucher, on parle peut-être de muscles sous-développés. Cependant, le plus souvent, les enfants désirent simplement plus d’attention de la part de parents aimants. Dans l'éducation, il est permis d'ignorer de telles habitudes, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de blessures dues aux caprices.

Secouer ou secouer la tête est très courant chez les jeunes enfants, ce qui soulève souvent de nombreuses questions chez les adultes qui s'occupent du bébé. La plupart y voient une raison pour une visite urgente dans une clinique pour enfants avec un neurologue. Dois-je m'inquiéter ? Quand est-il nécessaire d’emmener votre bébé chez le médecin ? Qu'écrit Evgeny Olegovich Komarovsky à ce sujet ?

La plupart des parents, après avoir identifié un signe aussi étrange, se précipitent pour emmener leur enfant chez un neurologue.

Pourquoi cela arrive-t-il?

Les bébés secouent souvent la tête ; ce symptôme apparaît environ entre deux mois et trois ans. Il existe un point de vue selon lequel il ne s'agit que d'un phénomène lié à l'âge, qui va définitivement passer. Les médecins disent que même avec des secousses très fréquentes, le syndrome n'est plus observé à l'âge de trois ans.

La pratique médicale de l'écrasante majorité des médecins pour enfants montre que les secousses ne sont pas du tout critiques, les parents doivent donc organiser la routine quotidienne et l'hygiène du bébé sans crise de colère. Cependant, cette caractéristique est parfois considérée comme un symptôme d’un retard de développement de l’enfant et d’une maladie. Les causes des tremblements de tête peuvent dépendre de la situation ou être des symptômes d’anomalies.

Raisons situationnelles

Ressentir des émotions agréables en secouant la tête. La science moderne ne peut pas encore répondre à la question de savoir si un tel comportement est lié à une surexcitation du centre de l'équilibre dans le cerveau d'un jeune enfant, mais parmi les pédiatres et les neurophysiologistes, cette opinion n'est pas contestée.
Un tel comportement peut être une tentative de détourner l'attention de la douleur ressentie (par exemple, en cas de douleur à l'oreille, le bébé tremble, se tord et secoue la tête). Quoi qu'il en soit, trembler dans ce cas n'est pas une panacée et les adultes devraient consulter un médecin pour lui prescrire des analgésiques (et autres médicaments nécessaires).

Secouer la tête peut être un moyen de vous distraire de la douleur, comme lors de la poussée dentaire.

Libération émotionnelle. Les enfants ont tendance à secouer la tête avec une intensité variable lorsqu'ils expriment des émotions. Jusqu'à un certain âge, les émotions des enfants ne se réalisent qu'à un niveau élémentaire. Lorsqu'il éprouve, par exemple, un accès de colère, un enfant secoue la tête - il a besoin d'un traitement physique des émotions. Dans ce cas, la relaxation est nécessaire avant de se coucher.
Mauvais rêves. Le bébé tourne la tête d'un côté à l'autre et peut pleurer sans motivation (nous vous recommandons de lire :). Les parents doivent réconforter le bébé, caresser doucement et masser le dos.
Transpirer dans la nuit étouffante. L'enfant tourne la tête d'un côté à l'autre, comme s'il essayait de se mettre à l'aise, et peut gémir. Il est nécessaire d'aérer la pièce, de proposer à boire et de remplacer les pyjamas mouillés de sueur.
Le désir d’attirer l’attention sur soi. Cela résulte d’un intérêt hypertrophié de la part des adultes. Cela se produit lorsqu'un enfant est gâté par une attention excessive. Lorsque le degré de concentration des parents diminue, le petit marionnettiste utilise cette méthode instinctive pour remettre chaque chose à sa place.

Pour un enfant gâté, de telles manifestations peuvent être un moyen d'attirer l'attention des adultes.

Symptômes d'écarts

Parfois, très rarement, les tremblements de tête chez un bébé ont un lien de causalité avec l'autisme (autres troubles neuropsychologiques) et des défauts de développement. Dans de tels cas, il s’agit d’un symptôme comportemental et le bébé doit consulter un spécialiste.

Le rachitisme est-il à la limite ? Le syndrome se manifeste pendant le sommeil, une transpiration accrue est observée en mangeant (pendant le sommeil) et le ventre « gonfle ». Un traitement utilisant certaines procédures physiques est nécessaire.

Ce qu'il faut faire?

Lorsque les tremblements de tête chez un nourrisson ne sont pas un signe de pathologie, chaque adulte peut contribuer à éviter ou à réduire le risque de ce phénomène avant de se coucher (pendant le sommeil). Voici quelques astuces qui assureront à votre enfant un sommeil réparateur :

Imaginez un nouveau scénario pour aller au lit : bébé peut tremper dans de l'eau tiède avec des herbes qui favorisent le sommeil : ficelle, origan ou camomille. Le tout-petit peut nager dans une baignoire dotée d'un cercle spécial qui soutient la nuque, ou faire appel aux services de ses parents pour cela.
Cela ne fera pas de mal d'écouter des berceuses (par exemple, une berceuse du célèbre classique de Brahms a un merveilleux effet apaisant), des contes de fées audio ou des contes de fées interprétés par les parents.
Un léger massage de votre mère bien-aimée vous aidera toujours à cesser de vous inquiéter et à vous détendre (et vous n'avez pas besoin de faire appel à un spécialiste). Utilisez des mouvements de glissement pour caresser le dos, la tête, le ventre, les bras et les jambes (autorisé sans crème ni poudre, 8 à 9 fois). En règle générale, le bébé se calme rapidement grâce aux caresses douces de maman. Vous pouvez continuer à caresser doucement même lorsque vous vous réveillez après avoir secoué la tête ou un sommeil agité. Cela a été remarqué plus d'une fois : les caresses sont garanties pour endormir les bébés.
S'il y a un manque de participation des adultes, les recommandations sont évidentes : laissez de côté tous les problèmes et passez du temps (jouez) avec le bébé - il remarquera l'intérêt des adultes pour lui même s'il n'a pas trois mois. Pour un nouveau-né, il conviendrait de démontrer des formes géométriques lumineuses, d'attirer le regard de l'enfant sur le « carrousel » au-dessus du berceau et d'effectuer des exercices de gymnastique avec lui. Il serait peut-être préférable de serrer tendrement le bébé dans ses bras et de le porter dans vos bras.

Il faut se souvenir

Lorsqu'il fait chaud, offrez à votre bébé des conditions confortables pour dormir (berceau, literie, vêtements). Préparez de l'eau : si bébé commence à secouer la tête et se réveille, proposez-lui à boire. La plupart des parents jouent la sécurité et emmitouflent leur bébé. Il ne faut pas oublier que la thermorégulation des enfants et des adultes est différente ; un zèle excessif n'est pas bon pour l'enfant - il est inutilement tendu à cause de la chaleur. Dans de telles situations, un gilet et une barboteuse en tissu fin suffiront.

Il vaut la peine d'examiner le berceau du bébé pour détecter la présence de «saillies» imprévues - bâtons, pieds de vis, clous. C'est peut-être précisément cet excès qui empêche le bébé de dormir paisiblement. Minimisez le nombre d'objets dans le berceau qui perturberont son sommeil et pourraient présenter un risque d'étouffement (couvertures, oreillers, traversins, etc.).

Les pare-chocs souples suffisent amplement en hiver, mais par temps chaud, évitez-les pour améliorer la circulation de l'air.

Quand faut-il consulter un médecin ?

Très rarement, les tremblements de tête sont un symptôme de troubles neurologiques (autisme, etc.). Dans une telle situation, il existe d'autres caractéristiques qui signalent aux adultes une certaine différence par rapport à la norme en matière de développement :

le regard est distrait, ne se concentre pas ;
Je n’arrive pas à attirer l’attention du bébé ;
l’enfant ne « boum » pas.

Consultez un neurologue. Peut-être que le bébé a besoin d'un traitement rapide.

Les parents d'enfants qui ne marchent pas, ne réagissent pas aux jouets ou à l'arrivée d'êtres chers et ne peuvent pas concentrer leur attention doivent contacter un spécialiste.

Parfois, se retourner et se retourner pendant son sommeil (avant de se coucher) indique un rachitisme. Cette maladie implique un manque de vitamine D, un trouble métabolique qui affecte non seulement le sommeil du bébé, mais également le développement du système musculo-squelettique, et des difficultés nutritionnelles surviennent.

Symptômes de l'apparition du rachitisme chez un bébé :

transpiration hypertrophiée pendant le sommeil et les repas ;
l'enfant dort de manière agitée (voir aussi :) ;
son cuir chevelu le démange et le démange ;
l'arrière de la tête devient chauve ;
tonus musculaire sensiblement diminué;
Plus tard, les pairs apprennent à s'asseoir, à se tenir debout avec un soutien, à marcher ou à ramper (nous vous recommandons de lire :).

Ayant commencé à traiter le rachitisme, le médecin prescrit de la vitamine D (vous pouvez l'acheter en gouttes chez un pharmacien) (plus de détails dans l'article :). Une thérapie par l'exercice, des massages et une physiothérapie utilisant la lumière ultraviolette peuvent être indiquées. Il est parfois recommandé aux parents du bébé de lui faire bronzer : le soleil apporte le meilleur de la vitamine D. L'automédication dans cette situation est inacceptable - la dose du médicament et la durée du traitement sont déterminées uniquement par le médecin !

Tirons des conclusions

Selon les statistiques médicales, un bébé sur cinq âgé de 2 à 3 mois secoue la tête lorsqu'il s'endort ou pendant son sommeil. En règle générale, cela a une relation causale avec des explosions d'émotions, une surexcitation du système nerveux central, une otite moyenne ou des douleurs liées aux poussées dentaires.

Si ce phénomène est systémique (la tête tremble constamment et le bébé pleure fort après s'être endormi), une thérapie de relaxation peut être nécessaire. Il suffirait peut-être de reconsidérer les approches des adultes en matière de rituels du coucher et de routines quotidiennes.

Comme déjà mentionné, le balancement est très rarement le symptôme d'un léger retard de développement ou de l'apparition du rachitisme. Si cela vous inquiète, ne retardez pas votre visite chez un neurologue et un pédiatre.

Maman, comme personne d'autre, sait sentir le bébé et remarque immédiatement les moindres changements dans son comportement. Les nouvelles compétences du petit bonhomme – le premier rire, le premier mot, le premier pas – sont une fierté pour les parents.

Cependant, ils ont aussi de nombreuses raisons de s’inquiéter. Par exemple, si un enfant secoue la tête, une mère inexpérimentée décidera immédiatement que quelque chose ne va pas chez lui.

Mais dans la plupart des cas, le comportement de cet enfant est tout à fait compréhensible et ne constitue pas une déviation.

Causes des tremblements de tête

Si vous contactez un neurologue professionnel et que vous vous plaignez du fait que l'enfant secoue la tête d'un côté à l'autre, il vous parlera très probablement du phénomène de yactation.

Ce phénomène a été découvert par des spécialistes qui observaient de jeunes orphelins.

Les enfants des orphelinats, privés de l'amour, de l'affection et de l'attention de leur mère, se balançaient ou secouaient la tête, essayant de se calmer. Essentiellement, il s'agit d'un mal de soi, avec l'aide duquel un enfant combat l'inconfort psychologique.

Important! C'est une erreur de penser que les enfants qui grandissent dans des familles ordinaires ne peuvent pas souffrir d'un manque d'attention ou de contact tactile.

De plus, l’ambiance familiale peut influencer l’état de l’enfant. Les querelles et les scandales fréquents provoquent un stress émotionnel chez l'enfant.

Il ne peut toujours pas parler de ses sentiments et essaie instinctivement de se calmer d'une manière accessible - il secoue la tête. Dans ce cas, c'est une sorte de libération. C'est ainsi que le bébé exprime ses émotions.

ils passent beaucoup de temps dans leurs bras ;
j'aime le mal des transports;
endormez-vous au son du « bruit blanc » ou de mélodies agréables.

À l’âge de 5 à 8 mois, ces enfants peuvent ressentir des balancements mesurés de tout le corps ou des tremblements de la tête pendant l’éveil ou le sommeil.

Quelles autres raisons pourrait-il y avoir pour lesquelles un enfant secoue la tête :

La raison peut être due à une augmentation de la pression intracrânienne chez le bébé.

Si, pendant l'accouchement, il a souffert d'un manque d'oxygène, par la suite, en raison des changements de pression atmosphérique et du surmenage, le bébé peut avoir mal à la tête.

Pour faire face aux sensations douloureuses, il secouera la tête.

Les enfants peuvent souffrir de problèmes d'oreille.

note! Si votre bébé secoue la tête avant de prendre le sein ou le biberon, ou s'il commence à téter puis s'arrête, il est probable qu'il ait vraiment mal aux oreilles.

Appliquez une légère pression sur le tragus. Si l'enfant pleure et se retire, une consultation avec un médecin ORL s'impose !

La poussée dentaire peut également être à l’origine de ce comportement. Le bébé ressent un inconfort et essaie de l'éliminer, de se distraire. En savoir plus sur la poussée dentaire chez les enfants >>>
Si un enfant secoue la tête pendant son sommeil, il rêve peut-être de quelque chose de mauvais ou ressent un inconfort associé à une pièce étouffante, à la soif ou à une couche mouillée.

Important! Si les raisons pour lesquelles votre fils ou votre fille tourne la tête sont liées à des douleurs aux gencives et aux oreilles, alors les enfants seront agités, pleurnichards, et leur sommeil et leur appétit seront perturbés.

Caractéristiques liées à l'âge des tremblements de tête

Les pédiatres pensent que les tremblements de tête sont un phénomène lié à l'âge. Elle survient vers l'âge de 2 mois et disparaît d'elle-même vers l'âge de 3 ans. Le phénomène de yactation n'affecte en rien le développement des enfants, les parents ne devraient donc pas avoir de raisons de s'inquiéter.

Ce phénomène présente certaines caractéristiques liées à l’âge.

Emmenez les enfants sur les balançoires. Laissez-les pendre la tête en bas sur les canapés ou sur vos bras - c'est très utile. Bien entendu, vous devez veiller aux mesures de sécurité.

Comment les parents devraient-ils réagir face à un tremblement de tête ?

Si vous rencontrez un problème similaire, ne paniquez pas. Idéalement, essayez de ne pas vous concentrer là-dessus. Comprenez qu’avec le temps, le bébé deviendra trop grand.

Important! Aider votre enfant à faire face à l'anxiété, lui prêter attention, le calmer, c'est en votre pouvoir.

Qu'est-ce qui devrait être fait?

Si votre bébé secoue la tête avant de s'endormir, créez un rituel du soir.

Une berceuse ou une histoire de maman au coucher calmera également le bébé.

Laissez le massage devenir une habitude. Des caresses douces aideront votre bébé à s'endormir plus rapidement. Ils le calmeront même dans son sommeil s'il rêve de quelque chose de terrible.
Pendant qu’il est éveillé, essayez d’attirer l’attention de votre bébé et de l’occuper avec un jeu intéressant.
Trouvez un ostéopathe compétent.

De tels spécialistes peuvent faire des merveilles, aider à éliminer les tensions musculaires ou résoudre un problème dans lequel les médecins haussent les épaules et recommandent d'attendre qu'il devienne trop grand.

Quand demander conseil ?

Dans certains cas, les inquiétudes des parents peuvent être justifiées. Vous devez être vigilant et consulter un médecin si votre enfant présente d'autres symptômes en plus des tremblements de tête :

L'enfant transpire activement pendant l'alimentation et le sommeil, est en retard de développement par rapport à ses pairs, dort et mange mal et l'arrière de sa tête devient chauve. Ce sont peut-être les premiers signes du rachitisme. Lire la suite dans l'article Signes du rachitisme chez les nourrissons >>>
L'enfant commence à secouer la tête plus fortement s'il est inquiet, ne réagit pas aux sons, ne concentre pas ses yeux, se gratte ou se mord. Ce sont des signes de troubles du spectre autistique.

Dans tous les autres cas, ne vous inquiétez pas si l'enfant secoue la tête d'un côté à l'autre pendant un an ou s'il n'a que quelques mois. Mettez tout de côté et faites attention à lui. Les bébés grandissent très vite. Profitez de votre temps ensemble.

Bonne maternité !

Les enfants sont des créatures vulnérables et impressionnables, et il n’est donc pas surprenant qu’ils vivent certaines situations de manière plus émotionnelle. Là où un adulte s'écarte et oublie, l'enfant s'inquiétera longtemps, revenant encore et encore à une expérience incompréhensible ou désagréable pour lui. Puisque les jeunes enfants sont incapables de verbaliser toute la gamme de leurs émotions, ils peuvent commencer à les exprimer sur le plan physique. Et maintenant, l'enfant prend l'habitude de se pincer l'oreille, de cligner des yeux fréquemment et de se mordre les doigts. Le célèbre médecin Evgeny Komarovsky explique comment traiter de telles bizarreries dans le comportement d'un enfant et si cela peut être traité avec quelque chose. Le syndrome du mouvement obsessionnel chez les enfants est un problème auquel de nombreuses personnes sont confrontées.

Ce que c'est?

Le syndrome du mouvement obsessionnel chez les enfants est un complexe de troubles psycho-émotionnels qui surviennent sous l'influence d'un choc émotionnel, d'une peur intense, de la frayeur et du stress. Le syndrome se manifeste par une série de mouvements non motivés - soit du même type, soit évoluant vers des mouvements plus complexes.

Le plus souvent, les parents se plaignent que leur enfant a soudainement commencé à :

se ronger les ongles et la peau autour des ongles ;
grincer des dents;
secouez la tête d'un côté à l'autre ;
balancer tout votre corps sans raison apparente ;
saluer ou serrer la main ;
pincez-vous les oreilles, les mains, les joues, le menton, le nez ;
mordez-vous les lèvres;
cligner des yeux et plisser les yeux sans raison ;
vous arracher les cheveux ou les faire tournoyer constamment autour de votre doigt.

Les manifestations du syndrome peuvent être différentes, mais on peut parler de maladie lorsqu'un enfant répète fréquemment une série de mouvements ou un mouvement, en particulier dans les situations où il commence à s'inquiéter ou à se sentir mal à l'aise.

Les facteurs pouvant déclencher le mécanisme du syndrome du mouvement obsessionnel sont nombreux :

stress intense;
long séjour dans un environnement psychologiquement défavorable ;
erreurs totales dans l'éducation - connivence ou sévérité excessive;
manque d'attention;
changements dans la vie habituelle - déménagement, changement de maternelle, départ des parents et leur longue absence.

Toutes ces manifestations ne doivent causer aucun inconvénient à l'enfant lui-même - à moins, bien entendu, qu'il ne se blesse.

Il est à noter que le syndrome du mouvement obsessionnel est reconnu par les médecins comme une maladie, il a son propre numéro dans la Classification internationale des maladies (CIM-10), le trouble est classé comme névrotique, causé par des situations stressantes, ainsi que comme somatoforme. Cependant, les médecins n'avaient pas et n'ont pas de norme unique pour diagnostiquer cette maladie. Autrement dit, l’enfant sera diagnostiqué uniquement sur la base des plaintes des parents et des symptômes qu’ils décrivent.

Il n'existe pas non plus de traitement standard pour la névrose obsessionnelle-compulsive - tout dépend d'un neurologue en particulier, qui peut recommander de prendre un sédatif et de consulter un psychologue, ou peut prescrire tout un tas de médicaments, de vitamines - et toujours un massage assez coûteux ( bien sûr, de la masseuse de son ami).

Si les mouvements involontaires de l’enfant sont causés par une raison spécifique, il est fort probable que le syndrome disparaîtra de lui-même, sans aucun traitement. L'enfant a juste besoin de temps pour se débarrasser de ses soucis. Cependant, cela peut aussi être le signe de conditions plus troublantes.

Que doivent faire les parents ?

La névrose des mouvements et des états obsessionnels, selon Evgeniy Komarovsky, est une manifestation d'un comportement inapproprié. Cela oblige nécessairement les parents à demander conseil à un médecin, car il est très difficile de comprendre de manière indépendante ce qui se passe - un trouble psychologique temporaire ou une maladie mentale persistante.

Lorsque des symptômes inappropriés apparaissent, Evgeniy Komarovsky conseille aux parents de bien réfléchir à ce qui a précédé cela - s'il y a eu des conflits dans la famille, dans l'équipe des enfants, si le bébé était malade de quelque chose ou s'il prenait des médicaments. Si vous en avez pris, ces comprimés ou mélanges ont-ils des effets secondaires sous forme de troubles du système nerveux central.

Le syndrome de stress temporaire a toujours une explication, il a toujours une raison.

Mais le plus souvent, il n’y a aucune cause à une maladie mentale. Si rien n'a changé, n'a pas fait mal, l'enfant n'a pris aucun médicament, il n'a pas eu de fièvre, il a bien mangé et dormi, et le lendemain matin, il secoue la tête d'un côté à l'autre, grimace, cligne des yeux et louche, essaie de se cacher, s'enfuir, lui serrer la main sans Cela fait déjà une heure depuis la pause - c'est bien sûr une raison pour contacter un neurologue pour enfants, puis un pédopsychiatre.

Le problème, dit Komarovsky, est que les parents sont gênés de contacter un spécialiste tel qu'un psychiatre. C’est une grande idée fausse. Les attitudes négatives envers les médecins qui aident à résoudre les problèmes de comportement doivent être reconsidérées dès que possible.

Un fils ou une fille peut développer des manifestations nerveuses qui peuvent menacer sa vie et sa santé. S'il existe un risque d'automutilation, un enfant avec ses mouvements peut se blesser gravement, Komarovsky conseille de consulter un spécialiste pour exclure la présence de troubles psychiatriques et recevoir des recommandations sur la façon de sortir de cette situation.

Qu'est-ce que tu ne peux pas faire ?

Vous ne devez pas vous concentrer sur des mouvements obsessionnels, et encore moins essayer d'interdire à votre enfant de les faire. Il les fait inconsciemment (ou presque inconsciemment), et il est donc en principe impossible de les interdire, mais il est facile d'aggraver une violation émotionnelle avec des interdictions. Il vaut mieux distraire l'enfant, lui demander de faire quelque chose, de l'aider, d'aller quelque part ensemble.

Vous ne pouvez pas élever la voix et crier après un enfant au moment où il commence une série de mouvements non motivés, explique Komarovsky. La réaction des parents doit être calme et adéquate, afin de ne pas effrayer encore plus l'enfant.

Il est préférable de continuer à parler au bébé d'une voix calme et calme, avec des phrases courtes, de ne pas discuter avec lui et de ne le laisser en aucun cas seul. Vous ne devez pas non plus regarder votre bébé directement dans les yeux.

Il est également impossible d'ignorer le problème, car l'enfant a vraiment besoin de lui parler et de discuter de son problème. Au final, ces nouvelles « mauvaises » habitudes provoquent aussi chez lui perplexité et peur. Parfois, c'est une communication confidentielle qui permet de résoudre un problème.

Traitement

Avec un degré de probabilité élevé, un neurologue, à qui les parents viennent prendre rendez-vous pour se plaindre de mouvements obsessionnels chez un enfant, prescrira un ou plusieurs sédatifs, des préparations de magnésium et des complexes vitaminiques. Il vous recommandera fortement de visiter un massage, une thérapie par l'exercice, une piscine et une chambre de spéléologie de sel. Le traitement coûtera à la famille une somme assez ronde (même avec les calculs les plus approximatifs).

Evgeny Komarovsky vous conseille de bien réfléchir lorsque vous envisagez de commencer un tel traitement. Si le psychiatre n'a pas trouvé d'anomalies graves, le diagnostic de « syndrome du mouvement obsessionnel » ne devrait pas devenir une raison pour bourrer l'enfant de pilules et d'injections. Il est fort probable que les produits pharmaceutiques n’aient aucun effet sur le processus de guérison.