Codage de la dépendance à l'alcool. Quelle est l'essence du codage de l'alcoolisme? Le code de drogue le plus humain pour l'alcoolisme

10.07.2019

De nombreuses personnes qui décident d'arrêter de boire, mais qui ont peur de consulter un médecin, réfléchissent à la façon de se coder à la maison - il existe des moyens fiables d'auto-traitement pour la dépendance à l'alcool, mais un certain nombre de règles doivent être suivies afin de ne pas causer plus de mal au corps. Il existe plusieurs méthodes de codage domestique fiables que seul un spécialiste peut aider à déterminer.

Traitement de l'alcoolisme à la maison

Il est conseillé d'effectuer le codage des boissons alcoolisées à la maison si le patient ne se considère pas comme un alcoolique, ne veut pas aller à la clinique, ne veut pas arrêter de boire même avec un problème de santé grave. Pour soulager la dépendance et sortir le patient de la frénésie, de nombreuses méthodes fiables ont été développées, mais le traitement à domicile sera efficace si le patient lui-même cherche à obtenir un résultat positif. Il est très difficile de guérir la dépendance sans le consentement de la personne. Un facteur de motivation est nécessaire, puis le spécialiste sélectionne individuellement le cours de la thérapie.

Les méthodes suivantes pour se débarrasser de l'ivresse sont considérées comme les plus efficaces et les plus fiables:

Administration sous-cutanée ou intramusculaire de médicaments provoquant une intoxication du corps. Après un tel codage, une personne éprouve des vomissements, des nausées, une transpiration abondante. Il y a une peur de boire des boissons fortes.
Codage de l'hypnose. Une procédure au cours de laquelle l'aversion pour les boissons fortes est induite. On pense qu'une personne à la maison est calme, détendue et donc plus sensible à l'influence hypnotique. Cette méthode de codage ne fonctionne pas pour tout le monde, des pannes surviennent souvent.
La prise de pilules est une méthode d'encodage fiable. Les médicaments éliminent efficacement les toxines et réduisent la dépendance à l'alcool. Le médicament pour l'alcoolisme doit être sélectionné par un narcologue.

Qu'est-ce que le codage

De nombreux alcooliques, ainsi que leurs proches, se demandent souvent ce qu'est le codage et peut-il être fait à la maison ? L'effet psychothérapeutique sur le patient afin d'éliminer la dépendance psychologique aux boissons alcoolisées est appelé codage. Cette méthode fonctionne mieux avec les patients qui sont facilement hypnotisés. Lors du codage, le médecin influence le subconscient d'une personne pour créer en lui le dégoût, la peur de l'alcool.

Après la procédure, le patient commence à développer un réflexe conditionné, à la suite duquel une personne, tout en buvant de l'alcool, ne ressentira que du dégoût et de la peur. Cette méthode de traitement fiable est utilisée depuis plus de 50 ans. Le codage à domicile doit être effectué par un spécialiste qualifié (narcologue, psychiatre). De plus, une telle procédure ne peut être effectuée que sous réserve du désir personnel du patient.

Quand est-ce

Narcologue à domicile - ce service est très populaire dans la société moderne. Il est possible d'arrêter de boire à l'aide du codage si une personne réalise la nécessité d'un traitement, mais ne veut pas se rendre à la clinique ou est physiquement incapable. Les proches appellent un traitement médicamenteux s'il est nécessaire de sortir une personne d'une frénésie persistante, après quoi le médecin les invite à coder le patient. Étant proche de la famille et recevant des soins appropriés, l'alcoolique se rétablira plus rapidement et il sera plus facile de s'habituer au nouveau mode de vie.

Le codage est effectué avec le consentement du patient, souvent cette procédure se fait de manière anonyme. Dans ce cas, la tâche principale de la famille est de s'assurer que le patient ne consomme pas de boissons alcoolisées tout au long du traitement. Toute méthode de codage doit commencer par une conversation, au cours de laquelle le médecin examine les antécédents médicaux, identifie les contre-indications au codage. Le toxicomane n'est autorisé à effectuer la procédure qu'une fois que le spécialiste est convaincu de son innocuité pour la santé de l'alcoolique.

Traitement de la dépendance à l'alcool avec des médicaments

L'utilisation de drogues dans le codage est le traitement le plus courant et le plus fiable de l'alcoolisme chronique. L'action des médicaments se développe rapidement et peut durer de différentes manières, en fonction de la forme, de la dose, du mode d'administration du médicament, des situations de vie et des caractéristiques individuelles de l'organisme. Les avantages de cette méthode sont :

disponibilité;
efficace pour prévenir la récurrence de la maladie;
adapté au traitement de n'importe quel stade de l'alcoolisme;
une large gamme de médicaments;
la seule méthode de traitement de l'empoisonnement avec des substituts d'alcool.

Les médicaments à domicile doivent être discutés avec un narcologue. Typiquement, des inhibiteurs de récepteurs cérébraux sont utilisés pour le codage. Les principaux représentants de ce groupe sont les médicaments à base de naltrexone, disponibles sous forme de gélules, de comprimés et de solutions injectables à libération prolongée. Tous les médicaments sont divisés en trois types:

soulager les envies de boissons fortes;
dégoût pour l'alcool;
soulager une gueule de bois.

Des drogues dégoûtantes

Le groupe principal de médicaments pour le codage chimique est basé sur les propriétés du disulfirame. Les ingrédients actifs de ces fonds bloquent le travail des enzymes hépatiques, qui devraient décomposer les alcotoxines en composants inoffensifs. Cela augmente l'effet toxique des produits de désintégration accumulés de l'alcool éthylique.

La prise de tels médicaments avec de l'alcool provoque une détérioration de l'état du patient et provoque une réaction: vomissements, nausées, tachycardie, crises d'asthme, indigestion. La symptomatologie des drogues provoquant une aversion pour l'alcool est si prononcée que le patient est contraint de refuser de boire de l'alcool sous peine de mort. Les médicaments les plus populaires pour l'alcoolisme:

Colmé. Le produit est vendu sous forme de gouttes, de comprimés. Il est nécessaire de prendre le médicament à l'intérieur 3-4 fois par jour. Lorsque l'alcool réagit avec la substance active du médicament cyanamide, le niveau d'acétaldéhyde augmente dans le sang du patient. Dans le même temps, le patient subit une attaque d'intoxication grave. Colme est une pilule pour l'alcoolisme sans conséquences, mais en même temps, les personnes atteintes de cirrhose du foie, de maladies cardiaques, de maladies du système nerveux et les femmes enceintes ne doivent pas prendre de médicaments.
Esperal. Les pilules pour la dépendance à l'alcool contiennent du disulfirame, qui est impliqué dans le métabolisme de l'éthanol. Dans ce cas, l'alcool n'est pas décomposé, le niveau de toxines augmente, ce qui entraîne une intoxication grave. Le médicament est approuvé pour une utilisation à domicile, mais, en même temps, la dose prescrite par le médecin ne doit pas être dépassée. La réaction du corps avec l'utilisation à long terme de comprimés: gastrite, hépatite, psychose, thrombose cérébrale, exacerbation de polynévrite.

Des médicaments qui réduisent les fringales

Pour se débarrasser de la dépendance à l'alcool et de la frénésie, la médecine moderne dispose d'un grand nombre de médicaments qui peuvent être utilisés à la maison. Afin de ne pas nuire au corps, pour éviter les effets secondaires d'un surdosage, vous devriez consulter un médecin. Les médicaments les plus courants qui peuvent aider à réduire les envies d'alcool comprennent :

Métadoxil. Le médicament soulage les symptômes de sevrage, accélère l'excrétion d'éthanol, active les enzymes qui décomposent l'acétaldéhyde. Avec l'utilisation constante de 500 mg de substance active, la résistance du patient à l'alcool augmente. Effets secondaires : réactions allergiques, bronchospasme.
Torpille. Coudre la préparation par voie sous-cutanée combinée à un effet hypnotique. Le disulfirame, qui fait partie de la capsule, affecte le foie, il arrête donc de traiter l'éthanol. La durée de codage de l'outil Torpedo est d'environ un an. L'apparition de nausées, de vertiges, de convulsions et d'autres sensations négatives lors de la prise du médicament est associée à une intoxication à l'acétaldéhyde.

Compte-gouttes

Si une personne abuse de l'alcool pendant une longue période, son corps est gravement empoisonné par l'alcool éthylique. Pour sortir rapidement le patient de l'état de frénésie, les médecins prescrivent souvent des intraveineuses. Il est préférable d'appeler un narcologue pour la procédure avec une solution pour perfusion, qui dispose de son propre équipement, de son certificat et de ses médicaments. Seul un spécialiste peut faire la bonne cure détox. Les injections intraveineuses pour supprimer l'envie d'alcool sont injectées dans une veine à l'aide d'une seringue.

En règle générale, les médicaments utilisés par le médecin ont un effet tranquillisant, améliorent l'humeur, ont un effet antidépresseur et augmentent l'efficacité. En même temps, toute consommation d'alcool met leur vie en danger. La composition du compte-gouttes pour le codage implique l'utilisation de glucose avec de l'insuline, une solution de soude, des agents de détoxification (Gemodez ou Gelatinol) et des solutions polyioniques (Disol). Il existe plusieurs types de compte-gouttes qui sont utilisés pour empêcher une personne de boire fort :

Anticoagulants. Il y a une alternance de solution saline et de glucose, de ce fait, la concentration d'alcool dans le sang du patient diminue et l'apport de liquide augmente.
Fortifiant en vitamines. Pour que le corps puisse faire face plus rapidement à l'alcool, des vitamines sont souvent ajoutées à la solution saline de glucose : B1, PP, cocarboxylase.
Assurer la sécurité du foie. Le métabolisme principal des boissons contenant de l'alcool se produit dans le foie, le médecin peut donc prescrire un compte-gouttes avec Essentiale pour restaurer l'organe. L'outil neutralise les poisons intestinaux, empêche les enzymes hépatiques d'être endommagées.

Codage à domicile

Si une personne ne souhaite pas être traitée pour une dépendance à l'alcool dans une clinique spécialisée, alors le codage peut être fait à la maison. Dans ce cas, la procédure doit être confiée à un narcologue qualifié, qui doit disposer du matériel approprié et d'une attestation pour un tel service. Le codage à domicile présente certains avantages :

service 24 heures sur 24;
anonymat;
la séance dure environ deux heures;
surveillance constante de l'état du patient;
conditions familières confortables.

Les types

Aujourd'hui, il existe un grand nombre de techniques de codage fiables pour l'alcoolisme. Tous les types peuvent être conditionnellement divisés en deux types: psychothérapeutique et médicamenteux. L'utilisation de drogues est un moyen fiable, alors qu'une personne peut refuser de consommer des boissons fortes pendant longtemps. Le principe de la psychothérapie est basé sur la suggestion. La procédure de codage s'effectue en état de sommeil hypnotique, pendant lequel le spécialiste travaille avec le subconscient du patient, fait une installation pour refuser l'alcool. Les méthodes les plus connues sont :

La méthode de Dovzhenko. Le patient peut être hypnotisé ou laissé éveillé tout en étant convaincu des bienfaits d'une vie sobre. Le médecin inculque une aversion persistante pour l'alcool. Ce traitement est efficace si la personne a un motif pour arrêter de boire.
Ancre d'hypnose. La technique d'utilisation des ancres est considérée comme efficace et fiable dans la lutte contre l'addiction à l'alcool. De tels points existent dans le subconscient de toute personne. La tâche du psychothérapeute est d'identifier correctement les ancrages. Les explosions émotionnelles positives et négatives de la vie peuvent être utilisées dans une séance d'hypnose. Si l'installation est violée, un trouble mental apparaît souvent, un spécialiste doit donc être impliqué dans le codage.

Est-il possible d'encoder une personne sans son consentement

L'alcoolisme est une maladie grave dont une personne ne peut se débarrasser seule. Le codage à la maison est un bon moyen fiable de se débarrasser de la dépendance, mais vous ne pouvez pas forcer la procédure à être effectuée. La personne elle-même doit donner l'autorisation d'effectuer l'encodage. L'exception concerne les alcooliques qui ont commis des crimes graves en état d'ébriété et qui ont été envoyés pour traitement par décision de justice.

Il est presque impossible de sevrer de force une personne de la consommation de boissons enivrantes, car seuls les efforts conjoints d'un psychiatre, d'un narcologue, d'un psychologue, le soutien de la famille et le désir d'un alcoolique aideront à oublier à jamais la dépendance. La connaissance du patient de comment et de quoi il est traité, le désir d'obtenir des résultats - c'est la clé du succès dans la lutte contre l'alcoolisme !

Remèdes populaires

La phytothérapie peut être utilisée avec des médicaments pour lutter contre la dépendance à l'alcool. Les recettes maison suivantes sont les plus populaires et les plus fiables :

Infusion amère aux herbes. Pour préparer le médicament, vous devez prendre 4 c. thym, 1 c. absinthe et centaurée. Versez une cuillère à soupe du mélange sec avec de l'eau bouillante, puis insistez pendant deux heures. La perfusion doit être prise dans 2 cuillères à soupe. l. une demi-heure avant les repas 3 fois par jour. La durée du traitement est de 3 mois.
Décoction de lyre en forme de massue. Cela aidera à arrêter de boire la poudre sèche de la plante (10 g), qui doit être remplie d'un verre d'eau bouillante. Une demi-portion de bouillon doit être bue avec 50 g de vodka. Il y aura des nausées sévères et le rejet de tout alcool.

Vidéo

Dans cet article, nous allons parler du douloureux. Nous discuterons du sujet de la dépendance à l'alcool de l'intérieur, analyserons l'essence et analyserons les critiques de ceux qui ont suivi un traitement pour alcoolisme.

Beaucoup d'entre nous ont été confrontés ou sont encore confrontés à des problèmes liés à l'alcoolisme. Quelqu'un peut avoir passé toute son enfance en compagnie d'un père ivre qui n'a jamais retrouvé sa forme normale. Un autre, lui-même a ressenti l'impact de cette grave maladie.

Ce n'est un secret pour personne que selon des statistiques dépassant tous les indicateurs mondiaux de consommation annuelle d'alcool, on peut dire que de tels chiffres - par exemple, si vous prenez 2009, la quantité moyenne d'alcool pur par habitant est de 18 litres. C'est en fait la destruction du patrimoine génétique du pays. Puisque selon les normes mondiales, il est considéré - 8 litres - c'est déjà la limite à laquelle la destruction de la nation a lieu.

Mais personnellement, j'essaie de me consoler avec le fait que quelqu'un boit 50 fois plus que ce taux moyen. Étant donné que ce fait ne rentre pas dans ma tête personnellement, personnellement, si je bois, ce sont de petits volumes d'alcool.

Mais revenons à notre sujet, le sujet du codage de l'alcool.

Quiconque a déjà rencontré ce problème de manière dense sait probablement qu'il existe deux types de codage : - il est médicamenteux et psychothérapeutique.

Plus à ce sujet un peu plus tard, nous allons d'abord démonter notre "boîte de crayons". L'une des choses les plus importantes est que la personne qui va coder doit faire ce pas consciemment, être mentalement préparée au traitement de l'alcoolisme et qu'elle doit être sobre. Bien sûr, il y a des moments où une personne ne peut pas sortir seule de la frénésie, alors les cliniques payantes l'aident dans ce domaine, en règle générale, elles le placent sous un compte-gouttes spécial, toutes ces procédures sont assez coûteuses.

Comme mon amie l'a dit, qui sort son mari de la frénésie presque chaque année, vous pouvez vous envoler pour la Thaïlande avec cet argent, qu'elle donne pour 5 jours de convalescence de son mari. Mais il s'agit d'un cas particulier et tout dépend de la clinique où vous soignez.

L'essentiel est que le codage de la consommation d'alcool n'est pas un remède, ce n'est qu'un blocage temporaire de la consommation d'alcool. Et puis, cela est déjà considéré comme une méthode extrême, et cette procédure est effectuée au stade de la pleine conscience que la vie peut être perdue, la famille, le travail, les amis, les loisirs - tout cela restera loin dans le passé. Lorsqu'une personne s'est amenée à un tel état, et s'est rendu compte que ce n'est plus possible, dans ce cas, elle décide de faire une telle démarche.

Avis sur le codage de l'alcoolisme

Toutes les personnes souffrant d'alcoolisme ne passent pas par cette étape, mais celles qui sont passées par là peuvent donner une certaine idée. Jetons un coup d'oeil à des exemples.

Monsieur - X-1 - Âge d'environ 50 ans, codant en permanence, depuis 1 an, dès la fin de l'année, entre dans une longue frénésie, comment y faire face ? Bien sûr, retournez à la clinique, sous perfusion et soyez à nouveau codé. Pas d'autre chemin. Psychologiquement, le corps n'est pas capable de résister. L'année se termine et, littéralement, le même jour, une personne peut trouver ce dont elle a besoin lors d'un voyage d'affaires pour se rendre au travail, puis entrer immédiatement dans une frénésie.

Comment traiter avec de telles personnes ? Premièrement, ils doivent eux-mêmes le vouloir. Et puis des temps d'encodage plus longs peuvent aider.

Monsieur - X-2 - Il n'a pas bu depuis plus de 5 ans, bien qu'il y ait eu des crises de boulimie très terribles auparavant. Et ici, la question est de savoir comment faire face à la frénésie par lui-même, maîtrise-t-il sans médecins. C'est juste que la personne en est venue à réaliser, et le désir de vivre. Par conséquent, pendant longtemps, il ne boit pas d'alcool du tout.

Quels sont les prix pour le codage

Les tarifs pour le codage de l'alcoolisme peuvent être différents, selon le lieu de la procédure et le degré de complexité du patient. À l'heure actuelle, il existe de nombreuses cliniques offrant des services de codage pour l'alcoolisme.

Quelles sont les méthodes de codage de l'alcoolisme

Selon la légende, la science du codage elle-même est apparue par hasard, en Europe, dans une usine de pneus, il y avait 2 ateliers, dans l'un desquels il n'y avait que des " abstinents ", il y avait une étape de production qui comprenait des vapeurs d'une substance qui donnait l'effet de aversion pour l'alcool en essayant de le consommer. Par la suite, un médicament est apparu - le disulfirame.

Codage des drogues pour l'alcoolisme

C'est la prise ou l'administration de médicaments visant à influencer chimiquement l'arrêt de la consommation d'alcool. Alors, comment s'effectue le codage de l'alcoolisme, jetons un coup d'œil. La méthode de codage basée sur le médicament est plus douce pour une personne, car, par exemple, lorsque le médicament naltrexone est administré, les fonctions corporelles chargées de recevoir du plaisir et de la relaxation générale sont bloquées.

C'est-à-dire qu'après avoir pris ce médicament, l'alcoolique ne recevra absolument aucune émotion en prenant de l'alcool. Par conséquent, le sens de la consommation d'alcool est perdu chez une personne.

Une autre façon est les médicaments qui ont un effet douloureux sur le corps. Lorsqu'une personne veut boire, la consommation d'alcool provoque une réaction si douloureuse en elle qu'elle ne peut tout simplement pas le faire physiquement.

Codage psychothérapeutique de l'alcoolisme

Il s'agit d'une méthode d'influence qui n'inclut l'utilisation d'aucune drogue, ici le codage est effectué selon le principe de l'hypnose. Il existe différentes techniques dont nous allons parler. En règle générale, le codage est effectué par un psychiatre, un narcologue. Par la méthode d'inculquer à une personne dépendante de l'alcool, l'idée est mise dans le cerveau que s'il commence à boire pendant cette période d'encodage, alors ce sera une mort claire.

Cette méthode, malgré son efficacité, est moins courante, car elle implique une longue période d'abstinence d'alcool avant cette hypnose. La procédure elle-même est effectuée dans un état de transe. C'est-à-dire qu'une personne n'est pas inconsciemment dans son monde habituel.

Si l'on considère le traitement hypnotique et psychothérapeutique, alors du côté de l'hypnose, l'avantage sera que, d'une part, elle est nettement plus efficace, et d'autre part, l'hypnose de l'alcoolisme aide à comprendre la raison même de l'utilisation de l'intérieur.

Méthode Dovzhenko

La méthode de codage psychothérapeutique la plus courante est la méthode Dovzhenko. Il a été développé par un médecin soviétique - psychiatre - narcologue, Alexander Romanovich Dovzhenko. Sa méthode a d'abord fonctionné dans un système de groupe sur le principe de reprogrammer le psychisme du patient pour arrêter de boire de l'alcool, et définit un certain nombre d'attitudes pour une vie plus sobre et saine.

Il faut se rappeler que l'encodage n'est pas un moyen de se remettre de l'alcool, mais seulement une forteresse temporaire, qui a sa propre durée.

Tout le monde ne sait pas combien de temps prend la procédure de codage pour la dépendance à l'alcool, mais cela ne prend que 3 heures environ. La période de codage est fixée par une barre minimale d'un an. Mais au préalable, des cours collectifs sont organisés pour se préparer à une nouvelle vie.

Cette méthode est assez efficace, mais il existe également des contre-indications au codage de l'alcoolisme:

Distorsion cardiovasculaire ;
Hypertension;
Problèmes mentaux, troubles;
Intoxication alcoolique.

Le traitement de l'alcoolisme, est-ce réel ?

Bien sûr, s'il y a un problème, il doit être résolu ! Ne restez pas immobile, mais il est préférable de changer votre façon de penser pour le mieux, de ne pas inonder les situations difficiles de la vie d'alcool, mais de faire quelque chose. Les gens prouvent beaucoup de choses, y compris le fait que vous pouvez abandonner définitivement l'alcool par vous-même. Ce que nous vous souhaitons aussi ! Bonne chance à tous!

Malheureusement, le problème de l'alcoolisme est très aigu dans la société moderne. D'ailleurs, de plus en plus souvent, non seulement des hommes, mais aussi des représentants de la belle moitié de l'humanité sont victimes de cette dépendance pernicieuse. Malgré le fait que la médecine moderne dispose de nombreuses méthodes et médicaments différents, aucun d'entre eux ne garantit à 100% le succès de la thérapie. L'un des moyens les plus courants de gérer cela est le codage. Il permet à une personne d'arrêter de boire de l'alcool pendant un certain temps (et parfois jusqu'à la fin de sa vie). C'est pourquoi nous vous proposons aujourd'hui de découvrir comment coder à partir de l'alcool. Nous analyserons également les méthodes de ce traitement et découvrirons où il est préférable d'effectuer ces procédures.

Qu'est-ce que l'alcool codé ?

Ce concept implique de bloquer la dépendance à l'alcool. L'encodage aide le patient à se débarrasser de la dépendance psychologique à l'alcool, ce qui lui permet d'arrêter de boire longtemps. Étant donné que les alcooliques éprouvent une envie incontrôlable d'alcool, parfois seuls des sentiments très forts peuvent les empêcher de boire des substances intoxicantes : la peur et sur quoi reposent les méthodes de codage.

Récit

Cette méthode de traitement a commencé à être utilisée en narcologie il y a plus d'un demi-siècle. Ainsi, la capacité de coder à partir de l'alcool existe depuis un certain temps. Pendant ce temps, une variété de méthodes sont apparues, qui sont basées à la fois sur les effets hypnotiques et psychothérapeutiques, et sur la pharmacothérapie.

Les jalons les plus importants de l'histoire du développement des approches psychothérapeutiques du traitement de la toxicomanie sont le développement de la méthode Shivko, basée sur l'auto-hypnose et l'introspection, ainsi que la méthode Dovzhenko, qui est basée sur l'inculcation au patient d'interdictions. , dans lequel l'accent est mis sur la détérioration immédiate de la santé en cas de consommation même d'une petite dose d'alcool. ...

L'étape clé dans la création de méthodes médicales a été la découverte dans les années quarante du siècle dernier de l'effet sensibilisant du disulfirame. Sur sa base, la pharmacologie moderne a créé un certain nombre de médicaments, tels que des comprimés à insérer et des comprimés oraux "Esperal", ainsi que "Antabus", "Teturam", suspension "Sulfavidiat" et autres.

Avec le temps, il est devenu évident que dans la plupart des cas, il n'est pas possible d'encoder efficacement à partir de l'alcool en utilisant une seule méthode. À cet égard, les médecins ont commencé à combiner des techniques, en les utilisant pour une thérapie complexe. Donc, en règle générale, ils commencent par des médicaments qui permettent la suppression primaire des envies d'alcool. Après cela, soit un traitement psychothérapeutique est effectué, soit des méthodes non spécifiques sont associées (thérapie à l'ozone par voie intraveineuse, acupuncture, plasmaphérèse et autres).

Prérequis pour la procédure de codage

Il y a un certain nombre de conditions requises pour un résultat de traitement réussi. Voici les principaux :

Le patient doit subir la procédure de codage volontairement, sans contrainte.
Jusqu'au moment du codage, le patient doit observer une certaine sobriété pendant un certain temps, en fonction de la méthode de traitement choisie (généralement au moins deux semaines).
Le patient ne doit pas avoir de maladies graves des organes internes. A cet égard, préalablement à la procédure de codage, une personne souffrant de dépendance à l'alcool doit être consultée par un spécialiste.
Le patient ne doit souffrir d'aucune maladie mentale (démence, psychose, etc.).

Techniques utilisées pour coder la dépendance à l'alcool

Comme nous l'avons déjà découvert, dans la médecine moderne, des méthodes psychothérapeutiques et médicamenteuses sont utilisées pour lutter contre l'alcoolisme. L'essence des méthodes du premier groupe se résume à influencer le subconscient humain par l'hypnose ou d'autres techniques psychothérapeutiques afin d'inculquer au patient l'aversion pour l'alcool. Après une telle thérapie, le patient perd tout désir de consommer de l'alcool. Ces méthodes sont considérées comme douces et sont recommandées pour les personnes sujettes à la suggestion et qui n'ont jamais eu recours au codage de la dépendance à l'alcool auparavant.

En thérapie médicamenteuse, on utilise des médicaments neutres pour le corps humain dans des conditions normales. Cependant, lorsqu'ils boivent de l'alcool, ils commencent à interagir avec l'alcool, formant une substance toxique qui a un effet puissant sur le corps du patient, provoquant des vomissements, des douleurs diverses, des convulsions, etc. Parfois, tout peut même se terminer par la mort.

La question de savoir quelle méthode aidera à coder pour l'alcool est décidée uniquement par le médecin sur une base strictement individuelle pour chaque patient. Après tout, une thérapie qui s'est avérée efficace pour un patient peut être totalement inefficace dans le cas d'une autre personne. Nous proposons maintenant de s'attarder plus en détail sur les principales méthodes qui permettent d'encoder à partir de l'alcool.

Méthode Dovzhenko

Ce codage n'implique pas l'utilisation de médicaments. Cela réside dans le fait que le psychothérapeute, par le biais d'une hypnose légère, affecte le subconscient du patient, lui inculquant l'indifférence à l'alcool et supprimant l'envie d'alcool, l'ajustant ainsi. Il convient de noter que la méthode Dovzhenko n'est montrée qu'aux personnes susceptibles de l'hypnose et plus tôt jamais codé. Sinon, il sera inefficace.

Le médicament "Esperal"

Ce médicament est implanté chirurgicalement dans les tissus adipeux (généralement dans les tissus mous du dos) ou il est injecté par voie sous-cutanée. Dans le même temps, il ne reste aucune trace notable sur la peau du patient : points de suture ou cicatrices. La substance active du médicament pénètre progressivement dans la circulation sanguine humaine, grâce à laquelle sa concentration constante est maintenue pendant toute la période de codage, ce qui est suffisant pour provoquer une réaction d'incompatibilité avec l'alcool.

Le médicament "Torpedo"

Ce remède est utilisé pour bloquer l'alcoolisme. Cette méthode de traitement est basée sur l'utilisation de médicaments incompatibles avec l'alcool. Grâce à leur consommation, le patient développe un réflexe négatif vis-à-vis de l'alcool et diminue son envie d'en consommer. En cas de "panne", le patient tombe dans un état proche de la mort. Le médicament "Torpedo" est injecté dans le corps du patient par injection intraveineuse.

Les réalités modernes sont telles que beaucoup connaissent le problème de l'alcoolisme de première main. Des méthodes relativement sûres, efficaces et rapides ont été développées pour éliminer la consommation excessive d'alcool et la désintoxication.

Mais ils ne résolvent pas le problème de manière drastique. Tôt ou tard, tout se répète. Les experts considèrent que le codage de l'alcoolisme est un moyen radical de se débarrasser de la dépendance.

Un tel traitement implique une combinaison de méthodes d'exposition psychologique et médicale, à la suite de laquelle une personne développe une aversion pour les boissons alcoolisées, même en quantités minimes. Le codage de l'alcoolisme commence par le choix d'un centre médical spécialisé.

Cette question doit être abordée de manière responsable, en faisant confiance non seulement aux vidéos, aux publicités et aux critiques sur Internet.

Il est préférable de se rencontrer directement ou via les forums et réseaux sociaux pour communiquer avec les personnes ayant utilisé les services de la clinique.

Cependant, le codage de l'alcoolisme présente plusieurs inconvénients :

avant le cours du traitement, le corps du patient doit être complètement nettoyé de l'éthanol et de ses produits métaboliques, ce qui n'est pas toujours possible;
une personne doit elle-même réaliser la nécessité de changer de vie, le traitement obligatoire n'apporte pas le résultat escompté;
sans travail psychologique adapté, il existe un risque élevé de pannes et de consommations incontrôlées répétées de boissons alcoolisées ;
à la suite d'une exposition au subconscient, le patient est inspiré par la peur de l'alcool, qui est lourde de troubles psycho-émotionnels graves.

Après avoir choisi un spécialiste, le médecin invite le patient à un entretien individuel avec un psychologue. Tout d'abord, le médecin est confronté à la tâche de déterminer ce qui a poussé une personne à consommer des boissons alcoolisées.

Étant donné que sans découvrir la cause de la maladie, le traitement n'apportera pas l'effet souhaité et avec une probabilité de près de 100%, une deuxième frénésie commencera dans les prochains mois.

Dans certains cas, vous devez travailler avec toute la famille. Le psychologue essaie de transmettre au patient la nécessité de se débarrasser de la dépendance, explique les avantages d'un mode de vie sain. Le médecin essaie également de convaincre la personne d'éviter les amis "à la fête", vous devrez peut-être changer d'emploi.

Le désir volontaire de guérir joue un rôle clé dans la réussite de la thérapie.

La prochaine étape du processus de codage est un examen médical complet. Cela est nécessaire pour évaluer le degré d'endommagement des organes internes par les produits toxiques du métabolisme de l'éthanol.

Le patient est invité à subir un ensemble standard de tests, y compris la biochimie sanguine, le test de concentration de glucose et les taux de cholestérol et de lipoprotéines de basse densité. Une échographie des organes internes est effectuée, un cardiogramme est effectué et une étude Doppler des vaisseaux coronaires et cérébraux est réalisée selon les indications.

En présence d'épisodes de délire alcoolique, un examen neurologique comprenant un encéphalogramme et un écho EEG est nécessaire. Ils découvrent également s'il existe des contre-indications pour lesquelles le codage à partir de l'alcoolisme est impossible.

Les conditions nécessaires au déroulement du traitement sont :

l'absence d'épisodes de consommation excessive d'alcool ou même de consommation de boissons alcoolisées en petites quantités au cours des 15 à 20 jours précédents, une perfusion de médicaments de désintoxication dans une veine sera utile (cette procédure peut être effectuée à la maison);
absence d'épilepsie et d'autres pathologies neurologiques accompagnées d'un syndrome convulsif;
absence de lésions sévères et irréversibles des systèmes excréteur et cardiovasculaire;
consentement éclairé du patient au codage et acceptation de l'aide d'un professionnel, de sa famille et de ses amis ;
absence de maladie mentale.

Aujourd'hui, il existe de nombreuses méthodes pour se débarrasser de l'ivresse. Ce sont des méthodes matérielles (par exemple, le codage laser), divers moyens de la médecine orientale (acupuncture), des effets hypnotiques. Les médicaments sont très populaires (par exemple, le complexe d'injection sous-cutanée Torpedo).

La technique, qui sera utilisée pour le codage contre l'alcoolisme, est choisie individuellement, en tenant compte de l'état de santé du patient. Le prix de la procédure joue également un rôle important. L'aspect financier est très important, car par la suite une réhabilitation sérieuse et coûteuse s'impose.

Codage de l'alcool : exposition combinée, pharmacothérapie

La thérapie combinée implique l'utilisation simultanée d'un traitement médicamenteux et d'effets psychothérapeutiques. Cette méthode est idéale pour traiter l'alcoolisme à un stade précoce, ainsi que dans les cas où le patient est prêt à surmonter lui-même l'envie d'une consommation excessive d'alcool. Le fait est que cette technique implique l'utilisation à court terme de médicaments, le rôle principal est donc attribué au travail du psychologue et à la volonté du patient.

Les avantages de cette méthode de thérapie comprennent:

Mais ce codage pour l'alcool a aussi ses inconvénients. L'attitude psychologique du patient et l'élimination de la cause initiale, qui ont provoqué l'envie de boissons fortes, sont d'une grande importance.

Cette technique est idéale dans les premiers stades de l'alcoolisme, lorsqu'une personne est capable de prendre des décisions éclairées et délibérées. Le codage des drogues alcoolisées se fait de plusieurs manières.

Cela peut être la prise de comprimés par voie orale, la suture sous-cutanée, l'administration intraveineuse ou intramusculaire du médicament. Pour consolider le résultat, un placebo (un mélange sûr de vitamines qui a un effet psychologique plus important) ou la soi-disant provocation à l'alcool peut être utilisé.

Pour le codage des médicaments, les médicaments suivants sont généralement utilisés :

Esperal. Aujourd'hui, ce remède est considéré comme le plus efficace. Si le médicament est pris par voie orale, un comprimé par jour est prescrit (pris le matin avec une quantité suffisante d'eau), progressivement la posologie est réduite de moitié, puis d'un quart du comprimé. Les capsules d'Esperal peuvent également être suturées sous la peau. Dans ce cas, il se dissout progressivement, à petites doses, libérant la substance active du médicament - le disulfirame - dans le sang.
Binastim, Dépôt Aquilong, Anticol, Aktopleks, Stopetil. Les médicaments contiennent également du disulfirame et provoquent une intolérance à l'alcool, sont administrés par injection intraveineuse ou intramusculaire, selon la posologie, l'effet de l'utilisation dure de 3 mois à 5 ans. Dans de nombreuses cliniques, ces médicaments sont proposés sous le nom général Torpedo.
Teturam. Le médicament est un analogue d'Esperal, disponible sous forme de comprimés pour administration orale, de capsules pour insertion sous-cutanée ou intramusculaire.
Vivitrol. Contrairement à d'autres médicaments contenant du disulfirame, l'ingrédient actif de cet agent bloque les récepteurs opioïdes dans le cerveau. En conséquence, l'intoxication alcoolique ne se produit tout simplement pas - tout sens de la consommation d'alcool est perdu. Les inconvénients de Vivitrol incluent l'effet inégal chez différents patients. Parfois, le médicament peut ne pas fonctionner. Il est produit sous forme de poudre, à partir de laquelle une suspension est préparée pour une injection intramusculaire. L'injection se fait une fois par mois.

Malgré le fait que l'utilisation du placebo soit discutée dans la section du traitement médicamenteux de l'alcoolisme, certains experts réfèrent cette technique à des méthodes de codage combinées. L'essence de la méthode consiste dans le traitement psychologique du patient et la suggestion qu'on lui injectera un médicament qui provoque une intolérance à l'éthanol.

Après cela, un mélange de vitamines PP et B est injecté. Mais cette procédure placebo présente de nombreux inconvénients. Tout d'abord, il s'agit d'un effet de courte durée. De plus, le résultat du traitement dépend en grande partie de l'état psychologique du patient. La procédure de provocation alcoolique est la suivante.

Le patient reçoit une injection d'une petite dose de disulfirame, puis de l'alcool est administré. Naturellement, tous les symptômes de l'intolérance à l'alcool apparaissent - palpitations, baisse de la pression artérielle, essoufflement, transpiration. Cette condition ne menace pas la vie du patient, mais des mesures de réanimation sont effectuées: divers capteurs, un ventilateur sont connectés, des "réanimateurs" sont appelés, qui créent l'apparence d'une personne proche de la mort.

Après un "sauvetage" réussi, une conversation a lieu avec le patient, au cours de laquelle ils expliquent qu'un peu plus, et il était impossible d'éviter une issue fatale. Pour certains, un tel bouleversement suffit à ne pas du tout frôler l'alcool, pour d'autres, la peur passe vite et les crises de boulimie recommencent.

Codage de l'alcool: une description des principaux moyens

La méthode la plus courante de traitement psychologique de l'alcoolisme est l'impact selon la méthode Dovzhenko. La technique de la procédure a été proposée dans les années 80 du siècle dernier par le psychiatre ukrainien Alexander Romanovich Dovzhenko. Depuis lors, cette méthode a été largement utilisée dans les cliniques domestiques et approuvée par le ministère de la Santé.

Selon Dovzhenko, le codage diffère de l'alcool par sa vitesse. Le patient reçoit inconsciemment des informations sur les effets nocifs des boissons alcoolisées et les avantages d'un mode de vie sobre. Le cours de la thérapie se compose de 4 à 5 procédures, de 1,5 à 2 heures chacune. En règle générale, l'état d'esprit sur l'abandon de l'alcool est donné pour une certaine période (généralement 3 à 5 ans).

Les contre-indications à un tel effet psychothérapeutique sont:

Le codage d'ancrage de l'alcool implique l'utilisation d'une technique psychologique assez courante - la concentration de l'attention du patient sur un certain incident, qui démontre clairement l'effet négatif de l'alcool sur la vie d'une personne. Ce point s'appelle une ancre. À l'aide de méthodes de programmation neurolinguistique, le patient crée une association entre la consommation d'alcool et les émotions négatives.

Le codage ericksonien de l'alcool implique l'immersion du patient dans une transe légère. Pendant cette période, le médecin fait du patient une installation pour un mode de vie sobre et sain. Un tel effet est qualifié de technique douce et sûre. Cette méthode ne provoque aucune complication, car il n'y a pas d'interférence flagrante dans la psyché humaine.

Le codage hypno-suggestif se distingue des autres méthodes par sa flexibilité. Dans un état de transe, le patient apprend l'intolérance et le déni complet des boissons alcoolisées. Cependant, la technique de conduite d'une séance d'hypnose est choisie individuellement, en fonction de l'état émotionnel d'une personne.

Une technique similaire est utilisée pour conduire la suggestion hypnotique dans le codage psychothérapeutique. Le patient est plongé dans une transe profonde et dégoûté de l'éthanol sous toutes ses formes. Lors de la réalisation de telles procédures, il est important qu'il n'y ait pas d'alcool dans le corps du patient. Il est nécessaire d'exclure non seulement l'alcool, mais également les produits contenant de l'éthanol sous une forme ou une autre. Sinon, la conscience est modifiée sous l'influence de l'intoxication et il n'y aura aucun résultat de la thérapie.

Une autre condition préalable est le désir d'être guéri. Il est impossible d'obtenir un résultat en traînant de force une personne vers un médecin et en la plaçant dans le fauteuil d'un psychothérapeute. Les avantages des effets hypnotiques incluent un faible coût par rapport aux méthodes de traitement médicamenteux.

Codage de l'addiction à l'alcool : conduite d'une séance de thérapie à domicile et en milieu hospitalier, conséquences possibles

Dans certaines circonstances, il est possible d'effectuer le traitement à domicile.

En règle générale, dans une telle situation, des méthodes d'influence psychologiques sont proposées, car l'introduction de drogues (surtout pour la première fois) peut avoir des conséquences imprévisibles et nécessite une surveillance constante du personnel médical.

Mais si le patient et ses proches sont conscients des risques possibles et s'engagent à assurer toutes les conditions d'un traitement à domicile, les narcologues acceptent de coder l'addiction à l'alcool à domicile.

Le principal avantage de cette procédure est l'anonymat et le séjour du patient dans un environnement familier, tandis que l'inconvénient est le coût très élevé et le risque de complications. Le codage de la dépendance à l'alcool dans une clinique est effectué à l'aide de médicaments à base de disulfirame. Le processus dure plusieurs jours et est précédé de l'administration de médicaments de désintoxication. Le patient est sous observation, toutes les fonctions des organes internes, la pression artérielle, la fonction cardiaque sont contrôlées.

Prescrire une cure de vitamines et de minéraux qui contribuent à la récupération du corps après une consommation prolongée. Les médecins soulignent que quelle que soit la manière dont ils codent l'alcool, un retour à l'ancien mode de vie n'est pas toujours possible. Une personne est dérangée par des accès d'irritabilité, elle ne traite pas correctement les buveurs, elle se sent mal à l'aise lors d'un festin. Cette condition peut provoquer une psychose.

Mais en cas de panne et de nouvelles crises de boulimie, l'état de santé du patient se dégrade rapidement, et il n'est pas facile de le convaincre de reprendre un traitement. Une fois le codage de la dépendance à l'alcool terminé, le médecin surveille de près l'état de la personne. En milieu hospitalier, le pouls et la pression artérielle sont surveillés en permanence. Après son retour à domicile, le patient est encadré par un psychologue qui l'aide à s'adapter au nouveau mode de vie.

Une alimentation appropriée est requise, éliminant complètement la consommation d'alcool et de drogues à base d'éthanol. Fromage cottage et produits laitiers fermentés autorisés (y compris le kéfir et le lait fermenté cuit au four), jus de fruits et autres boissons non alcoolisées. Le régime reste inchangé. Si nous évaluons l'efficacité de diverses techniques, le codage des drogues pour l'alcoolisme est considéré comme le plus efficace. Mais en même temps, un tel traitement est lourd de complications. Par conséquent, de nombreux pharmacothérapeutes recommandent un effet combiné.

Il y a un court chemin d'un verre de vodka à la tombe

proverbe populaire russe

Alcoolisme. Peut-être qu'il n'y a pas grand-chose d'autre avec quel mot est associé à tant de problèmes divers, combien avec celui-ci. Et rarement autour de quelle maladie il y a autant de mythes, de stéréotypes, de rumeurs, combien autour de l'addiction à l'alcool. Quelle est la nature de la dépendance à l'alcool, comment une personne entre-t-elle dans ces réseaux, peut-elle s'en sortir seule et comment pouvons-nous l'aider ?

Une grande partie de la population imagine l'alcoolisme simplement comme un comportement licencieux et la descente progressive d'une personne dans l'échelle sociale. Peu de gens comprennent que l'alcoolisme est une véritable maladie, caractérisée par un changement du métabolisme dans le corps, à cause duquel une personne est incapable de s'arrêter même après le premier verre. En 1913, le psychiatre russe V. M. Bekhterev a déclaré: "Il est incontestable que l'alcool est une substance narcotique, à laquelle l'alcool est principalement dû à sa distribution."

À l'heure actuelle, la consommation d'alcool pur par habitant dans notre pays a dépassé les 14 litres par an, sans tenir compte du clair de lune, du "parfum" et d'autres liquides contenant de l'alcool, jusqu'au polish. Pourquoi boivent-ils ? Pour garder le tonus, soulager le stress, pour "courage", éliminer un achat, une affaire, une victoire, pour dormir, après un bain, pour une entreprise, et il y a des centaines de raisons de boire, et parfois ils boivent sans raison .

En règle générale, la consommation excessive d'alcool commence par une consommation occasionnelle et épisodique d'alcool. Pendant l'abstinence, il n'y a pas de soif d'alcool. Ensuite, les épisodes se répètent et, en règle générale, avec des doses élevées de boissons, de plus fortes. Ceci s'applique dans une plus large mesure aux jeunes dont la sensibilité à l'alcool est réduite. Les jeunes, surtout les filles, s'enivrent rapidement. Une bouteille de bière pour semer le plaisir... Mais cela s'avère insuffisant, il en faut de plus en plus. Perdu le contrôle ...

En médecine, le concept de mesure de la consommation d'alcool n'existe pas. C'est un concept purement quotidien. Il ne peut y avoir une telle mesure pour la raison que la résistance à l'alcool est une chose profondément individuelle. La même quantité d'alcool peut conduire différentes personnes à un état différent : d'une légère euphorie à des formes sévères d'intoxication alcoolique avec altération des fonctions vitales.

La dépendance à l'alcool se développe progressivement. Au début, une personne aime simplement boire de l'alcool, puis une association stable se forme dans le cerveau : alcool = plaisir.

C'est ainsi que se forme la dépendance psychologique. Si vous ne vous arrêtez pas à temps, la maladie progresse, la dépendance devient non seulement psychologique, mais aussi physique, nécessitant un traitement, souvent clinique.

La particularité du traitement à domicile se compose de plusieurs aspects positifs. Tout d'abord, le patient est dans un environnement familier sous la supervision de sa famille et de ses amis. Ceci est très important, car se débarrasser de la dépendance est souvent associé à divers troubles dépressifs. Et non, même un personnel médical très qualifié portera autant d'attention au patient qu'à ses proches. De plus, après avoir arrêté les manifestations aiguës de la gueule de bois, les alcooliques peuvent se rendre au travail et participer à la vie sociale en 2-3 jours.

Le traitement hospitalier prend généralement beaucoup plus de temps. Néanmoins, il existe un certain nombre de situations dans lesquelles l'hospitalisation devient un besoin urgent, et une tentative de traitement à domicile dans ces cas ne peut qu'aggraver l'état du patient. Tout d'abord, il s'agit d'une frénésie prolongée, qui a entraîné un affaiblissement prononcé du corps, ainsi que tous les cas où il existe un risque élevé de développer un delirium tremens. L'hospitalisation inconditionnelle nécessite également l'exacerbation de diverses maladies chroniques, telles que l'ulcère gastroduodénal, ainsi que des urgences aiguës telles que la pancréatite aiguë.

Vous devez toujours vous efforcer d'avoir une vie saine et sobre. Mais le désir seul ne suffit pas ici, donc, pendant le traitement et même après celui-ci, l'aide d'un narcologue est nécessaire, qui aidera à prévenir une panne et à se réorienter vers la sobriété.

Ivresse->

L'ivresse est la consommation excessive de boissons alcoolisées qui affecte négativement le travail, la vie, la santé humaine et le bien-être de la société dans son ensemble. Les cas isolés d'ivresse sont considérés comme des ivresses épisodiques. L'ivresse systématique peut se manifester à la fois sous la forme de degrés d'intoxication fréquents (2 à 4 fois par mois ou plus) et constants (2 à 3 fois par semaine ou plus) de doses modérées de boissons alcoolisées qui n'entraînent pas de graves intoxication. L'ivresse non seulement systématique, mais aussi épisodique a un effet néfaste sur tous les aspects de la vie sociale et individuelle: elle nuit à la santé, devient souvent la cause de comportements antisociaux, nuit à la production et à l'éducation de la jeune génération.

La conséquence la plus dure de l'ivresse est le développement d'une dépendance pathologique à l'alcool, accompagnée de troubles mentaux et neurologiques et conduisant à une dégradation de la personnalité. La différence entre l'ivresse et l'alcoolisme est que l'alcoolisme est une maladie chronique, et l'ivresse est quelque chose comme une mauvaise habitude, un élément d'un mode de vie. Une personne souffrant d'alcoolisme est dépendante de l'alcool (boit quand il veut et quand il ne veut pas boire aussi). En cas d'ivresse, une personne peut boire, ou peut-être refuser de consommer des boissons alcoolisées. Selon la fréquence et les doses d'alcool consommées, il existe même une certaine classification des personnes qui s'adonnent à l'ivresse.

1. Les abstentionnistes sont les personnes qui ne consomment pas de boissons alcoolisées, ou qui en consomment très rarement et en très petites quantités (jusqu'à 100 grammes de vin 2 à 3 fois par an). Ils peuvent s'abstenir de boire de l'alcool, mais même s'ils en boivent, ce n'est généralement que sous la pression des autres. Boire pour eux est un hommage aux traditions alcooliques dominantes.

2. Buveurs accidentels - personnes qui consomment en moyenne 50-150 ml de vodka (maximum 250 ml) de plusieurs fois par an à plusieurs fois par mois. Ils ne ressentent pas beaucoup de plaisir en raison de l'état d'ébriété et ne s'efforcent donc pas de boire fréquemment. Leur intoxication est insignifiante, ils peuvent contrôler la quantité d'alcool qu'ils boivent et toutes leurs actions.

3. Buveurs modérés - personnes qui consomment 100 à 250 ml de vodka (jusqu'à un maximum de 400 ml) 1 à 5 fois par mois. Ils éprouvent du plaisir à l'état d'ivresse, bien qu'ils développent rarement un désir spontané de boire et que les signes d'intoxication ne soient pas exprimés grossièrement. Même s'ils sont intéressés par une éventuelle boisson, ils l'organisent rarement eux-mêmes.

4. Buveurs systématiques - ceux qui consomment 200 à 300 ml (jusqu'à 500 ml) de vodka 1 à 2 fois par semaine. Outre la consommation fréquente d'alcool et l'augmentation de la dose, ils se caractérisent par l'apparition d'un trouble du comportement en état d'ébriété, ils forment un style et un mode de vie tout à fait spécifiques. Progressivement, leur ivresse devient de plus en plus sévère, les doses augmentent et, bien souvent, des conséquences sociales négatives surviennent.

5. Buveurs habituels - ceux qui consomment 500 ml de vodka et plus de 2-3 par semaine, mais qui ne présentent aucun trouble cliniquement prononcé. L'alcool dans leur vie prend chaque année une place de plus en plus importante, devenant la principale source de plaisir. En définitive, l'abus d'alcool chez les buveurs habituels affecte leur niveau professionnel, leur vie de famille, leur statut social, conduisant à terme à une dépendance à l'alcool.

Théorie de la frénésie

La consommation excessive d'alcool est une condition douloureuse lorsqu'une personne est incapable de résister à la plus forte envie d'alcool qui survient lorsqu'elle essaie d'arrêter de boire. Chez les patients atteints d'alcoolisme au deuxième stade de la maladie, des symptômes de sevrage se développent, qui se caractérisent par une détérioration significative du bien-être lorsqu'ils tentent de réduire la concentration d'alcool dans le sang.

La conclusion de la forte consommation d'alcool est la suppression des symptômes de sevrage, c'est-à-dire des symptômes graves de dépendance physique à la consommation d'alcool. Vous pouvez vous en sortir seul, mais cela est associé à de graves souffrances physiques, à une augmentation de la pression artérielle, à un stress cardiaque et à un risque élevé de développer des complications telles qu'un infarctus du myocarde, un accident vasculaire cérébral, des saignements gastriques, des crises d'épilepsie et de l'alcoolisme. délire (delirium tremens). Pour interrompre la frénésie avec le syndrome de sevrage développé, ainsi que pour prévenir l'apparition de symptômes plus graves, il est recommandé de fournir des soins médicaux, à savoir une thérapie de désintoxication.

Le médecin, à l'aide d'un compte-gouttes et de divers médicaments, aide le patient à survivre à la période de sortie de la frénésie avec pratiquement aucun risque de complications. Les soi-disant tremblements sont supprimés, la pression artérielle est normalisée, l'anxiété, les nausées, les vomissements et les maux de tête disparaissent, un bon sommeil et un rythme cardiaque normal sont rétablis, le corps est nourri et l'équilibre électrolytique est rétabli. Et à la suite des procédures effectuées, le deuxième ou le troisième jour, le bien-être du patient est normalisé sans alcool dans le sang.

Des schémas d'administration de médicaments sûrs et éprouvés sont utilisés, sélectionnés en fonction de l'état du patient, des comorbidités et du stade de la maladie. Les drogues injectées soulagent les envies d'alcool, accélèrent l'élimination des métabolites de l'alcool du corps, éliminent la carence en fluides, substances énergétiques, vitamines et minéraux, qui se produit nécessairement dans un état de frénésie.

Pour le sevrage de la consommation excessive d'alcool, les médicaments suivants sont le plus souvent utilisés :

1) compte-gouttes : solutions salines ou salines (par exemple, trisol ou solution de Ringer) ;

2) médicaments administrés aux médecins par voie intraveineuse ou au compte-gouttes :

Somnifères ou sédatifs - pour soulager le syndrome convulsif ("tremblement"), restaurer le sommeil,

MgS04 (magnésium) - abaisse la tension artérielle, soulage le syndrome convulsif,

Eufilin - améliore le flux sanguin cérébral et rénal, dilate les bronches,

Vitamines : C, Bi, Wb - éliminent les toxines, restaurent un métabolisme normal, soulagent la douleur, normalisent la circulation sanguine,

Panangin - restaure le manque de potassium, stabilise le cœur,

Cerucal - améliore la fonction de l'estomac;

3) médicaments laissés par le médecin pendant deux à trois jours après le compte-gouttes : somnifères, sédatifs, hypotension artérielle, vitamines et autres.

Selon l'état du patient, une distinction est faite entre nettoyage standard, double et maximum. Après le compte-gouttes, le patient se retrouve avec des somnifères et des sédatifs plus chers et « doux ». Toutes ces mesures vous permettent d'éliminer rapidement et en toute sécurité les symptômes de sevrage, de restaurer la capacité de travail d'une personne.

Il faut dire que les crises de boulimie surviennent chez une personne souffrant du deuxième stade de l'alcoolisme. Boire de l'alcool pendant plusieurs jours chez une personne ordinaire n'est pas tout à fait correct d'appeler cela une frénésie, bien qu'un tel abus cause également de graves dommages au corps. Chez un patient alcoolique, la consommation excessive d'alcool commence par la prise d'un ou deux verres, après quoi le corps passe à l'échange d'alcool déjà familier - et si l'alcool n'est pas pris, des symptômes de sevrage apparaissent. Une personne ne peut pas s'arrêter, car le refus de l'alcool provoque de graves souffrances physiques

Troubles métaboliques dangereux liés à la consommation excessive d'alcool. Les personnes qui boivent de façon excessive ne mangent rien ou mangent très peu. Ils ont assez d'énergie grâce à l'alcool. Mais les protéines, les graisses, les vitamines, les micro-éléments ne pénètrent pas dans le corps, et plus la frénésie est longue, plus les perturbations de tous les organes et systèmes sont graves.

Avec le développement de la consommation excessive d'alcool, il est extrêmement difficile pour le patient d'interrompre lui-même cet état douloureux. Même en dépit de raisons objectives (troubles au travail, dans la famille, problèmes financiers et, enfin, détérioration de la condition physique et progression de la maladie), les patients sont incapables de résister à la plus forte envie d'alcool qui survient lorsqu'ils tentent d'arrêter de boire. Des symptômes douloureux concomitants (anxiété, anxiété, nervosité, nausées, vomissements, palpitations, maux de tête, troubles du sommeil, etc.) conduisent souvent à des tentatives infructueuses et à une reprise de la consommation excessive d'alcool. Pour arrêter la consommation excessive d'alcool et aider au syndrome de sevrage et de post-intoxication développé et prévenir l'apparition de symptômes plus graves, une thérapie de désintoxication est indiquée.

Syndrome de la gueule de bois

La gueule de bois est un terme familier courant pour désigner les symptômes de sevrage. Il s'agit d'une condition douloureuse d'une personne après une explosion excessive d'alcool qui a eu lieu la veille. Il commence à se développer lorsque la majeure partie de l'alcool a déjà été éliminée du corps. Physiquement, la gueule de bois se manifeste par des maux de tête, des étourdissements, des maux d'estomac, des nausées, des vomissements, des tremblements des mains et une augmentation ou une chute de la tension artérielle. Le syndrome de la gueule de bois se traduit également par une baisse de l'humeur. Il y a un sentiment de mélancolie, de vigilance, d'anxiété. Le patient pense souvent que tout le monde le regarde avec mépris, le condamnant pour ivresse. Et lui-même, dans cet état, est sujet à l'auto-condamnation.

Les alcooliques souffrant de la gueule de bois souffrent d'insomnie ou d'autres troubles du sommeil. Ils s'endorment difficilement, mais ce rêve est superficiel et n'apporte aucun soulagement. Les cauchemars ne sont ni rafraîchissants ni revigorants ; au contraire, ils vous laissent submergé et déprimé. La transpiration et le tremblement des mains sont si graves et prononcés qu'ils gênent non seulement le travail, mais aussi toute activité quotidienne. Chez les patients alcooliques, tous ces phénomènes disparaissent ou s'atténuent après l'"opohmelka", c'est-à-dire la prise d'au moins une petite dose d'alcool. La principale chose à retenir est que les personnes qui ne souffrent pas d'alcoolisme ont un réflexe nauséeux protecteur qui ne permet pas de boire une dose toxique d'alcool. Et si vous devez avoir la gueule de bois le matin, c'est déjà une raison de consulter un médecin .->

Dépendance à l'alcool->

Le terme « alcoolisme » a été inventé pour la première fois en 1849 par le combattant suédois pour la tempérance Magnus Guss. L'alcoolisme est une maladie chronique dont l'essence est une dépendance pathologique à l'alcool. Cela signifie que ces changements dans le métabolisme que la consommation systématique d'alcool apporte au corps sont irréversibles. Et cela progresse, c'est-à-dire que pour atteindre un état psychologique confortable d'intoxication, un alcoolique a besoin d'une dose croissante d'alcool .->

La dépendance à l'alcool est une maladie chronique grave, dans la plupart des cas insoluble. Pour un alcoolique, l'ivresse semble être le meilleur état mental. Cette attirance défie toute raison rationnelle d'arrêter de boire. L'alcoolique consacre toute son énergie, ses fonds et ses pensées à se procurer de l'alcool, quelle que soit la situation réelle (la disponibilité d'argent, le besoin d'aller travailler, etc.). Ayant un peu bu, il cherche à s'enivrer jusqu'à ce qu'il soit complètement ivre, jusqu'à l'inconscience. En règle générale, les alcooliques ne mangent pas, ils perdent le réflexe nauséeux et donc toute quantité d'alcool bue reste dans le corps. À cet égard, ils parlent d'une tolérance accrue à l'alcool. Mais en fait, il s'agit d'un état pathologique lorsque le corps a perdu la capacité de lutter contre l'intoxication alcoolique par des vomissements et d'autres mécanismes de défense.->

Dans les derniers stades de l'alcoolisme, la tolérance à l'alcool chute soudainement et, chez l'alcoolique passionné, même de petites doses de vin ont le même effet que de grandes quantités de vodka dans le passé. Ce stade de l'alcoolisme se caractérise par une gueule de bois sévère après avoir bu de l'alcool, une mauvaise santé, de l'irritabilité et de la méchanceté. Les humains ont depuis longtemps établi un lien entre l'anxiété et l'abus d'alcool. C'est l'un des principaux facteurs psychologiques qui vous poussent à boire.

Développement de l'alcoolisme ->

La dépendance à l'alcool ne se développe pas immédiatement, mais progressivement au cours d'une longue consommation excessive d'alcool. Il y a plusieurs étapes dans le développement de la dépendance à l'alcool, qui se caractérisent par certains symptômes. Au début, les gens sont accros à l'alcool, puis ils commencent à boire. La différence entre l'ivresse et l'alcool, c'est que l'alcool présuppose un choix de compagnie, un état d'esprit, et l'ivresse, c'est quand on l'attrape, où on l'obtient, ce qui l'obtient et avec n'importe qui. L'ivresse est la base de tout le reste - de la compagnie, de l'amitié et de l'amour. Progressivement, sur plusieurs années de consommation, les personnes issues de buveurs accidentels (qui consomment en moyenne 50-150 ml de vodka, maximum 250 ml, de plusieurs fois par an à plusieurs fois par mois) passent dans la catégorie des buveurs systématiques et habituels ( qui consomment 200 à 300 ml, voire jusqu'à 500 ml de vodka 1 à 2 fois par semaine, mais ne présentent aucun trouble cliniquement prononcé). L'alcool dans leur vie prend chaque année une place de plus en plus importante, devenant la principale source de plaisir. En définitive, l'abus d'alcool chez les buveurs habituels affecte leur niveau professionnel, leur vie de famille, leur statut social, conduisant à terme à une dépendance à l'alcool.

Signes d'alcoolisme ->

Le principal symptôme de l'alcoolisme est l'absorption d'alcool, une envie irrésistible d'alcool qui détruit la capacité d'une personne à mener une vie normale. Un alcoolique pense à boire du matin au soir et même la nuit, s'il ne s'éteint pas, il en rêve. L'alcool devient une obsession qui conduit au développement d'une envie irrésistible de boire, qui devient l'histoire principale de la vie. Et le corps d'un alcoolique tombe dans la même dépendance à l'alcool qu'à l'air, à l'eau et à la nourriture.

Très souvent, les patients ne veulent pas admettre qu'ils sont alcooliques, suggérant à eux-mêmes et à leur entourage qu'ils peuvent refuser l'ivresse à tout moment, ou s'excusant qu'aujourd'hui est un cas particulier, qu'un ami ne sort pas d'une frénésie à tout cela, que les gens formidables aimaient aussi boire, et ainsi de suite. C'est de l'auto-illusion. L'alcoolique se ment à lui-même et aux autres, et la vie devient un jeu constant de cache-cache.

Les alcooliques développent très souvent des sentiments de culpabilité envers les autres, généralement envers leur femme, leurs enfants et leurs parents. Le matin, les alcooliques « roulent à leurs pieds », s'excusant pour leurs ébats d'ivresse et se méritant le pardon de leur femme. Ils commencent à aider aux travaux ménagers, donnent à leur femme tout l'argent restant, et s'ils ne sont pas là, alors avec un zèle et un zèle particuliers, ils commencent à le gagner, mais tout cela jusqu'au premier chèque de paie. Et surtout, leurs épouses leur pardonnent, d'ailleurs, certaines d'entre elles aiment ce sentiment de culpabilité et d'humiliation de leurs maris le matin. Et même si un homme résiste un an ou deux d'une vie sobre après un traitement, une telle épouse provoque parfois sa nouvelle rupture ou divorce. En effet, vivre avec un mari constamment sobre et conscient de lui-même est déjà assez difficile pour elle.

Les alcooliques ont des sentiments de culpabilité à cause des trous de mémoire qu'ils éprouvent lorsqu'ils sont ivres. Sous l'influence de l'alcool, il fait quelque chose que dans un autre état il ne ferait jamais, ou du moins il s'en souviendrait certainement. Les alcooliques dégrisés le lendemain matin ont peur de ne plus se souvenir de ce qui s'est passé, et certains ne se rendent pas compte qu'ils ont oublié quelque chose. À la suite de cela, des sentiments d'anxiété et de dépression se développent, qui ne sont pas seulement liés à l'état de gueule de bois. Une personne se sent mal, mais si elle boit, elle va mieux, mais pas pour longtemps. Donc, vous avez besoin de boire à nouveau.

Mais si vous buvez constamment et en grande quantité, cet état se produira au cours de l'ivresse elle-même. Plus tard, des troubles du sommeil surviennent : il s'accompagne de difficultés, superficielles, peu rafraîchissantes, avec des rêves au contenu déplaisant. Puis l'élocution devient trouble, des troubles de la coordination, une démarche bancale apparaissent. La transpiration et le tremblement des mains avec la gueule de bois sont si intenses qu'ils gênent le travail. Tous ces phénomènes disparaissent ou s'atténuent après avoir pris au moins de petites doses d'alcool - "gueule de bois". Un autre signe d'alcoolisme est une modification de la dépendance du corps à l'alcool et une perte de contrôle sur la quantité d'alcool consommée, c'est-à-dire que pour induire un état d'intoxication, de plus en plus de doses d'alcool sont nécessaires. D'autres signes précoces d'alcoolisme sont moins cohérents. Le développement d'une gastrite chronique avec une faible teneur en acide chlorhydrique dans le suc gastrique est souvent associé à l'alcoolisme; l'alcoolisme se reflète certainement dans l'apparence des buveurs.

Mais l'alcool a l'effet le plus dramatique sur le système nerveux. Parmi les maladies associées à l'alcoolisme, la polynévrite alcoolique (inflammation multiple des nerfs) est plus fréquente, qui se manifeste par des troubles de la sensibilité, puis par une paralysie des nerfs périphériques, ainsi que par une encéphalopathie alcoolique (maladies cérébrales) et des psychoses alcooliques.

Les conséquences de l'alcoolisme

Les conséquences de cas isolés de consommation d'alcool dépendent du degré d'intoxication alcoolique. Au stade initial de l'intoxication alcoolique, la force et la capacité de travail des buveurs semblent augmenter, bien qu'un certain nombre d'études expérimentales aient établi que même les plus petites quantités d'alcool réduisent considérablement la capacité d'une personne au travail physique et mental. Les idées perdent en clarté et en netteté, les détails et les relations les plus subtils entre eux échappent à l'attention et la fatigue s'installe plus rapidement.

Un degré léger d'intoxication alcoolique se caractérise généralement par une augmentation de l'humeur, du verbiage, une diminution de l'autocritique, une instabilité de l'attention, de l'impatience et d'autres signes de la prédominance de l'excitation mentale sur l'inhibition. Dans le même temps, une légère excitabilité apparaît avec la perte de mécanismes physiologiques subtils qui, dans la vie quotidienne, régulent constamment et avec une grande précision le comportement humain et les actions individuelles. Vous pouvez également observer certains troubles neurologiques et autonomes (coordination altérée des mouvements fins et augmentation de la fréquence cardiaque et de la respiration, respectivement). La personne devient plus insouciante, plus insouciante, parle et agit de manière plus insolente et moins circonspecte.

Avec une intoxication modérée, une bonne santé et une humeur joyeuse sont remplacées par une indifférence sourde, mais le plus souvent par de l'irritabilité, de l'impolitesse et des accès de colère; dans le même temps, la pensée est inhibée, les jugements deviennent primitifs, la parole est floue et indistincte, et le comportement est sans tact et licencieux. Les troubles neurologiques lors d'une intoxication modérée se manifestent par un affaiblissement de la douleur et de la sensibilité à la température, la couleur du visage devient pâle, des troubles de la coordination, une démarche tremblante apparaissent et des nausées et des vomissements surviennent souvent.

Lors de la consommation de fortes doses d'alcool, un degré sévère d'intoxication alcoolique peut survenir (lorsque la concentration d'alcool dans le sang est de 250 à 400 mmol / l), qui se traduit par une apathie, une somnolence (avec perte de mémoire ultérieure - amnésie) , dépression de la conscience, jusqu'à l'état de coma. L'intoxication sévère est également caractérisée par un sommeil profond, un affaiblissement des réflexes tendineux, cutanés et autres; possible chute aiguë de l'activité cardiaque et insuffisance respiratoire menaçant le pronostic vital. À des concentrations plus élevées d'alcool dans le sang (jusqu'à 700 mmol/L), la mort par paralysie respiratoire peut survenir.

Les conséquences de l'abus systématique d'alcool sont des troubles persistants qui composent le tableau de l'alcoolisme chronique, accompagné de troubles mentaux et conduisant à une dégradation de la personnalité. L'alcoolisme chronique, comme toute autre maladie chronique (ulcère gastroduodénal, maladie coronarienne), est incurable et susceptible d'évoluer (aggravation des symptômes). Avec une consommation régulière d'alcool, progressivement et parfois imperceptiblement pour une personne, il y a un raccourcissement des "intervalles légers" - les intervalles pendant lesquels une personne ne boit pas et un allongement des périodes d'alcoolisation. Les crises de boulimie commencent à couler plus difficilement. Par la suite, des crises convulsives, des troubles mentaux - troubles de l'audition et de la vision - vision, hallucinations, anxiété constante, anxiété sont souvent ajoutés. Le travail du système cardiovasculaire est perturbé, la pression augmente fortement, la fréquence cardiaque augmente, des douleurs apparaissent dans la région du cœur. Des maux de tête sévères et des troubles du sommeil se rejoignent. La fonction hépatique est altérée.

Dans le même temps, il y a un changement dans les traits de personnalité qui est souvent imperceptible pour le buveur. Toutes les actions et tous les actes visent à boire de l'alcool, tous les intérêts et passe-temps sont réduits à cet objectif. Le travail et la famille passent progressivement au second plan, ce qui entraîne souvent leur perte et leur destruction. D'autres conséquences de l'alcoolisme sont moins cohérentes.

L'alcoolisme est souvent associé au développement d'une gastrite chronique avec une faible teneur en acide chlorhydrique dans le suc gastrique, une cirrhose du foie, dans laquelle ses éléments fonctionnels sont remplacés par de la graisse. À propos, la cirrhose du foie, qui s'est développée à la suite d'autres maladies, avec l'alcoolisme acquiert une évolution maligne. L'alcoolisme contribue au développement plus rapide et à l'évolution maligne des maladies vasculaires, telles que l'hypertension.

À la suite de l'alcoolisme, des œdèmes, de l'essoufflement, un teint malsain apparaissent, l'absorption des vitamines est altérée, c'est pourquoi les rides apparaissent prématurément, les ongles se cassent, les dents et les cheveux tombent ; la peau perd son élasticité et prend une couleur terreuse. L'alcoolisme se reflète certainement dans l'apparence des personnes qui boivent.

Intoxication alcoolique->

L'alcool, en tant que l'un des produits métaboliques intermédiaires nécessaires, est présent dans le corps de toute personne, même le plus invétéré du thé abs. Habituellement, sa quantité dans le sang est négligeable. Pour atteindre au moins un stade d'intoxication léger, cette quantité doit augmenter de trois à quatre fois, et pour un stade sévère - dix fois ou plus. L'intoxication alcoolique dépend non seulement de la dose d'alcool consommée, mais aussi du temps qui s'est écoulé depuis ce moment, des caractéristiques biologiques et psychologiques d'une personne ayant subi une intoxication alcoolique. Si vous buvez de l'alcool au-delà de vos besoins naturels, vous pouvez contracter une intoxication grave, qui peut être mortelle.

L'alcoolisme de la bière

Le mécanisme de développement de l'alcoolisme de la bière repose en grande partie sur la publicité active de la bière. De plus, la bière conformément à la loi "sur la réglementation de l'État de la production et de la circulation d'alcool éthylique dans les produits alcoolisés et contenant de l'alcool" est exclue de la liste des produits alcoolisés (article "Concepts de base"). Par conséquent, l'alcoolisme de la bière est particulièrement développé dans les pays réputés pour la production de ce produit enivrant, comme par exemple l'Allemagne ou la Tchécoslovaquie.

L'alcoolisme de la bière se développe à partir d'une consommation excessive de bière, c'est-à-dire qu'une personne peut simplement devenir alcoolique sans même le savoir. Par exemple, on peut aussi considérer un alcoolique qui ne boit pas de vin ou de vodka, mais boit plusieurs litres de bière chaque jour. En termes de teneur en alcool éthylique, quatre litres de bière équivalent à une bouteille de vodka, et la profondeur de l'empoisonnement dépend précisément de la concentration d'alcool éthylique dans le sang. Un petit volume d'une boisson à forte concentration donne une intoxication rapide. Et si la même bouteille de vodka est diluée, par exemple, avec de l'eau ou du jus jusqu'à quatre litres, l'intoxication sera alors moindre, car l'alcool éthylique est absorbé progressivement dans le sang, c'est-à-dire beaucoup plus lentement, mais sa quantité totale reste le même. Et une bouteille quotidienne de vodka (200 grammes d'alcool) ou quatre litres de bière, c'est déjà de l'alcoolisme.

Cette tournure des événements peut être une découverte inattendue pour les personnes qui ne comprennent pas ce qu'est l'ivresse ou qui n'y ont jamais pensé. Souvent, ces personnes ne se reconnaissent pas comme des alcooliques, rejetant des mots comme « je suis ivre d'une bouteille de vodka, mais seuls mes yeux deviennent rouges à cause de la bière et je veux aller aux toilettes », bien qu'en fait ils aient un effet prononcé dépendance à l'alcool. Le pire, c'est que même les écoliers commencent à goûter à la bière. La bière est ouvertement promue, facilement disponible et relativement bon marché. C'est pourquoi même les écoliers et les étudiants peuvent se permettre de boire de la bière, qui pendant la journée (pendant les pauses ou les pauses entre les cours) boivent plusieurs bouteilles de bière sans penser du tout aux conséquences.

Les cocktails gazeux, qui ne contiennent en réalité aucun des ingrédients indiqués sur les canettes : pas de rhum, pas de vrai gin, pas de jus naturels, ne valent pas mieux. Selon les adolescents, la bière et les cocktails changent simplement l'ambiance du « meilleur », n'interfèrent pas particulièrement avec la pensée, permettent un contrôle « assez tolérable » sur leur corps et ne provoquent donc pas une attitude sérieuse envers eux-mêmes. Mais, comme il s'avère souvent qu'après un an et demi après la consommation régulière de ces boissons peu alcoolisées, il est déjà impossible de vivre sans alcool.

Le plus souvent, l'alcoolisme ne commence pas par la vodka ou le clair de lune. Il commence par la bière, le vin, qui peut être comparé à une drogue faible (la marijuana), et la vodka dans ce cas devrait être comparée à une drogue forte (l'héroïne). Mais en même temps, les mécanismes de dépendance dans les deux cas se développent de la même manière. Comme les drogues faibles sont progressivement remplacées par des drogues fortes, l'alcoolisme lié à la bière conduit invariablement à l'alcoolisme ordinaire. Tu ne peux pas être un peu enceinte. Soit une personne n'utilise rien du tout, soit elle utilise toujours - et peu importe quoi et à quelles doses. Avec tout cela, lutter contre l'envie de bière est beaucoup plus difficile que l'envie de vodka.

L'alcoolisme de la bière est une maladie très grave qui ne lâche pas prise et est difficile à soigner. Après un long moment, le patient voudra à nouveau respirer cet arôme, ressentir ce goût, ressentir cet effet relaxant profond, cette confiance en soi et cette paix. Mais l'alcoolisme de la bière peut aussi être guéri.

Alcoolique->

Un alcoolique est une personne qui consomme régulièrement des boissons alcoolisées, qui est mentalement et physiquement dépendante de l'alcool. Environ 10 pour cent des personnes qui boivent de l'alcool deviennent alcooliques. Ils développent souvent une pathologie des organes internes, des troubles métaboliques dans le corps, des lésions du système nerveux central et périphérique. Ces changements irréversibles se produisent dans l'organisme en raison de la consommation systématique d'alcool. Cela signifie que le reste de votre vie est prêt à reprendre le tableau d'ensemble de l'alcoolisme dès la toute première consommation d'alcool dans le corps, même si cela se produit de nombreuses années et même des décennies après le refus de boire de l'alcool. L'alcoolisme se manifeste par un besoin constant d'intoxication, de troubles mentaux, de troubles neurologiques, de modifications du fonctionnement des organes internes, d'une diminution de la capacité de travail et, par conséquent, d'une perte de liens sociaux et d'une dégradation progressive de la personnalité.->

Pour atteindre un état psychologique confortable d'intoxication, un alcoolique a besoin d'une dose croissante d'alcool. L'alcoolique perd le contrôle de la dose : la personne suppose boire un peu, et par conséquent s'enivre. Ces personnes se caractérisent par des états d'ivresse, lorsqu'une personne est obligée de consommer de l'alcool sans interruption de plusieurs jours à plusieurs semaines sans aucune raison extérieure, c'est-à-dire qu'une personne boit, qu'elle le veuille ou non. Contrairement à la croyance populaire, l'alcoolisme n'est pas une conséquence du manque de volonté du patient. Non seulement les personnes à faible volonté peuvent devenir alcooliques, mais aussi celles qui réussissent, savent comment faire face aux problèmes et savent gagner. Ce n'est pas que la volonté est faible, mais que l'ennemi est fort .->

Les derniers stades de l'alcoolisme se caractérisent par une gueule de bois sévère après avoir bu de l'alcool, un malaise, de l'irritabilité et de la méchanceté. Pendant -> pendant la soi-disant frénésie, lorsqu'une personne boit tous les jours pendant plusieurs jours, voire plusieurs semaines, les phénomènes pathologiques sont si prononcés qu'une attention médicale est nécessaire pour les éliminer. Si une personne n'accepte pas le traitement, il est impératif de faire des tentatives répétées pour convaincre de la nécessité d'un traitement, en combinant les efforts de toutes les personnes intéressées et significatives pour le patient (parents, amis, conjoints, enfants, employés). Il existe une méthode spécialement conçue pour encourager un alcoolique à demander de l'aide, appelée « intervention ». Chacun des participants à cette méthode (et ce sont des personnes importantes et faisant autorité pour le patient) essaie d'aider l'alcoolique à se rendre compte de la présence d'un problème en rapportant les changements en lui et les changements dans leur vie qui sont causés par la consommation d'alcool. par le malade. La méthode implique la participation d'un psychothérapeute pour coordonner et doser les efforts des acteurs, et lorsque le patient se rend compte de sa position, de son problème, il est traité dans un établissement médical spécifique.

Alcoolisme féminin

Nous voyons souvent des hommes alcooliques et rarement des femmes. Et cela se comprend, car jusqu'au dernier moment une femme essaie de cacher son « lien » avec le biberon à son entourage. Parce que si un homme boit, on pense qu'il a besoin d'être aidé pour revenir à une vie sobre, et le plus souvent ce fardeau est porté par les femmes autour de lui, mais si une femme boit, alors tout le monde la condamne et tout le monde se détourne de sa. Cette opinion publique, injuste envers les femmes, formée au fil des siècles, est enregistrée en nous à un niveau subconscient. C'est pourquoi l'alcoolisme féminin est plus dangereux.

Mais qu'est-ce qui pousse une femme à embrasser le biberon ? C'est d'abord la solitude. Curieusement, les femmes qui sont très confiantes dans leur jeunesse et qui réussissent dans les affaires commencent à boire. Et bien qu'elles aient tout : un super boulot, des hommes intéressants, une voiture, un appartement et d'autres avantages, elles n'ont pas d'enfants, car leur activité professionnelle les a détournées de fonder une famille. C'est très difficile de se marier après 35 ans, c'est encore plus difficile de donner naissance à son premier enfant. Même si certains d'entre eux ont des enfants, alors quand ils grandissent, les relations avec eux, en règle générale, ne se développent pas du fait qu'il n'y avait tout simplement pas le temps de les élever à un moment donné. Mais un jour, l'entreprise cesse d'occuper toutes les pensées ou s'éteint, et personne n'attend dans une luxueuse maison vide.

Les épouses d'hommes d'affaires prospères sont également en danger. Contrairement à la version précédente, ils ont un bol plein - ils ont une maison, un mari et des enfants. Mais la situation est très similaire : le mari est presque exclusivement occupé par le travail, les enfants sont à l'école ou à la maternelle. Et l'hôtesse de la maison n'a absolument personne pour se « présenter ». Il n'y a personne pour s'occuper d'elle, pour voir ce qu'elle fait quand elle est seule à la maison. Cela conduit à tricher ou à boire. D'abord, il y a des cocktails délicieux et édifiants, puis des vins chers...

Il se passe tout le contraire. Une femme se consacre à l'éducation des enfants, sacrifiant souvent sa carrière. Et lorsque les époux approchent de la quarantaine, la femme cesse d'intéresser son mari. Obéissant à ses instincts masculins, il part à la recherche d'un partenaire plus intéressant et plus jeune, et le mariage s'effondre. Les enfants grandissent, ils ont leurs propres intérêts. Et la femme est laissée seule - pas occupée et personne n'en a besoin. La mélancolie et le désespoir épuisent l'âme et le corps, vous voulez être distrait ne serait-ce qu'une minute. Les mauvaises pensées rongent, ce qui rend difficile l'endormissement. Pour les noyer, il faut boire un peu d'alcool. Une femme à la maison, dans la cuisine, boit à l'abri des regards indiscrets - et son humeur s'améliore. Mais demain la mélancolie reviendra et vous voudrez tout répéter depuis le début. Et c'est parti, et plus loin, plus c'est. Un tel complot se développe souvent dans le contexte de la ménopause, qui chez certaines femmes s'accompagne d'un inconfort à la fois physique et mental.

L'un des mythes prétend que l'alcoolisme féminin est beaucoup plus difficile à guérir que l'alcoolisme masculin. Oui, les femmes sont plus susceptibles de devenir dépendantes de l'alcool. Souvent, mais pas toujours, le corps féminin est détruit plus rapidement sous l'influence de fortes doses d'alcool. Bien que le stade de développement de la maladie, lorsque le résultat d'une consommation constante d'alcool se reflète dans l'apparence du buveur, soit traité beaucoup plus difficilement que le stade initial, en général, le mécanisme du développement de la maladie et le mécanisme de son traitement est le même pour les hommes et les femmes. Mais une femme, plus qu'un homme, a besoin de soutien, de compréhension et de soins, non seulement pendant le processus de traitement, mais aussi à la fin de celui-ci. Et il s'avère que grâce à l'opinion publique qui prévaut, c'est exactement ce qu'elle obtient le moins.

Traitement de l'alcoolisme ->

Traitements simples de la gueule de bois->

Pour commencer le traitement, un arrêt complet de l'alcool est nécessaire pendant une période d'au moins trois à quatre jours. Pendant tout le cours, il est inacceptable de prendre de l'alcool sous quelque forme que ce soit et vous devez fortement limiter la participation aux événements qui incitent à boire.

La gueule de bois est le signe d'un début d'alcoolisme. Il existe de nombreuses recettes pour restaurer la santé après une forte consommation d'alcool. Le plus important est de ne pas commencer la matinée avec un verre de vin ou une bouteille de bière : c'est un moyen sûr de se saouler !

Versez 20 gouttes d'alcool de menthe poivrée dans un verre d'eau et buvez immédiatement. En 1 à 2 minutes, les traces de l'ivresse d'hier seront complètement éliminées.

Versez 5 à 6 gouttes d'ammoniaque dans un verre d'eau froide. Donnez à boire à un ivrogne, et s'il ne peut pas boire, versez-le dans sa bouche en ouvrant les dents.

Prenez la tête de l'ivrogne couché sur le dos de manière à ce que les paumes des mains soient posées sur les oreilles. Puis frottez rapidement et fortement les deux oreilles. Un afflux de sang à la tête ramènera la personne allongée à la conscience et elle pourra parler intelligemment.

Le moyen le plus simple et le plus efficace de guérir une gueule de bois est un lavement, car la gueule de bois est la conséquence d'une grave intoxication alcoolique. Le lavement aide également à nettoyer le corps. Cependant, il est préférable de le faire avant de se coucher.

L'exercice peut également aider à faire face à la gueule de bois. Cela est dû à l'accélération de la circulation sanguine dans le corps, à la suite de laquelle les toxines sont libérées plus rapidement (en fonction de la gravité de la charge, jusqu'à plusieurs fois plus rapidement). Un avantage supplémentaire de l'activité physique est qu'elle détourne l'attention des réflexions sur la gravité de la gueule de bois, relègue les problèmes moraux au second plan, supprime des phénomènes tels que la peur, l'incertitude inhérente à une personne en état de gueule de bois.

Les exercices de respiration sont un autre moyen efficace de se débarrasser de la gueule de bois. En Russie, la méthode de nettoyage des poumons du corps à l'aide de procédures respiratoires est utilisée par le clergé depuis plus d'un siècle. Les exercices de respiration peuvent soulager les maux de tête et la soif, et une douche froide après eux vous remontera le moral encore plus. Pour ce faire, vous devez tout d'abord sortir à l'air pur et respirer profondément. Il est préférable de le faire en position assise. De plus, la respiration ne doit pas être prise avec la poitrine, mais avec le ventre. Sans relâcher l'air aspiré, continuez à inspirer par la poitrine. Continuez ensuite à inspirer en soulevant vos épaules. Expirez dans l'ordre inverse. La durée approximative d'un cycle est de 15 secondes, vous devez répéter tout cela 6 à 10 fois. Si, pendant l'exécution de ces exercices, la tête commence à tourner à cause de l'oxygène, la procédure de dégrisement doit être reportée de 10 minutes. Ensuite, vous devez vous arroser d'eau froide ou prendre une douche fraîche.

Les inconvénients de cette méthode comprennent une mauvaise écologie, des conditions météorologiques et, surtout, une structure d'inhalation complexe. Après tout, tout le monde avec une gueule de bois n'a pas une haute performance, et encore plus mentale. Certains ne pourront donc pas utiliser cette méthode .->

Une douche de contraste, un bain, une inhalation d'huile de sauge, d'absinthe, de géranium, de cèdre, de clou de girofle ou des bains quotidiens avec eux vous aideront à vous débarrasser rapidement de l'intoxication alcoolique et à restaurer les forces perdues.->

Pour maintenir le tonus général, le ginseng, la racine dorée, la zamaniha et autres toniques conviennent, mais pas sous forme de teintures alcoolisées, mais sous forme d'infusions dans une cuillère à soupe avant les repas le matin et le midi. Il est bon de les utiliser dans un mélange avec du miel, de l'apilak, du jus de citron, des noix hachées et des abricots secs. L'extrait d'aloès liquide convient comme stimulant biogénique. Mélangez-en 50 g avec 100 g d'extrait de rose musquée, le jus de trois citrons et 150 g de miel. Prendre deux cuillères à soupe avant les repas trois fois par jour pendant un mois .->

Pour nettoyer le corps, polyphepan est utilisé - une cuillère à soupe trois fois par jour avant les repas pendant une semaine et Heptral - jusqu'à 4 comprimés après les repas pendant 2 à 4 semaines. Boire beaucoup de jus de fruits naturels, du thé, en particulier du thé vert, du café, de l'eau minérale, mais pas du cola. Le lait, le kéfir, le lait fermenté cuit au four, les yaourts, le fromage cottage, les légumes, les fruits sont indispensables dans l'alimentation. Les viandes maigres, les huiles végétales ne sont pas exclues, et vous devez vous abstenir de friture, d'ail et autres épices.->

En traitement, les vitamines jouent un rôle important à des doses plus élevées que les doses prophylactiques. Acide ascorbique 0,1 à 0,5 g par jour, acide nicotinique de 0,05 à 0,2 g et vitamine -> Bis-> 0,05 à 0,1 g trois fois par jour pendant 20 à 40 jours. D'autres vitamines sont également nécessaires en association avec des oligo-éléments. Complexe domestique sûr et efficace "Vitamineral" .->

Méthodes de traitement->

Le traitement des patients hospitalisés dans les services narcologiques des hôpitaux psychiatriques et dans les hôpitaux spécialisés en narcologie est particulièrement adapté à ceux qui boivent constamment et ne peuvent pas s'arrêter. Il ne fait aucun doute qu'à l'hôpital le patient sera ramené à la normale et il aura suffisamment de temps pour réfléchir sereinement à sa vie future.

Afin d'obtenir un traitement hospitalier, vous devez vous adresser au dispensaire narcologique du district, ce qui signifie un enregistrement automatique, d'où il ne sera pas si facile de quitter à l'avenir.

Le blocage de l'alcool est une méthode de traitement de l'alcoolisme, qui implique un effet complexe sur les principaux liens pathologiques dans le développement de la maladie. Ces liens incluent la dépendance mentale (envie d'alcool, envie de boire) - après le traitement, l'envie diminue, une aversion pour l'alcool se forme. Le lien de dépendance physique (le lien principal dans le développement de l'alcoolisme, contribuant à la manifestation de rechutes, c'est-à-dire des crises de boulimie et à l'aggravation de la gravité de la maladie) - après le traitement, une intolérance persistante à l'alcool est créée, une violation du régime de sobriété provoque une réaction psychosomatique négative aiguë, pouvant aller jusqu'à des conséquences graves, ce qui est extrêmement difficile pour une personne et rend impossible la consommation d'alcool pendant la durée de la technique.

Le blocage neurophysique est une méthode de traitement de l'alcoolisme, lorsqu'à l'aide d'un équipement spécial, des impulsions électromagnétiques d'une certaine fréquence, configuration et longueur d'onde sont appliquées aux structures du cerveau et aux points de réflexologie à l'aiguille (points biologiquement actifs). À la suite du traitement, les «centres d'alcool» sont bloqués, la «mémoire d'alcool est effacée» (l'envie d'alcool est supprimée), l'irritabilité, la méchanceté, l'agressivité sont réduites, l'humeur est nivelée, la tolérance au stress et aux situations de conflit est augmentée, la nuit le sommeil est amélioré, l'appétit est restauré, la confiance en soi apparaît... La consommation accidentelle ou forcée de boissons alcoolisées ne menace pas de conséquences graves pour la santé et la vie, mais provoque une gêne (le développement d'une réaction allergique toxique, une faiblesse, des maux de tête, des nausées, des vomissements, etc. est possible), ce qui empêchera une nouvelle augmentation dans la dose d'alcool.

Daytop (allemand Deutop) est une méthode moderne de traitement de l'alcoolisme et de la toxicomanie, utilisée dans un certain nombre de pays occidentaux (principalement en Allemagne). Le système daytop vise à développer chez les patients ce qu'on appelle la régulation comportementale et une attitude consciente de tempérance et anti-drogue, la prescription de tout médicament étant exclue. Daytop est utilisé dans des conditions stationnaires. La durée du cours est de plusieurs mois.

L'acupuncture est une ancienne méthode de traitement chinoise, qui est basée sur l'effet sur les points biologiquement actifs du corps. En raison de l'effet direct sur les principaux systèmes conducteurs du corps (nerveux, vasculaire, lymphatique) et de l'activation indirecte des principaux systèmes de contrôle (système nerveux central, neurohumoral, endocrinien, immunitaire), la réflexologie à l'aiguille moderne est reconnue comme une méthode efficace dans le traitement d'un large éventail de maladies et vous permet d'atteindre des taux élevés de guérison et d'amélioration de la qualité de vie. La méthode de réflexologie à l'aiguille ne provoque pas de réactions secondaires, contrairement à la thérapie médicamenteuse. Sous l'influence de la réflexologie à l'aiguille, l'activité des hormones surrénales augmente, la perméabilité vasculaire et le métabolisme tissulaire changent et les propriétés rhéologiques du sang s'améliorent. L'activation des réserves internes du corps, stimulée par l'acupuncture, contribue à la correction des processus métaboliques et du poids, au rajeunissement du corps, aide à obtenir de bons résultats dans la lutte contre les mauvaises habitudes (tabac, abus d'alcool) et le stress. À l'heure actuelle, les spécialistes utilisent à la fois une connaissance approfondie des techniques anciennes et des technologies les plus récentes, ainsi que les résultats des dernières recherches des principaux instituts de médecine d'Orient et d'Europe, comme base pour la sélection individuelle des zones réflexogènes et des points d'influence.

Le mot « codage » a été mis en circulation par le docteur A. R. Dovzhenko. C'est ce qu'il a appelé la « nouvelle méthode » de traitement de l'alcoolisme qu'il a développée au milieu des années 1980. En fait, cette méthode est utilisée depuis longtemps, en psychothérapie classique elle s'appelle "thérapie de choc". « Être encodé » signifie suivre un traitement pour l'alcoolisme à l'aide de techniques de codage spéciales. Le but d'un tel traitement est d'inculquer au patient un sentiment de peur (ou, au contraire, de révérence) à l'égard de tout phénomène, substance ou personne, à la suite duquel un centre phobique se forme dans le cerveau et le psychisme pendant un certain temps. période de temps. C'est-à-dire qu'une personne arrête de boire de l'alcool, craignant le développement de conséquences sur la santé qui diffèrent selon l'attitude du psychothérapeute (AVC, paralysie, etc., etc.). Autrement dit, le codage est une technique psychothérapeutique. La personne définit le "code" en codant elle-même. Cependant, la force de la dépendance à l'alcool est très grande. L'attrait pour son utilisation dépasse souvent même la peur du danger mortel. Le codage n'aide pas tout le monde à tenir le coup pendant un certain temps. Elle ne peut pas être considérée comme une méthode indépendante de traitement des patients alcooliques. Au contraire, cela donne à certains patients un gain de temps, lorsqu'ils peuvent commencer à travailler sur eux-mêmes, à se développer psychologiquement et spirituellement, en étant inclus dans l'un ou l'autre programme de réadaptation. La méthode a un côté négatif très important - c'est la substitution de sa propre volonté et de sa responsabilité de s'abstenir d'alcool et de comportement en général par une attitude imposée artificiellement.

Le codage biologique est la méthode la plus fiable de traitement radical de la dépendance à l'alcool. Après administration intraveineuse du médicament, pour tester son efficacité, il est proposé de prendre une petite quantité d'alcool, c'est-à-dire que l'incompatibilité de l'alcool et du médicament administré est démontrée. Cette méthode vous permet de dissiper les doutes et d'inspirer confiance au patient dans l'efficacité et la fiabilité élevées du médicament anti-alcool. Le codage s'effectue uniquement dans les conditions du service de réanimation ou du service de réanimation, 3 heures avant l'intervention, les aliments et liquides sont interdits.

Le codage psychologique est une méthode de traitement lorsqu'un patient, plongé dans un état de conscience particulier à l'aide de technologies spéciales, est injecté dans le subconscient avec un code - un certain programme de fonctionnement cérébral - cet "ordinateur biologique", qui restaure le fonctionnement normal des structures cérébrales, fonctionnement psychologique normal, contrôle de la personnalité sur ses émotions, ses thérapies, ses habitudes et, par conséquent, forme l'indifférence à l'alcool (drogues, tabac, etc.), d'autre part, impose une interdiction de leur consommation en vertu de la menace de conséquences graves pour la santé mentale et physique en cas de violation de cette interdiction.

Le codage par la méthode d'A. Dovzhenko élimine la dépendance à l'alcool. La méthode a été développée dans les années 1980 par le médecin ukrainien Alexander Romanovich Dovzhenko. Il est devenu une vraie sensation. Dans les cercles médicaux, il a été reçu avec retenue, mais la popularité parmi les patients a grandi comme une avalanche.

Le codage de Dovzhenko est une séance de suggestion anti-alcoolique. Aide ceux qui croient en la méthode et sont doués pour inspirer. Contrairement à la croyance populaire, la procédure est inoffensive, bien que beaucoup craignent une interférence avec la psyché. Lorsque l'exemple de la façon dont un ancien alcoolique est devenu nerveux après le codage est cité comme preuve, c'est une autre histoire.

La raison de la nervosité n'est pas dans le codage, mais, en règle générale, dans le fait que la personne a accepté un traitement sous la pression de quelqu'un et s'est avérée psychologiquement pas prête à vivre sobre, donc elle est nerveuse.

L'efficacité du codage a récemment diminué, ce qui s'explique par les particularités des méthodes utilisées et les qualifications des médecins. C'est pourquoi un programme d'encodage informatique spécial « AddictVirtualKiller » ou AVK a été développé. Son auteur, le psychothérapeute et narcologue Andrei Kotlyarov, avait pour objectif de traduire le codage en un dialogue entre un ordinateur et un patient, dans lequel la malhonnêteté du médecin était complètement exclue. Dans AVK, une personne est affectée par plusieurs effets puissants, dont chacun agit en contournant la conscience sur le cerveau, ce qui signifie qu'il est impossible de résister à l'influence ou de "graver" indépendamment le code.

La méthode de traitement de l'alcoolisme du Dr L. Mayorov est une réadaptation unique, complexe, fondamentale et en plusieurs étapes, à la suite de laquelle la dépendance physique et psychologique est supprimée. Le but de la méthode est de former une nouvelle conscience visant un mode de vie sain, le retour de la santé spirituelle et mentale. La polyvalence du traitement réside dans le fait qu'il vise non seulement à soulager la dépendance à l'alcool, mais également à améliorer, renforcer, nettoyer et rajeunir l'ensemble de l'organisme. Contrairement à d'autres approches, le traitement du Dr Mayorov exclut les méthodes basées sur la peur du patient des conséquences négatives possibles de la consommation d'alcool (torpille, esperal, codage), qui, cependant, sont également inoffensives, bien sûr, si le patient adhère strictement à la sobriété. régime littéralement jusqu'au dernier jour de l'injection ou du dépôt. L'aspect positif des injections anti-alcool, entre autres, est qu'immédiatement après l'injection, l'état d'incertitude disparaît, le patient comprend bien que désormais, plus une goutte n'est autorisée, les ponts sont brûlés.

Le principal inconvénient de tout codage et injections anti-alcool est qu'après la fin de la période de traitement, malheureusement, des pannes surviennent souvent.

La méthode de traitement de l'alcoolisme du Dr A. Krylasov est basée sur le fait bien connu que l'œil humain perçoit 24 images par seconde et que la 25e image, dépassant le seuil de conscience, est fixée par le subconscient. En 1957, James Vykeri, psychologue américain de renom et membre de l'American Psychological Association et de l'American Market Research Association, a mené une série d'expériences dans des cinémas du New Jersey, qui ont jeté les bases de l'utilisation ciblée de "l'effet 25e image". Comme vous le savez, Vykeri a installé un projecteur supplémentaire dans le cinéma, à l'aide duquel les phrases "Buvez du Coca-Cola" et "Mangez du pop-corn" ont également été projetées sur l'écran lors de la projection du film. Ces phrases clés ont été affichées à l'écran si rapidement - seulement 1/300 de seconde - que l'œil humain ne pouvait tout simplement pas les voir. L'homme n'était pas conscient qu'il voyait cette image. Néanmoins, Vykeri était convaincu que cette information serait capturée par le subconscient. Les résultats des expériences avec la brillance ont confirmé cette hypothèse. Lors de ces séances avec un projecteur supplémentaire, les ventes de Coca-Cola au buffet du cinéma ont augmenté de 17 % et les ventes de pop-corn ont augmenté de 50 %. Il s'est avéré que "l'effet 25ème cadre" est un moyen de suggestion très puissant. Avec des répétitions répétées, les informations du 25ème cadre sont fermement consolidées dans le subconscient et avec l'utilisation d'une méthode d'entraînement spéciale, elles peuvent être portées au niveau conscient. Plus tard, le 25e cadre a été interdit de publicité et de campagnes électorales en raison de sa grande efficacité. Et en narcologie, une telle interdiction n'existe pas.

Thérapie antialcoolique - comprend tout un système d'effets thérapeutiques visant à corriger divers troubles causés par l'alcoolisation: somato-neurologiques, mentaux et socio-psychologiques. Le spectre des blessures alcooliques couvre une variété de conditions allant d'une intoxication légère à des dommages toxiques persistants à de nombreux organes et systèmes du corps. Par conséquent, la thérapie anti-alcoolique est assez difficile à structurer selon les principes, les étapes, les tâches, les cibles et les niveaux d'effets thérapeutiques, les méthodes de traitement et de rééducation.

Thérapie réflexe conditionnée - est réduite au développement d'un réflexe négatif (vomissements) à l'alcool chez le patient. Pour obtenir un renforcement inconditionnel, divers émétiques sont utilisés (apomorphine, émétine, décoction de mouton, thym, mélanges émétiques). En 1933, I.F.Sluchevsky, puis I.V. Strelchuk ont proposé le traitement de l'alcoolisme par l'apomorphine. Cette méthode est maintenant largement utilisée. Le développement du réflexe nauséeux commence par la sélection de la dose optimale d'apomorphine pour les vomissements. Initialement, 0,2 à 0,3 ml d'une solution à 1% est injecté par voie sous-cutanée et, en augmentant progressivement la dose de 0,1 à 0,2 ml, l'amenez au niveau requis, après quoi les premiers signes de nausée apparaissent après quelques minutes. Pendant cette période, le patient est amené à renifler de l'alcool, et il est recommandé d'en prendre une petite quantité juste avant de vomir. Les séances se déroulent quotidiennement en hospitalisation ou en ambulatoire. Habituellement, après 20 à 25 de ces combinaisons, un réflexe conditionné d'aversion pour l'alcool se forme. En règle générale, il n'y a pas de complications avec le traitement à l'apomorphine. Dans de rares cas, des affections collaptoïdes sont observées, qui sont facilement éliminées par l'introduction d'agents stimulant les centres cardiovasculaires et respiratoires.

Une autre méthode est le mouvement des Alcooliques Anonymes (AA). A Moscou, le premier groupe AA a vu le jour en 1987. Il y a maintenant une trentaine de groupes (au regard du nombre de personnes couvertes pour Moscou, c'est une goutte d'eau). Si vous assistez régulièrement aux cours, les chances de vivre sobre seront assez élevées. Des informations sur les AA peuvent être obtenues auprès de n'importe quelle clinique de toxicomanie. Des groupes similaires existent pour les proches des alcooliques (Al-Anon). En classe, vous pouvez apprendre à faire face au lourd fardeau de la vie avec un alcoolique.

Pour décourager les envies d'alcool ->

Écrevisses bouillies->

Attrapez des écrevisses ordinaires, faites-les bouillir, retirez les coquilles, écrasez-les en miettes, puis broyez-les en poudre dans un moulin à café. Mélangez 2 cuillères à café de cette poudre dans de la nourriture destinée à un alcoolique. Avant, pendant ou après un repas, apportez-lui quelques verres de vodka .->

Une telle "alimentation" doit être effectuée plus d'une ou deux fois. Il faut que pas une seule alcool ne passe normalement pour un alcoolique. Lorsque des vomissements aussi sévères se répètent pour la deuxième et la troisième fois, puis pour la quatrième (ou cinquième ... dixième), il est peu probable que vous souhaitiez prendre de l'alcool .->

Marionnettiste racine ->

1 cuillère à café de racines sèches broyées d'une plante, versez 50 g (1/4 tasse) d'eau bouillante, laissez reposer 1 heure, filtrez, ajoutez de l'eau bouillie au volume d'origine (c'est-à-dire ajoutez suffisamment pour faire 50 g de liquide) . Jetez les racines, et conservez l'infusion au réfrigérateur .->

Versez 15 à 20 gouttes de cette infusion dans une bouteille de vodka et glissez "discrètement" la vodka dans le "patient". Le résultat est des vomissements, suivis d'une aversion pour l'alcool. À propos, la potion du marionnettiste peut être ajoutée non seulement à la vodka ou au vin, -> a et b -> à la nourriture ou au thé (2 gouttes 3 fois par jour). Si l'effet souhaité n'est pas obtenu, la dose doit être augmentée progressivement, en cherchant la barre supérieure. La "hauteur" maximale est de 10 gouttes. L'indicateur sera l'apparition de vomissements après la prise d'une boisson enivrante sur la poitrine. Et puis, même si une personne boit de l'alcool "pur", sans "inclusions" (c'est-à-dire auquel vous n'avez rien ajouté), des vomissements suivront toujours sans faute. Et dans ce cas, peu importe où (à la maison ou à l'extérieur) votre alcoolique rencontrera ses personnes partageant les mêmes idées - vomissements et tous ceux qui y sont liés->

les conséquences ne peuvent être évitées. Naturellement, il est peu probable que le « coupable » lui-même devine pourquoi quelque chose n'allait pas chez lui. Très probablement, au début, elle blâmera ces problèmes sur la mauvaise vodka. Et puis, après une série d'échecs, il développera une aversion persistante pour l'alcool, et il ne voudra plus boire.->

Vodka "Poisson" ->

Prenez un brochet vivant pour qu'il puisse encore respirer (pesant environ 250 g), placez-le dans un bocal d'un litre et remplissez-le d'une bouteille de vodka, puis fermez-le avec un couvercle en nylon étanche et laissez-le infuser 7 jours dans un endroit frais et sombre (mais pas dans le réfrigérateur ou sur le balcon). Filtrez ensuite la teinture 5 à 6 fois à travers 2 à 3 couches de gaze. Versez dans des bouteilles et placez-les pour que l'ivrogne les trouve et les boive lui-même .->

Le brochet peut être remplacé par des loches (3-4 petits poissons) de taille moyenne, encore vivantes. Versez-les avec une bouteille de vin fortifié ou 0,5 litre de vodka. Mais n'insistez plus, comme un brochet, pendant 7 jours, mais attendez juste que les loches meurent dans ce "remplissage". Puis, au bout de 5 à 10 minutes, filtrer, verser dans des bouteilles et donner à boire au service alcoolique.->

En règle générale, ces drogues provoquent une aversion pour l'alcool chez leur consommateur .->

Toile d'araignée->

Trouvez une toile d'araignée dans la forêt et diluez-la dans 0,5 litre d'eau. Le matin à jeun, buvez 1 verre de cette eau sur la toile. L'après-midi, avant le déjeuner, au lieu des fameux 50 g, buvez 30 g de teinture de rhodiola rosea (racine dorée) : versez 50 g de racine sèche hachée dans 1 litre de cognac, laissez poser 18 jours (ou versez 100 g de racines dans 1 litre de vodka, insister dans un endroit sombre pendant 10 jours), boire 30 g une fois par jour. La durée du traitement est d'un mois .->

Verser la pomme->

Mangez 3 à 4 pommes aigres par jour, en les écrasant en bouillie. Mais les pommes pour le traitement ne sont pas faciles. Pour un effet cicatrisant, elles doivent être bourrées de clous : prenez 10 pommes et enfoncez 4 à 5 clous dans chacune. Avant utilisation, retirez les ongles et "passez-les sur le bâton" aux autres fruits. Et cette chaîne ne doit pas être interrompue pendant 6 semaines. Avec un tel système, un extrait de fer acide malique est formé, ce qui est utile et nécessaire pour le traitement de l'alcoolisme et de l'anémie .->

Si quelqu'un décide de se faire soigner avec des pommes, vous devez garder à l'esprit qu'avec cette méthode, il existe de nombreuses restrictions alimentaires: vous ne pouvez pas manger de produits laitiers, d'œufs, d'aliments salés et gras, d'épices, de pois et d'oignons. La préférence devrait être donnée aux céréales, à la viande maigre, aux boissons chaudes aux fruits à base de canneberges ou d'airelles rouges, de pommes, de citrons, de variétés aigres de prunes, de cerises et de grenades. Les légumes sains comprennent les betteraves, les carottes, les pommes de terre .->

Traitement aux herbes, racines et champignons ->

Le traitement de la dépendance à l'alcool existe depuis longtemps. Le plus souvent, toutes sortes d'herbes étaient utilisées pour cela .->

L'expérience du traitement de l'alcoolisme avec des herbes est remarquable. L'herbe peut être plus efficace que de coder ou de coudre un tableau de bord .->

Soit dit en passant, le traitement à base de plantes est particulièrement utile pour ceux qui ont des maladies concomitantes. Après tout, les médicaments traditionnels contre l'alcoolisme, tels que, par exemple, le teturam, nuisent grandement au corps et, en premier lieu, au foie. Mais l'alcool lui-même est un poison pour le foie. La consommation excessive d'alcool à long terme conduit souvent à la jaunisse et à la cirrhose. Par conséquent, dans l'alcoolisme chronique, il est nécessaire de protéger le foie des effets nocifs. Il existe plusieurs recettes éprouvées pour cela en médecine traditionnelle. Par exemple, pour nettoyer le foie des toxines, utilisez de la poudre de racine de gousset - 0,5 g chacune pendant 5 jours .->

Séchez le Koprinus et mélangez la poudre à la nourriture. Séchez-les dans -> une poêle (il est impossible de les sécher comme des champignons ordinaires - ils se désagrègent et se transforment en bouillie d'encre). Mettez les champignons fraîchement cueillis dans une grande poêle dès que possible et faites-les frire à feu doux, en remuant constamment, jusqu'à ce que l'eau se soit complètement évaporée. Ensuite, vous devez sécher et broyer la masse résultante en une poudre sur un moulin à café. Cette poudre doit être administrée dans les 10 jours tous les 2 jours pour 2-3 doses. S'il n'y a pas d'effet, augmentez progressivement la dose, mais elle ne doit pas dépasser 5 g (1 cuillère à café).

Le bousier gris est assez commun dans les basses-cours, sur les pâturages fumés et les potagers du début de l'été à la fin de l'automne. Il est particulièrement bien connu des villageois, mais la plupart d'entre eux pensent que si le champignon a poussé sur du fumier, il n'y a rien de bon dedans. Néanmoins, ces champignons d'apparence indescriptible sont comestibles à un jeune âge et ont un goût assez décent.

En Europe occidentale, ils sont même considérés comme un mets délicat. Pour nous, le bousier est intéressant car c'est le médicament anti-alcool le plus accessible et le moins cher, qui agit comme le médicament breveté Antabus.

Inoffensif et savoureux dans des conditions normales, ce champignon provoque une sorte d'empoisonnement chez ceux qui ont bu un verre ou deux d'alcool, puis ont mangé des champignons. En même temps, ils ont des nausées sévères, des palpitations et la peau du visage devient rouge. Après avoir un peu tourmenté le buveur, tous les symptômes d'empoisonnement disparaissent sans laisser de trace. Cependant, dès que cette personne s'enivre le matin, tout se répète. Ainsi, progressivement, vous pouvez inculquer à une personne une aversion persistante pour l'alcool, même à son insu.

Préparez le bousier comme suit : mettez les chapeaux coupés dans une poêle profonde ou en fonte, ajoutez-y les oignons, salez et mettez sur feu doux sans ajouter d'eau. Lorsqu'ils sont chauffés, les champignons eux-mêmes donnent une quantité suffisante de jus, dans lequel ils doivent être bouillis pendant 45 à 50 minutes. Ensuite, vous pouvez les ajouter à la soupe, les faire frire, préparer la sauce ou même simplement les faire mariner pour une utilisation future.

Herbe de centaurée (1 partie), racines et rhizomes d'oseille (2 parties), herbe de thym (2 parties), racines de valériane (1 partie), racines d'herbe et de pissenlit (1 partie), herbe en trois parties (1 partie). Pour 1 verre d'eau bouillante, prenez 1 cuillère à soupe de la collection hachée, insistez dans un récipient scellé pendant 1,5 à 2 heures, filtrez. Boire pour boire fort, accompagné d'œdème, de douleur au cœur, 0,5 verre avant les repas 3-4 fois par jour. Le patient interrompt non seulement la frénésie, mais développe également une aversion pour l'alcool.

1 partie de centaurée, 1 partie d'absinthe (herbe) et 1 partie de thym. Verser 15 g du mélange obtenu dans 200 ml d'eau bouillante. Après avoir emballé, insistez pendant deux heures, égouttez. Prendre 1 cuillère à soupe 4 fois par jour.

Dans 250 g de vodka, mettez de la racine de livèche et deux feuilles de laurier. Insistez pendant deux semaines. Donnez à boire à un alcoolique un verre de cette teinture. Son action provoque une forte aversion pour l'alcool, des vomissements.

La racine du sabot-fourchu européen sous forme d'infusion ou de décoction est utilisée comme agent anti-alcool, mélangeant sa décoction avec de la vodka afin de provoquer une aversion pour les boissons alcoolisées, mais le patient ne doit pas le savoir. Application: 5 g de racine sont bouillis pendant 5 à 10 minutes dans un verre d'eau, après refroidissement du bouillon, versés imperceptiblement dans un verre de vodka et donnés au patient. Ce mélange provoque des vomissements et une forte aversion pour l'alcool.

En 1977, le Comité pharmacologique russe a approuvé l'utilisation de l'herbe de thym comme médicament qui supprime le besoin pathologique d'alcool et réduit le syndrome de "sevrage". Le thym commun est un arbuste vivace parfumé avec une tige ligneuse rampante sans feuilles. A fortes doses, en association avec de l'alcool, le thym provoque une réaction nauséabonde.

Une décoction de thym est préparée comme suit : 15 g d'herbes sont versés avec 200 ml d'eau, bouillis pendant 15 minutes, le bouillon est laissé refroidir, puis filtré et ajouté à un volume de 200 ml avec de l'eau bouillie. Le traitement est effectué quotidiennement pendant 2 semaines sous la surveillance du personnel médical.

L'utilisation d'une décoction de thym pour le traitement de l'alcoolisme pendant 10 ans par le personnel du département de psychiatrie de l'Institut biélorusse d'études médicales avancées sous la direction du prof. AF Skugarevsky a montré sa grande efficacité. Le traitement a supprimé l'envie d'alcool, éliminé divers changements neurasthéniques et réduit l'irritabilité. Bien sûr, tout remède pris séparément pour le traitement de l'alcoolisme n'a pas de signification indépendante et ne fournit pas de remède à cette maladie grave. Seule une approche intégrée du traitement, prenant en compte la personnalité du patient, la dynamique de sa maladie, donne des résultats positifs.

Une collection d'herbes qui a un effet détoxifiant, tonique, multivitaminé, tonique, enivrant, diurétique : racine d'aunée - 4 parts, herbe d'origan - 2 parts, fleurs de sureau - 2 parts, mûres - 2 parts, fleurs de tanaisie - 4 parts, herbe de thym - 3 parties. Mélanger 1 cuillère à soupe d'un mélange d'herbes, verser un verre d'eau bouillante, laisser reposer 60 minutes, filtrer et prendre 100 ml le matin et l'après-midi avant les repas pendant 1-2 mois.

La médecine traditionnelle connaît aussi d'autres plantes qui sont souvent utilisées dans le traitement de l'alcoolisme. Il s'agit notamment du bélier ram, dont une décoction est utilisée depuis longtemps comme moyen de réguler l'activité du système nerveux, normalisant le sommeil.

Le lycopode a passé l'épreuve du temps, c'est un bélier, c'est un lycopode. À feuilles persistantes, réparties dans toute la Russie dans les forêts mixtes de conifères et ombragées. Des spores et de l'herbe sont utilisés. L'herbe est récoltée de mai à l'automne, et les spores de juillet à août. Pour le traitement, une perfusion à 5% de 50 à 100 ml est utilisée par prise une fois par jour. 15 minutes après l'ingestion, laisser respirer avec un coton-tige imbibé de vodka. Des vomissements indomptables se produisent. De telles sessions sont effectuées pendant 5 à 7 jours consécutifs.

Le bélier commun est une plante herbacée vivace à spores persistantes de la famille des béliers, de 5 à 25 cm de haut avec des racines sous-développées. En médecine, on utilise la partie aérienne (herbe) du bélier commun. Le bélier commun pousse de Novaya Zemlya aux Carpates et au Caucase, inclus. On le trouve également au nord de la Yakoutie, dans l'Altaï, dans le territoire de Krasnoïarsk, au sud de la région d'Irkoutsk, sur les îles Kouriles et Chukotka. L'herbe contient un alcaloïde, qui a un fort effet émétique, et est utilisé comme décoction pour le traitement de l'alcoolisme et du sevrage tabagique. Une décoction d'agneau, prise à l'intérieur, provoque une douleur générale, des vomissements sévères, de la salivation, de la transpiration et abaisse la tension artérielle. Les nausées sont exacerbées par l'alcool et le tabac. Cette combinaison conduit au développement d'un réflexe conditionné d'aversion à l'alcool et à la nicotine.

Le bélier est venimeux et la prudence est de mise. Il n'est pas indiqué chez les personnes de plus de 50 ans, les patients atteints de tuberculose active, d'ulcère gastrique, d'asthme bronchique et de cardiopathie ischémique.

En cas d'intolérance au bélier, l'un des frais suggérés est utilisé.

1. 3 cuillères à soupe d'absinthe, 2 - millepertuis, 5 - thym et 1 cuillerée de feuilles d'airelle.

2. 3 cuillères à soupe de centaurée, 5 - menthe, 2 - romarin, 3 - racines de valériane et 2 - oreilles d'ours.

3. 5 cuillères à soupe de racines de livèche, 3 cuillères à soupe de violettes, 4 - millefeuille, 2 - mélisse et 3 feuilles de laurier écrasées.

4. 2 cuillères à soupe de baies de genièvre, 1 cuillère de nerprun, 3 - immortelle, 2 - lentilles d'eau et agripaume.

Les infusions sont préparées de la manière habituelle. Un verre plein se boit le matin, la moitié le midi et le soir en semaine. Chaque portion bue est accompagnée de deux cuillères à soupe de miel et du jus d'un citron. En cours de route, le Trichopolum, autrement dit le métronidazole, est pris - trois comprimés trois fois par jour avant les repas pendant 20 jours, suivis d'un traitement d'entretien avec des doses plus faibles pendant 10 jours. Le médicament est contre-indiqué pour ceux qui souffrent de leucopénie.

Tout ce qui précède est accompagné d'un massage des points le long de la ligne médiane de la tête. Le premier est à trois doigts transversaux du début de la pousse des cheveux, le second à deux doigts du premier et le troisième à un du second. Le massage doit être effectué en mode doux pendant dix minutes dans le sens des aiguilles d'une montre, accompagné des mots: «Chaque jour, je ressens de plus en plus d'aversion pour tout alcool, l'envie d'alcool disparaît. Ma santé se rétablit. Où qu'il soit, celui qui offre à boire, il n'y a pas de désir. Le dégoût et, encore, le dégoût pour tout alcool. La force, l'intelligence, l'énergie sont restaurées. Tout le corps fonctionne clairement, harmonieusement." Cette formule d'autohypnose doit être répétée le plus souvent possible, notamment le matin et avant le coucher.

Traitement au miel

Récemment, des spécialistes du Centre international de médecine ont développé un programme spécial de miel pour le traitement de l'alcoolisme. Ils ont prouvé scientifiquement que le miel en grande quantité peut arrêter la consommation excessive d'alcool. Une cuillère à soupe de miel pendant le repas soulagera la gueule de bois.

Le livre du médecin américain D. Jarvis « Honey and Other Natural Products » présente une vision très particulière du problème de l'alcoolisme.

Le désir passionné de boire est associé chez l'homme à un manque de potassium dans le corps. Le miel, étant une excellente source de potassium, réduit considérablement la soif d'alcool et, de plus, réussit à dégriser.

En médecine traditionnelle, il existe un moyen de rendre les personnes sobres au stade d'intoxication grave à l'aide de miel. Toutes les 20 minutes, une personne doit recevoir 6 cuillères à café de miel (18 cuillères à café pendant 40 minutes). Après une demi-heure, répétez la procédure. Après le sommeil - 3 autres doses de miel, 6 cuillères à café à des intervalles de 20 minutes, puis donner un œuf à la coque à manger, et après 10 minutes - à nouveau 6 cuillères à café de miel.

Le petit-déjeuner de l'ivrogne amer est également particulier - du miel. Avant de manger, on lui donne 4 cuillères à café d'un produit sucré, puis un morceau de viande et 1 cuillère à soupe de jus de tomate. Pour le dessert - 4 cuillères à café supplémentaires de miel.

Après un tel blocage du miel, le patient ne prendra plus d'alcool dans sa bouche.

Perge->

Vous pouvez aider les malades dans le traitement de l'alcoolisme avec des produits de la ruche : "pain d'abeille" (pain d'abeille), gelée royale, propolis.

Sucez le pain d'abeille comme un bonbon (il doit être pris à jeun). L'essentiel est que le résultat soit visible en un mois et sans coûts de traitement élevés.

Autres traitements de l'alcoolisme ->

Vodka sur la litière->

Une bouteille d'un demi-litre est remplie à moitié de crottes de poulet sèches, versées jusqu'au sommet avec de la vodka, maintenues dans un endroit chaud pendant 3 à 4 jours, filtrées, teintées avec du colorant alimentaire pour l'illusion d'optique et autorisées à boire. Le remède provoque des vomissements sévères du buveur et une aversion pour l'alcool.

Térébenthine->

En plus de tous les autres remèdes contre l'alcoolisme, la médecine traditionnelle recommande la térébenthine purifiée comme fortifiant et stimulant. Mais vous devez l'utiliser à l'intérieur très prudemment : une seule fois par jour. La réception commence avec 5 gouttes. En ajoutant 1 goutte tous les jours, portez la dose à 15 (et si le cœur le permet, cela peut aller jusqu'à 30), puis réduisez également le volume à zéro d'1 goutte. Prenez de la térébenthine à jeun, en l'ajoutant à de l'eau ou du lait. La période de traitement est de 1 à 2 mois.

Poivre->

Verser 20 grammes de poudre de poivron rouge dans 0,5 l d'alcool à 70 degrés, laisser reposer 2 semaines, ne pas filtrer. Ajouter 2-3 gouttes dans chaque bouteille de vin à boire .->

Punaises de lit->

Les sorciers, quant à eux, considéraient que les punaises vertes des forêts pullulaient sur les framboises comme un remède très efficace, et lorsque vous les touchez un peu, elles dégagent une odeur âcre et désagréable. Ils insistent sur la vodka, leur donnent à boire à un ivrogne sans méfiance, dont le "médicament" provoque une aversion persistante pour l'alcool.->

Gramicidine->

Dans le complexe de traitement, on ne peut se passer de se rincer la gorge 4 à 5 fois par jour pendant une semaine avec une solution de gramicidine, 3 gouttes par verre d'eau. Il peut être acheté à la pharmacie sans ordonnance .->