La timidité chez les enfants - mon bébé timide ! Résumé sur le thème "enfants timides"

Institut pédagogique d'État Shadrinsky

Faculté de pédagogie correctionnelle et de psychologie

Département de psychologie générale

Travail de cours

Caractéristiques de la timidité des enfants d'âge préscolaire

Réalisé par un étudiant de 2e année

255 groupes départementaux à plein temps

Ryadinsky Natalya Nikolaïevna

conseiller scientifique

Medvedeva I.A.

Shadrinsk - 2009

introduction

Chapitre 1

1.1 Le concept de timidité dans la littérature psychologique et pédagogique

Chapitre 2

2.1 Élaboration d'un programme correctionnel de la timidité à l'aide de jeux psychologiques et d'exercices pour corriger : la timidité, l'isolement, l'insécurité

Conclusion

Liste bibliographique

introduction

Le problème de la timidité et des difficultés de communication qu'elle engendre occupe une des premières places dans la littérature pédagogique et psychologique moderne. L'urgence de ce problème est donc grande. Une enquête menée par F. Zimbardo a révélé qu'environ 80% des Américains interrogés se considèrent timides, et dans notre pays ce pourcentage n'est probablement pas moindre.

La timidité est un phénomène universel et répandu, par conséquent, des scientifiques nationaux et étrangers ont traité le problème de la timidité: D. M. Baldwin, E. I. Gasparova, A. A. Zakharov, F. Zimbardo, D. Izard, Yu. M. Orlov, TO Smoleva, DB Watson , V. Stern, T. Shishova et autres.

La question des caractéristiques de la timidité est la plus faible couverte. Sur cette base, nous avons déterminé le sujet de notre travail: "Caractéristiques de la timidité chez les enfants d'âge préscolaire plus avancé."

objectif est une étude des caractéristiques de la timidité chez les enfants d'âge préscolaire plus avancé.

Objet d'étude : enfants d'âge préscolaire de 5 à 7 ans.

Sujet d'étude: timidité chez les enfants de 5 à 7 ans.

Hypothèse de recherche - le niveau de timidité d'un enfant d'âge préscolaire peut être réduit en utilisant des jeux et des exercices psychologiques pour corriger la timidité, l'isolement et l'insécurité.

Conformément au but, au sujet, à l'objet et à l'hypothèse de l'étude, les questions suivantes ont été résolues dans le travail : Tâches:

1. L'étude de la littérature psychologique et pédagogique sur cette question.

2. Identification des caractéristiques de la timidité chez les enfants d'âge préscolaire plus âgé.

3. Élaboration d'un projet de programme correctionnel.

Méthode de recherche est l'analyse de la littérature sur le problème de recherche.

Base théorique études ont servi d'études théoriques et expérimentales des caractéristiques de la timidité (F. Zimbardo, D. B. Watson, V. Stern, D. Izard, Yu. M. Orlov, E. I. Gasparova, T. O. Smoleva).

fonctionnalité correction de la timidité enfant d'âge préscolaire

CHAPITRE 1. ÉTUDES THÉORIQUES PSYCHOLOGIQUES ET PÉDAGOGIQUES

1.1 LE CONCEPT DE TIMIDITÉ DANS LA LITTÉRATURE PSYCHOLOGIQUE ET PÉDAGOGIQUE

Le problème de la timidité a été étudié à l'étranger : D. Baldwin, K. Gross, F. Zimbardo, K. Izard, D. B. Watson, V Stern.

Dans notre pays, cette question a été traitée par: E. I. Gasparova, A. A. Zakharov, Ya. Kopchak, Yu. M. Orlov, T. O. Smoleva.

Les chercheurs de la timidité s'intéressent à sa nature, ses causes, sa forme de manifestation et les formes de prévention des conséquences négatives.

Selon E. I. Gasparova et Yu. M. Orlova, la timidité est un trait de personnalité caractérisé par un manque de liberté de communication, caractérisé par la présence d'une raideur interne de comportement qui ne permet pas à l'individu de réaliser pleinement son potentiel héréditaire et personnel.

Dans le cadre du développement des émotions et des sentiments humains, la timidité est considérée soit comme synonyme de sentiments de peur (V. Stern, K. Gross), soit comme l'expression de sentiments de honte ou de culpabilité (D. Izard, V. Zenkovski).

L'Oxford English Dictionary définit la timidité : "Être timide" signifie être une personne avec qui il est difficile de communiquer en raison de sa prudence, de sa timidité et de son incrédulité.

Une personne timide "évite l'interaction avec certaines personnes et certains objets". "Prudent en paroles et en actes, n'insiste pas sur ses droits, douloureusement timide."

Le dictionnaire Webster définit la timidité comme "être gêné en présence d'autres personnes".

Dans le "Dictionnaire explicatif russe" V.V. Lopatina L. E. Lopatina décrit la timidité comme timidement timide dans l'adresse, dans le comportement.

Dans le Dictionnaire pédagogique, la timidité est décrite comme un état mental ou un trait de personnalité qui se manifeste par de la gêne, de la raideur, un silence déraisonnable et des difficultés d'élocution. Se produit chez une personne (plus souvent chez un adolescent) en raison de l'incertitude quant à l'impression que son comportement fait sur d'autres personnes (généralement inconnues ou inconnues).

Dans notre travail, nous nous sommes appuyés sur la définition suivante et pensons que la timidité est un trait de personnalité qui se forme sous certaines conditions d'éducation et se caractérise par un manque de liberté de communication, la présence de contrainte interne.

Plus de 85% de ceux qui se considèrent timides ne cachent pas qu'ils sont extrêmement préoccupés par leur propre personne. Ce type d'égocentrisme peut être à la fois externe et interne.

"Externe" l'introspection reflète la préoccupation d'une personne quant à la façon dont elle fait une impression: "Que penseront-ils de moi?", "Comment me traitent-ils?", "Comment saurais-je si j'aime?" comportement", "Je suis inquiet de mon apparence », « Je me soucie de l'opinion des autres sur moi », « Je m'inquiète souvent de mon apparence ».

À "Interne" l'introspection, la conscience est dirigée exclusivement vers elle-même. Il ne s'agit pas seulement d'une focalisation sur soi, mais d'un égocentrisme teinté négativement : « je suis un imbécile », « je suis un monstre », etc.

Chaque pensée personnelle est examinée sous un puissant microscope analytique. "J'essaie constamment de me comprendre", "Je pense beaucoup à moi", "Souvent je suis le héros de mes fantasmes", "Je suis souvent critique envers moi-même", "Je suis sensible aux changements d'humeur", " J'analyse constamment les motifs de mon comportement.

La timidité est un trait de personnalité qui se forme dans certaines conditions d'éducation et se caractérise par le manque de liberté de communication, la présence d'une contrainte interne.

La timidité couvre un large éventail de manifestations psychologiques - de l'embarras qui survient parfois en présence d'autres personnes, jusqu'à l'anxiété traumatique, qui perturbe complètement l'anxiété, perturbe complètement la vie d'une personne. Certaines personnes elles-mêmes préfèrent la timidité comme mode de vie ; pour d'autres, c'est une peine sévère sans espoir de pardon.

La plus grande partie des timides appartient au niveau moyen ; ce sont ceux qui ressentent de la peur et de la gêne face à certaines circonstances par certains types de personnes. Leur confusion est si forte qu'elle perturbe leur vie et leur comportement, rendant difficile ou impossible de dire ce que vous pensez ou de faire ce que vous voulez.

Les personnes chroniquement timides sont terrifiées à chaque fois qu'elles doivent faire quoi que ce soit en public, et elles sont tellement impuissantes dans leur état que la seule issue pour elles est de courir et de se cacher. De telles manifestations de timidité extrême sont caractéristiques non seulement des jeunes, mais aussi des adultes. Ils ne disparaissent pas avec l'âge. Dans le pire des cas, la timidité prend la forme d'une névrose - paralysie de la conscience, qui se traduit par une dépression et peut parfois conduire au suicide.

La timidité a aussi son côté positif. Les personnes timides n'offensent pas les autres, sont réservées, modestes, équilibrées. Une personne peut se permettre d'être plus sélective dans ses contacts personnels.

La timidité permet de prendre du recul, d'observer, pour ensuite se comporter prudemment.

Sur cette base, la timidité est une caractéristique qui caractérise tant de personnes, enfants et adultes. Peut-être que cela peut même être appelé la raison la plus courante qui complique la communication.

La timidité peut être une maladie mentale qui paralyse une personne au moins comme la maladie la plus grave du corps. Ses conséquences peuvent être dévastatrices :

La timidité vous empêche de rencontrer de nouvelles personnes, de vous faire des amis et de profiter de vacances potentiellement agréables ;

Elle empêche une personne d'exprimer son opinion et de faire valoir ses droits ;

La timidité ne donne pas aux autres la possibilité d'évaluer positivement la valeur personnelle;

Cela aggrave la concentration excessive sur soi-même et sur son comportement;

La timidité interfère avec une pensée claire et une communication efficace ;

La timidité s'accompagne généralement de sentiments négatifs de solitude, d'anxiété et de dépression.

Être timide signifie avoir peur des gens, en particulier de ceux qui sont émotionnellement menacés pour une raison quelconque : des étrangers à cause de l'inconnu et de l'incertitude.

Aujourd'hui, en psychologie, le point de vue est répandu selon lequel la timidité est le résultat d'une réaction aux émotions de peur, qui survient à un certain moment où les gens interagissent avec d'autres personnes et qui est fixe.

Ainsi, les chercheurs de la timidité, dans le processus d'observation, ont trouvé les causes, les formes de manifestation et les formes de prévention des conséquences négatives de la timidité. Une analyse des sources théoriques a montré que, compte tenu du concept de «timidité», les psychologues de diverses directions sont convaincus que la timidité est un trait de personnalité individuel. Étant donné que la timidité est un phénomène très courant dans la vie et, selon de nombreux auteurs, survient dans l'enfance, il est nécessaire de considérer ses manifestations chez les enfants d'âge préscolaire.

Lorsque votre tout-petit devient soudainement craintif, timide, indécis et peu sûr de lui, la situation provoque de l'anxiété et de la peur. Pour résoudre le problème, vous devez connaître ses aspects psychologiques. Ils permettront de déterminer les conditions optimales de correction de la timidité chez les enfants d'âge préscolaire.

Caractéristiques de la timidité chez les enfants d'âge préscolaire

Souvent, la timidité est considérée comme un trait positif d'un enfant. L'enfant reçoit les caractéristiques de retenue, d'équilibre, de modestie. En fait, un tel état d'esprit ne permet pas à l'enfant d'être lui-même, de démontrer son vrai caractère et ses caractéristiques. Cela affecte négativement son état, aggravant à chaque fois la situation.

Le comportement d'un enfant timide provoque des malentendus chez les gens. Une telle position des autres affecte la perception de soi de l'enfant, qui est encore plus plongé dans un état de timidité. Il s'avère un cercle vicieux. Pour inspirer confiance en soi, le bébé dépense une grande quantité d'énergie, ce qui affecte également son état.

La nature de l'État

La timidité est un état mental qui se manifeste chez une personne sous la forme d'indécision, de timidité, de tension, de raideur et de maladresse. Cette condition est aussi souvent appelée timidité ou timidité.

La recherche psychologique montre que la timidité peut être de deux types :

1. Gêne de la présence en compagnie d'autres personnes.
2. Inconfort avec vous-même.

Il ne faut pas prendre le phénomène en question comme un état normal avec une légère connotation négative qui peut être ignorée. Des études en psychologie montrent que la timidité est un état émotionnel difficile qui affecte tout le corps humain.

Signes de timidité

Il est possible de déterminer la présence de timidité chez un enfant d'âge préscolaire en identifiant les signes caractéristiques qui l'accompagnent dans le processus de communication depuis longtemps.

1. Manque de légèreté, de spontanéité et de relâchement, ainsi que tension déraisonnable et impulsivité dans la communication.
2. Étanchéité, raideur.
3. Concentrez-vous sur votre personnalité.
4. Peur de se tromper.

Manifestations de timidité dans le comportement des enfants d'âge préscolaire:

• un regard sous vos sourcils, en évitant le contact visuel ;
• taciturnité, difficulté à parler;
• mauvaise activité de jeu;
• détachement des événements qui suscitent réellement l'intérêt;
• voix calme, murmure;
• s'agiter sur une chaise ;
• épaules voûtées.

Situations qui provoquent la timidité :

• être au centre de l'attention;
• faire un discours devant des gens;
• nouvel environnement;
• communication avec des membres du sexe opposé;
• effectuer des tâches/jouer dans un groupe d'enfants.

Causes de la pudeur excessive chez les enfants

Il y a deux raisons principales au développement de la timidité :

1. Faible estime de soi, doute de soi.
2. Manque de compétences sociales.

Un certain nombre de chercheurs ajoutent quelques raisons supplémentaires qui provoquent le développement de la timidité. Ceux-ci inclus:

• hérédité;
• contradictions mentales internes;
• réaction naturelle à la violation des limites établies de la décence;
• auto-hypnose;
• faiblesse du système nerveux central;
• le développement rapide de la société, les changements technologiques soudains dans la vie;
• crise des relations intrafamiliales, familles défaillantes, focalisation des parents sur les aspects matériels de l'éducation ;
• caractéristiques du tempérament, système nerveux;
• soins parentaux excessifs, absence totale de participation à la vie du bébé.

Caractéristiques d'âge

La timidité se manifeste dès le plus jeune âge, lorsque le bébé commence à interagir activement avec d'autres personnes.

Conséquences du développement de la timidité :

1. Manque de joie de communiquer.
2. Difficulté à trouver des amis.
3. Manque d'aide à la communication.
4. Formation de complexes, développement de phobies.
5. Difficultés dans le processus d'apprentissage.
6. L'impossibilité d'une mise en œuvre complète dans les activités professionnelles et la vie personnelle.

Plusieurs chercheurs soulignent dans leurs travaux l'impact positif d'une timidité modérée sur le développement de l'enfant. Il est plus protégé de la surcharge émotionnelle, de la surexcitation du système nerveux suite à la communication. Les enfants timides sont protégés de la communication et des contacts avec les étrangers, leur monde intérieur est plus riche et mieux développé.

La timidité dans la vie adulte s'exprime dans l'équilibre, la retenue, le respect de l'espace personnel des autres.

Conditions pour corriger la timidité infantile

Les parents, les enseignants de maternelle et les psychologues devraient participer à surmonter la timidité des enfants d'âge préscolaire.

Pour corriger efficacement la timidité chez les enfants, 2 conditions essentielles doivent être réunies :

1. Élargissez progressivement le cercle de la communication, en formant et en consolidant les compétences nécessaires. Il est important de travailler avec compétence avec les autres participants à la communication.
2. À l'aide d'une approche individuelle, la confiance en soi de l'enfant doit être renforcée, en tenant compte des caractéristiques de sa personnalité.

Conseils à suivre pour créer ces conditions :

• nourrir constamment la confiance en soi du bébé;
• s'impliquer dans diverses activités, compliquant progressivement la composante communicative avec d'autres enfants;
• élargissez le cercle de connaissances - visitez de nouveaux endroits, allez visiter, invitez des amis chez vous.

Les psychologues recommandent de corriger la timidité des enfants d'âge préscolaire dans un groupe en quatre étapes :

1. Créer la motivation pour la communication et maîtriser les compétences de communication. Pour résoudre ce problème, les séances thérapeutiques avec l'utilisation de jeux, de contes de fées et d'exercices relaxants sont excellentes.
2. Enseigner la compétence d'auto-établissement de contact. Des exercices de relaxation, des jeux collectifs, des jeux de rôle, du dessin sont ici utilisés.
3. Élargir les limites du monde des émotions du bébé grâce à une variété de jeux.
4. Application de compétences maîtrisées en communication dans un environnement créatif. La tâche est résolue par une communication libre des enfants, des jeux de groupe de nature créative avec une intervention minimale des adultes.

Conditions externes pour la thérapie corrective en quatre étapes :

• fréquence des cours : 1 à 2 fois par semaine ;
• corriger tous les changements de comportement d'un enfant d'âge préscolaire dans la salle de classe ;
• la durée d'une leçon ne dépasse pas une demi-heure;
• la correction dure 7 mois;
• âge optimal : 4-6 mois ;
• nombre d'enfants dans un groupe : 4-6.

Le rôle de la thérapie par le jeu est de surmonter l'incertitude. Les jeux peuvent aider à se détendre, à surmonter les barrières psychologiques dans la communication avec les parents et les pairs, à élargir les variations comportementales dans l'interaction.

Pour corriger le comportement des enfants très timides dans les jardins d'enfants, les psychologues recommandent les jeux suivants :

1. Qui est devant. Les chaises sont placées au centre de la pièce. Le nombre de chaises est un de moins que le nombre d'enfants qui jouent. L'essence du jeu est simple - les enfants commencent à marcher autour des chaises. Au signal, ils s'assoient dessus. Une fois assis, ne poussez pas. Le gamin qui n'a pas eu le temps de s'asseoir reçoit un point de pénalité. Il y a plusieurs tours. La maîtresse explique à chaque fois que le bébé qui reste debout ne s'assied pas à cause de sa politesse et de ses bonnes manières. Cette approche vous permet de garder l'intérêt et la motivation des enfants pour le jeu, ils perdent leur insécurité et leur peur.
2. Recherche de similarité. À tour de rôle, les enfants se lancent une balle ou un jouet. L'enfant qui lance la balle au voisin doit avoir le temps de dire la similitude qui le relie au voisin qui le reçoit. Le but du jeu est la constitution d'une équipe, en développant l'habitude de communiquer librement dans un groupe.
3. Dinosaures. Les enfants font semblant d'être des dinosaures. Le jeu enlève la raideur et enlève les peurs lorsqu'on s'adresse au public.
4. Le rugissement des lions. L'enseignant dit aux enfants de s'imaginer comme des lions. Au signal : « Rugissement, lion, rugissement ! », les enfants doivent rugir. L'essentiel est que le rugissement soit aussi fort que possible. Le jeu permet d'aider les enfants très timides à surmonter les raideurs, l'isolement, l'indécision.

La thérapie par marionnettes joue un rôle important dans l'efficacité de l'élimination de la timidité chez les enfants d'âge préscolaire. Aux premiers stades de la correction, la poupée remplace les enfants. Avec elle, le bébé perd les éléments de communication et maîtrise les compétences de communication. Une attitude positive et confiante envers les jouets vous permet de surmonter les barrières psychologiques du bébé. La thérapie par marionnettes permet de résoudre toute une série de problèmes :

• élargir les options d'expression personnelle communicative du bébé;
• renforcer la stabilité et la régulation de l'état mental;
• concevoir une relation enfant-parent.

Conseils de psychologues pour les parents face à des enfants très timides :

1. Communication active sur une base paritaire, égale, respectueuse. Les parents félicitent leurs enfants pour leur intérêt ludique et éducatif. Dans le processus de communication, les inexactitudes ou les erreurs ne sont "pas remarquées". Les tout-petits se perçoivent comme indépendants, capables de résoudre leurs problèmes par la communication.
2. Formation d'une relation chaleureuse, confiante et sécuritaire entre les enfants et les parents, grâce à la participation active des parents dans la vie des enfants (conversations, jeux, promenades).
3. Augmentez l'estime de soi - construisez les activités des enfants avec leur succès fréquent dans les activités.
4. Ne vous comparez pas aux autres enfants, ne blâmez pas et ne faites pas honte.
5. Dans la communication, ne portez pas atteinte à l'autorité des personnes importantes (grands-parents, éducateur, autre parent).
6. Faire preuve de cohérence pédagogique dans les récompenses et les interdictions.
7. Le passe-temps commun le plus fréquent.

L'environnement technologique moderne, Internet, a un impact significatif sur le développement de la timidité. Une personne de naissance est en contact avec de nombreux gadgets. Les problèmes de communication et d'interaction avec le monde sont résolus à distance, sans contact direct. Tout cela conduit à l'impréparation d'une personne à une véritable interaction avec le monde. Le psychisme réagit à cette insécurité avec timidité.

Pour surmonter le problème, les parents doivent limiter le contact de leurs enfants avec les appareils technologiques et les moyens de communication modernes. Il est nécessaire de former des compétences sociales d'interaction et de communication. Et cela se produit en jouant avec les parents, en lisant des livres avec grand-mère, en jouant avec des pairs dans le belvédère.

Travail de cours
Conditions psychologiques pour surmonter la timidité à l'âge préscolaire

PRÉSENTATION……………………………………………………………………….3
Chapitre 1
1.1. Le concept de timidité dans la psychologie moderne……………. .….5
1.2. Causes et facteurs de formation de la timidité………… …...….9
1.3. Manifestations de timidité chez les enfants d'âge préscolaire………..... ....12
Conclusions sur le Chapitre……………………………………………………….………………. dix-huit
CHAPITRE 2
2.1. Diagnostic de la timidité chez les enfants plus âgés d'âge préscolaire ...... 20
2.2. Jeux et exercices pour vaincre la timidité… …………...25
2.3. Conseils pour les parents d'un enfant timide d'âge préscolaire……………….........31
Conclusions sur le Chapitre………………………………………….……….……….… .…36
CONCLUSION………………………………………………………………….37
LITTÉRATURE…………………………………………………………………...39
ANNEXE………………………………………………………………….41

INTRODUCTION
La pertinence de l'étude est due au fait que le problème de la timidité est enraciné dans l'enfance et empêche les enfants d'apprécier la communication avec leurs pairs, de trouver des amis et de recevoir leur soutien. Ils essaient de ne pas se faire remarquer, de ne pas prendre d'initiative, et surtout, ils ne se sentent pas comme des personnes à part entière à cause de toutes sortes de complexes.
La timidité peut se manifester chez un enfant dès son plus jeune âge. Du point de vue de la psychologie, il s'agit du phénomène le plus complexe, qui repose sur de nombreux problèmes et caractéristiques personnels. Mais au niveau extérieur, la timidité se manifeste principalement dans la communication. Il est difficile pour l'enfant d'entrer en contact avec les autres, d'être au centre de l'entreprise, de parler quand un grand nombre de personnes l'écoutent, de parler devant les autres. La seule pensée que maintenant il va attirer l'attention sur lui-même lui est désagréable.
La timidité d'un enfant en cours d'éducation et d'éducation, d'une part, peut constituer un obstacle à l'assimilation qualitative du matériel: la timidité, étant un stress émotionnel élevé, bloque divers processus de pensée et affecte négativement la mémoire. D'autre part, la timidité est préjudiciable à la santé psycho-émotionnelle de l'enfant : pour un enfant timide, parler devant un groupe est stressant, ce qui, à son tour, peut entraîner des peurs chez l'enfant.
Il est nécessaire de commencer à prendre des mesures pour prévenir le développement de la timidité chez les enfants le plus tôt possible. Les moyens de faire face à la timidité dépendent avant tout du degré de sa manifestation chez un enfant et sont différents dans un cas particulier.
La justification théorique du problème de la timidité est envisagée dans les travaux de F. Zimbardo, Bruno et D. Brett, psychologues russes L.I. Bojovitch, I.S. Kona, A.A. Reana, A.B. Belousova, I.V. Dubrovina, I. Zimina, N.V. Klyueva, BD Elkonin et d'autres, mais malgré cela, la question reste d'actualité. C'est pourquoi nous avons choisi ce sujet.
Sujet : "Conditions psychologiques pour surmonter la timidité à l'âge préscolaire supérieur."
Le but de l'étude: étayer théoriquement, dans le cadre d'un travail empirique pour tester le phénomène de la formation de la timidité chez les enfants d'âge préscolaire plus avancé.
Objet d'étude : le phénomène de la timidité.
Sujet d'étude: caractéristiques psychologiques de la correction de la timidité chez les enfants d'âge préscolaire plus avancé.
Tâches:

Étudier les aspects théoriques de la timidité chez les enfants d'âge préscolaire.
Considérez les manifestations de la timidité chez les enfants d'âge préscolaire plus âgés.
Analyser les outils de diagnostic pour étudier la timidité.
Explorez les moyens de prévenir et de résoudre le problème de la timidité.

Structure de travail. L'ouvrage se compose d'une introduction, de 2 chapitres, d'une conclusion, d'une liste de références et d'une annexe.

CHAPITRE 1. Fondements théoriques pour étudier la timidité des enfants plus âgés d'âge préscolaire
1.1. Le concept de timidité dans la psychologie moderne
La timidité est l'un des problèmes les plus courants et les plus complexes. En psychologie, il existe plusieurs approches à ce problème. Les chercheurs sur les traits sont convaincus que la timidité est un trait de personnalité héréditaire. La version moderne de la théorie de la timidité innée appartient à R. Cattell. Selon cette théorie, les personnes timides (type H-) naissent avec un système nerveux plus sensible que les porteurs de H+. Cette sensibilité accrue conduit au fait qu'une personne a tendance à éviter les conflits et les situations menaçantes. R. Cattell croit que puisque les traits H sont innés, aucun événement qui compose l'expérience d'une personne ne peut les changer. R. Cattell considère la timidité comme un trait biologiquement déterminé associé à l'excitabilité du système nerveux. Il croit que les personnes timides ont un système nerveux particulièrement sensible et très excitable, qui est particulièrement vulnérable au stress social.
Les béhavioristes croient que l'homme est le produit de ce qu'il a appris. Il intériorise les actions qui sont gratifiantes et s'abstient de celles qui ont des conséquences négatives. Selon cette théorie, la timidité est une réponse acquise de peur aux stimuli sociaux. Cela peut se produire pour les raisons suivantes :
- expérience négative de communication avec des personnes dans certaines situations, basée soit sur ses propres contacts directs, soit sur l'observation des autres ;
- manque de capacités de communication adéquates ;
- anticipation de l'inadéquation de leur propre comportement et, par conséquent, anxiété constante face à leurs actions;
- l'auto-humiliation en raison de leur insuffisance.
Les approches psychanalytiques de la timidité fonctionnent avec des scénarios d'affrontements de forces internes en termes de mécanismes de défense, d'agressivité, de regroupement de forces. La timidité est considérée comme un symptôme. C'est une réaction aux besoins primaires insatisfaits du ça. D. Kaplan considère la timidité en partie comme le résultat de l'orientation du moi vers lui-même (ce qu'on appelle le narcissisme).
L'impact traumatique de certains événements sur une personne timide est déterminé par le déplacement d'un "grand danger" de la sphère de la vie où ce danger existe réellement. La peur, incarnée dans les symptômes de la timidité, à savoir le rejet, est également corrélée à certains événements dans lesquels elle peut s'incarner sous une forme plus détendue qu'en relation avec un danger réel dans un autre domaine de la vie de la personne. D'autres auteurs se concentrent sur les processus d'isolement psychologique de l'enfant par rapport à sa mère et sur la formation d'un sens de sa propre individualité. Si un tel isolement est effectué prématurément, il est alors possible qu'une personne développe à l'avenir une peur de l'incertitude des situations de la vie. Ce genre de peur est une caractéristique des personnes profondément timides. Notons ici que le raisonnement psychanalytique sur la survenue de la timidité s'appuie sur des exemples de timidité pathologique.
Dans la psychologie russe, la timidité et la honte n'étaient pas fondamentalement séparées l'une de l'autre. Ainsi, par exemple, I.A. Sikorsky, considérant les états mentaux les plus élevés, a distingué la honte comme suit : « Les principaux mouvements et gestes résultant de la honte sont les suivants :

Dans le désir de cacher le visage, de le couvrir avec les mains ou de l'abaisser ou de le côté.
Dans le désir de se cacher entièrement - de tomber à travers le sol.
Les yeux d'une personne timide se précipitent sur le côté ou subissent des mouvements agités afin d'éviter le regard humain.
Le silence, atteignant l'impossibilité d'ouvrir la bouche, ainsi que la contention involontaire, les mouvements se font tranquillement, silencieusement, furtivement.

K. Izard, dans sa monographie sur les émotions humaines, parmi les neuf émotions fondamentales identifie et examine en détail la honte et la timidité. Cependant, il ne fait pas de distinction entre ces concepts, ce qui crée de grandes difficultés dans la compréhension correcte des données statistiques qu'il cite et du raisonnement théorique. K. Izard souligne que pour différentes personnes, les situations qui causent la honte sont différentes. Une caractéristique commune des situations qui causent la honte est la présence d'excitation et de plaisir en elles. Dans le même temps, la honte au niveau théorique est considérée comme une émotion et la timidité - comme un trait de personnalité. Il est souligné que la peur, la culpabilité, la honte et la timidité jouent un rôle important dans les relations humaines, dans les processus de socialisation et de développement de la personnalité.
Selon V. N. Kunitsyna, la timidité est un trait de personnalité qui survient chez une personne qui éprouve constamment des difficultés dans certaines situations de communication informelle interpersonnelle; se manifeste dans un état de stress neuropsychique et se caractérise par divers troubles des processus autonomes, psychomoteurs, de l'activité de la parole, émotionnels, volitionnels, de la pensée et un certain nombre de changements spécifiques dans la conscience de soi. La timidité est le plus étroitement associée à la honte, une émotion qui survient dans des situations qui produisent de l'anxiété sociale et qui a une variété de manifestations caractéristiques. Sur le plan psychologique, la honte peut être déclenchée par une situation qui focalise l'attention sur le « je » ou sur un aspect du « je » qui s'avère « inapproprié ». Toute expérience qui crée un sentiment de révélation de soi inappropriée chez une personne peut causer de la honte. Outre une conscience de soi accrue et des caractéristiques spécifiques de la perception de soi, la honte s'accompagne d'une incapacité temporaire à penser logiquement et efficacement, et souvent un sentiment d'échec, de défaite, affecte la sphère des processus de pensée. La honte survient généralement en présence d'autres personnes, mais peut également survenir dans la solitude.
La timidité en tant que propriété distincte et indépendante d'une personnalité n'a pas été pratiquement étudiée dans la psychologie russe, à l'exception de plusieurs travaux. EST. Kohn définit la timidité comme "une conscience de soi accentuée, une préoccupation accrue de l'individu avec lui-même et la façon dont les autres le perçoivent". En particulier, I.S. Kohn accorde une grande attention aux problèmes de l'adolescence. Cette période est caractérisée par la formation intensive de la conscience de soi, l'image du «je» dans le contexte de graves changements dans les fonctions psychosomatiques: l'intérêt pour son apparence changeante, le monde intérieur augmente, l'anxiété et l'excitabilité émotionnelle augmentent. C'est à l'adolescence que la formation de la timidité en tant que trait de personnalité est la plus probable ; la base pour fixer les réactions comportementales correspondantes peut être une certaine instabilité de l'image du «je», le doute de soi, caractéristique de cette période. L'instabilité émotionnelle accrue augmente le besoin d'une communication intime et confiante, mais est bloquée par la timidité (une personne n'ose pas parler de ses expériences par sentiment de fausse honte ou par peur d'être incomprise). Les difficultés de nature communicative se manifestent particulièrement chez les jeunes et laissent une empreinte sur le développement ultérieur de la personnalité.
Malgré les différentes interprétations de la timidité par différents auteurs, il existe un certain nombre de points communs pour comprendre sa nature. C'est le lien de la timidité avec la conscience de soi et l'estime de soi, l'expérience émotionnelle de la timidité et l'émergence de difficultés dans le processus de communication.

1.2. Causes et facteurs de la formation de la timidité
Il est de coutume de distinguer les facteurs naturels et sociaux qui forment la timidité. Les facteurs naturels comprennent le tempérament, en raison du type de système nerveux. La grande majorité des personnes timides sont mélancoliques et flegmatiques. Cependant, il y a aussi des gens colériques et sanguins timides.
Les facteurs sociaux comprennent le type d'éducation familiale.
Il existe une relation très étroite entre le type d'éducation d'un enfant et les caractéristiques du développement mental. Les manifestations les plus typiques d'une mauvaise éducation:
Rejet. Il n'y a pas de contact affectif entre les parents et les enfants. L'enfant est chaussé, habillé et nourri, mais ses parents ne s'intéressent pas à son âme. À la suite d'une telle éducation, on peut élever soit un enfant agressif, soit un opprimé, soit un enfant timide.
Hyper soin. Les parents aussi éduquent "correctement" l'enfant, programment chacun de ses pas. L'enfant est obligé de restreindre de manière chronique ses impulsions et ses désirs. L'enfant peut protester contre une telle situation, qui se traduit par de l'agressivité, ou il peut se soumettre, devenir renfermé, refoulé et, par conséquent, timide.
Type d'éducation anxieux et suspect. Ils tremblent pour l'enfant, s'en occupent au-delà de toute mesure, et c'est un terrain fertile pour le développement de l'indécision, de la timidité, du douloureux doute de soi.
En raison de la distorsion de l'éducation familiale, les enfants grandissent généralement avec des troubles émotionnels de type polaire - agressifs et timides.

- ordre de naissance des enfants dans la famille ;
- la timidité des parents.
Des études montrent que les enfants « premiers » (c'est-à-dire les premiers-nés) ont davantage besoin de soutien et ont une moins bonne estime de soi que les enfants plus âgés.
Les « deuxièmes » enfants sont plus efficacement formés aux compétences interpersonnelles (capacité à négocier, à s'attirer les bonnes grâces, à convaincre, à trouver un compromis, etc.). Les parents timides sont plus susceptibles d'avoir des enfants timides.
Il est possible de distinguer un complexe de symptômes comportementaux qui caractérisent les personnes timides :

les locomotions, qui reflètent la lutte de deux tendances opposées d'approche - l'éloignement;
inconfort émotionnel ressenti lors de la communication avec des étrangers;
peur de parler en public; 4) sélectivité dans les contacts avec les gens.
Les causes de la timidité sont aussi diverses que sa définition.

La principale source de timidité est la peur des gens. La base de la timidité, bien sûr, est posée dans l'enfance. Son apparition dépend en grande partie de l'éducation des parents, des établissements d'enseignement et de l'environnement social. Certes, il y a des gens qui, n'étant pas timides, deviennent soudainement timides sous l'influence de tout événement.
La timidité doit être considérée comme un processus, comme un état et comme une propriété de l'individu. La timidité en tant que processus se manifeste de différentes manières chez les personnes selon l'âge et la profession, peut s'intensifier et s'affaiblir sous l'influence d'influences personnelles, a des caractéristiques temporelles et une certaine intensité. Il peut être représenté comme un continuum, à une extrémité duquel il y aura des personnes très timides qui souffrent de l'incapacité d'être libres et détendues dans la communication (timidité personnelle), et de l'autre - des personnes non timides (libres dans la communication) , qui éprouvent rarement de la gêne, de la tension dans des situations de prise de parole en public, de rencontres. Entre ces pôles, il y a un groupe de personnes timides.
Sous l'influence des conditions sociales, de l'expérience de la communication, de l'éducation et de l'auto-éducation, un «réarrangement» des composants de ce processus peut se produire: une personne non timide, acquérant des complexes, devient timide et une personne timide, ayant mal adapté, passe dans un groupe d'impudiques.
En tant qu'état, la timidité s'accompagne de troubles des sphères végétative et psychomotrice, de l'activité de la parole, des processus émotionnels-volontaires, de la pensée, d'un certain nombre de changements spécifiques de la conscience de soi qui caractérisent l'état général de tension neuropsychique.
En tant que propriété de la personnalité, elle est associée à l'expérience d'un inconfort psychologique, à des difficultés stables à établir des contacts, à une adaptabilité et une estime de soi réduites et à une sensibilité accrue dans les contacts. Il est souvent inclus dans le syndrome des traits de personnalité qui réduisent les contacts (autisme, aliénation, introversion, sentiment de solitude) et le succès de la communication (sensibilité excessive, anxiété, réflexivité).
La timidité peut être une manifestation temporaire (timidité liée à l'âge et à la situation) et un trait de personnalité permanent. La timidité de l'âge (adolescent et jeune) survient pendant la période d'assimilation active de l'expérience sociale, de nouveaux rôles sociaux, de la formation d'une position sexuelle et d'une augmentation de l'importance subjective de la communication avec les membres du sexe opposé. Une instabilité interne importante pendant la puberté, associée à la nécessité d'un développement actif des rôles sociaux, entraîne une diminution de la confiance en soi, l'apparition d'indécision, de raideur et une maîtrise de soi accrue. La timidité liée à l'âge et à la situation doit être considérée comme une timidité sociale, car les causes de son apparition peuvent être une variété de facteurs sociaux. Elle se prête à la correction jusqu'au dépassement complet dans des circonstances favorables : mariage réussi, réussite professionnelle, santé physique et neuropsychique, besoins personnels. La timidité personnelle a généralement dans sa genèse à la fois une prédisposition biologique et des influences sociales défavorables.
La catégorie des personnes timides est hétérogène. Cela inclut les personnes particulièrement timides (vivant des tensions, des maladresses, un manque de liberté dans la plupart des situations sociales ; les seules exceptions sont les situations de communication avec des parents, des amis ou des partenaires commerciaux bien connus) ; les timides adaptés (ceux qui ont développé des moyens individuels d'autorégulation et de soulagement des tensions et qui, dans de nombreuses situations qui provoquaient auparavant des tensions, font face de manière satisfaisante aux difficultés) et - pour un certain nombre de raisons (isolement, faible estime de soi, autisme) - les personnes qui sont plus correctement classés comme "pseudo-étourdissants".
Ainsi, le phénomène de la timidité est extrêmement répandu et inquiète les personnes timides, leurs difficultés de communication et, par conséquent, l'apparition de conséquences négatives telles que le névrosisme, l'alcoolisme et la toxicomanie.

1.3. Manifestations de timidité chez les enfants d'âge préscolaire plus âgés
En règle générale, la timidité se manifeste dans l'enfance. De nombreux parents font face à la timidité de leurs enfants lorsqu'ils vont rendre visite à leur enfant ou viennent leur rendre visite à la maison. L'enfant est timide, s'accroche à sa mère, ne répond pas aux questions des adultes. Parfois, les enfants sont gênés d'approcher un groupe de pairs en train de jouer, ils n'osent pas se joindre à leur jeu. C'est un cercle de situations dans lesquelles la timidité enfantine se manifeste. En fait, il existe de nombreuses autres situations de ce type, et elles se retrouvent souvent à la maternelle, où l'enfant doit communiquer avec différents enseignants, répondre en classe et se produire pendant les vacances. Dans ces situations, l'enfant ne trouve pas de protection auprès de sa mère et est obligé de faire face lui-même à son problème.
Les observations montrent que la timidité apparue dans la petite enfance persiste généralement tout au long de l'école primaire. Mais cela se manifeste particulièrement clairement dans la cinquième année de la vie. C'est à cet âge que les enfants développent le besoin d'une attitude respectueuse envers eux de la part d'un adulte.
Les plaintes concernant la timidité, la timidité des enfants d'âge préscolaire surviennent même dans le cadre de leur préparation à l'école, c'est-à-dire vers l'âge de 6 ans. Le faible niveau de développement de la communication, l'isolement, les difficultés de contact avec les autres - adultes et pairs - empêchent l'enfant de participer à des activités collectives, de devenir un membre à part entière du groupe à la maternelle ou dans la classe scolaire. L'enfant réagit vivement aux remarques, est offensé par une blague, ironie dans son discours, pendant cette période il a surtout besoin des éloges et de l'approbation d'un adulte.
Les adultes doivent se comporter de manière particulièrement prudente et délicate envers un enfant timide. Aider l'enfant à vaincre sa timidité, former pour lui les moyens de communication nécessaires : l'impliquer dans des jeux communs et des activités collectives est la tâche commune de l'éducateur et des parents. Cependant, dans le préscolaire supérieur, il peut être trop tard pour le commencer. Seuls les adultes peuvent aider un enfant timide, et plus tôt ils commenceront à le faire, mieux ce sera.

- inconfort émotionnel que l'enfant éprouve lorsqu'il rencontre et communique avec des inconnus, et parfois avec des inconnus (voix basse, incapacité à regarder directement dans les yeux, silence, bégaiement, discours incohérent, pose);
- peur des actions responsables (évitement des actions responsables, évitement de la situation) ;
- sélectivité dans les contacts avec les gens, préférence pour la communication avec des adultes proches et connus et refus ou difficulté à communiquer avec des inconnus.
La manifestation de la timidité chez un enfant n'est pas difficile à remarquer. La timidité en tant que trait de caractère stable apparaît assez tôt dans le comportement de l'enfant. Pour un enfant qui ne fréquente pas la maternelle ou la crèche, il est encore prématuré de parler de timidité comme d'une qualité établie. À ce stade, des conditions préalables telles que l'anxiété, l'instabilité émotionnelle, les larmes, une humeur générale réduite, une détérioration de l'appétit et des troubles du sommeil dus à certains changements dans la routine habituelle de la vie sont parfois notées - déménagement à la datcha, voyage à visiter, etc. .
En règle générale, la timidité se manifeste le plus clairement dans les activités nouvelles pour l'enfant. Il se sent en insécurité, gêné de montrer son ineptie, peur de l'admettre, de demander de l'aide. Un enfant timide ne sait pas comment et n'ose pas entrer en contact avec les autres, en particulier avec des personnes inconnues et inconnues. Même parmi les personnes connues, il est perdu, répondant difficilement aux questions des adultes (à l'exception des proches parents, auxquels il est généralement très attaché). Dans une institution pour enfants, un tel enfant s'adapte extrêmement lentement, avec beaucoup de difficulté. Il ne peut pas poser une question au professeur, même la plus nécessaire, etc. Du coup, il a plus souvent des ennuis que les autres enfants. Un enfant profondément timide perd son individualité, il essaie de se perdre dans la foule.
La position d'un tel enfant parmi ses pairs est très peu enviable. Ne jouissant pas de la sympathie des autres enfants, n'entrant pas en contact avec eux, il est voué à l'isolement, à la solitude. Au mieux, les enfants ne le remarquent pas, le repoussent indifféremment, au pire ils le traitent avec moquerie et grossièreté. Un enfant faible, sans défense et timide est non seulement incapable de redonner à l'agresseur, mais ne peut même pas se plaindre, car il est contraint par la timidité et la peur de la vengeance de l'agresseur.
L'absence de défense de ces enfants est le résultat direct de leur vulnérabilité, de leur impressionnabilité et de leur manque de compétences de communication nécessaires. Leur sentiment d'insécurité envers eux-mêmes et leurs actions est associé, en outre, à une sensibilité accrue aux appréciations en tout genre, au ridicule. Une expérience de communication insuffisante ne permet pas à l'enfant de comprendre les raisons de telle ou telle attitude envers lui-même de la part des autres. Il ne sait pas pourquoi il aime ou n'aime pas, mais généralise habituellement son expérience de vie.
Une caractéristique importante des enfants timides est une tendance à une manière interne d'exprimer les émotions, la retenue dans leurs manifestations externes. Ces enfants ne rient presque jamais à haute voix ou ne pleurent pas, ils ne se précipitent pas de peur (par exemple, d'un chien), mais, engourdis, restent en place. Même leurs farces rares se distinguent par la timidité et la naïveté, ils ne font pas de bruit, ne sautent pas, font rarement quelque chose d'illégal. Les enfants timides ressentent et comprennent plus qu'ils ne peuvent exprimer, accumulent plus d'informations, de connaissances et de compétences qu'ils n'en utilisent dans la vie réelle.
Étant donné que les enfants de cet entrepôt sont très vulnérables, ils doivent être traités avec beaucoup de douceur. Élever la voix, crier, pousser, tirer, des interdictions fréquentes, des censures et des punitions peuvent entraîner l'apparition de troubles névrotiques chez un enfant.
Malgré le fait que la timidité peut être détectée littéralement "au premier regard", les parents la sous-estiment souvent. Beaucoup d'entre eux ne comprennent pas que la timidité est une certaine violation du comportement et, de plus, du développement personnel de l'enfant. Ils considèrent cette option comme la norme, et le comportement plus actif et direct qu'ils voient chez les autres enfants est attribué à la manifestation de mauvaises manières ou impudiques. Habituellement, ils sont satisfaits de leur enfant, considérant sa timidité comme une qualité positive. Ces parents ne font pas la distinction entre pudeur et timidité, ce qui n'est en fait pas la même chose. Si la pudeur est en effet une qualité positive, alors la timidité, basée sur le doute total de soi, est un défaut qui entraîne de nombreuses conséquences désagréables dans le développement de la personnalité.
Vulnérable chez un enfant timide est le domaine des sentiments. Il n'est pas enclin à une manifestation vivante de ses émotions et, lorsque le besoin s'en fait sentir, il devient timide et se replie sur lui-même. L'enfant éprouve simultanément un désir de se comporter à l'aise et une peur de l'expression spontanée des sentiments.
Un enfant timide se caractérise par le désir de protéger l'espace de sa personnalité des interférences extérieures. Il cherche à se replier sur lui-même, à se dissoudre parmi les autres, à devenir invisible, la seule pensée qu'il va maintenant attirer l'attention sur lui lui est désagréable.
Certains pensent que la timidité est plus caractéristique des filles, mais c'est loin d'être le cas. À différents stades de développement de l'âge, 20 à 25 % des garçons souffrent de timidité - à peu près la même chose que les filles.
Ainsi, les principales difficultés de communication d'un enfant timide avec d'autres personnes résident dans le domaine de son attitude envers les autres.
On croit traditionnellement que les enfants timides ont une faible estime de soi (l'évaluation qu'une personne a de la sienne, ses qualités psychologiques et son comportement, ses réalisations et ses échecs, ses avantages et ses inconvénients), qu'ils pensent mal d'eux-mêmes. Cependant, ce n'est pas tout à fait vrai. En règle générale, un enfant timide se considère très bon, le meilleur, c'est-à-dire que son attitude envers lui-même en tant que personne est la plus positive. Son problème est ailleurs. Il lui semble que les autres le traitent moins bien qu'il ne se traite lui-même. À mesure qu'un enfant timide vieillit, il y a une tendance à un écart dans la façon dont il s'évalue lui-même et les autres. Les enfants continuent de s'évaluer très bien, mais du point de vue des parents adultes et des éducateurs, leur évaluation est de plus en plus faible.
Le doute sur l'attitude positive des autres envers soi-même introduit une disharmonie dans le sentiment de soi de l'enfant, le fait souffrir de doutes sur la valeur de lui-même.La sensibilité congénitale aux influences sociales contribue à la formation d'un type particulier de personnalité d'un enfant timide. Sa particularité réside dans le fait que tout ce que fait l'enfant est contrôlé par l'attitude des autres. L'anxiété à propos de son je lui obscurcit souvent le contenu de son activité. L'enfant ne se concentre pas tant sur ce qu'il fait, mais sur la façon dont les adultes l'évalueront : les motivations personnelles sont toujours les principales pour lui, obscurcissant à la fois les motivations cognitives et professionnelles, ce qui rend difficile à la fois l'activité elle-même et la communication.
Malgré le fait que vous puissiez «grandir» de la timidité, vous ne devez toujours pas espérer et attendre passivement, et tout le monde ne se débarrasse pas de la timidité en grandissant. Mais même si des changements positifs ont eu lieu, un arrière-goût désagréable des échecs passés et des expériences aiguës reste dans la mémoire de ces personnes.
Si vous ne permettez pas le développement de la timidité à l'âge préscolaire plus avancé, alors pour les enfants, ce problème ne deviendra pas une maladie mentale à l'école et à l'adolescence.

Conclusions du chapitre
La timidité est l'un des problèmes les plus courants et les plus complexes. En psychologie, il existe plusieurs approches à ce problème.
Malgré les différentes interprétations de la timidité par différents auteurs, il existe un certain nombre de points communs pour comprendre sa nature. C'est le lien de la timidité avec la conscience de soi et l'estime de soi, l'expérience émotionnelle de la timidité et l'émergence de difficultés dans le processus de communication.
Il est de coutume de distinguer les facteurs naturels et sociaux qui forment la timidité.
Les facteurs suivants sont essentiels à la formation de la timidité :
- ordre de naissance des enfants dans la famille ;
- le système d'éducation dans la famille ;
- la timidité des parents.
La principale source de timidité est la peur des gens. La base de la timidité, bien sûr, est posée dans l'enfance.
La timidité doit être considérée comme un processus, comme un état et comme une propriété de l'individu.
Le phénomène de la timidité est extrêmement répandu et inquiète les personnes timides, leurs difficultés de communication et, par conséquent, l'apparition de conséquences négatives telles que le névrosisme, l'alcoolisme et la toxicomanie.
Les observations montrent que la timidité apparue dans la petite enfance persiste généralement tout au long de l'âge préscolaire et primaire.
Critères de timidité des enfants d'âge préscolaire plus âgés :
- inconfort émotionnel que l'enfant éprouve lorsqu'il rencontre et communique avec des inconnus, et parfois avec des inconnus (voix basse, incapacité à regarder directement dans les yeux, silence, bégaiement, discours incohérent, pose);
- peur des actions responsables (évitement des actions responsables, évitement de la situation) ;
- sélectivité dans les contacts avec les gens, préférence pour la communication avec des adultes proches et connus et refus ou difficulté à communiquer avec des inconnus.
Si vous ne permettez pas le développement de la timidité à l'âge préscolaire, alors pour les enfants, ce problème ne deviendra pas une maladie mentale chez les plus jeunes et les adolescents.

CHAPITRE 2
2.1. Diagnostic de la timidité chez les enfants d'âge préscolaire plus âgés
Psychologues A.B. Belousova, I.V. Dubrovina, I. Zimina, N.V. Klyueva, BD Elkonin et d'autres pensent que pour corriger efficacement la timidité, il est nécessaire de respecter le principe de l'unité du diagnostic et de la correction - comme l'un des principes du travail psycho-correctionnel.
Ce principe reflète l'intégrité du processus d'assistance psychologique en tant que type particulier d'activité pratique d'un psychologue. Considéré en détail dans les travaux de D.B. Elkonina, I.V. Dubrovina et autres, ce principe est fondamental pour tout travail correctif, car l'efficacité du travail correctif dépend à 90% de la complexité, de la minutie et de la profondeur du travail de diagnostic précédent.
Ce principe est mis en œuvre sous deux aspects :
Premièrement, le début de la mise en œuvre des travaux correctifs doit nécessairement être précédé de l'étape d'un examen diagnostique complet ciblé, sur la base duquel une conclusion primaire est établie et les buts et objectifs des travaux correctifs et de développement sont formulés.
Un travail correctif efficace ne peut être construit que sur la base d'un examen psychologique préalable approfondi. Dans le même temps, "les données de diagnostic les plus précises et les plus approfondies n'ont aucun sens si elles ne sont pas accompagnées d'un système bien pensé de mesures correctives psychologiques et pédagogiques".
Deuxièmement, la mise en œuvre des activités correctionnelles et de développement d'un psychologue nécessite une surveillance constante de la dynamique des changements dans la personnalité, le comportement, l'activité, la dynamique des états émotionnels du client, ses sentiments et ses expériences dans le processus de travail correctionnel.
Un tel contrôle permet d'apporter les ajustements nécessaires aux tâches du programme lui-même, de modifier et de compléter les méthodes et les moyens d'influence psychologique sur l'enfant dans le temps. Ainsi, la surveillance de la dynamique du cours de l'efficacité de la correction nécessite à son tour la mise en œuvre de procédures de diagnostic qui imprègnent l'ensemble du processus de travail correctionnel et fournissent au psychologue les informations et les commentaires nécessaires.
Selon certaines études, la timidité est étroitement associée à l'anxiété. A cet égard, la technique projective "Les animaux sont venus à l'abreuvoir" est utilisée.
Descriptif de la technique :
Les participants sont répartis en groupes de cinq ou six personnes. Ils sont invités à inventer une histoire dont le début est donné : "Les animaux sont venus à l'abreuvoir et...". Chacun fait une proposition, sans se consulter. Ensuite, chaque groupe est invité à jouer son histoire. Après cela, les sujets décrivent comment ils se sont sentis, et
etc.................

La timidité est un phénomène assez courant chez les enfants et les adultes, qui pose de nombreux problèmes. Les enfants timides sont souvent égocentriques, pas résolus, timides dans la communication avec les adultes et les pairs, vivent des situations aiguës lorsqu'ils sont sous les projecteurs, se caractérisent par une méfiance et une anxiété particulières, en règle générale, ils ont un niveau d'anxiété élevé. Après avoir analysé le contenu du concept "la timidité" , nous pouvons conclure que le problème de la timidité est l'un des problèmes urgents de la science psychologique et pédagogique. Les principales difficultés de communication d'un enfant timide avec d'autres personnes résident dans le domaine de son attitude envers lui-même et de l'attitude des autres envers lui.

Dans la psychologie nationale et étrangère, le développement personnel de l'enfant a toujours été et est toujours accordé beaucoup d'attention. Et la personnalité, comme vous le savez, se forme dans la communication. L'enfant est dans un état d'interaction constante avec le monde. Il construit ses relations avec les gens qui l'entourent, apprend d'eux quelque chose de nouveau, les imite, communique avec eux. La capacité à trouver le contact non seulement avec les adultes, mais aussi avec ses pairs, à établir des relations interpersonnelles dépend du niveau de confort et, au contraire, de l'inconfort de l'existence d'un enfant dans un monde en constante évolution.

La timidité est l'un des problèmes les plus complexes et les plus courants des relations interpersonnelles, qui affecte naturellement le développement de la personnalité. Selon les chercheurs - F. Zimbardr, L. N. Galiguzova, M. I. Lisin. En étudiant le phénomène de la timidité, les personnes timides rencontrent de nombreux problèmes dans le domaine de la communication : il leur est difficile de faire connaissance, il n'est pas facile d'exprimer leur opinion, elles éprouvent des émotions négatives au cours de la communication, elles sont trop retenues, ils ne savent pas se montrer, c'est mauvais "pense" en présence d'autres personnes, trop égocentrique.

Les enfants timides ont tendance à être calmes et calmes, préfèrent les jeux calmes, souvent seuls. enfants timides (principalement des filles) ils sont réticents à entrer en contact, timides, au contact des adultes ils essaient d'éviter de croiser le regard de l'interlocuteur. Dans les jeux et autres activités, ils occupent généralement des rôles secondaires ou ne participent pas du tout. Ils montrent une sensibilité aux évaluations de toutes sortes, une raideur dans les mouvements, s'assoient généralement tranquillement et vaquent à leurs propres occupations. Les enfants timides font rarement quelque chose d'illégal, sont timides, ne font pas preuve d'initiative, sont constamment concentrés sur l'évaluation de leurs actions. En règle générale, ils font preuve de rigidité dans une nouvelle situation, se produisent rarement pendant les vacances, se perdent souvent en parlant, oublient des mots, s'efforcent d'être invisibles dans un groupe de pairs.

Les relations avec les autres se développent le plus intensément pendant l'âge préscolaire. La première expérience de telles relations devient le fondement sur lequel se construit le développement ultérieur de la personnalité. La voie ultérieure de son développement personnel et social, et donc son destin futur, dépend en grande partie de l'évolution des relations dans le groupe de la maternelle.

Comment aider les enfants à vaincre la timidité ou à atténuer ses manifestations ? Est-il possible d'impliquer des enfants trop timides dans les activités collectives de leurs pairs, dans des jeux passionnants ? Comment faire?

Seuls les adultes peuvent aider un enfant à faire face aux manifestations indésirables qui contraignent son comportement. Il faut dire que ce travail demande de la prudence, du tact, et bien sûr du temps. Il est très important de faire preuve de confiance et de respect envers le bébé, de lui inculquer la confiance en soi.

Un tel enfant doit être plus souvent impliqué dans l'exécution de diverses tâches. Souvent, le bébé refuse les commandes non pas parce qu'il ne veut pas les exécuter, mais parce qu'il est gêné, par exemple, d'aller, de demander, de se renseigner, de prendre, de demander, etc. Dans ce cas, l'enfant timide doit être présenté à l'un des les pairs amicaux ou les adultes. Ainsi, les enfants réalisent des devoirs ensemble, mais en même temps, un enfant timide éprouvera certainement la joie de terminer le devoir. Un enfant timide, jumelé avec un partenaire dans les activités de jeu, de ménage, de travail, pour ainsi dire, emprunte des moyens de communication à un partenaire, est moins timide et gêné que dans un grand groupe de communication.

Une méthode efficace pour initier un enfant timide aux activités collectives est de l'inclure dans des activités communes avec des enfants plus jeunes. Les jeunes enfants sont satisfaits de l'attention que leur portent les enfants plus âgés.

Un enfant timide, plus âgé, agit comme patron, ce qui a un effet positif sur sa conscience de son "Je suis" . Il s'avère qu'un enfant timide est dans la position d'un plus âgé, enseignant et aidant, non seulement avec le désir de prendre soin du plus jeune, mais tire également satisfaction de communiquer avec le bébé, mais montre également de nombreuses compétences en communication - il peut entamer une conversation, jouer, proposer de faire quelque chose qu'en communication avec ses pairs, il ne peut pas montrer.

Ainsi, le principe essentiel à suivre dans le travail avec des enfants timides est de changer la position par rapport aux autres, de l'inclure dans le système de relations positives du groupe.

• À ce stade, il est censé utiliser différentes versions de jeux de dramatisation correctifs (psychodrames) et d'esquisses d'intrigue, qui permettent aux enfants d'âge préscolaire ayant des problèmes de comportement de se "réincarner" en héros aux traits de caractère opposés - les timides se sentent décisifs, les agressifs se sentent amicaux , impulsif - retenu. En même temps, ce genre de jeux nous permet de simuler de manière ludique les situations les plus difficiles pour les enfants d'âge préscolaire présentant des symptômes négatifs, de développer des habiletés de communication et d'interaction dans des situations difficiles pour eux.

Des jeux libérateurs à vaincre

timidité enfantine

"Devinez l'émotion"

Ici, presque la chose la plus importante est de motiver correctement le besoin du jeu. Le fait est que les enfants en question sont généralement gênés par leurs visages. Et plus encore, ils ont honte de grimacer en public. Et cet exercice sera perçu par eux comme des bouffonneries. Par conséquent, vous devez jouer un rôle actif et donner l'exemple à votre enfant. De plus, comme les enfants timides sont généralement heureux d'être dans le rôle d'artistes (bien sûr, quand ils sont sûrs qu'ils réussissent), vous pouvez imaginer le mime, la pantomime, etc. exercices comme formation d'acteur utile. Jouez d'abord ensemble. Puis, lorsqu'il peut déjà facilement faire face aux tâches, impliquez ses amis dans le jeu. Les règles du jeu sont très simples : l'hôte montre une certaine émotion avec des expressions faciales, et les joueurs la nomment et essaient de la reproduire. Celui qui le fait en premier marque un point. Commencez par des émotions faciles à deviner : surprise, peur, joie, colère, tristesse. Il faut les montrer de façon exagérée, voire caricaturale. Élargissez progressivement la gamme des sentiments, introduisez différentes nuances d'émotions (par exemple, irritation, indignation, colère, rage). Les enfants plus âgés peuvent être chargés non seulement de deviner l'émotion, mais aussi de jouer une petite scène impromptue (soit dans des marionnettes, soit «dans un plan en direct») avec l'intrigue correspondante.

"Illustration en direct"

Les vers de A. Barto sont idéaux pour ce jeu. Elle a beaucoup de croquis de genre poétiques qui transmettent avec précision diverses expériences d'enfance et sont colorés avec un humour doux, qui s'avère souvent être une guérison pour les enfants nerveux de toute médecine. Un joueur lit un poème et l'autre joueur illustre les événements et les émotions décrits avec des expressions faciales et des gestes. Apprenez à votre enfant à capturer et à transmettre progressivement des nuances subtiles de sentiments. Les poèmes de Barto en fournissent le matériau le plus riche. Pour les enfants, des rimes comme "Bear", "Bull", "Ball" sont plus appropriées. Pour les enfants plus âgés - "Ressentiment", "Lyubochka", "Sonechka", "Sur le chemin de la classe" et bien d'autres.

S'il y a plusieurs joueurs (et, je le répète, votre objectif est de faire sortir progressivement l'enfant timide du monde fermé de la famille), alors vous pouvez introduire un élément de compétition. Laissez l'hôte évaluer les performances et récompenser les gagnants. Mais, bien sûr, un adulte ne doit pas oublier l'objectif principal du jeu et encourager un enfant timide même s'il n'est pas à la hauteur. Votre tâche dans ce cas est la psycho-correction, et non l'établissement de la justice.

"Sorcière"

Le sorcier ensorcelle l'un des participants au jeu afin qu'il perde la capacité de parler. L'enfant répondra à toutes les questions par des gestes. En posant des questions, il essaie de raconter comment il a été ensorcelé. D'autres enfants doivent raconter ce que montre "l'ensorcelé".

"Dites des versets avec vos mains"

L'enfant essaie sans mots, à l'aide de la pantomime, de raconter le poème entier ou le conte de fées bien connu. Les autres enfants essaient de comprendre ce qu'il dit.

"Récit"

L'enfant est invité à inventer un conte de fées sur une personne dont le nom est le même que le sien. Cet exercice contribue non seulement à une meilleure connaissance de soi, mais au développement de la capacité à parler de soi sans gêne.

"Ce que je suis, ce que je voulais être"

L'enfant est invité à se dessiner deux fois. La première photo est telle qu'elle est maintenant. Sur la seconde - ce qu'il aimerait être.

"Imaginez un animal"

Ce jeu est utilisé par de nombreux professionnels. Les enfants sont invités à montrer pantomimiquement divers animaux et oiseaux. Il est important de considérer ici deux points. Premièrement, nous devons essayer de créer une atmosphère de plaisir effréné, afin que chaque représentation soit accueillie par une explosion de rires et d'applaudissements, et deuxièmement, de ne pas confier des tâches trop difficiles. A chaque fois, essayez d'abord d'imaginer : comment feriez-vous vous-même le portrait de tel ou tel animal ? (Par exemple, pouvez-vous dessiner un tatou ou un hippopotame de la même manière ?) Essayez de choisir des animaux avec des traits distinctifs brillants et des habitudes facilement reconnaissables. Assurez-vous de discuter plus tard avec les enfants du caractère de l'animal montré. Les enfants timides ont des difficultés à communiquer avec les autres. Et l'incapacité à exprimer correctement leurs sentiments, la raideur et la maladresse jouent ici un rôle important. Certains psychologues affirment que l'enfant reste un être non verbal presque jusqu'à l'école. Celles. il communique principalement non pas au niveau verbal, mais au niveau des expressions faciales et des gestes. Certes, je pense que c'est quelque peu exagéré, mais, bien sûr, les expressions faciales et les gestes sont très importants pour une communication complète. On pense que les enfants aux visages inexpressifs et "immobiles" perdent au moins 10 à 15% d'informations lors de la communication. Ils ne saisissent pas pleinement ce qui leur est communiqué à un niveau non verbal et jugent souvent mal l'attitude des autres à leur égard. Ainsi, les jeux de pantomime aideront votre enfant non seulement à se libérer, mais aussi à mieux comprendre les autres.

"Où nous étions, nous ne le dirons pas, mais ce que nous avons fait, nous le montrerons"

La tâche de ce jeu d'enfants commun est de montrer n'importe quelle action sans mots. S'il y a beaucoup de gars, vous pouvez vous diviser en deux équipes. L'un montre, l'autre devine. Puis ils changent de place.

"Scènes pantomimiques"

L'animateur décrit brièvement la situation et l'enfant (ou plusieurs enfants qui se sont répartis les rôles) la représente en pantomime. Les situations doivent être simples et émotionnellement colorées. Par exemple:

Le garçon patine. Des chutes. Veut pleurer, mais se retient, se rappelant que le garçon doit être courageux, et sourit même. Bien qu'avec difficulté.

L'enfant remarque le fruit dans l'assiette. Il regarde attentivement autour de lui pour voir si sa mère le voit, sinon elle sera en colère, car sa mère ne lui permet de manger des fruits qu'après le dîner. Il met un fruit dans sa bouche et grimace - il s'avère qu'il y avait un citron dans l'assiette. (Jouer à la mère, puis inverser les rôles avec l'enfant. Plus le bambin timide rejoue de rôles, mieux c'est.)

Le bagarreur se balance sur un autre enfant. Au début, il a peur, veut s'enfuir, mais ensuite il rassemble son courage et le lui rend. Le dragon pleure.

L'enfant sort dans la cour et voit des enfants jouer. Au début, il n'ose pas les approcher, mais ensuite il s'approche néanmoins et se présente (sans paroles, seulement avec des gestes).

La fille se promène dans la forêt, cueille des champignons, regarde les arbres, admire les belles fleurs. Puis il entre presque dans une fourmilière. Secoue les fourmis rampant sur la jambe. Aie! La fourmi l'a mordue. Blesser! (Vous pouvez inviter l'enfant à continuer lui-même cette histoire).

"Une conversation avec une grand-mère sourde" "(une variante du jeu proposée par M.I. Chistyakova)

Un enfant parle à une grand-mère sourde. Elle parle, et il lui parle avec des gestes, car la grand-mère n'entend rien. Naturellement, le jeu avec les enfants d'âge scolaire devrait être plus compliqué et teinté d'humour. Par exemple, il suffit qu'un enfant de quatre ans montre simplement où se trouvent les lunettes de grand-mère, et un élève de troisième année est déjà capable de représenter avec des gestes à la fois les lunettes elles-mêmes et le fait qu'elles sont cassées, alors que quelqu'un s'est assis par inadvertance sur eux. Dans ce jeu, comme dans le précédent, il peut y avoir une grande variété d'options. Tout dépend de votre imagination collective.

Pour vous aider à vous brancher sur la bonne vague, voici un petit extrait d'un tel jeu :

Grand-mère ouvre la porte à son petit-fils.

Grand-mère : Où étais-tu, espiègle ?

Le petit-fils montre par des gestes qu'il a joué au football.

Grand-mère : Alors, comment vas-tu ?

Le petit-fils lève le pouce - disent-ils, excellent.

Grand-mère : Pourquoi boites-tu ?

Le petit-fils fait signe de la main : ils disent, rien, ne fais pas attention.

Grand-mère : Non, après tout... Tu es tombé ?

Le petit-fils montre sans mots comment il a attrapé le ballon et est tombé, se cassant le genou. Il souffrait, mais il ne le montrait pas.

L'astuce la plus simple pour créer des situations comiques est si le petit-fils demande quelque chose à la grand-mère avec des gestes, et elle le comprend mal et fait la mauvaise chose. Ici, bien sûr, beaucoup dépend de l'ingéniosité et du talent artistique d'un adulte. Rappelez-vous : plus il y a d'humour dans le jeu, plus vite votre enfant se détendra et sera libéré.

"À travers le verre" (jeu proposé par N. Kukhtina)

Imaginez que vous communiquez avec quelqu'un à travers une vitre insonorisée et que vous devez lui transmettre un message sans paroles, une pantomime. Par exemple : « tu as oublié de mettre un bonnet, mais il fait très froid dehors », « allons nager, l'eau est chaude aujourd'hui », « apporte un verre d'eau, j'ai soif », etc. Vous pouvez deviner le message et obtenir des points pour celui-ci ou, au contraire, vous pouvez terminer la tâche du présentateur. Dans ce cas, il doit évaluer si le sens de ses paroles est correctement véhiculé par les gestes. Comme d'autres jeux similaires, celui-ci, entre autres, développe l'ingéniosité.

"Démarche différente" (exercice proposé par V. Levy)

Demandez à un garçon ou à une fille timide d'agir comme :

Le bébé, qui s'est récemment levé et fait ses premiers pas,

vieil homme profond

Ivre, lion

Gorille,

Artiste sur scène.

Jeux pour aider un enfant timide à apprendre

défendre son opinion

« Le jumeau espiègle"

Le chef convient avec les enfants qu'ils répètent tous ses gestes, sauf un, au lieu duquel ils font le leur, également un geste pré-convenu (par exemple, quand il saute, ils devront s'asseoir). Celui qui commet une erreur est hors jeu.

Avec les enfants de 6-7 ans, vous pouvez, d'une part, multiplier les gestes uniques, et d'autre part, les individualiser. Chaque enfant devra faire quelque chose de différent. C'est-à-dire qu'il aura pour objectif de ne pas succomber non seulement à la suggestion du leader, mais aussi à l'influence des autres joueurs. Et ce n'est pas si facile, étant donné que les enfants vraiment timides sont très influençables.

" Reflet dans le miroir "

Les règles sont apparemment encore plus simples que dans le jeu précédent :

répéter les gestes du chef - et c'est tout. Mais dépeignez simplement son double dans le miroir. Celui qui commet une erreur est hors jeu. Cependant, malgré l'apparente simplicité de ce jeu, il n'est pas facile de le gagner. Les enfants sont sûrs de se confondre lorsque cela est nécessaire, par exemple en se penchant vers la gauche lorsque le leader se penche vers la droite. Par conséquent, les tâches doivent être compliquées progressivement. Premièrement, le rapport entre les gestes entièrement copiés et les mouvements nécessitant un ajustement mental doit être d'environ 7:1. Par exemple : ils se sont assis, se sont redressés, ont sauté, se sont penchés en avant, se sont redressés, se sont levés sur la pointe des pieds, se sont abaissés, ont levé la main DROITE ("la réflexion" lève la main gauche). Ensuite, il devrait rétrécir. Mais gardez à l'esprit que le plus difficile n'est pas lorsque le rapport devient 1:7, mais lorsque les mouvements "miroir" et "non-miroir" s'entremêlent. (1:1 ou 2:1).

"Miroir tardif" »

Les joueurs sont assis en cercle. Ils ont besoin d'imaginer qu'ils se lissent devant un miroir. Ils ont fait un mouvement - ils se sont attardés une seconde, se sont regardés dans le miroir. Un autre mouvement est une pause, le troisième est une pause. Le voisin de gauche doit répéter le mouvement du leader, mais seulement lorsqu'il entame le deuxième mouvement. Le troisième à partir de la gauche répétera également cela, mais déjà deux pas en retard (c'est-à-dire lorsque son voisin de droite commencera à reproduire le deuxième mouvement du meneur, et le meneur lui-même fera déjà le troisième mouvement). Ainsi, le dernier joueur devra garder à l'esprit pas mal de mouvements précédents, donc les enfants de 8-9 ans ne doivent pas jouer dans une grande équipe, ils ne peuvent pas gérer une telle charge.

"Machine à écrire"

L'animateur adulte distribue les lettres de l'alphabet aux enfants. Ensuite, l'hôte prononce un mot et les joueurs «l'impriment» sur une «machine à écrire»: d'abord, la première «lettre» tape dans ses mains, puis la seconde, etc. Si les enfants sont petits et qu'ils ne sont pas nombreux, ne distribuez pas toutes, mais quelques lettres, et ajoutez-y des mots courts.

"Âne têtu"

Les enfants vraiment timides sont accommodants. Les parents ne se plaignent presque jamais de leur entêtement et de leur négativisme. Un enfant d'un autre entrepôt commence à se rebeller lorsque la pression est exercée sur lui. Et les "invisibles" perdurent, bien que la pression exercée sur eux par leurs parents soit généralement plus forte que dans les autres familles.

Par conséquent, il est utile pour un enfant vraiment timide d'être têtu au moins dans le jeu. N'ayez pas peur, il n'adoptera pas de mauvaises habitudes, mais deviendra simplement un peu plus libéré. De plus, selon l'intrigue, l'âne se retrouvera dans des situations amusantes et ridicules. Le jeu se joue à l'écran. Tout devrait tourner autour de la réticence de l'âne à obéir au propriétaire. Le voici, chargé du bazar, et à mi-chemin se couche sur la route, refusant d'aller plus loin. Alors il a vu une délicieuse épine et court vers elle, ne succombant pas à la persuasion du propriétaire. Et puis il se tait quand il a besoin de crier, et vice versa, il crie quand il a besoin de se taire, et ainsi de suite. Intéressez-vous à l'avis de l'enfant (mais pas au tout début du jeu, mais un peu plus tard), si le propriétaire de l'âne est gentil, s'il charge trop l'âne avec différentes tâches. Peut-être que l'âne est juste fatigué et donc têtu ? Changez de rôle au fur et à mesure que vous jouez.

"Filles-Mères"

Il est utile pour une fille timide de jouer avec sa mère, qui jouera le rôle d'une fille. Et dans ce cas, la mère ne doit pas mener le jeu. Sa tâche est exactement le contraire : se soumettre complètement à la volonté de sa fille, en essayant de ne pas mettre en jeu les stéréotypes habituels des relations familiales. Je vous préviens à l'avance, ce n'est pas une tâche facile. Alors gardez un œil sur les deux !

« Qui a plus de preuves ?

Le leader fait une déclaration et les joueurs la confirment. Vous pouvez citer comme arguments et quelques exemples tirés de la vie. (Parfois, c'est plus facile pour les enfants.) Si beaucoup d'enfants participent au jeu, un enfant timide risque de rester dans l'ombre, cela vaut donc la peine de jouer à trois, voire mieux à deux. En remarquant que l'enfant est perdu, aidez-le avec tact avec des questions suggestives.

C'est mal de se disputer (parce que...).

Les cours doivent être faits rapidement.

Il vaut mieux avoir beaucoup d'amis que peu.

Avoir un chien c'est bien !

Cinq vaut mieux que quatre.

"Comment dis-tu ça ?"

Cette fois, des déclarations pas si indiscutables sont sélectionnées, et les joueurs devront non seulement les confirmer, mais aussi les réfuter. Par exemple:

C'est bien d'avoir beaucoup d'argent (quelqu'un mentionnera probablement les voleurs et la mafia, et un enfant plus âgé, surtout celui qui aime lire, se souviendra probablement du motif des expériences des riches qui soupçonnent les autres qu'ils ne l'aiment pas , mais seulement lui, ce qui est assez courant en littérature). majuscules).

C'est bien de toujours gagner.

Quand ils vous font des remarques, c'est désagréable.

Rester seul à la maison est ennuyeux.

Les adultes ont toujours raison.

Regarder la télé, c'est mal.

« Le débatteur rusé"

Avec des enfants plus grands, vous pouvez essayer de compliquer le jeu « Qui a plus de raisons ? et essayez de trouver des contre-arguments aux déclarations ci-dessus (et similaires).

Par exemple, l'énoncé "Lire est utile" ne sera pas du tout perçu comme un axiome pour les personnes atteintes de myopie sévère (et selon les livres à lire, et même selon l'heure - lire à une heure du matin fera l'enfant plus de mal que de bien!).

Se quereller, bien sûr, est mauvais, mais après s'être disputé avec une personne qui vous a offensé, vous ou votre ami, vous vous sentirez bien. Et avec les cours, en général, mieux vaut finir vite, mais s'ils sont finis play and go, il y a peu de chances que le professeur soit ravi. Un quatre en russe vaut mieux qu'un cinq en éducation physique. C'est du moins l'avis de la grande majorité des parents. Et le chien n'est pas si clair...

"Montre toi"

L'isolement douloureux peut être tenté de se déchaîner si les enfants ont la possibilité de s'exprimer, de jouer le rôle d'un autre, en parlant d'une voix étrange. Les masques, les costumes libèrent de tels aspects inattendus du comportement qui sont généralement inhibés. Donnez aux enfants des masques ou faites-leur fabriquer les leurs. Chaque enfant prendra un nouveau nom pour lui-même et se comportera dans le jeu conformément à son nouveau rôle. Vous pouvez également transformer en peignant votre visage. Les marionnettes peuvent être utilisées pour exprimer des sentiments

Jeux pour renforcer la confiance et la confiance en soi

"Chenille" (Korotaeva E.V., 1997)

Cibler: Le jeu enseigne la confiance.

Presque toujours, les partenaires ne sont pas visibles, bien qu'ils soient entendus. Le succès de la promotion de chacun dépend de la capacité de chacun à coordonner ses efforts avec les actions des autres participants. "Les gars, maintenant vous et moi serons une grosse chenille et nous nous déplacerons tous ensemble dans cette pièce. Alignez-vous en chaîne, mettez vos mains sur les épaules de la personne devant. Entre le ventre d'un joueur et le dos de l'autre, tenir un ballon ou un ballon Toucher le ballon (ballon) avec les mains Strictement interdit !Le premier participant de la chaîne tient son ballon à bras tendus.

Ainsi, dans une seule chaîne, mais sans l'aide des mains, vous devez suivre un certain itinéraire. "Pour les observateurs: faites attention à l'endroit où se trouvent les leaders, qui régule le mouvement de la" chenille vivante ".

"Changement de rythmes"

Cibler: aider les enfants anxieux à rejoindre le rythme général du travail, soulager les tensions musculaires excessives.

Si l'enseignant veut attirer l'attention des enfants, il commence à taper dans ses mains et à voix haute, au rythme des applaudissements, compte: un, deux, trois, quatre, .. Les enfants se joignent à eux et, eux aussi, frappent dans leurs mains ensemble, comptez à l'unisson : un, deux, trois, quatre... Petit à petit, le maître, et après lui les enfants, claquent de moins en moins, comptent de plus en plus lentement.

"Lièvres et éléphants" (Lyutova E.K., Monina G.B.)

Cibler: permettre aux enfants de se sentir forts et courageux, promouvoir l'estime de soi.

"Les gars, je veux vous proposer un jeu appelé" Lapins et éléphants ". D'abord, nous serons des lapins lâches. Dites-moi, quand un lièvre sent le danger, que fait-il? C'est vrai, il tremble. Montrez comment il tremble. il rétrécit de partout, essaie de devenir petit et discret, sa queue et ses pattes tremblent, "etc. Spectacle pour enfants. « Montrez-moi ce que font les lapins s'ils entendent les pas d'une personne ? » Les enfants se dispersent dans le groupe, la classe, se cachent, etc. « Et que font les lapins s'ils voient un loup ?... » Le professeur joue avec les enfants pendant plusieurs minutes. "Et maintenant, vous et moi serons des éléphants, grands, forts, courageux. Montrez à quel point les éléphants marchent calmement, mesurés, majestueux et sans peur. Et que font les éléphants quand ils voient une personne ? Ont-ils peur de lui ? Non. Ce sont des amis. avec lui et quand ils le voient, continuez calmement leur chemin. Montrez comment. Montrez ce que font les éléphants quand ils voient un tigre... "Les enfants font semblant d'être un éléphant intrépide pendant plusieurs minutes. Après l'exercice, les gars s'assoient en cercle et discutent de qui ils aiment être et pourquoi.

"Chaise magique" (Shevtsova I.V.)

Cibler: contribuer à l'estime de soi de l'enfant, améliorer les relations entre les enfants.

Ce jeu peut être joué avec un groupe d'enfants pendant une longue période. Auparavant, un adulte devait connaître «l'histoire» du nom de chaque enfant - son origine, sa signification. De plus, vous devez fabriquer une couronne et une "chaise magique" - elle doit être nécessairement haute. L'adulte mène une courte conversation d'introduction sur l'origine des noms, puis dit qu'il parlera des noms de tous les enfants du groupe (le groupe ne doit pas être plus de 5-6 personnes), et des noms des anxieux les enfants sont mieux appelés au milieu du jeu. Celui dont le nom est dit devient le roi. Tout au long de l'histoire de son nom, il est assis sur un trône portant une couronne.

A la fin du jeu, vous pouvez inviter les enfants à inventer différentes versions de son prénom (gentil, affectueux). Vous pouvez également dire à tour de rôle quelque chose de gentil sur le roi.

"Deux coqs se sont disputés 25 min.)

Le but du jeu. Le développement du relâchement, de la maîtrise de soi.

Procédure de jeu. Des sons de musique joyeux (de préférence A. Raichev "Deux coqs se sont disputés"). Les enfants se déplacent dans un type de "mouvement brownien" et poussent légèrement avec leurs épaules.

Noter. Il n'est pas permis que les coups des enfants soient trop forts et douloureux. Les enfants doivent jouer « en vrai » et en même temps garder la symbolique du jeu (« faire semblant »).

Jeux pour le développement de l'arbitraire

"Aiguille et fil" (25 min.)

Le but du jeu. Le développement de l'arbitraire.

Procédure de jeu. Le chef des enfants est choisi. Sur une musique enjouée, il joue le rôle d'une aiguille, et tous les autres enfants. . le rôle du fil. "Aiguille" court entre les chaises et "fil" (un groupe d'enfants l'un après l'autre) la suit.

Noter. S'il y a un enfant qui est clampé, out, dans le groupe, alors offrez-lui le rôle de "l'aiguille". Pendant le jeu, lorsqu'il dirige un groupe d'enfants, il développera des compétences de communication et d'organisation.

"Le dragon se mord la queue" (25 min.)

Le but du jeu. Suppression de la tension, des états névrotiques, des peurs.

Procédure de jeu. La musique joyeuse sonne. Les enfants se tiennent dans une chaîne et se tiennent fermement les uns aux autres (épaules). Le premier enfant est une "tête de dragon" (le dernier est une "queue de dragon". La "tête de dragon" essaie d'attraper la "queue" et elle esquive. Notes :

Assurez-vous que les enfants ne se lâchent pas. Assurez-vous également que les rôles de "tête de dragon" et de "queue" sont joués par tout le monde.

"C'est ennuyeux, c'est ennuyeux de s'asseoir comme ça" (25 min.)

Le but du jeu. Développement du relâchement, formation à l'auto-organisation.

Procédure de jeu. Il y a des chaises le long d'un mur de la pièce, leur nombre est égal au nombre d'enfants. Il y a aussi des chaises hautes près du côté opposé de la pièce, mais leur nombre est inférieur de 1 au nombre d'enfants.

Les enfants sont assis près du premier côté de la salle. L'animateur lit le verset :

C'est ennuyeux, c'est ennuyeux de s'asseoir comme ça,

se regarder;

N'est-il pas temps de courir

Et changer de place ?

Dès que l'hôte a terminé la comptine, tous les enfants courent vers le mur opposé et essaient de prendre les chaises. Celui qui se retrouve sans chaise perd.

Remarques:

1. Ne laissez pas les enfants commencer à courir avant la fin de la comptine.

« Renard, où es-tu ? (25 min.)

But du jeu . Le développement de l'arbitraire.

Procédure de jeu. Les enfants deviennent un demi-cercle, le chef est le centre. Les enfants se détournent et ferment les yeux. L'animateur touche doucement l'épaule d'un enfant, ce qui signifie qu'il jouera le rôle d'un renard. Tous les autres sont des lapins.

Au signal, tout le monde ouvre les yeux et se retourne. Personne ne sait qui est le renard. L'hôte appelle: "Fox, où es-tu?" Fox ne répond pas. L'hôte appelle la deuxième et la troisième fois. Et seulement pour la troisième fois, le renard se précipite pour attraper des lièvres.

Si le lièvre a réussi à s'accroupir, il ne peut pas être attrapé. Les lièvres capturés sont hors jeu.

"Chouette" (25 min.)

Le but du jeu. Le développement de l'arbitraire.

Procédure de jeu. Les enfants eux-mêmes choisissent le conducteur - le "hibou", qui est assis dans le "nid" (sur une chaise) et "dort". Pendant la "journée" les enfants bougent. Alors l'hôte ordonne : "Nuit !" Les enfants se figent et le hibou ouvre les yeux et commence à attraper. Lequel des joueurs bouge ou rit devient un hibou. De la musique joue ("Balalar" de O. Geylfus).