Tout sur les piercings d'oreilles : types de piercing, histoire, astuces et boucles d'oreilles. D'où vient la coutume de porter des boucles d'oreilles pour hommes ?

L'histoire du port de boucles d'oreilles chez les hommes en Russie a commencé avec le mouvement militaire cosaque. Cette sous-ethnie est apparue sur le territoire de la Russie depuis l'entrée des Zaporozhye Sich dans notre État. Les cosaques qui habitaient le Zaporozhye Sich n'étaient pas entièrement incorporés à la Russie, certains d'entre eux sont allés en Turquie, mais la plupart d'entre eux se sont installés le long des frontières sud de l'empire russe.

La boucle d'oreille du cosaque indiquait son statut dans la famille. On sait que le fils unique d'une mère célibataire de la famille, ou l'homme extrême de la famille où se terminait la lignée masculine, portait une boucle d'oreille à l'oreille gauche. Dans l'oreille droite se trouve le fils unique de la famille. Deux boucles d'oreilles à l'oreille droite étaient portées par le seul enfant de la famille.

D'une part, la boucle d'oreille était un talisman protecteur protégeant le cosaque au combat. D'un autre côté, le commandant voyait qui devait être protégé au combat. C'est d'ici que le bien connu de l'armée commande « Alignez-vous !

L'histoire des boucles d'oreilles pour hommes dans diverses cultures et sous-cultures

Fait intéressant, les boucles d'oreilles sont apparues à l'origine comme des bijoux masculins. Par exemple, dans les cultures asiatiques depuis plusieurs millénaires, il existe une tradition au sein de laquelle des artisans qualifiés fabriquent des bijoux pour hommes. Les anciens Égyptiens portaient également des boucles d'oreilles à leurs oreilles, ce qui était un indicateur de statut social élevé et de richesse.

Dans la Rome antique, en revanche, une boucle d'oreille indiquait un esclave, et dans la Grèce antique, un homme gagnant sa vie de la prostitution. Dans la tradition gitane, une boucle d'oreille était enfilée dans l'oreille du garçon né après la mort de l'enfant précédent. Dans la tradition des voleurs, la boucle d'oreille dans l'oreille indique l'appartenance au "fond de la vie" et l'absence de peur.

Pour les pirates, chaque nouvel anneau dans l'oreille indiquait le prochain navire capturé. Les marins ordinaires se mettent la boucle d'oreille à l'oreille dès qu'ils parviennent à franchir l'équateur. «À terre», un tel marin était très bon et parmi ses collègues, beaucoup était permis et pardonné.

Piercing au 21ème siècle

Aujourd'hui, vous ne surprendrez personne avec une boucle d'oreille à l'oreille d'un homme. Il n'y a pas d'exigences particulières pour un homme qui décide de se décorer avec une boucle d'oreille, il ne devrait pas avoir de statut social particulier, se démarquer en quelque sorte des autres hommes. Le symbolisme du port de boucles d'oreilles s'est altéré et s'est transformé en un signe qui attire l'attention du sexe opposé. Il est à noter que la boucle d'oreille, en tant qu'indice d'homosexualité, ne fonctionne plus non plus, car beaucoup de jeunes d'orientation traditionnelle se piquent les oreilles. À l'heure actuelle, le port d'une boucle d'oreille n'a pas non plus d'application pratique ou conceptuelle.

Histoire du piercing

L'histoire du piercing remonte à plusieurs millénaires. Depuis l'Antiquité, une personne a essayé de décorer son corps de piqûres, parfois des piqûres sur le corps symbolisaient l'appartenance d'une personne à une caste particulière, à une couche particulière de la société.

En Egypte, les femmes se perçaient le nombril, contrairement à aujourd'hui, seuls les proches du pharaon et des prêtresses étaient autorisés à porter un anneau sur cette partie du corps. Dans l'Inde ancienne, la gent féminine portait une boucle d'oreille dans l'une des narines, signe de mariage. Les guerres romaines antiques préféraient percer les mamelons. Pour les hommes, cela signifiait que le propriétaire de la boucle d'oreille mamelon avait beaucoup de courage et de courage. Le piercing était utilisé dans de nombreux rituels dans lesquels une personne devait passer le test de la douleur et prouver sa masculinité. Pour beaucoup, le perçage est associé à des piqûres sur le corps du Christ crucifié. continuation

En perçant certains endroits du corps, les gens poursuivent divers objectifs. Ou ce désir de décorer votre corps, de vous démarquer de la foule, d'attirer l'attention, d'avoir l'air plus sexy (ce sont généralement des endroits disponibles pour une visualisation générale). Soit une personne cherche à modifier ses sensations, soit à les rendre plus aiguës, avec des perforations des organes génitaux, des mamelons, de la langue et d'autres endroits. À l'aide du piercing, une personne se prouve parfois qu'elle est capable de résister à de nombreux tests.

La vie débordait de tranquillité et de beauté. Beauté nue, mais parfaite. Et tout cela aurait continué jusqu'à ce jour si Adam n'avait pas succombé à la tentation d'Ève, la première femme. Tout dans ce monde est fait pour le bien des femmes. Et le péché est apparu sur terre. Les gens ont commencé à mettre des robes pour ne pas se tenter par le péché charnel. Et, perdant son attrait naturel sous ses vêtements, une personne compensait cela en avec les mêmes vêtements ou accessoires. Malgré le fait que le mot lui-même (mode français de Lat. Modus - règle) - une courte domination d'un certain goût dans n'importe quelle sphère - soit apparu sur les lèvres des millénaires après les événements susmentionnés, une femme charmante, imprévisible et capricieuse cachant son visage sous ce nom, a commencé à perturber l'esprit humain bien plus tôt. C'est elle et, bien sûr, le désir d'attirer l'attention du sexe opposé qui a poussé les gens à passer de la peau de mammouth aux leggings, puis aux jeans, des sandales romaines aux sandales. Grâce à la mode, des duels, des guerres ont eu lieu, des ponts, des temples, des villes ont été érigés et effondrés. Des odes, des symphonies, des raves ont été écrites en son honneur. céda. C'est la mode qui a stoppé le regard éternellement scrutateur des années 90 sur son propre corps (retour aux origines ?), plus précisément sur l'introduction de substances étrangères en son sein.

Piercings

Body Piercings (anglais - body piercings) est un phénomène qui existait dans tout l'espace historique, ces dernières années, il s'est rapidement projeté sur le corps des jeunes, ce qui a provoqué l'hostilité de la partie la plus conservatrice de la population, peut-être en raison de l'ignorance. ou la capacité de la mémoire à oublier les manières et les goûts des générations précédentes. (Souvent plus conservateur.) Le perçage des oreilles est la manifestation la plus libérale. Chez les Indiens d'Amérique, les oreilles des hommes étaient dressées et les perforations étaient faites à la fois dans les lobes et dans le cartilage. Parmi les représentants de la race caucasienne, cette prérogative est restée longtemps la moitié féminine. Bien qu'en Russie tsariste une boucle d'oreille un marin qui franchissait l'équateur pour la première fois fut inséré dans l'oreille. (Une étape importante dans la carrière d'un marin est une marque de distinction majeure.) Dans la Grande-Bretagne des années 70, la boucle d'oreille a traversé toutes les étapes imaginables, mais la préférence était toujours donnée à l'épingle de sécurité. (Bien que toujours conservateur.) Les rappeurs des années 80 ont popularisé le perçage des oreilles chez les hommes. Et si jusqu'à récemment notre compatriote, le propriétaire de la boucle d'oreille, se vouait aux accusations du public d'orientation homosexuelle, maintenant, même en ayant une myriade de bagues dans le domaine de l'appareil auditif, vous ressemblerez moins que tout à un extraterrestre. ou une sorte de mécanisme infernal (peut-être - un adolescent agité) et vous pouvez tranquillement défiler dans les rues.

Piercing au mamelon

Le piercing au mamelon parmi les nations civilisées est né dans la Rome antique. Les riches centurions romains, les gardes du corps de Jules César, portaient des anneaux de tétons en signe de courage et de courage, et comme accessoires vestimentaires pour soutenir leurs capes courtes. Les dames laïques de l'ère victorienne (fin du XIXe siècle) défendaient ainsi leur féminité, augmentant la taille et donnant une forme plus gracieuse à leurs seins. Les ravers actuels, bien sûr, ne ressemblent même pas à des légionnaires, et les jeunes filles, hélas, ont perdu leurs manières, mais ce fait ne fera en aucun cas obstacle à la stimulation mécanique des mamelons, inaccessible par d'autres moyens.

Piercing au nombril

Le piercing au nombril des anciens Égyptiens symbolisait le fait que la personne avait des droits communaux. Les temps ont changé et le nombril percé du mannequin Christy Turlington est devenu l'endroit le plus sexy de la planète. Certes, en plus des contours corrects du nombril, cette dame est dotée des traits du visage corrects, dont les moulages ont été réalisés pour le musée. Par conséquent, il n'est pas si facile de contester ce titre.

le prince albert

Prince Albert est le nom de la bague, qui est un attribut de la mercerie victorienne. La légende raconte que le prince Albert portait un tel anneau inséré dans la tête de son pénis pour des raisons d'hygiène. Cette ponction se fait par l'urètre à la base de la tête. La procédure est rapide, la douleur est minime, la guérison est presque instantanée, le plaisir est de longue durée.

Piercing coccyx

Le piercing au coccyx est l'un des types de piercing les plus difficiles. La complexité de la ponction réside dans la coïncidence exacte du trou percé dans la peau et du trou horizontal traversant cet os, ainsi que dans la coexistence ultérieure, pas toujours paisible, de votre corps et, par exemple, d'un lit.

Au 19e siècle, le piercing au sein effectué lors de la cérémonie était courant chez les Indiens d'Amérique du Nord. Deux coupes verticales ont été faites sur la poitrine à travers lesquelles un cordon de cuir a été enfilé. Sur celui-ci, une personne a été pendue à des poteaux. Dans cet état, il devait se pendre jusqu'à ce que la peau éclate. De tels rituels provoquaient de fortes hallucinations chez les gens, les aidaient avec le One Above (comme les Indiens appelaient les Saints-Esprits) du nom de mod, et qui remplacera demain la tige de métal dans le nez de Kid. Nous obligera-t-elle à appeler une grue une coiffe, à insérer des anneaux dans les organes internes ou à nous frapper la tête. Alors, amateurs de sensations fortes (je ne parle pas des fans de Léopold Sacher-Masoch et du Marquis de Sade), armés du bon sens d'une personne civilisée et des bons conseils d'un pierceur professionnel, ne perdez pas une seconde de votre plaisir . Demain, les piercings corporels se transformeront simplement en archaïsme, et une boucle d'oreille dans un endroit étrange ne fera que provoquer l'indignation de votre bien-aimé.

Piercing nasal.
Les piercings au nez sont attrayants et mettent très bien en valeur les traits du visage. Léonard de Vinci croyait que le nez formait le caractère de tout le visage.
Pour la première fois, le perçage du nez a été enregistré au Moyen-Orient il y a 4000 ans, il est mentionné dans la Bible (24:22) Abraham a demandé à son employé de trouver une femme pour son fils Isaac, l'employé a trouvé Rebecca. L'un des cadeaux qu'Isaac a offert à Rebecca était une "boucle d'oreille en or" - Shanf. Shanf, utilisé à l'origine dans le mot hébreu, se traduit par "anneau de nez".
La pratique du perçage du nez est présente chez les tribus nomades d'Afrique Berbère, Béja et Bédouins du Moyen-Orient, la taille de l'anneau indiquait le degré de richesse de la famille.
Les bijoux de piercing au nez ont été importés du Moyen-Orient à la fin du XVIe siècle en Inde. En Inde, un clou (Phul) ou un anneau (Nath) était généralement porté dans la narine gauche, parfois relié par une chaîne à une boucle d'oreille dans l'oreille (le perçage des deux narines ne faisait pas exception). Le perçage de la narine gauche était le plus fréquent, il est associé à la médecine indienne d'acupuncture (Ayuvedra). On pense que la narine gauche est associée aux organes reproducteurs féminins, tandis que le perçage de la narine gauche est censé réduire la douleur et faciliter le travail.
En occident, les piercings au nez sont apparus dans les années 1960 chez les hippies qui ont voyagé en Inde. Plus tard, il a été repris par le mouvement Les punks à la fin des années 1970 comme symbole du soulèvement contre les valeurs conservatrices et les gens conservateurs.
De nos jours, les piercings au nez sont devenus socialement acceptables et de nombreuses célébrités comme Madonna, Lenny Kravitz, Sinead O "Connor, Slash de Guns & Roses ont orné leur nez de cette façon.

Piercing de la langue.
Le perçage de la langue existait comme un rituel chez les anciens Aztèques d'Amérique centrale et certaines tribus du Nord-Ouest. Les chamanes se perçaient la langue pendant les rituels pour obtenir un certain changement de conscience et de connexion avec les dieux, et le sang était utilisé pour calmer les dieux.
Le piercing à la langue est l'un des piercings les plus courants.

Perçage du lobe de l'oreille.
Le lobe de l'oreille était probablement le premier site de perçage corporel en raison de la facilité et de la sécurité du perçage. La momie la plus ancienne avec des piercings aux oreilles a été trouvée dans un glacier autrichien en 1991, des études ont montré que la momie avait plus de 5 000 ans et que le lobe de l'oreille était étiré à environ 11 millimètres.
Les oreilles du corps momifié, apparemment, étaient à l'origine percées à des fins rituelles. De nombreuses tribus primitives croyaient que les démons pénétraient dans le corps humain par l'oreille, et le perçage des oreilles et les bijoux en métal aidaient à empêcher les démons d'entrer.
Les marins ont fait des piercings aux oreilles, estimant que cela améliorerait l'acuité visuelle, et en cas de décès d'un marin, si son corps était lavé à terre, le coût des bijoux précieux suffirait à organiser un enterrement. Parallèlement à cela, chez de nombreux peuples, le perçage des oreilles est associé à la puberté.

Piercing pour les lèvres.
Le perçage des lèvres est largement utilisé dans le monde entier, cependant, seules deux tribus pratiquent le perçage des lèvres avec un anneau : la tribu Dogon du Mali et la tribu Nuba d'Éthiopie.
Dans tous les autres cas, le piercing des lèvres utilise un labret spécial en bois, ivoire, métal et cristaux de quartz. Chez les tribus d'Afrique centrale et d'Amérique du Sud, il est pratiqué d'agrandir progressivement l'ouverture de la lèvre jusqu'à une taille extrêmement grande à l'aide de disques spéciaux en bois ou en argile. Les Aztèques et les Mayas utilisent des boucles d'oreilles en or pur avec des incrustations de jade et les bijoux ont la forme d'un serpent pour représenter les hommes de haute caste.

Depuis le tout début de leur invention, les boucles d'oreilles ont été une parure typiquement masculine. Ce n'est que bien plus tard qu'il a été emprunté à la moitié forte de l'humanité par les dames. Porter des boucles d'oreilles dans les temps anciens n'était pas un simple caprice, mais un acte important.

Protection contre les mauvais esprits

Dans les temps anciens, les Slaves païens croyaient qu'à travers les trous du corps humain, le plus intime et le plus difficile à contrôler - l'âme - pouvait s'envoler. Et vice versa, du mal et de la magie peuvent s'enfoncer dans les oreillettes non protégées, tout comme des mots méchants y pénètrent.

Les hommes se perçaient les oreilles, puis mettaient des boucles d'oreilles dans les piercings pour se protéger de toutes les mauvaises choses. Ces derniers jouaient le rôle d'amulettes, une sorte de protection. C'est une idée si ancienne qu'elle était répandue même parmi les anciens Assyriens, et pas seulement parmi les Slaves.

Indicateur de statut social

Il est tout à fait naturel que très vite, les boucles d'oreilles aient cessé d'être de simples amulettes, mais se soient transformées en un symbole d'une position élevée - ou, au contraire, basse - d'une personne dans la société. Les guerriers courageux, qui, dans les temps anciens, non seulement détruisaient courageusement leurs ennemis sur le champ de bataille, mais pillaient également les villes capturées par la suite, pouvaient se permettre des boucles d'oreilles très chères et très belles.

Peu à peu, les bijoux en métaux précieux, incrustés de perles et de pierres précieuses, sont devenus le privilège de la plus haute noblesse. En Russie, les princes, les justiciers de haut rang et autres riches ne portaient que des boucles d'oreilles en or et en argent. Les roturiers pouvaient se permettre des bijoux en cuivre, en étain ou en bois de ce genre.

C'était la coutume des riches marchands de porter des boucles d'oreilles en argent. Le prince, ses fils et les autres membres de la famille princière portaient les bijoux les plus luxueux incrustés de rubis, saphirs, émeraudes et autres pierres de ce genre. Vers la même époque, ils sont rejoints par des femmes qui apprécient la beauté des pendentifs qui encadrent leurs visages.

Indication de la profession et des liens familiaux

Les boucles d'oreilles étaient dotées d'une grande valeur. En plus de se protéger des enchantements et de montrer la richesse de la famille, ils exprimaient aussi l'appartenance à un métier particulier. Autrefois, en Russie, une boucle d'oreille était portée par les guerriers, les héros. Cette coutume a existé jusqu'au XIIe siècle. Ce bijou unique était appelé « solitaire ». L'homme qui en portait une s'appelait "boucle d'oreille".

Dans la Rome antique, une boucle d'oreille n'était pas portée par les guerriers, mais par les esclaves. Au fil des siècles, cette tradition s'est implantée chez les pirates. Beaucoup plus tard, chez les Cosaques du Don, une boucle d'oreille à l'oreille gauche de l'homme signifiait qu'il était le fils unique de sa mère. Si un cosaque portait une boucle d'oreille à son oreille droite, tous ceux qui connaissaient ce langage symbolique comprenaient qu'il était le dernier de la famille. Tuer un tel cosaque signifiait interrompre toute une famille.

Hommage à la mode

En Moscovie, la mode pour les hommes de porter des boucles d'oreilles a commencé à devenir progressivement obsolète. Ils n'étaient pas du tout populaires à l'époque de Pierre le Grand. Ensuite, la haute noblesse a eu un nouveau passe-temps - des perruques parfumées luxuriantes, sous lesquelles les boucles d'oreilles n'étaient pas du tout visibles. Les proches de la cour royale et tous ceux qui pouvaient se permettre d'acheter une telle perruque ont cessé de décorer leurs oreilles.

Les roturiers qui n'avaient pas d'argent pour les perruques ont continué à arborer des boucles d'oreilles. Le port d'une boucle d'oreille pour un esclave symbolisait son appartenance au propriétaire. À l'époque élisabéthaine, la mode a changé : il est devenu pertinent de porter des perruques plus courtes. Les boucles d'oreilles brillèrent à nouveau aux oreilles de la noblesse.

Sous le règne de Paul Ier, les militaires ont commencé à les porter. De plus, ils portaient des boucles d'oreilles pour femmes, présentées par leurs dames bien-aimées. Les beautés ont donc cherché à protéger leurs hommes d'une balle perdue. Les bijoux dans les oreilles ont recommencé à jouer le rôle de talismans, d'amulettes protectrices.

Récitdes boucles d'oreilles. La tradition de porter des boucles d'oreilles est née même parmi les peuples primitifs, ils se perçaient les oreilles avec des os minces et pointus de forme incurvée, qui étaient portés sous forme de bijoux. Chez les peuples africains et océaniques, les femmes et les hommes portent de lourds pendentifs qui étirent leurs lobes d'oreilles. Dans l'Empire romain, les citoyens riches portaient des boucles d'oreilles aux deux oreilles. Historiquement, en Europe, une personne, en particulier un homme, avec une oreille percée était considérée comme étiquetée, de basse origine ou d'occupation douteuse. À l'époque de la Rome antique, une boucle d'oreille était portée par les esclaves, dans la Grèce antique - par les concubines, dans l'Europe médiévale - par les pirates, les gitans, les escrocs. De grandes et belles boucles d'oreilles aux deux oreilles étaient portées par les marchands, les aristocrates et même les monarques. En Orient, la boucle d'oreille était une parure courante portée par les nobles, les rajas et les shahs. Les hindous croyaient que le perçage des oreilles protégeait un enfant de la maladie.

Le perçage des oreilles comme rite d'initiation. La coutume du perçage des oreilles n'est qu'un exemple parmi d'autres de rite initiatique, de passage d'un statut à un autre, dans lequel la boucle d'oreille servait de symbole, de preuve visible de l'initiation qui avait eu lieu. Pourquoi exactement une boucle d'oreille s'explique également de manière assez logique, car ce type de bijoux nécessite de percer l'oreille, ce qui porte une signification supplémentaire - le sang du sacrement qui a eu lieu. Pour la même raison, ils ont mis une nouvelle boucle d'oreille pour les marins qui ont fait un voyage autour du monde, et plus tard pour les marins qui ont franchi l'équateur pour la première fois. En plus d'un symbole de statut social et d'un charme magique, les boucles d'oreilles étaient une monnaie d'échange, un moyen de faire des économies en cas d'urgence. Par conséquent, les personnes qui risquaient leur vie par la nature de leurs occupations, les guerriers, les marins et les marchands portaient des boucles d'oreilles en métaux précieux, de sorte qu'en cas de décès loin de chez eux, celui qui trouverait le corps l'enterrait selon la coutume. , et prenez la boucle d'oreille comme paiement pour le travail. Surtout cette coutume était strictement respectée par les marins, qui risquaient constamment de ne pas retourner dans leur port natal.

L'histoire des boucles d'oreilles à Kievan Rus... En Russie, la mode de porter des boucles d'oreilles dans les oreilles est venue des marins vikings. Avant même la naissance d'un enfant en Russie, un conseil spécial allait décider du type de bijoux qu'il devait porter. Par conséquent, pour la première fois, un enfant s'est familiarisé avec les bijoux peu de temps après la naissance: un fil avec des perles ou des perles a été mis sur son cou. Lorsque la fillette a atteint l'âge de 7-8 ans, ses oreilles ont été percées afin qu'elle puisse porter des canons d'oie sur des crochets métalliques. Dans le même temps, la fille a reçu des perles bon marché. Les garçons slaves ont mis une boucle d'oreille dans leur oreille gauche, on croyait que cela le protégerait de la hernie. La boucle d'oreille n'était pas seulement un talisman magique, mais aussi un signe du sexe masculin de l'enfant, car jusqu'à un certain âge, les enfants étaient habillés de la même manière et les filles portaient chacune deux boucles d'oreilles. Les cosaques de Zaporozhye utilisaient également des boucles d'oreilles, qui avaient une signification particulière - le fils unique d'une mère célibataire portait une boucle d'oreille à l'oreille gauche et le fils unique de ses parents à la droite. Le successeur de la famille avait une boucle d'oreille dans chaque oreille. Cette tradition des cosaques de Zaporozhye les protégeait du danger de mort, car tout commandant essayait de protéger ces soldats, essayant autant que possible de préserver et de continuer chaque famille cosaque.

Styles historiques de boucles d'oreilles. Jusqu'au XVIIe siècle environ, les boucles d'oreilles étaient portées aussi bien par les hommes que par les femmes. Ils étaient extrêmement populaires à la Renaissance, et à l'époque baroque ils étaient nécessairement inclus dans des ensembles précieux. Sous Louis XIV, lorsque les bijoutiers français ont commencé à jouer un rôle de premier plan dans la mode européenne, les boucles d'oreilles n'étaient pas seulement fabriquées à partir de matériaux classiques, elles étaient décorées d'ivoire, de bois, d'écaille de tortue et de nacre. Apparaissent les "girandole", boucles d'oreilles en forme de trois pendentifs, et les "lustre", boucles d'oreilles avec de nombreux pendants mobiles. Au fur et à mesure que le décolleté s'approfondissait, les pendentifs des boucles d'oreilles s'allongeaient, tombant même en dessous du niveau des épaules. Au XVIIIe siècle, les longs pendentifs en forme de goutte, fixés sous l'oreille sur un élément ajouré en forme de nœud de ruban, étaient particulièrement à la mode. A l'époque rococo, les boucles d'oreilles "brioles" sont apparues - sous la forme de pendentifs en mouvement, qui créaient l'atmosphère de jeu nécessaire à cette époque. Sous le classicisme, les grandes boucles d'oreilles lisses se sont généralisées, plus tard - les boucles d'oreilles à came sa.

Bonjour à tous!

Je vais vous dire le mien dans la revue. histoire du perçage des oreilles, les résultats et la procédure elle-même. Pour ceux que ça intéresse, je vous invite à lire.

Oui, je suis d'accord que la cosmétique est l'un des moyens de transformation, mais il faut admettre que de belles boucles d'oreilles encadrant le visage peuvent aussi transformer chacun de nous pour le mieux. Je porte des boucles d'oreilles depuis l'âge de 9 ans. Mais l'histoire de la tentative de les percer commence 5 ans plus tôt. Ensuite, ils n'avaient encore rien trouvé d'indolore pour percer les oreilles, à l'exception d'une aiguille chirurgicale. Ma grand-mère a ensuite travaillé dans une pharmacie dans une polyclinique et m'a emmenée avec mon cousin chez une infirmière familière pour une ponction. Je le voulais vraiment, j'en rêvais même (et les petites boucles d'oreilles en or étaient déjà disponibles), mais l'infirmière s'est avérée impolie, j'ai couiné quelque chose comme "mais ça ne fait pas très mal... mais j'ai peur », pour laquelle j'ai été « exclu du cabinet ». Je me souviens comment la grand-mère, qui nous attendait dans le couloir, a commencé à mettre des lunettes pour regarder mes oreilles, mais les belles oreilles "n'ont pas fonctionné", seules des larmes ont coulé comme une grêle ... du ressentiment que je ne m'a pas percé les oreilles à cause de ma peur. La sœur avait 4 ans de plus et elle a quitté le bureau avec des boucles d'oreilles aux oreilles)).

Puis de drôles de pensées enfantines ont commencé "Et maintenant je serai sans boucles d'oreilles toute ma vie"... Le temps a passé, puis ma mère a découvert qu'on pouvait se percer les oreilles sans douleur, avec le soi-disant pistolet. Auparavant, cela ne se faisait pas partout, mais seulement à un seul endroit. Et quand j'avais déjà 9 ans, ma mère et moi sommes allés ensemble et j'ai fait CECI. J'ai choisi des boucles d'oreilles oeillets en forme de petits coeurs à l'intérieur desquels il y avait un petit caillou blanc... Je m'en souviens encore. Le spécialiste a dessiné des points sur mes oreilles avec un marqueur spécial et, pointant un petit pistolet, m'a percé les oreilles. Les oreilles percées avec un pistolet nécessitent des soins particuliers. Dans un délai d'un mois, ils n'ont pas pu être retirés, il était nécessaire de les enduire de pommade oculaire à la tétracycline et de les faire défiler quotidiennement.

Percer les oreilles avec un pistolet ne fait pas vraiment mal, seulement il y a une sensation de pincement aigu des lobes.

J'ai pris soin de mes oreilles avec diligence, mais elles ont quand même guéri pendant longtemps (peut-être à cause de l'allergie qui faisait rage dans mon corps à ce moment-là). En conséquence, après un mois, j'ai essayé de les enlever, de les changer en or, et petit à petit, tout a complètement guéri. Alors j'ai commencé à porter des boucles d'oreilles. Au lycée, j'ai aussi percé mes deuxièmes trous avec un pistolet, et à l'institut, en première année, le troisième. À ce stade, j'ai arrêté de me percer les oreilles. Les crevaisons suivantes ont mieux guéri, peut-être parce que j'étais plus âgée et plus expérimentée.

Ici, je porte des boucles d'oreilles AzoraGold.

Et ici, je porte de magnifiques boucles d'oreilles de Jewelry Magic et un crayon de The Saem.

Désormais, les crevaisons sont traitées dans presque tous les salons de coiffure et d'esthétique. Souvent, en visitant une esthéticienne, je suis témoin de la façon dont les mères amènent leurs filles de 2 ans et elles ont peur, mais le maître lui-même les persuade gentiment et après la procédure, elles ne pleurent même pas.

Pour résumer, je voudrais dire que je recommande la procédure de perçage des oreilles. Et plus tôt vous le faites, mieux ce sera. Parce qu'on a envie de marcher belle même à 2 ans !