La méthode de Cicéron : mémoriser de grandes quantités d'informations. La méthode la plus simple et la plus efficace pour mémoriser toute information "Cicéron Pourquoi vous en avez besoin

26.06.2020

Pour une préparation réussie de la séance. Mais nous avons décidé de ne pas nous arrêter là et de vous présenter au moins quatre méthodes plus efficaces pour mémoriser rapidement du texte ou toute autre information. Lisez, réfléchissez, choisissez le bon.

Toutes les techniques suivantes sont basées sur la lecture répétée. Mais il ne s'agit pas d'une lecture au hasard et dénuée de sens, mais d'un travail approfondi sur le texte.

Assimilation du texte en 4 répétitions : la méthode GDD

Le nom est constitué des premières lettres des noms des principales étapes de mémorisation du texte :

O principale pensée. Le texte est lu pour une perception significative et met en évidence les pensées principales, établissant des relations entre elles. Vous n'êtes pas obligé de tout prendre dans le texte. Si nécessaire, les informations principales sont soulignées ou écrites sur une feuille séparée.
V non essentiel en train de lire. La deuxième lecture se distingue par une attention et une réflexion accrues, vous devez faire attention aux petits détails, aux détails. Le texte est lu lentement. La tâche principale de cette étape est de lier mentalement les détails aux pensées principales. À la fin de l'étape, vous devez essayer de vous rappeler les pensées principales et les détails qui y sont déjà attachés.
O revoir... Le texte est scanné couramment, sans lecture approfondie. Le visionnage commence à la fin. Le lecteur se pose mentalement des questions sur les points principaux, essaie de faire des parallèles avec les informations déjà reçues sur le texte. A ce stade, une ébauche du texte est tracée et la séquence des principales pensées est rappelée.
ré taon... Répétition du texte de mémoire dans un certain ordre : rappelez-vous les points principaux, en passant progressivement aux détails. Il faut éviter autant que possible de jeter un coup d'œil dans le texte à ce stade. Ensuite, il y a une deuxième lecture avec des « empattements » mentaux aux endroits que le lecteur a manqués ou oubliés. Pourquoi est-ce arrivé? Si les informations manquantes sont importantes, elles doivent être traitées.

Parmi toutes les méthodes d'assimilation d'informations, celle-ci convient aux textes de petits volumes.

Étant donné que les nouvelles informations sont rapidement oubliées après la première connaissance, cela vaut la peine de les répéter un peu plus tard (après quelques heures le même jour ou le lendemain). Au fil du temps, la dynamique de l'oubli se ralentit.

Lecture à haute voix et révision mentale : la méthode HPGS

Cette technique de mémorisation rapide d'informations est similaire à la précédente, mais elle a aussi ses propres différences.

Une expérience a été réalisée à l'Université de Kazan, au cours de laquelle les sujets ont formé 4 groupes. Le défi pour tout le monde est de se souvenir du texte. Dans le premier groupe, le texte a été lu à haute voix 4 fois. Dans la seconde, le texte a été lu à haute voix 3 fois et redit mentalement par les élèves 1 fois. Dans le troisième, le texte a été lu deux fois et redit mentalement deux fois. Dans le quatrième, le texte n'a été lu à haute voix qu'une seule fois, et 3 fois a été répété mentalement par les auditeurs.

Les résultats ont montré l'efficacité de mémorisation la plus élevée parmi les étudiants du quatrième groupe. Les élèves du troisième groupe se souvenaient un peu moins efficacement des informations, le deuxième groupe encore moins efficacement, les élèves du premier groupe se souvenaient moins bien des informations que les autres.

Grâce à cette expérience, la méthode HPGC est apparue :

O orientation... Lors de la lecture du texte, il est important de comprendre son idée principale. Si nécessaire, il est noté ou souligné, répété plusieurs fois en mémoire.
H ombre... Lorsque vous relisez l'information, vous vous familiarisez avec l'information plus attentivement, les plus petits détails sont mis en évidence, un lien s'établit entre eux et les principales pensées du texte. Les principales pensées attachées aux détails sont répétées dans mon esprit plusieurs fois.
O revoir... Une analyse rapide du texte détermine si les pensées principales et leur lien avec les détails ont été correctement identifiés. Pour une compréhension plus approfondie, vous pouvez poser des questions pour les parties principales.
g lavnoe... Un récit mental est effectué et, si possible, à voix haute. A ce stade, il est important de se souvenir des pensées principales, de répondre aux questions.

Essayez de réduire au minimum le nombre de lectures. Dans ce cas, le nombre de répétitions mentales peut être absolument nécessaire pour une meilleure assimilation en mémoire.

Méthodes de mémorisation de grandes quantités d'informations : la méthode de Cicéron

Les méthodes précédentes sont adaptées pour travailler avec de petits textes. Mais que se passe-t-il si vous avez besoin de maîtriser et de mémoriser rapidement des notes entières, des livres, des travaux ?

Comme vous l'avez peut-être deviné, cette technique a été nommée d'après Mark Tullius Cicero, un brillant orateur et grand homme d'État de Rome qui a vécu en 106-43. AVANT JC.

La gloire de cet homme n'était pas seulement apportée par ses pensées les plus intelligentes. Dans ses discours, il n'a jamais utilisé d'enregistrements, reproduisant de mémoire un grand nombre de dates, de faits, de citations d'événements historiques et de noms.

C'est l'une des meilleures méthodes pour mémoriser des informations en raison de sa simplicité. On l'appelle aussi système de salle ou méthode des lieux.

L'essentiel est d'organiser mentalement les faits importants dans un certain ordre dans une pièce familière. Ensuite, si nécessaire, vous n'aurez qu'à vous souvenir de cette pièce pour repêcher les informations nécessaires. C'est par cette technique que Cicéron lui-même était guidé, se préparant aux discours: mentalement, il se promenait dans sa maison, y plaçant les principales dispositions du discours aussi commodément que possible.

Avant de commencer à maîtriser la méthode, il est important de choisir vous-même votre propre séquence de parcours des pièces, afin de ne pas vous perdre dans votre propre logique de placement des informations.

Pour la première connaissance de la mémorisation des informations de cette manière, essayez de vraiment vous promener dans votre maison, en plaçant mentalement les informations à leur place. Ensuite, se promener dans la maison ne sera pas du tout nécessaire, il suffit de répéter mentalement le parcours parcouru.

Et voici quelques conseils pour vous aider à obtenir les bonnes informations :

il est préférable de commencer par votre propre chambre. Prenez la porte comme point de départ, puis suivez la règle de la main gauche (examinez dans l'ordre tout sur le côté gauche) et avancez lentement dans le sens des aiguilles d'une montre ;
lors du placement séquentiel des informations, il convient de considérer les objets fixes qui se trouvent toujours aux mêmes endroits (rideaux, lustre, lampadaire, canapé, tableau, cadre photo, corniche, étagères, etc.);
vous devez utiliser un mouvement séquentiel non seulement de gauche à droite, mais également de haut en bas, car les objets sont souvent les uns sous les autres (tapis sous le canapé, table sous le lustre, etc.);
si vous avez besoin de mémoriser des listes à plusieurs niveaux, utilisez non seulement votre maison, mais aussi les maisons de vos parents, amis, la salle de conférence et même des itinéraires bien étudiés de la maison à l'école, au magasin, etc.

Au fil du temps, à mesure que vous maîtriserez de plus en plus cette méthode, vous pourrez utiliser de plus en plus de petits objets des pièces et trouver de plus en plus d'endroits isolés pour stocker des informations dans votre mémoire. Mais au tout début, il vaut mieux se limiter aux objets les plus visibles de la pièce.

Cette méthode a parfaitement fait ses preuves lors du travail avec des textes volumineux, la routine quotidienne, la mémorisation de l'ordre des appels téléphoniques. De plus, si des informations importantes sont d'une manière ou d'une autre liées les unes aux autres et ne sont pas simplement un ensemble de données dénuées de sens, vous pouvez réutiliser la même pièce plusieurs fois.

La méthode Cicéron est idéale pour mémoriser les nombres. Certes, vous devez d'abord traduire les nombres d'une forme abstraite en une forme plus concrète de n'importe quelle manière pratique. Et ce n'est qu'alors que vous pouvez remplir les espaces de la pièce avec des objets dans lesquels les nombres ont été convertis.

L'énorme avantage de cette méthode est que 2-3 entraînements suffisent pour la maîtriser, contrairement à beaucoup d'autres techniques. De plus, il peut être utilisé dans absolument n'importe quelle situation et n'importe où. En même temps, le lieu où vous vous trouvez à un moment donné (public, datcha, musée, décanat) vous servira de support et d'aide. Tout ce dont vous avez besoin est de vous souvenir en détail d'une pièce familière ou d'utiliser celle dans laquelle vous vous trouvez en ce moment.

Nous vous invitons à pratiquer et essayer de reproduire les mots ci-dessous de mémoire en utilisant la méthode de Cicéron : flotteur, serviette, bigoudis, herbe, miroir, album, peigne, livre, chat, ampoule, allumettes, couverture, ciseaux, cuillère. Vous pouvez utiliser l'image comme pièce d'échantillon :

Cette technique est l'une des méthodes les plus efficaces pour une mémorisation efficace des informations textuelles.

Utiliser la mémoire visuelle : la méthode du pictogramme

Un pictogramme est un ensemble d'images graphiques qu'une personne crée pour mémoriser puis reproduire des mots et des expressions.

La méthode du pictogramme en psychologie est souvent utilisée pour étudier, diagnostiquer et renforcer la mémoire des personnes de l'image ou des images « visuelles ».

Au cours de l'étude de la pensée à l'aide de la méthode des pictogrammes, le plan suivant a été développé en travaillant avec des informations textuelles :

Les mots clés ou les phrases courtes sont mis en évidence dans le texte, qui doivent être écrits et soulignés.
Pour chaque mot ou phrase, un pictogramme est dessiné - une sorte d'image, qui aidera plus tard à se souvenir de ce mot / phrase particulier. L'image joue ici le rôle d'association visuelle. Lorsque vous dessinez, n'utilisez pas de croquis ni de détails inutiles. L'image ne doit pas contenir de chiffres ni de lettres. Le processus de création d'une image ne devrait pas prendre plus de 10 à 20 secondes. Exemple : Pour mémoriser l'expression « travail acharné », vous pouvez dessiner un marteau ou une personne pliée sous une lourde charge. Vous pouvez associer feux d'artifice, drapeaux, sapin de Noël, etc. à l'expression « joyeuses fêtes ».

Le pictogramme ne peut pas être vrai ou faux. Il s'agit d'une association qui vous appartient et a été créée pour remplir l'objectif principal - vous rappeler le mot ou la phrase auquel il était attaché.

Il est beaucoup plus facile de dessiner un objet spécifique (crème glacée, ours, nez) que pour un processus ou un concept abstrait (développement, désir, réflexion). Mais dans ce cas, vous pouvez facilement résoudre le problème - il vous suffit de leur attribuer une association plus objective, de les transformer en quelque chose de concret. Par exemple, pour le mot «développement», vous pouvez utiliser l'image d'une spirale, pour le mot «mélancolie» - une larme ou un anti-sourire, pour «penser» - une ampoule, etc.

Il existe également des mots de complexité moyenne de concrétisation, par exemple, une école peut être représentée par un bureau, un tableau noir, un hôpital - par un lit ou une croix rouge, etc.

Avant de commencer à utiliser la méthode des pictogrammes, vous devez vous entraîner. Cela vous permettra de mettre la main sur le dessin et de vous préparer à la tâche immédiate.

Exemple d'exercice : Dessinez des pictogrammes pour les mots ci-dessous. Veuillez noter que des mots de complexité différente sont utilisés ici. Essayez de dessiner un tel dessin afin qu'après quelques heures, vous puissiez vous souvenir du mot pour lequel vous avez créé l'image.

Au bout de quelques heures, essayez de reproduire tous les mots en fonction de leur pictogramme, puis - de reproduire l'intégralité du texte, en regardant vos images. En utilisant la méthode du pictogramme en préparation aux examens, vous pouvez utiliser une feuille d'images comme une triche feuille, qui ne sera pas effrayante à mettre sur le bureau le jour même de l'examen.

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Utilisation du système d'accumulation : la méthode Atkinson

Mais Atkinson est sûr que la mémoire devrait s'améliorer progressivement, sans sauts ni surcharges soudains. Par conséquent, la seule méthode sûre et éprouvée de renforcement de la mémoire est la méthode d'accumulation.

Le scientifique propose de laisser de côté toutes les méthodes artificielles, en n'utilisant que ce que la nature elle-même nous a donné. Le cerveau, comme tous les muscles, a besoin d'un entraînement et d'un effort progressif. À mesure que la charge de travail augmente, l'efficacité de la mémoire augmente également.

L'essence du système est la suivante :

Le texte est sélectionné (de manière optimale - sous forme poétique). Le premier jour, apprenez par cœur de 4 à 6 lignes.
Le deuxième jour, ils répètent les lignes apprises de la veille et apprennent en plus de 4 à 6 lignes.
Le troisième jour, 4 à 6 nouvelles lignes sont ajoutées à celles déjà apprises.

Plus il y a de répétitions, mieux on se souviendra du nouveau matériel.

Ce n'est pas grave si vous regardez le livre de temps en temps. Ne soyez pas contrarié si quelque chose est oublié : avec le temps, la quantité de mémoire augmentera, la mémorisation deviendra plus facile.

Au bout d'un mois, doublez la quantité d'informations que vous assimilez. En un mois, vous pouvez tripler la quantité d'informations.

La recherche a montré qu'à la suite de cette technique:

les connaissances acquises restent longtemps et surgissent facilement en mémoire,
la capacité de mémoriser absolument n'importe quoi s'améliore tout le temps,
avec l'aide de la volonté, toute information est facilement mémorisable.

L'essence de cette méthode n'est rien d'autre que la répétition. Il est préférable de suivre les cours le matin, car notre perception est encore fraîche à cette heure de la journée. Entraînez-vous tous les jours et vous verrez : dans un mois, votre cerveau mémorisera plusieurs fois plus d'informations.

Qu'est-ce qui est important à retenir ?

La répétition aléatoire multiple de l'information est improductive.

Et la mémoire peut et doit être entraînée ! Se souvenir de quelque chose de nouveau est utile non seulement pour se préparer aux examens, mais aussi pour la vie en général. Peu de temps après le début de l'utilisation de la technique choisie, vous pouvez voir comment le cerveau commence à mémoriser d'autres informations que nous utilisons dans la vie : mémoriser les numéros de téléphone, les adresses, réguler la correspondance entrante / sortante et bien plus encore.

Le secret est qu'après un entraînement répété, la mémoire commence automatiquement à appliquer l'habileté de mémoriser plus d'informations. Et ceci sans l'utilisation de techniques mnémoniques et d'entraînement. Cependant, cela vaut toujours la peine d'aider votre cerveau de temps en temps, en triant les informations importantes et sans importance. Par exemple, lors de la préparation d'un examen dans une discipline qui ne vous sera pas utile dans la vraie vie, il n'est absolument pas nécessaire d'enseigner beaucoup d'informations inutiles. Il suffit de demander de l'aide à des personnes qui le feront pour vous.

Et ici, vous pouvez regarder une vidéo sur les techniques de mémorisation de GDD et HPGC - le moyen le plus populaire d'augmenter la mémoire :

Bonjour, chers utilisateurs Habrap !

Pour écrire cette publication, j'ai été poussé par l'indignation d'un article lu récemment par un habrauser, qui prétend que les mnémoniques "est un très bon moyen de mémoriser des informations, totalement inadapté à l'apprentissage de mots étrangers". Je suis fondamentalement en désaccord avec cette affirmation et je voudrais donc prouver le contraire.
Si vous êtes intéressé par la façon d'utiliser des mnémoniques pour mémoriser des mots étrangers, alors bienvenue sous cat.

introduction

Pour commencer, je voudrais vous expliquer la structure de ma narration ultérieure, afin que vous puissiez immédiatement accéder aux sections qui vous intéressent, sans perdre de temps sur des sections inutiles.

Dans cet article, je vais essayer de couvrir les points suivants :

Qui parle?
Une courte excursion dans les règles de base de la mnémonique.
Utilisation théorique des mnémoniques dans la mémorisation de mots étrangers.
Utilisation pratique des mnémoniques sur l'exemple de la langue japonaise.

1. Qui parle ?

À mon avis, cela compte, puisqu'un jeune homme de 20 ans et un homme de 40 ans auront des filtres de perception différents, et il est donc important d'indiquer la position à partir de laquelle la présentation sera menée afin de mieux comprendre l'auteur pour les lecteurs, ainsi que l'écrit ...

Moi, étudiante en troisième année de droit, j'utilise des mnémoniques depuis environ un an pour étudier une langue étrangère (arabe et japonais). J'ai connu le phénomène même des mnémoniques quand j'étais enfant de mon frère (il y avait un vieux livre dont je ne me souviens plus du nom). Cela m'intéressait, et j'ai décidé de mieux le connaître, alors j'ai acheté le livre de Harry Lorraine "Super Memory" (je ne recommande pas de dépenser de l'argent dessus). Ensuite, j'ai été fasciné par tout cela, mais seulement lorsque j'ai essayé d'appliquer tout ce qui était écrit là-bas dans la vie, j'ai réalisé qu'il n'y avait rien derrière de beaux mots.

Un certain temps a passé. Je me suis davantage intéressé à tout cela (développement personnel), j'ai suivi un cours de lecture rapide et après cela, je suis tombé (ou, plus correctement, je l'ai trouvé ?) sur un cours mnémotechnique appelé "Système de Giordano". Tout d'abord, j'ai lu le livre de l'auteur de la méthodologie, je l'ai aimé et il a donc été décidé de suivre ce cours, car le coût était également faible. Immédiatement j'écrirai que je n'appartiens en aucun cas aux auteurs de cette technique, seulement en tant qu'ancien élève. Si vous souhaitez obtenir plus d'informations à ce sujet, alors référez-vous à cet article sur Habré.

J'utilise des mnémoniques pour mémoriser des mots, des phrases et des textes dans une langue étrangère, mais plus pour les mots, que nous examinerons dans cet article.
Étant donné qu'il n'y a pas beaucoup de temps pour de telles choses, je considère l'apprentissage d'une langue étrangère comme un passe-temps ou, comme ils l'ont écrit dans cet article, comme un exercice pour entraîner le cerveau.

J'ai étudié l'arabe "activement" l'année dernière. Maintenant, comme l'anglais, il s'agit d'une étude "passive", c'est-à-dire qu'il s'agit simplement de lire les textes correspondants dans l'original. Et le japonais, comme vous l'avez probablement deviné maintenant, est en position d'apprentissage "actif". Par apprentissage "actif", j'entends apprendre une langue de manière complexe, en développant tous les aspects (lecture, écriture, écoute, expression orale), et pas seulement la lecture.

Il est assez difficile de faire une mesure quantitative du volume d'informations mémorisées en raison de l'étalement dans le volume lui-même. Par exemple, j'ai récemment mémorisé environ 35 caractères kanji et 40 à 50 mots à la fois. Et l'autre jour, il n'y a que 12 hiéroglyphes et 20 nouveaux mots. C'est-à-dire qu'il n'y a de limites que dans votre volonté de consacrer tel ou tel temps à la mémorisation. Plus à ce sujet plus tard.

2. Une courte excursion dans les règles de base de la mnémonique

Si vous souhaitez vous familiariser avec la théorie plus en détail, je vous recommande de lire le "Manuel de mnémotechnique" de V. A. Kozarenko. Tout y est facilement accessible.
Je ne citerai ici que les moments nécessaires à la mémorisation de mots étrangers.

Vous devez d'abord comprendre que le cerveau ne se souvient pas des images qui apparaissent dans la tête, mais Connexions entre plusieurs images. Ceci est très important à retenir, car immédiatement lors de la mémorisation, il est nécessaire de se concentrer sur cela. Le cerveau est un générateur d'informations. Le processus de génération est effectué selon des connexions fixes en présence d'incitations appropriées. Sans stimulation, le cerveau ne peut pas créer d'informations. L'isolement des sens (privation sensorielle) conduit à un « gel » de la mémoire et au désordre de tout le cerveau.

Plus telle ou telle réaction est évoquée dans la tête au moyen du stimulus correspondant, plus cette connexion est forte. Mais en même temps, les liens peuvent être remplacés (réécrits).

De plus, il existe des associations naturelles (des liens qui existent réellement entre les objets que nous percevons). Du fait que ces connexions existent déjà, le cerveau les mémorise automatiquement. L'auteur identifie de nombreuses techniques, mais comme le volume de l'article est limité, et que le but de ma narration n'est pas d'approfondir les mnémoniques, mais de démontrer l'efficacité des mnémoniques, je ne présenterai pas toutes les techniques, seulement ce que nous utiliserons dans l'article.

La méthode de Cicéron. Cette méthode utilise des connexions entre des objets dans des pièces familières ou dans une rue familière pour se souvenir. Ces connexions n'ont pas besoin d'être formées, c'est-à-dire qu'elles n'ont pas besoin d'être mémorisées. Ils se forment automatiquement dans votre cerveau en raison de la perception répétée et régulière d'objets connexes dans votre appartement, au travail, dans une rue familière.

Grâce à la méthode de Cicéron, nous formerons des images de support qui stimuleront le rappel des mots mémorisés.

Nous nous sommes familiarisés avec les associations naturelles, passons maintenant aux associations artificielles (ce sont celles que nous formerons nous-mêmes pour mémoriser telle ou telle information). Je dois dire tout de suite que lors de la formation d'une connexion, la logique et l'illogisme de la connexion, les émotions qui surviennent lors de la formation d'une connexion, les pensées, etc., n'ont pas d'importance.

Seuls les éléments suivants comptent. N'oubliez pas les règles simples qui ne doivent en aucun cas être enfreintes lors de la création d'une connexion :

1. Les images doivent être grand... Toutes les images visuelles, quelle que soit leur taille réelle, doivent être réduites à la même taille. Si vous imaginez une fourmi, alors elle devrait être agrandie à la taille d'une pastèque. Si vous imaginez un avion, cette image doit être réduite à la taille d'une pastèque. Les petites images ne doivent pas être présentées. Les connexions entre de telles images seront très mal fixées.

2. Les images doivent être soumises volumineux... Un exemple de telles images peut être des images holographiques ou des images créées avec des programmes graphiques 3D. Ces images peuvent être tournées et vues sous différents angles.

3. Les images doivent être présentées coloré... Si vous imaginez une feuille sur une branche, alors la feuille doit être verte et la branche brune. Si vous imaginez un feu de circulation, essayez de voir les couleurs vert, jaune et rouge. Certaines personnes voient bien la couleur, d'autres moins bien. Cependant, essayez de le représenter. Il s'entraine bien. Les non-fumeurs n'ont généralement pas de problèmes de perception des couleurs.

4. Les images présentées doivent être détaillé... Si vous imaginez l'image d'un "téléphone", vous devez l'examiner mentalement et voir clairement de quelles parties se compose le téléphone que vous représentez. S'il s'agit d'un téléphone portable, vous pouvez y distinguer les images suivantes : antenne, écran, boutons, couvercle, sangle, étui en cuir, batterie.

Distinguer les opérations mentales, y compris le processus de "mémoire". L'opération mentale principale en mnémonique est la "combinaison d'images". Les images peuvent être connectées dans l'imagination de plusieurs manières. Cela dépend de la méthode de mémorisation utilisée. Dans tous les cas, souvenez-vous de la règle importante suivante.
Lors de la mémorisation d'une information, en utilisant n'importe quelle technique, seules deux images visuelles sont connectées dans l'imagination à la fois. Encore une fois, c'est très important. En pratique, vous comprendrez pourquoi il se démarque.

L'opération suivante qui est importante pour nous est « la sélection de sous-images (parties d'une image) ». Cette opération mentale permet de « désassembler » une image holistique en ses éléments constitutifs et d'obtenir un grand nombre d'images plus simples. Par exemple, vous pouvez démonter l'image d'un « magnétophone radio » en ses éléments constitutifs et présenter chaque élément séparément : un bouton, un régulateur, un bouton, une cassette, des pieds, etc. On va s'en servir pour mémoriser le sens d'un mot, puis sur cette image sa prononciation.

Je n'aborderai que partiellement les opérations "modification" et "transformation d'images". Parlant très superficiellement, ils consistent dans le fait que pour un mot, par exemple, "arc", vous avez différentes images (arc - plante, arc - arme). Mais même ces « plantes » et « armes » peuvent encore être modifiées plusieurs fois. Je pense que vous pouvez imaginer combien d'arcs (armes) différents il y a ? Ceci est important pour qu'avec une augmentation de la quantité d'informations, les images ne soient pas mélangées. Par exemple, pour le mot anglais "ax", vous aurez une image et pour le mot japonais - une autre. Je ne sais pas si je vais aborder cette question plus en détail dans cet article.

Il y a 4 étapes de mémorisation :
1. Codage. Vous transformez les mots en images.
2. Mémorisation. Faire le lien entre les images de support et les images mémorisées.
3. Consolidation des connexions dans le cerveau. L'élimination des images intermédiaires de la tête grâce à la formation d'un mot de connexion directe (prononciation) - image-sens du mot.

Pour codage il existe plusieurs techniques, mais dans notre cas les suivantes sont importantes :
1. Mot-image. Pour des mots aussi simples que crayon, porte-documents, télévision, etc., vous utilisez les images qui apparaissent lorsque vous vous souvenez de ces mots. Tout est simple ici. Ne nous arrêtons pas.
2. Réception de la symbolisation. Tout est beaucoup plus compliqué ici, surtout au début. Il est utilisé pour transformer des mots abstraits en images visuelles. Un mot abstrait est un mot qui n'a pas de sens figuré fixe. Il n'y a pas d'images fixes pour les mots froid, courage, jalousie, entrée et autres, il faut donc ici sélectionner (d'abord sélectionner, puis ce processus est automatisé) les images individuellement. L'auteur donne les images suivantes : Le froid est de la glace, la jalousie est un mouchoir mouillé. L'entrée et la bravoure ne sont pas dans l'exemple, mais pour moi ces mots sont symbolisés par les images suivantes. Pour entrer - un pied franchissant le seuil d'une porte ouverte (c'est long à décrire, mais l'image est vaste). Le courage est un cœur d'acier vieilli.

Le terme suivant est celui des codes figuratifs. Ce concept est interprété au sens large, mais pour des raisons de commodité, nous le réduirons à un sens limité. Codes figuratifs = codes figuratifs phonétiques. L'essentiel est qu'une image spécifique est créée pour un son spécifique et qu'une image phonétique à lire est déjà attachée à la signification de l'image. Bien que cela puisse sembler compliqué et déroutant, mais en passant à la pratique, vous comprendrez que c'est assez simple et logique.

Mémorisation.
Elle est réalisée, comme déjà mentionné ci-dessus, par la combinaison d'images. Pour cette partie, vous disposez déjà des connaissances théoriques pertinentes, cette partie sera donc abordée dans le chapitre suivant.

Renforcement des connexions dans le cerveau.
En mnémotechnique, cela signifie un rappel répété d'informations. Ne pas lire. Le schéma est le suivant : vous mémorisez des informations (créez des connexions). Après cela, vous répétez tout ensemble dans votre tête (rappel de contrôle). Si la répétition se produit sans erreur (vérification à la source), alors le rappel répété doit être effectué en une heure environ. Et puis, dans les 3-4 jours, rappelez les informations trois fois par jour. Cela peut sembler un processus long, mais je vous assure que la visualisation des images est rapide lorsque la compétence est déjà formée. Cela peut être fait n'importe où, vous n'avez donc pas besoin d'y consacrer plus de temps. Après tout, tout le monde a des moments où il faut soit attendre quelque chose, soit effectuer un travail mécanique qui ne nécessite pas d'allumer le cerveau. À ces moments-là, vous pouvez vous engager à renforcer les liens.

J'ai essayé de résumer les informations nécessaires pour passer au chapitre suivant de cet article.

3. Utilisation théorique des mnémoniques dans la mémorisation de mots étrangers.

Essayons donc d'appliquer les dispositions décrites dans l'article précédent pour nos besoins, en mémorisant des mots étrangers. Le schéma général ressemblera à ceci :

1. Tout d'abord, vous devez former des images de support. Dans mon cas, environ 500 images sont formées. Ils sont plus que suffisants pour une langue étrangère. Mais à titre informatif, nous ne prendrons que 10 images (afin de comprendre le processus de mémorisation lui-même.
2. Ensuite, nous devons sélectionner les mots à mémoriser.
3. Former des images-significations de ces mots. C'est important. Notez que lorsque vous mémorisez le mot "marteau", la signification sera l'image du "marteau", pas de la machine à marteau.
4. Connectez les images de support avec les valeurs dans l'ordre.
5. Assurez-vous que ces images sont mémorisées sans lacunes.
6. Maintenant, il est nécessaire d'attacher des codes figuratifs phonétiques ou des images auxiliaires à la partie de l'image-sens par laquelle le mot peut être lu.
7. Contrôle du rappel de toutes les informations mémorisées.
8. Consolidation de ces liens.

4. Utilisation pratique des mnémoniques sur l'exemple de la langue japonaise.

Digression lyrique. Comme il n'est pas d'usage que nous utilisions des hiéroglyphes, j'écrirai simplement la lecture en russe.
Nous allons selon le plan décrit dans le chapitre précédent:

Images de soutien

Comme déjà mentionné, les images de référence sont formées à partir d'objets familiers. Je n'ai pas écrit ci-dessus, mais pour plus de commodité (afin de ne pas se tromper), ces images doivent être formées en courtisant mentalement l'appartement dans le sens des aiguilles d'une montre. Vous devez former VOS images et ne pas utiliser celles suggérées ci-dessous. Prenez quelques minutes pour le faire. Dans mon cas, par exemple, prenons ce qui suit :

Cuisine

1) Commutateur.
2) Cafetière.
3) Poêle.
4) Évier.
5) Boîte à pain.
6) Crochet.
7) Président.
8) Tableau.
9) Peinture.
10) La poignée de la porte d'entrée.

Mots à mémoriser

Les mots

1) Le livre est un aiguillon.
2) Le jardin est un champ de maïs.
3) Rouge - akai.
4) Bleu - aoi.
5) Allez - Iku.
6) Hiver - fuyu.
7) Vache - wuxi (lire avec un biais vers "u", comme "uchi".
8) B (préposition) - naka.
9) Nouveau - atarasiy.
10) Bien - oups

Images de valeur

Images

1) Un livre est un livre.
2) Jardin - banc (il se trouve dans notre jardin, donc pour moi cette image symbolise le "jardin". Vous devez utiliser votre image. Par exemple, vous pouvez imaginer un parterre de fleurs ou une pelle si vous creusez dans le jardin, etc.
3) Rouge - le drapeau de l'URSS.
4) Bleu - la mer.
5) Allez - empreinte de pied.
6) L'hiver est un bonhomme de neige.
7) Une vache est une vache.
8) B (préposition) - un préservatif (je pense que ça ne vaut pas la peine d'expliquer pourquoi cette image). Vous pouvez prendre l'image d'un cœur transpercé par une flèche, ou l'image d'un katana dans un fourreau. L'essentiel est que l'image soit grande et que vous puissiez comprendre le mot qui se cache derrière.
9) Nouveau - Lamborghini Aventador. Vous pouvez prendre l'image d'un nouveau bâtiment ou l'image d'un objet qui est nouveau pour vous.
10) Bon - l'image d'un poing avec un pouce tendu vers le haut.

Connexion d'images.

C'est une question de technologie. L'essentiel est de ne pas enfreindre les règles (taille, volume, couleur, détail) des images. Lors de la mémorisation, il faut présenter une image support et une image-signification pour qu'elles se touchent. Ensuite, rappelez-vous que la deuxième image (signification) doit toujours être soit en haut, soit à droite, ou passer par la première. Laissez-moi vous expliquer avec un exemple. Si les images « avion » et « aiguille » sont liées, alors elles doivent être présentées de manière à ce que l'aiguille perce l'avion (de plus, leurs tailles l'une par rapport à l'autre doivent être les mêmes). Une télévision et un livre, puis il y a un livre sur la télévision, et le livre ne devrait pas être comme un livre ordinaire, mais la taille d'une télévision.
L'instant d'après, n'oubliez qu'une seule connexion à la fois. Maintenez les images pendant environ 6 secondes.

Regardons notre exemple :
Il est nécessaire de connecter l'interrupteur et le livre. Nous vous présentons un livre sur l'interrupteur sur le dessus (ils doivent se toucher et être de la même taille). Nous maintenons ces deux images pendant 6 secondes. Ensuite, nous passons aux suivants, en les oubliant. etc.
Au moment de la formation de la connexion, vous ne devriez voir que le commutateur et le livre. Rien de plus. C'est important. Pendant la mémorisation, la concentration doit être maximale, car il est difficile de garder en tête une image détaillée, volumineuse, large et colorée d'un interrupteur et d'un livre pendant 6 secondes. Ne fermez pas les yeux, mais fixez votre regard sur une surface monochrome.

Ensuite, lorsque vous effectuez toutes les connexions dans l'ordre, vérifiez vous-même. Asseyez-vous et souvenez-vous de chaque image. S'il y a des lacunes, reformulez les connexions avec les mots problématiques. Lorsque vous pouvez vous rappeler avec précision tous les mots, passez à l'étape suivante.

Mémoriser la prononciation

Dans cette partie, des difficultés peuvent survenir du fait que vous n'avez pas formé de code phonétique figuratif.
L'essence de cette étape est de mémoriser la prononciation. Mais avant cela, je tiens à vous avertir immédiatement que si vous avez déjà mémorisé le son d'un mot dès la première fois, vous ne devez pas le mémoriser séparément. Passez au mot suivant. Ces images seront auxiliaires. Au fil du temps, au deuxième ou au troisième jour de consolidation, vous n'en aurez plus besoin du fait que la relation image-sens et prononciation se formera.

Prenons l'image d'un "livre". En utilisant la technique de sélection de parties de l'image, nous formerons de nouvelles images à partir du livre.
Rapprochons le livre jusqu'à ce que seule la partie supérieure gauche du dos soit visible. C'est notre nouvelle image. Nous y attacherons la syllabe "ho" (HOMYAK - l'image d'un hamster), considérée ci-dessus par la méthode de "connexion d'images". Ensuite, zoomons sur le signet et connectons-le avec la syllabe "n" (Nez est l'image d'un nez). Etc. Si vous avez déjà un début de ho ... vous pouvez vous souvenir de "hone", alors la deuxième image n'a pas besoin d'être mémorisée. En pratique, je mémorise les deux premières syllabes. Ensuite, le cerveau peut automatiquement finir de les lire. C'est peut-être dû au fait qu'à l'école, j'ai regardé beaucoup d'animation japonaise dans l'original avec des sous-titres, et mon cerveau s'en est souvenu. Ou peut être pas. Mais ce n'était pas le cas avec l'arabe. Je devais corriger toutes les syllabes. Voir par vous-même.

Sur le même principe, associez prononciation et sens de l'image.
Voici une liste d'images pour des syllabes individuelles, compilées par l'auteur. En l'utilisant, vous pouvez facilement connecter la prononciation et la signification de l'image.

Lister

Le seul problème avec lequel il peut y avoir un problème est avec le mot "nouveau", puisqu'il y a 5 syllabes, donc 5 parties doivent être distinguées. Je propose cette option :
1) Devant la voiture.
2) Phares.
3) Roues.
4) Vue arrière de la voiture (cette vue est inoubliable).
5) Tableau de bord.

Tableau de bord

Connectez en série, mais séparément Abricot, Tarakan, Raketa, SIrop, Needle avec des pièces sélectionnées. C'est simple.

Ensuite, vous vérifiez si vous pouvez vous souvenir de la signification des images auxiliaires ou non. Sinon, vous devez renforcer la connexion en la sécurisant à nouveau. Si vous ne vous laissez pas distraire et que vous établissez systématiquement toutes les connexions, le pourcentage de mémorisation primaire varie de 70 à 80 %. Au fur et à mesure que la compétence se développe, la qualité augmente.

Je ne m'attarderai pas sur la consolidation des liens, car, comme cela a déjà été dit, où et comment procéder. Je répéterai seulement que la consolidation doit se faire en rappelant l'information, et non en la lisant. Vous parcourez rapidement les images "livre" - "parfaire"... jusqu'au bout. Et ensuite vaquer à tes occupations. 3 fois par jour pendant 3-4 jours.

Lorsque vous corrigez la signification de l'image et du son, si vous rencontrez un "hone" dans le texte, un "livre" apparaîtra automatiquement. Je tiens à noter que l'écriture des hiéroglyphes peut également être mémorisée, mais un élément supplémentaire est ajouté lorsqu'après prononciation, il est nécessaire de dessiner mentalement un hiéroglyphe.
Le quatrième jour, une situation peut survenir dans laquelle vous ne vous êtes pas souvenu des mots, mais cela vous vient à l'esprit à volonté. L'auteur appelle cela une réminiscence. C'est bon, c'est un signe que les mots sont mémorisés.

Problèmes et principales questions qui se posent lors du passage de la théorie à la pratique.

Ici, je publierai des questions importantes, de mon point de vue, que les utilisateurs poseront si elles se posent. Mais avant cela, j'aimerais résoudre les problèmes auxquels j'ai été confronté lorsque j'ai commencé à pratiquer les mnémoniques lors de l'apprentissage de mots étrangers.

1. Lors de la connexion d'images, la deuxième image n'est pas mémorisée.
Ce problème est résolu par la pratique. L'ensemble de la formation de l'auteur s'étale sur 5 mois, à raison de trois cours par semaine. L'essentiel est de ne pas s'écarter des principes de base énoncés dans la partie théorique.

2. Comment mémoriser des mots longs ? Après tout, toutes les images ne peuvent pas être divisées en plusieurs parties.
Lorsque les mots sont mémorisés, en pratique, la méthode avec laquelle je vous ai présenté (fixation du son par des codes figuratifs) se combine avec d'autres méthodes, par exemple, le codage par consonance. Le mot "terrible" est remplacé par THERMomètre (mot consonne) + Pin et Loupe (ce sont des codes figuratifs pour les sons correspondants de la langue anglaise). Ainsi, vous pouvez écrire de manière compacte des mots longs, dont il n'y en a pas tellement. "Atarasi KunaKatta" - se traduit par "n'était pas nouveau", mais ce mot est dérivé de "Atarasi", et "kunakatta" n'est qu'un suffixe. Et vous l'apprendrez en étudiant la grammaire, il n'est donc pas nécessaire de le mémoriser séparément.

3. Est-ce que je n'ai plus d'images de support ?
En pratique, 200 codes figuratifs suffisent à mémoriser 50 nouveaux mots chaque jour, car les images sont écrasées.
Par exemple, vous apprenez 50 mots le premier jour, le deuxième les cinquante prochains roubles (mais vous répétez toujours les 50 premiers), etc., et le cinquième jour, vous apprenez déjà de nouveaux 50 pour les 50 premières images de support, mais tu répètes les 150 précédents pour consolider...

4. Les mnémoniques sont-ils faciles ?
Non. Cela prend beaucoup de temps. Surtout au début, lorsque vous essayez de mémoriser un mot, mais accrochez-vous au fait que vous ne pouvez pas trouver une image appropriée. Mais c'est plus efficace et plus amusant que de répéter le mot encore et encore. Au fil du temps, le processus s'automatise et tout ira plus vite, mais cela ne facilite pas les choses. Le cerveau va encore se fatiguer.

5. Limitations de la quantité d'informations stockées ?
Seulement dans le nombre d'images de support et de temps libre dont vous disposez. Les images ne fusionnent pas ou ne se mélangent pas.

Finir

Merci pour l'attention! J'espère vous avoir convaincu que les mnémoniques peuvent être utilisées pour mémoriser des mots étrangers, et je suis intéressé par vous pour vous familiariser davantage avec cet outil par vous-même. Cet article n'est que la pointe de l'iceberg pour ces super astuces et techniques.

Les textes

Liste de mots

Considérez la possibilité d'utiliser la méthode de Cicéron, ou comme on l'appelle aussi la méthode des routes pour mémoriser une séquence de mots. Si vous avez préparé à l'avance la « route » ou la « matrice d'images », vous pouvez commencer l'exercice.

Comment mémoriser ?

Mémoriser une liste de mots à l'aide de la méthode Cicéron consiste à placer des mots à des endroits clés de votre route. Vous prenez le premier mot et créez une association avec la première image de votre matrice. Ensuite, vous créez une association du deuxième mot mémorisé avec la deuxième image de votre matrice. Ce processus doit être poursuivi jusqu'à la fin, jusqu'à la fin de la liste des mots à retenir. Si les images de votre matrice se sont terminées plus rapidement, vous devez alors attacher une autre matrice à cette matrice et continuer à mémoriser.

Comment puis-je me souvenir ?

La relecture d'informations mémorisées est très similaire à ce qui a été fait dans l'exercice « Paires de mots » : vous connaissez l'un des mots, vous devez reproduire mentalement l'image correspondant à une paire de mots afin de mémoriser le deuxième mot. Passez ensuite au mot suivant.

Triplés de mots

Pourquoi est-ce nécessaire ?

Dans cet exercice, vous devrez mémoriser, selon la méthode de Cicéron, non pas une séquence de mots, mais une séquence de triplets de mots. Pourquoi avez-vous besoin de mémoriser trois mots ? Le fait est que très souvent il faut mémoriser des informations dans lesquelles chaque élément mémorisé nécessite plusieurs paramètres à mémoriser, c'est-à-dire n'est pas une image séparée, mais un bloc composé de plusieurs images ou mots-clés. Ce bloc est associé à votre matrice en conséquence.

Par exemple, si vous avez besoin de vous souvenir des empereurs romains, il serait bon de vous rappeler, en plus de leurs noms, les années de naissance, de mort et de règne. Lors de la mémorisation du tableau périodique, vous devez vous souvenir non seulement du nom de l'élément, mais également de sa désignation, de sa masse atomique et de certaines autres caractéristiques. De plus, la nécessité de mémoriser des images de groupe est requise lors de la mémorisation de textes, lorsqu'il n'est souvent pas possible de distinguer l'idée principale d'un morceau de texte sous la forme d'une image et de devoir la grouper parmi plusieurs.

Mémoriser des triplés

Le but de l'exercice est de mémoriser non seulement des mots, mais un ensemble de mots. Les ensembles qui vous sont fournis contiennent exactement trois mots. Dans la vraie vie, cela arrive rarement, mais l'essentiel est de comprendre le principe et il sera alors facile de créer des images complexes. Habituellement, vous devez traiter une liste de deux à cinq mots. A partir de cet ensemble, vous devez composer une seule image puis créer une association avec le prochain endroit de votre matrice.

Un exemple de création d'images à partir de trois objets différents.

Abat-jour - Poing - Papillon- en premier lieu de votre matrice, vous pouvez placer un abat-jour en verre, en forme de poing, à l'intérieur de l'abat-jour, à la place d'une ampoule, un papillon brille.

Film - Mots croisés - Greffier- à la deuxième place, un commis assis dans une salle semi-obscure d'un cinéma, avec une plume d'oie (pour ne pas oublier qu'il s'agit d'un commis) résolvant une grille de mots croisés.

Les textes

La mémorisation des textes de la méthode Cicéron peut être utilisée pour mémoriser des informations suffisamment volumineuses : par exemple, des textes, des discours, etc. Le processus de mémorisation est décrit ci-dessous.

La mémorisation du texte s'effectue en trois étapes

Divisez le texte en sections sémantiques distinctes.
Sur chaque site, sélectionnez quelques mots-clés.
A partir des mots-clés sélectionnés, créez une image générique et placez-la à l'endroit approprié dans la matrice

Le texte est joué dans l'ordre inverse :

Rappelez la première cellule de votre matrice en mémoire et reproduisez l'image qui y est stockée.
Sur la base de l'image, rappelez les mots-clés que cette image encode
À l'aide de mots-clés, restaurez un morceau de texte encodé de cette manière

De cette façon, vous pouvez mémoriser le contenu de sections de texte assez longues. Il convient de garder à l'esprit que le contenu, le sens et non tous les mots sont mémorisés dans le texte.

Dans une pièce connue, il faut ranger mentalement les informations mémorisées, dans notre cas, des mots étrangers. En imaginant une pièce ou plusieurs pièces, par exemple votre appartement, vous devez organiser les images dans un certain ordre. Après avoir fixé l'emplacement de ces images, vous pouvez vous promener dans la pièce et vous souvenir de tout ce qui y est écrit.

Cette méthode avec un système de salle est idéale pour mémoriser des dates, des événements, des plans de discours, etc. Cependant, lors de la mémorisation de mots étrangers, certaines difficultés surviennent. Par exemple, vous pouvez mémoriser une séquence de mots dans votre propre langue sans mémoriser ces mots dans une langue étrangère. C'est la première chose. Le second est le problème des mots "éparpillés" dans tout l'appartement sans ordre particulier. Le troisième hic est de savoir comment se souvenir de l'orthographe des mots (si nécessaire).

En classe, je présente aux élèves l'essence de la méthode et leur suggère de mémoriser une liste préparée à l'avance de mots que je pense qu'ils ne connaissent pas. Leurs appartements sont sélectionnés comme un polygone. Ils dessinent eux-mêmes un plan approximatif de leur maison et se souviennent de l'emplacement de tout ce qui se trouve à l'intérieur.

Pour résoudre le problème de la dispersion des mots autour de l'appartement, nous définissons notre propre partie du discours pour chaque pièce ou coin de la pièce. Il s'avère que dans une pièce il n'y a que des verbes, dans l'autre que des noms, etc. Cela permet de se tourner immédiatement vers la bonne pièce pour chercher les bons mots sans passer par tout "l'appartement". Mais à l'intérieur de la pièce, vous devez vous déplacer dans le sens des aiguilles d'une montre, et donc disposer les images de la même manière.

Nous résolvons les difficultés de mémorisation de la prononciation d'un mot à l'aide d'associations phonétiques. Dans la mesure du possible, l'association est choisie de manière à ce qu'il y ait une sorte d'action en elle. C'est plus facile de se souvenir de cette façon.

On mémorise l'orthographe en essayant d'écrire mentalement des mots sur des objets auxquels les images sont attachées, ou en mettant l'orthographe dans une association phonétique. Par exemple, un élève de cinquième année, mémorisant le mot anglais " Maître », a placé une affiche avec une photo de son père sur le mur de la pièce. Il y a une inscription correspondante sur l'affiche. Il existe également un bon moyen de créer un lien vers d'autres mots avec une orthographe similaire que vous connaissez déjà bien. Cela est particulièrement vrai pour la langue chinoise, car il y a beaucoup de mots qui sonnent de la même manière. Les hiéroglyphes, bien sûr, doivent être enseignés d'une manière différente :). Par exemple, alors qu'il étudiait le mot « perle » (zhenzhu), un étudiant s'en souvenait comme « jetant une perle devant un vrai cochon » (truth-zhen, pig-zhu). L'image a été collée à la boîte, dans laquelle se déroulait toute la scène avec le cochon.

Les mêmes opérations avec les mots peuvent être faites non pas dans un appartement mental, mais dans une cité mentale. Ensuite, vous devez représenter une ville bien connue, en mettant également en évidence ses zones pour les parties du discours correspondantes. De plus, ses possibilités de stockage d'images sont infinies, car il y a de nombreux "appartements", magasins, etc.. Il est important d'apprendre à relier les images et les associations entre elles. C'est beaucoup mieux mémorisé et beaucoup plus facile à mémoriser.

Lors de la première étape de maîtrise de la méthode, nous ne mémorisons que 15 mots. Au fur et à mesure que vous vous habituez à la méthode, il est prévu d'augmenter le nombre de mots mémorisés à 25, 30, 35, etc. Mémoriser 15 mots tout en maîtrisant l'essence de la méthode prend environ 15-20 minutes. Puis répétition. Je vais essayer de décrire les résultats tout au long de la période d'essai.

Méthode de la chaîne

Les images sont liées dans une association par paires. Les tailles des images sont approximativement les mêmes dans chaque paire. Lorsque vous avez formé une connexion entre la première et la deuxième image, la première image est retirée de la conscience en transférant l'attention sur la seconde. Après cela, une relation se forme entre la deuxième et la troisième image, etc.

La méthode de la chaîne est l'une des techniques mnémotechniques les plus simples. Son essence réside dans la connexion par paires d'images. Dans le même temps, les tailles relatives des images de chaque paire sont les mêmes - grandes, et les images elles-mêmes sont lumineuses et mémorables. Vous établissez une connexion entre la première et la deuxième image, puis retirez la première image de la conscience en transférant votre attention sur la seconde. Après cela, une relation se forme entre la deuxième et la troisième image, etc. Dans chaque paire d'images, il est nécessaire de bien distinguer la première et la deuxième image de la paire.

La seconde image du couple pénètre la première.

La deuxième image de la paire est en haut.

La deuxième image du couple est à droite.

Faites toujours des connexions dans un système bien défini. Si l'association est horizontale, placez la première image à gauche.

Si l'association est verticale, placez la première image en bas.

Si les images, lorsqu'elles sont combinées, se pénètrent, placez la deuxième image dans la première. Lorsque vous vous souvenez, lisez les images dans le même ordre.

Par exemple, nous devons nous souvenir d'une liste de courses : pain, lait, saucisses, sel, journal, batterie. Grand, imaginez vivement un pain frais et croustillant avec une brique de lait sur le dessus. Considérez ce lien un instant, puis reliez la brique de lait à la deuxième image de la chaîne : le sac est garni de saucisses. Vous réparez la connexion et passez au sel. Lorsque vous vous souvenez de la première image - un pain, le "lait" apparaîtra inévitablement dans votre mémoire, le lait rappellera l'image des saucisses et ainsi de suite le long de la chaîne.

La méthode de la chaîne ne nécessite pas de mémorisation préalable du système d'image support, elle peut être utilisée sans préparation. Cependant, cette technique rend difficile la mémorisation de séquences avec un élément répétitif. De plus, si vous oubliez un maillon, la chaîne se brisera et vous ne pourrez plus vous souvenir du reste des éléments.Par conséquent, le rôle de la chaîne dans les mnémoniques modernes est plutôt auxiliaire et formateur. Mais dans la vie de tous les jours (se souvenir d'une to-do list, d'une liste de courses, de l'ordre des actions selon les consignes), la chaîne peut être très souvent utilisée.

Lors de l'exécution d'exercices d'entraînement, vous pouvez mémoriser de longues séquences d'images lorsque la préservation à long terme des connexions n'est pas importante. Dans ce cas, le nombre d'images à lier est pratiquement illimité - des dizaines voire des centaines d'images peuvent être liées.

La méthode de Cicéron

Vous et moi voyons régulièrement les mêmes images visuelles - des objets dans l'appartement, des objets dans la rue, le long desquels nous rentrons constamment chez nous, etc. Ce sont les images support à partir desquelles se forment les associations naturelles. Puisque les connexions entre les objets que nous voyons régulièrement existent déjà dans notre cerveau, elles n'ont pas besoin d'être mémorisées. On s'en souvient quand même. Il suffit de bien fixer en mémoire une séquence d'images familières, c'est-à-dire de les répéter plusieurs fois. C'est-à-dire que les unités d'information mémorisées doivent être disposées mentalement dans une pièce bien connue dans un ordre strictement défini. Et puis il suffit de se souvenir de cette pièce et de reproduire les informations nécessaires. C'est l'essence de la méthode de Cicéron ou de la méthode de la chambre romaine.

Cette méthode porte le nom de l'un des orateurs les plus brillants de l'histoire du monde. Mark Thulius Cicero (106-43 BC) - homme d'État de l'Empire romain, célèbre pour n'avoir jamais utilisé de notes ou de conseils dans ses discours publics. Cicéron a reproduit de mémoire de nombreux faits, dates, événements historiques et noms. Afin de mémoriser le discours préparé dans une séquence strictement vérifiée, Cicéron a divisé son discours en parties et a préparé chaque partie dans l'une de ses nombreuses chambres. Immédiatement après son discours, Cicéron a traversé mentalement ses nombreuses chambres le long d'un certain itinéraire, ce qui l'a aidé à se souvenir clairement de la partie du discours qu'il y préparait.

Selon d'autres sources, les racines de cette méthode remontent à la Grèce antique (le poète Simonide a utilisé cette technique avec succès). Apparemment, Simonide est accidentellement sorti vivant des décombres du toit, qui s'est effondré sur une grande compagnie en train de festoyer. Les proches des victimes ont demandé à Simonide d'indiquer dans quelle partie de l'immeuble effondré chercher les corps des proches. Le poète, se souvenant, découvrit qu'il était capable de les nommer presque tous grâce aux détails familiers de la pièce. Il trouva cette observation précieuse et en développa par la suite l'idée.Ainsi, la méthode de Cicéron est la plus ancienne technique de mémorisation connue à ce jour.

Nous allons apprendre à sélectionner des images de support à l'aide de la méthode de Cicéron en utilisant l'exemple suivant : Considérez votre appartement (maison). Déterminez vous-même la séquence des pièces. Par exemple, mémorisez les pièces dans l'ordre suivant : couloir, salle de bain, cuisine, grande pièce, chambre, balcon.

Ensuite, vous devez concentrer votre attention sur une pièce et la parcourir mentalement autour du périmètre (et toujours dans une direction - l'aiguille des heures). Pensez à 10 objets dans cette pièce.

Faites maintenant la même chose dans les autres pièces et dans chacune, sélectionnez 10 images (par exemple, des meubles).

En conséquence, vous mémoriserez une séquence de 50 objets. C'est-à-dire que vous fixerez les images sélectionnées en mémoire par rappel répété.

Voici quelques règles importantes de la méthode Cicéron :

Les visualisations que vous mettez en surbrillance ne doivent pas être répétées. Seuls les noms des objets peuvent être répétés, et les images doivent être différentes.
Vous devez tirer les connexions qui existent déjà dans votre cerveau. Par conséquent, mettez en valeur les images en les mémorisant. Essayez de choisir de telles images de manière à pouvoir en distinguer cinq sous-images.
Essayez la méthode de Cicéron lors de la préparation de votre discours ou de la mémorisation d'un texte.
La séquence de travail avec le texte est la suivante :

Lisez le texte et répondez à la question de quoi il s'agit.
Divisez le texte en plusieurs parties sémantiques.
Mémorisez chaque partie du texte dans différentes pièces de votre appartement ou maison, en ayant clairement défini l'ordre dans lequel vous les suivez (entrée - salle de bain - toilettes - cuisine - salon - crèche - chambre)
Reproduire à voix haute l'intégralité du texte en tenant compte de la présentation séquentielle des parties.

Démonstration de la méthode à l'aide de l'exemple du conte de fées Kolobok

1) nous allons diviser l'intrigue du conte en 6 parties sémantiques et représenter chacune de la manière suivante :
farine - un petit pain sur la route - un lièvre - un loup - un ours - un renard mange un petit pain
Ces images en mnémoniques sont appelées auxiliaires. Ils encodent des informations dont nous voulons nous souvenir.
L'image d'un lieu qui existe déjà dans notre mémoire et que nous connaissons très bien est appelée image de référence en mnémotechnique.

2) Dans notre imagination, nous combinons des images auxiliaires (farine, un petit pain sur la route, un lièvre ...) avec des images auxiliaires (cuisine, salon, salle de bain ...) :
la farine est dans la cuisine;
le chignon roule le long de la route dans le salon ;
lièvre dans la salle de bain;
loup dans les toilettes;
ours dans la cuisine;
le renard mange un petit pain sur le balcon.

3) nous répétons le conte de fées, en utilisant des images auxiliaires pour rappeler l'intrigue et des images de support pour rappeler la séquence des événements.
Rappelez-vous, il est important de représenter chaque image clairement, en grand. Ne pensez pas que cette opération prendra beaucoup de temps. Afin de mettre de côté une paire d'images en mémoire, quelques secondes suffiront. La technique de Cicéron est si simple que certains experts recommandent même de l'enseigner aux enfants d'âge préscolaire.

L'avantage de la méthode Cicéron par rapport, par exemple, à la "Chaîne", en outre, est le suivant :
- la méthode Cicéron utilise des images qui nous sont très familières
- dans la technique "Chaîne", pour accéder à un élément de la séquence, il est nécessaire d'itérer sur toute la séquence ; dans la méthode Cicéron, on peut parcourir le matériel mémorisé beaucoup plus librement.
Cette méthode est également utile lors de la mémorisation de longs poèmes ou de poèmes. Essayez-le en pratique et vous verrez que cela fonctionne vraiment !