La marque sur l'or est exactement ce que vous devez connaître lors de l'achat de bijoux, dont vous aimez le design et le prix. Étant donné que, en raison de leurs propriétés physiques, les métaux précieux purs ne sont pas utilisés pour la fabrication de bijoux, la marque de dosage est une sorte de poinçon confirmant la présence d'une certaine quantité d'or dans le produit.

Les premières informations sur l'image de marque remontent au 6ème siècle avant JC. Même alors, l'État de Lydie protégeait ses pièces de la contrefaçon en y apposant des empreintes figurées. Comme pour les pays européens, le dosage de l'or existe en France depuis 1275, en Grande-Bretagne depuis 1300. Les poinçons indiquaient la ville dans laquelle la pureté du métal a été testée. Depuis 1544, le contour d'une tête de léopard est devenu la marque officielle du London Assay Office. Au 17ème siècle centres de marque établis à Chester, Exeter et Newcastle.

En Russie, l'image de marque est pratiquée depuis le XVIIe siècle. Initialement, il se tenait à Moscou, au Serebryany Ryad, un lieu où la vente d'objets en métaux précieux était autorisée par la loi. Les premiers poinçons avec des dates remontent à 1651-1652, et la teneur en métal précieux de l'alliage a commencé à se refléter à partir de 1700. À ce jour, la qualité du métal de tous les objets en or fabriqués et vendus en Russie doit être conforme à l'un des échantillons légalement acceptés et être confirmée par le poinçon approprié. En fonction de la teneur en or de l'alliage, les échantillons suivants sont distingués en Russie :

• 999e - or pur;
• 750e - 75,5 %, platine, cuivre, nickel et palladium ;
• 585e - 58,5 % d'or mélangé à de l'argent, du cuivre, du palladium et du nickel ;
• 500e - 50,5 % d'or mélangé à de l'argent et du cuivre ;
• 375e - 38% d'or mélangé avec de l'argent et du cuivre.

L'or du 999e test est utilisé pour les barres de banque, le 500e, 585e et 750e test est utilisé dans la production de bijoux, le 375e est utilisé en dentisterie. Le cachet confirmant l'échantillon, y compris sur les articles importés d'autres pays, ne peut être apposé que par les employés de l'institution de contrôle des analyses. Parfois, sur les produits, il y a des marques personnelles de maîtres, les soi-disant noms, mais ils ne sont pas une confirmation de qualité.

Où se trouve-t-il et à quoi ressemble-t-il ?

L'emplacement de l'échantillon dépend du type de bijoux. Sur les bagues, il est généralement placé à l'intérieur ou à l'extérieur de la tige - un rebord autour du doigt, sur des boucles d'oreilles - sur une épingle ou une attache, sur des bijoux pendentifs - sur des bagues à suspendre et sur un bracelet - sur un lien, entre le produit et la serrure. Mais tout maître essaie de rendre le timbre miniature et invisible, il est donc préférable de l'étudier avec un objectif.

Le cachet de l'Inspection nationale des tests est un contour de deux rectangles, appelés «pelle», à l'intérieur desquels se trouvent: le profil d'une fille dans un kokoshnik regardant vers la droite, le code de l'Inspection nationale des tests et des chiffres indiquant le contenu de or pur dans l'alliage.
La forme du contour varie en fonction du métal à partir duquel le produit est fabriqué. Pour les objets en argent, il s'agit d'un ovale coupé des deux côtés ; pour le platine, il s'agit d'un octogone allongé orienté horizontalement. Jusqu'à présent, les articles fabriqués en URSS sont courants, sur lesquels une étoile est placée dans le contour du poinçon standard des articles en or russes. Dans le même temps, les formes des contours des échantillons pour différents métaux n'ont pas changé.

Un autre tampon obligatoire, généralement placé à côté de l'échantillon, est le soi-disant porte-nom. Il contient quatre lettres russes qui encodent des informations sur le fabricant. Déchiffrer le nom est facile. La première lettre indique l'année de fabrication, par exemple, "A" - 2001, etc. La seconde - l'organisme d'inspection d'essai d'État qui a effectué le contrôle. Les deux lettres restantes sont le code du fabricant, non répété dans la zone de service d'une inspection. La restauration du produit est matérialisée par la lettre « P » (restauration) apposée à côté de la plaque signalétique. Les organisations et les entrepreneurs individuels produisant des produits à partir de métaux précieux sont tenus d'enregistrer leurs noms personnels dans les institutions territoriales de surveillance des dosages et de laisser leurs empreintes sur leurs produits. Ainsi, les marques et les noms de test indiquent le type et l'échantillon de métal, le fabricant, l'époque de fabrication et l'autorité de surveillance des tests qui a apposé la marque.

Comment est-il apposé

Au fur et à mesure de la complexification des formes des produits et du développement des technologies de production de bijoux, le plus ancien, le poinçonnage mécanique, a été complété par des procédés électroérosifs et laser. La méthode mécanique, qui reste la plus répandue, consiste à appliquer une empreinte à la main, en frappant un outil d'emboutissage avec un marteau, ou en effectuant des manipulations similaires sur la machine. Les tampons sont clairs et durables, mais il existe une possibilité de déformation du produit. Depuis la fin des années soixante du XXe siècle, lors du marquage de produits creux et fragiles, une méthode électroérosive est utilisée, qui consiste à brûler une empreinte avec une étincelle. Ces tampons sont également clairement visibles et durables, mais leur application nécessite une préparation minutieuse de la surface métallique.

La méthode de marquage la plus moderne, la plus polyvalente et la plus productive est le laser, qui est réalisé à l'aide d'une machine laser. Cette méthode nécessite également une bonne préparation de surface du produit et élimine son polissage ultérieur. La qualité de la marque est élevée, il est possible de faire une empreinte sur la surface de n'importe quel relief, mais il y a un inconvénient important - l'instabilité aux points de contact avec la peau, ce qui réduit la durée de vie du tampon à 5 ans avec une utilisation quotidienne utilisation du produit.

Systèmes d'échantillonnage

En plus du système métrique pratique et le plus précis, l'or peut être marqué au carat. Cette méthode d'indication de la pureté de l'alliage est typique pour l'Amérique, l'Europe occidentale et certains pays d'Europe orientale. Un carat est égal à 1/24 de la masse totale, c'est-à-dire qu'il s'agit d'une substance sans impuretés, et, par exemple, 18 carats signifie la teneur dans l'alliage de 18 parties d'or sur 24. Échantillons communs : 9, 10, 12, 14, 18, 22 et 23 carats, l'échantillon de carat minimum autorisé est de 8 carats. Le rapport des échantillons carats et métriques est le suivant :

• 999 preuve = 24 carats ;
• 958 test = 23 carats ;
• essai 916 = 22 carats;
• 750 test = 18 carats ;
• 625 échantillons = 15 carats ;
• 585 échantillons = 14 carats ;
• 500 échantillons = 12 carats ;
• 416 échantillons = 10 carats ;
• 375 échantillons = 9 carats ;
• 333 test = 8 carats.

Sur les produits fabriqués à l'étranger, par exemple, on trouve de telles désignations de carats : 18K, 10Kt, 22CT, 12C. C'est-à-dire qu'à côté du numéro d'échantillon dans le poinçon, l'une des désignations de carats possibles est apposée.

Comment ne pas se tromper

Lors du choix d'un produit en métal précieux, il est important de ne pas acheter un faux. Outre la déception, une telle acquisition, en cas de coût élevé, peut entraîner des pertes matérielles importantes. Étant donné que la vente d'articles en métaux précieux qui ne répondent pas aux normes établies n'est pas autorisée en Russie, la confirmation la plus fiable de l'authenticité des bijoux est la présence de deux poinçons différents dessus : une empreinte de l'inspection d'essai d'État et le nom du fabricant.

Tout d'abord, vous devez faire attention à l'emplacement de l'impression. Il doit être parallèle à l'élément du décor sur lequel il est posé. Après cela, il convient de regarder la qualité du contenu de l'impression. Si les chiffres sont impairs, cela signifie toujours un faux. Cependant, les deux exigences ne s'appliquent pas au nom personnel, dont l'empreinte, différente selon le fabricant, peut correspondre à la forme et à la taille très conditionnellement. Dans le même temps, la présence d'un échantillon et d'un nom personnel est obligatoire. La présence d'un seul échantillon peut signifier que le métal est faux ou que la quantité d'or ne correspond pas à la teneur déclarée dans l'alliage.

Pour les fabricants de nombreux pays, le contrôle de la qualité des produits en métaux précieux n'est pas légalement établi et, par exemple, dans un magasin turc, vous pouvez non seulement acheter des bijoux sans marquage, mais également y apposer une empreinte de tout échantillon.

Il existe des contrefaçons dans lesquelles la couleur de l'alliage copie l'or 585 carats, et même un bijoutier qualifié ne peut pas toujours déterminer l'authenticité du métal sans réactifs. La seule chose qui donne un tel faux est la marque de test. Il est impossible de forger qualitativement une marque sans équipement de haute technologie, et l'utilisation d'un tel appareil prive la contrefaçon de sens économique. Une garantie fiable contre la falsification est un tampon laser.

En Russie, acheter de faux bijoux dans une bijouterie est peu probable. Selon la loi, tous les articles vendus, y compris ceux importés d'autres pays, doivent porter la marque d'État, mais pour ne pas se tromper ou être trompé, vous devez avoir une idée minimale de ce que peut être la marque d'or. .

Très rarement, l'or est utilisé sous sa forme pure. Habituellement, le produit que nous appelons or est constitué du métal le plus précieux et de ce qu'on appelle la ligature, c'est-à-dire des impuretés d'autres métaux. Des additifs sont inclus dans la composition de l'or pour améliorer l'endurance et la densité, car l'or sous sa forme pure est très doux. Le métal pur devient rapidement plus fin et les produits fabriqués à partir de celui-ci sont très faciles à rayer ou à casser. Les produits de qualité ont une marque sur l'or, dont nous parlerons plus tard.

Même dans les temps anciens, on calculait que les meilleures impuretés pour l'or étaient l'argent et le cuivre. Eh bien, des échantillons ont commencé à être utilisés pour indiquer la teneur en or de l'alliage.

L'échantillon est le principal indicateur d'impuretés dans le produit, mais des poinçons sont également utilisés à cette fin - des signes qui sont placés dans les institutions de contrôle et garantissent la présence de métal précieux dans l'alliage. En France, le premier timbre a été apposé en 1275, mais en Russie, le premier timbre est apparu sur un produit à Moscou en 1651-1652. Il ressemblait à un aigle à deux têtes avec la date écrite en lettres slaves, et son but était de démontrer l'échantillon d'argent. Les poinçons au sens moderne ont été introduits par Pierre le Grand dans son décret du 13 février 1700 qui établit 4 poinçons pour l'or et l'argent.

Systèmes de preuve d'or

Il existe des systèmes métriques, carat et bobine de dosage de l'or dans le monde. Les plus populaires sont le carat et le métrique, ce dernier étant le plus couramment utilisé. Selon le système britannique du carat, utilisé aux États-Unis, en Suisse et dans de nombreux autres pays, un carat équivaut à 1/24 de la masse de l'alliage entier. Ainsi, l'or 24 carats est une substance pure sans additifs, tandis que 18 carats signifie 18 parties d'or dans la proportion totale du mélange de métaux. Dans l'industrie de la bijouterie, vous pouvez souvent trouver des échantillons : 9, 10, 14, 18 et 24.

Depuis 1711, un système d'échantillonnage de bobine fonctionne en Russie, travaillant pour les alliages d'argent, et en 1733, il a également été introduit pour l'or. Cette mesure a été inventée sur la base de la livre russe, qui contient 96 bobines, et l'échantillon lui-même a été exprimé par le poids de l'or en 96 unités de l'alliage. L'or pur avait un 96e test, et à la fin du 19e - au début du 20e siècle, les 56e, 72e, 82e, 92e et 94e tests étaient en cours d'utilisation.

En 1927, l'URSS est passée au système de calcul métrique, tous les produits manufacturés qui avaient auparavant des marquages ​​​​de bobine l'ont changé en métrique. Le nouveau système était identique au système allemand, et le numéro d'essai avait un nombre de 0 à 1000 et démontrait la présence d'or dans l'alliage.

Aujourd'hui, de nombreux pays utilisent des normes de qualité métriques (le système le plus précis). En eux, la norme la plus élevée est le 1000e, mais en fait cela ne se produit pas, et le poinçon sur l'or peut aller jusqu'à 999,9.

En relation avec le problème de l'erreur de calcul dans la gloire de l'or, un soi-disant remède est établi, en d'autres termes, un écart par rapport à la norme. Dans les composés d'argent et d'or, d'or et de cuivre, et les trois composants ensemble, un remède de 3 unités est généralement défini. Par exemple, un alliage du 583e échantillon devrait avoir un remédium de 3 unités, par conséquent, la teneur en or sera d'environ 580-586 g / 1 kg d'alliage. Les alliages d'or avec un mélange de nickel ont un remède de 5 unités.

En Russie, les bijoux à vendre peuvent être dosés de 375 à 958. L'Union avait également de l'or du 583e test, mais en Europe, il y avait un échantillon de 14 carats, qui avait des indicateurs supérieurs à celui de l'Union soviétique. Pour éviter une baisse du prix de notre or en Europe, la norme a été changée en 585.

Dans le système moderne de la Russie, l'or 23 carats correspond au 958ème échantillon, 18 carats au 750ème, et ainsi de suite. Pour convertir du métrique au carat, multipliez l'échantillon par 0,024.

Tests d'or populaires

Dans notre pays, il existe cinq niveaux de qualité des produits en or.

Le 375e échantillon est un alliage contenant 38% de métal (impuretés - argent et cuivre), qui a une couleur allant du jaune au rougeâtre, avec le temps un tel mélange se ternit.

500e - un alliage avec 50,5% d'or (impuretés - argent et cuivre).

585e - un mélange de 58,5% d'or avec de l'argent, du cuivre, du palladium et du nickel. Cette combinaison rend le produit dur, durable, résistant à l'air, c'est pourquoi il est souvent utilisé en production.

Le 750 est un alliage avec 75,5% de métal précieux mélangé avec de l'argent, du platine, du cuivre, du nickel et du palladium. Peut varier en couleur du vert et du jaune au rose et au rougeâtre. Assez durable, mais bien traité et poli. Très apprécié pour la confection de bijoux, utilisé pour les travaux de haute précision.

Le 958e est un alliage avec une part d'or de 95,38%, qui est rarement utilisé en raison de sa douceur et de sa couleur inexpressive.

Les alliages au-dessus de l'épreuve 750 ne ternissent pas lorsqu'ils sont exposés à l'air, et l'épreuve 999 n'est pas utilisée en raison d'une faible fiabilité. Pour les œuvres d'art, le 958e test est le mieux adapté, le 900e est utilisé pour la frappe, mais pour les bijoux, le 585e test est utilisé.

poinçons sur l'or

Dans tous les pays, la teneur en métal des alliages est contrôlée par des agences gouvernementales, et si les bijoux sont produits par une société de joaillerie, la vérification est effectuée par leurs forces internes. Par exemple, aux Pays-Bas, la production de produits en argent et en or de toute qualité est totalement autorisée.

En Fédération de Russie, la part de l'or dans l'alliage est déterminée par l'État et est spécifiée dans le décret «Sur la procédure de test et de poinçonnage des articles en métaux précieux». Les produits fabriqués à partir de ces métaux doivent porter le sceau de l'État et être conformes aux normes russes.

La procédure de test et de marquage est effectuée par la Chambre de contrôle de l'État russe, située sous la tutelle du ministère des Finances. Et les spécialistes de la Federal Assay Supervision surveillent la conformité des échantillons d'or et leur correspondance avec la réalité.

En Turquie, en Égypte, en Grèce et aux États-Unis, les objets en or et en argent ne sont pas contrôlés. À cet égard, les bijoutiers russes affirment que 90 % de l'or turc ne répond pas à la qualité déclarée : souvent, avec le 585e test indiqué, il atteint à peine le 500e. Mais récemment, la confiance dans les échantillons turcs a complètement disparu, le fait est que dans n'importe quel magasin de ce pays, vous pouvez choisir un article en or non marqué, après quoi le vendeur y mettra le numéro souhaité à l'aide d'une machine spéciale.

Habituellement, un certain motif et une désignation numérique de l'échantillon sont combinés dans l'image du timbre, et l'échantillon lui-même, comme mentionné précédemment, est mis par les services publics.

Types de marques

Divers modèles et formes sont utilisés pour marquer les produits dans différents pays, alors quels poinçons sont représentés sur l'or dans différents pays ? Par exemple, en Biélorussie, un bison est placé sur les produits.

Jusqu'en 1896, des «t-shirts» étaient apposés en Russie - des timbres sur lesquels le nombre d'échantillons, les armoiries, les premières lettres du nom de l'inspecteur et l'année de pose du timbre étaient combinés en un seul motif. Et si avant 1897 les signes eux-mêmes avaient une forme convexe, après cette année-là, ils ont acquis une apparence déprimée.

Déjà en 1899, une marque a été introduite en Russie - la «marque de certificat», qui ressemblait à une tête de femme dans un kokoshnik, représentée de profil à gauche.

De 1908 à 1927, d'autres marques travaillaient avec la même tête dans un kokoshnik, mais tournaient dans l'autre sens, de plus, elles étaient accompagnées d'une lettre grecque qui changeait selon les districts de Russie.

En 1927, une nouvelle stigmatisation est apparue en Russie - la tête d'un ouvrier avec un marteau, et le calcul lui-même a été transféré en métrique. À partir du 1er juillet 1958, pour les produits fabriqués à partir de tous les métaux précieux, un stigmate en forme d'étoile à cinq branches a commencé à être utilisé, à l'intérieur duquel se trouvaient un marteau et une faucille.

Désormais, les bijoux russes sont également stigmatisés avec une tête de femme dans un kokoshnik. La stigmatisation peut être à la fois combinée et localisée séparément. Sur le cachet du type combiné dans le cadre, il y a une tête dans un kokoshnik regardant vers la droite et des chiffres indiquant l'échantillon, et à gauche de la tête il y a une petite lettre indiquant l'Inspection d'État, qui a apposé le cachet.

Pour un tampon sur des objets séparés ou facilement détachables, une marque de type distincte est utilisée, la tête est placée sur l'une et les numéros d'échantillon se trouvent sur l'autre partie du produit.

Les bijoux fabriqués en Russie doivent avoir une empreinte de l'Inspection d'État et une marque du fabricant avec une année de marque cryptée et un nom crypté de l'entreprise.

Faux étalon-or

Tous les escrocs n'oseront pas forger un échantillon d'or, car c'est difficile et comporte d'énormes risques. La fraude consiste généralement à imposer une norme élevée à un produit de mauvaise qualité, qui contient encore de l'or. Des produits similaires peuvent être achetés dans de petits magasins du monde entier, mais par hasard, ils peuvent être vendus dans des bijouteries décentes. Un faux échantillon bien fait est presque impossible à déterminer à l'œil nu, c'est pourquoi il est nécessaire de vérifier l'alliage lui-même.

Cela peut être aidé par un appareil portable - un détecteur d'or que vous pouvez emporter avec vous lors de vos achats. Il convient de rappeler que l'appareil peut avoir ses propres limites et erreurs, vous ne devez donc pas lui faire entièrement confiance.

Façons de reconnaître les faux bijoux

Vous devez d'abord considérer le bijou. Il devrait avoir un marquage spécial qui est responsable de l'authenticité de l'or. Un poinçon ou un poids en carats doit être apposé. Pour faciliter l'inspection, il est conseillé d'utiliser une loupe. Sur du métal ancien, il n'est pas toujours possible de distinguer la marque. Dans le monde moderne, ils ont appris à tester le faux or, donc cette méthode ne réussit pas toujours.

Au fil du temps, le placage d'or s'estompe. Il faut regarder les bords du produit. Si d'autres métaux sont visibles aux endroits d'abrasion, le produit n'est pas entièrement constitué d'or.

Vérification de la morsure

Auparavant, les films étaient souvent montrés où les pièces d'or étaient vérifiées pour une «dent». Et pas en vain. Après tout, de cette façon, vous pouvez vérifier non seulement les pièces de monnaie, mais également les bijoux en or. Par exemple, une bague ou une boucle d'oreille. Le produit doit être pressé avec des dents. Maintenant, regardez-le. L'or véritable laissera une marque sur les dents. Plus la morsure est profonde, plus l'échantillon est élevé. Cependant, il ne faut pas oublier que le plomb est très mou, donc des traces resteront également dessus.

Chèque en céramique

Le faux or est facile à détecter en utilisant cette méthode. Ce test doit être effectué très soigneusement, car il se raye facilement. Pour ce faire, vous avez besoin d'une plaque en céramique non émaillée, c'est-à-dire non recouverte de quoi que ce soit. Glissez-le avec de l'or, avec une légère pression. Qu'est-ce qui est visible ? La bande dorée est un produit naturel, la noire est une fausse décoration.

Contrôle magnétique

Vous devez d'abord acheter un aimant. Celui qui s'accroche au réfrigérateur est très mou et ne convient pas à la pâte. L'aimant doit être réel, lourd, qui interagit avec le métal. L'or n'est jamais attiré. Par conséquent, apportez hardiment le bijou à l'aimant. Si elle est attirée, alors vous tenez un vrai faux. Il existe des cas où un composant magnéto-passif est ajouté au produit. Ensuite, vous pouvez confondre l'or avec un faux. Comment distinguer l'or dans de tels cas ? Essayez la méthode suivante.

L'utilisation de l'acide nitrique

L'acide nitrique aidera à identifier le faux or du vrai. Pour ce faire, placez le produit dans un plat en métal sans taches. Ensuite, vous devez déposer de l'acide nitrique sur le produit à partir d'une pipette. Si l'or a changé de couleur et est devenu verdâtre, alors vous expérimentez avec du métal ordinaire. Une teinte laiteuse acquiert un produit doré. Si l'or est réel, il n'y aura pas de réaction.

test de son

Si vous prenez et jetez un objet en or sur la surface de la table, le vrai métal sonnera fort, comme du cristal. Bagues, boucles d'oreilles, mais bijoux courts (chaînes, bracelets) conviennent à une telle expérience.

Vérification du vinaigre

Versez un peu de vinaigre dans le récipient et placez-y la décoration. Rien de mal n'arrivera au vrai or, mais un faux s'assombrira en deux minutes.

Test avec de l'iode

L'iode est une très bonne vérification de l'authenticité des bijoux. Pour ce faire, il vous suffit d'appliquer une goutte à l'intérieur du produit. L'or restera inchangé. La fausse décoration va foncer. Il peut être gris clair ou noir.

TOUT CONTRÔLE CHIMIQUE EST POSSIBLE UNIQUEMENT SUR LA SURFACE DU BIJOUX. L'INTÉRIEUR EST VÉRIFIÉ LORSQUE LA PERSONNE EST PRÊTE À DÉTRUIRE LE PRODUIT.

Comment distinguer l'or d'un faux, vous pouvez également demander à des experts qui vous aideront rapidement et en utilisant plusieurs méthodes pour déterminer s'il s'agit d'un vrai bijou. La dorure est presque du vrai métal.

Déterminer la dorure

De nombreux consommateurs s'intéressent à : "comment distinguer l'or de la dorure ?". Avec la moindre connaissance, c'est facile à faire. Habituellement, ils ne mettent pas d'échantillon sur la dorure. L'alliage d'or ne pourra pas reposer sur le métal. Seul le vrai métal noble se déposera. Si vous avez vu un produit avec des échantillons : 585, 750, 350, 500 - c'est de l'or avec l'ajout d'impuretés. Sur un métal précieux pur, il ne peut y avoir qu'un seul test - 999. Si une feuille d'or a été utilisée, ils peuvent effectuer un autre test, à l'exception de ceux qui sont appliqués sur du vrai métal.

Important! Le test ne garantit pas toujours la fiabilité du produit. Parfois, vous pouvez voir de petites rayures. Souvent, cela signifie que l'objet n'est pas entièrement en or, mais seulement un cadenas sur ou à proximité de l'objet. Tout le reste peut être de l'or.

Pour vérifier vous-même les bijoux, vous pouvez gratter légèrement le produit dans une zone peu visible. La dorure sera un peu à la traîne, mais l'or restera inchangé.

Un crayon lapis convient également pour le contrôle. Il est vendu dans n'importe quelle pharmacie. Le lieu de grattage doit être humidifié avec de l'eau et dessiné dessus avec un crayon. Tout métal autre que l'or foncera.

Vous pouvez mener une expérience simple pour tester l'or. Allumez le brûleur et chauffez fortement le produit dessus (300-400 degrés). Puis jetez-le rapidement dans de l'eau froide. L'or ne changera pas, mais des taches apparaîtront sur un autre métal.

Vous ne devriez jamais acheter d'or dans des établissements et des magasins douteux. Ceux-ci devraient être des départements de bijoux spécialisés, où il existe des certificats de qualité et des spécialistes. Après tout, certains vendeurs peu scrupuleux se réfèrent au fait que l'échantillon n'est pas placé à l'étranger. Vous ne pouvez pas croire cela. Toute importation de bijoux en or n'est pas autorisée sans poinçon et documents pertinents.

Parfois, certains produits portent le 583e test. Beaucoup de gens ne le savent pas. Ces décorations ont été fabriquées à l'époque soviétique et les contrefaçons de ces produits sont extrêmement rares. Par conséquent, si vous rencontrez un échantillon 583, ne vous inquiétez pas.

Reconnaître le cuivre

Le célèbre scientifique Aristote croyait qu'il valait mieux distinguer le cuivre de l'or véritable, pour goûter les deux. Si vous buvez de l'eau d'un gobelet en métal contenant du cuivre, le goût sera métallique. Le gobelet d'or ne donne aucun goût.

Le cuivre a tendance à s'oxyder lorsqu'il interagit avec l'oxygène, c'est-à-dire dans l'air. Par conséquent, contrairement à l'or, il s'assombrira avec le temps.

Simili-or

Divers alliages sont utilisés pour les faux bijoux en or.

Bronze d'aluminium qui ressemble à l'or en couleur. Cet alliage est composé de 90 % de cuivre et de 10 % d'aluminium.

Monnaie en bronze d'aluminium.

Belgica - un alliage similaire au platine. Il contient environ 74 % de fer, environ 16 % de chrome et près de 9 % de nickel.

L'or mosaïque, qui comprend près de 70 % de cuivre et 30 % de zinc. Donne une touche d'or natif.

Produit Tompac.

Tompac - cet alliage est très similaire à l'or véritable. Il est souvent apporté par des touristes de Turquie, d'Israël ou de Chine. Si vous ne savez pas distinguer l'or, mieux vaut ne pas en acheter dans ces pays.

Il existe de nombreux alliages de ce type. Grâce à ces matériaux, ils ont appris à imiter l'or véritable. Il s'agit le plus souvent de contrebande. La contrefaçon d'or est un phénomène très courant. Essayez de ne pas tomber dans le "piège".

Comment éviter la fraude ?

Afin de ne pas acheter un faux, vous devez suivre des règles simples.

Vous ne devriez pas acheter de bijoux en or auprès de marchands sur les marchés, dans des étals douteux où il n'y a pas de documents pertinents. Les vendeurs proposent très souvent des contrefaçons.

Ne vous fiez pas à votre intuition, car elle peut échouer au moment le plus inopportun. Ne regardez pas que le produit est trop bon marché - cela ne signifie pas qu'il est de haute qualité. L'or doit être avec une panne sans faute, même s'il est fabriqué sur commande.

N'ACHETEZ PAS DE BIJOUX FANTAISIE EN ALLIAGE D'OR ET DE TITANE. EN APPARENCE, ILS RAPPELLENT L'OR 14K, MAIS IL N'Y A PAS DE MÉTAUX PRÉCIEUX EN EUX.

S'il y a un échantillon sur le produit ou si une étiquette est accrochée, cela ne garantit pas la teneur en métal jaune. Un consommateur peu averti ne sera pas toujours en mesure de distinguer un faux, même à l'aide de nombreuses expériences.

Si l'acheteur connaît le prix réel du produit et a soudainement vu le même, mais moins cher, cela ne signifie pas toujours qu'un faux a été rencontré. Il est nécessaire de payer non seulement pour les données externes, mais aussi pour la taille, le poids et le fabricant. C'est à partir de ces données que les prix varient. Vous pouvez également obtenir un faux de haute qualité, extrêmement difficile à distinguer du vrai métal précieux.

Chaque professionnel de la joaillerie dispose d'un équipement spécial pour déterminer la qualité et le prix du métal. Bien sûr, le moyen le plus simple d'apprendre à distinguer l'or du cuivre, par exemple, est l'avis d'un professionnel. Que le service soit payant, mais la personne sera sûre de l'authenticité du bijou.

Le timbre sur l'or est l'information la plus importante à laquelle vous devez prêter attention lors de l'achat de bijoux. Un échantillon est un tampon que les bijoutiers apposent pour confirmer une quantité spécifique d'or dans un bijou ou un autre produit, car les métaux précieux purs ne sont pas utilisés.

La qualité du métal à partir duquel les objets en or sont vendus ou fabriqués sur le territoire de la Fédération de Russie doit correspondre à l'une des normes acceptées par la loi et être certifiée par un poinçon. Si vous souhaitez acheter un produit fabriqué dans un autre pays en Russie, il se peut qu'il n'ait déjà pas un timbre, mais deux. Selon le pourcentage d'or dans l'alliage, il existe en Fédération de Russie de tels échantillons:

1. 999 est de l'or pur, sans ajout de métaux d'accompagnement.
2. 750 - 75,5% d'or mélangé avec du nickel, du platine et de l'argent. Cet alliage peut être de couleur jaune à rougeâtre. Comme il est facile à traiter, il est utilisé pour la production de bijoux et de travaux plus précis.
3. Le 585 est un alliage avec 58,5% de métaux. Cette combinaison le rend idéal pour la production, car il devient fort, dense.
4. 500 - 50,5 % d'or mélangé avec de l'argent et du cuivre.
5. Le 375 est un alliage contenant 38% d'impuretés d'autres métaux. La couleur varie du presque blanc au rouge. Cet alliage s'estompe avec le temps.

La méthode d'application dépend de l'échantillon qui se trouve sur le produit. L'or 999 est utilisé pour couler des lingots, 375 est utilisé en dentisterie, le reste est utilisé pour la fabrication de bijoux. Les alliages supérieurs à 750 ne ternissent pas lorsqu'ils sont exposés à l'air. Pour les œuvres d'art, 958 est le plus approprié, pour la frappe - 900, et pour les bijoux, 585 est activement utilisé.

Seuls les employés de la supervision des essais peuvent apposer un cachet qui confirme l'échantillon de produits, y compris ceux fabriqués et importés d'autres pays. Les services territoriaux de l'État stigmatisent non seulement l'or, mais aussi les autres métaux qui sont fabriqués dans les usines ou les ateliers de joaillerie.

Ainsi, un échantillon sur l'or est une désignation en pourcentage de ses impuretés dans un produit. Cela ressemble à ceci: l'échantillon montre une fille dans un kokoshnik regardant vers la droite, puis le code de la supervision du dosage et à la fin l'échantillon du produit, selon la norme.

La forme du timbre indique de quel type de métal il s'agit. Par exemple, la marque sur les produits en platine est un octogone allongé. Les objets en or ont un poinçon en forme de 2 lames. Ce nouveau formulaire est utilisé depuis 1994 jusqu'à aujourd'hui.

Les bijoux en or fabriqués à l'époque soviétique sont estampillés d'une étoile.

Qu'est-ce qu'un nom

Considérez ce qu'est un nom. Parfois, sur les bijoux, vous pouvez trouver la marque du maître, qui s'appelle aussi le nom personnel, mais cela ne prouve pas la qualité.

Le nom personnel fait davantage référence à la signature personnelle d'un bijoutier et de l'entreprise qui a produit la pièce de métal précieux. S'il est déchiffré, il devrait contenir des informations supplémentaires à son sujet.

Pour un acheteur inexpérimenté, les informations saisies dans le nom personnel ne diront pas grand-chose. Seuls des spécialistes ou d'autres bijoutiers pourront dire qui, où et en quelle année le bijou a été fabriqué en un coup d'œil sur le sceau du nom. Depuis 1986, tous les fabricants de bijoux sont tenus de les apposer eux-mêmes.

Après un an, l'ancien nom personnel doit être détruit. Son réenregistrement est effectué annuellement et diffère du précédent par le code de l'année de fabrication. De nombreux ateliers peuvent, à la demande du client, apposer n'importe quelle inscription sur les bijoux en or. Cela peut être à la fois un mot important pour lui et la date de naissance ou de mariage. Cela est particulièrement vrai pour les personnes qui sont sur le point de se marier.

Comment l'or est marqué

Dans le monde, il existe des systèmes de bobines, de carats et métriques d'échantillons d'or. Le carat et la métrique sont plus couramment utilisés, dont le second est le plus populaire. Dans la législation des différents pays, la procédure de poinçonnage et de dosage est contrôlée différemment, et il y a même des pays où la production d'or de toute qualité est autorisée. Aujourd'hui, les bijoux d'Asie de l'Est produits en Turquie et en Égypte sont très bon marché. En raison du fait que la qualité des bijoux n'est pas contrôlée par l'État, les entrepreneurs particulièrement rusés peuvent tamponner 585 sur un alliage qui correspond à peine à 500.

Les bijoux sont marqués de différentes manières, qui sont choisies spécifiquement pour chaque article, en fonction de nombreux facteurs.

La plus grossière est la méthode mécanique. L'échantillon est placé avec des marteaux-piqueurs, tandis que le produit est fermement fixé dans un étau. C'est le plus ancien et le plus durable, avec lui la décoration ne se détériore pas, c'est pourquoi il est utilisé dans 80% des cas. Actuellement, ce processus est entièrement automatisé et constitue un convoyeur.

Dans les cas où il existe un risque de dommages et de rayures, des méthodes plus douces sont utilisées, par exemple l'électroétincelle. Lors du choix de cette méthode, la marque est appliquée à l'aide d'étincelles. Il est placé uniquement sur une surface plane et appartient aux jeunes méthodes de marquage, il n'a été inventé qu'en 1967.

Le marquage au laser est considéré comme le plus cher et le plus difficile, il est durable. Avec son aide, un poinçon convexe peut être apposé sur les produits en or. Mais il n'est pas placé dans les endroits en contact étroit avec la peau, sinon il peut être effacé plus tôt qu'après 5 ans.

Ainsi, la méthode d'application de la marque est décidée dans chaque cas sur une base individuelle, en tenant compte de tous les avantages et inconvénients. Cela est particulièrement vrai pour les produits aux motifs élégants et aux pierres précieuses, car une condition importante est de ne pas gâcher l'apparence afin que les bijoux ne perdent pas leur valeur et leur individualité.

S'il n'y a pas de poinçon sur l'or, alors le produit qui en a été fabriqué est définitivement un faux. En l'appelant un bijou, le vendeur viole la procédure établie par l'État pour la vente de produits et de métaux précieux, puisqu'il est interdit de les vendre et de les mettre en gage. Par conséquent, si vous voulez vous faire plaisir avec un cadeau précieux, vous devez demander au vendeur des documents à ce sujet et examiner attentivement l'échantillon, car au lieu d'un échantillon, il peut simplement y avoir le nom personnel de quelqu'un. Il existe également un marquage spécial de l'or, qui sert à garantir qu'une personne, lors de l'achat d'or fabriqué à l'étranger, n'achète pas accidentellement des produits métalliques plaqués or.

Tout le monde n'osera pas simuler une stigmatisation, car cela est associé à d'énormes risques.

La principale méthode de fraude est un faux d'un niveau élevé sur un produit de moindre qualité. Ces bijoux sont vendus le plus souvent dans de petites boutiques du monde entier, mais les grandes bijouteries ne sont pas à l'abri de cela.

Depuis 1971, les médailles d'or et d'argent de diverses compétitions qui n'ont pas le statut de récompenses d'État, y compris les médailles des Jeux Olympiques, sont soumises à un marquage et à des tests.

En Russie, le dosage, indiquant la quantité d'or dans l'alliage, a commencé à être effectué en 1700 sous le règne de Pierre le Grand. L'échantillon avait la forme d'un aigle. Les pièces se composaient alors de 98 % d'or et de 2 à 3 % de cuivre.

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Nom dans les bijoux russes

Le nom est appelé le symbole du fabricant, qui est placé par une personne morale ou un entrepreneur individuel sur les produits qu'ils fabriquent (ou après que des travaux de restauration ont été effectués).

Il contient des informations sur quand et par qui les bijoux ont été fabriqués, ainsi que des informations sur l'inspection d'état, dans laquelle le fabricant est enregistré.

Depuis 2001, le premier caractère de chaque nom personnel est une lettre majuscule russe. Puis c'était la lettre "A", en 2002, respectivement, "B" et ainsi de suite.

La première lettre symbolise la date de production, la suivante est le symbole d'inspection, puis les lettres suivent comme un signe du maître.

En 1918, un nom personnel était apposé sur tous les produits en argent, à savoir [Platin Pribor].

Depuis 1923, pendant trois ans, le nom personnel [MYuT] a été appliqué à tous les bijoux.

1936 a été marquée par le début de l'utilisation de leurs propres noms.

Depuis 1986, absolument tous les fabricants de bijoux (institutions et entrepreneurs individuels) doivent mettre leur nom personnel sur les produits qu'ils fabriquent. Les signes sont enregistrés et approuvés par le ministère des Finances de notre pays (Bureau de contrôle). Chaque année, tous les fabricants de bijoux sont enregistrés dans la liste des fabricants russes.

Tous les caractères du nom doivent être dans le même contour. L'aspect du contour (le même pour tous les fabricants) et les lettres sont établis par l'inspection d'État. Ses empreintes et échantillons, en règle générale, se trouvent à l'intérieur des bagues, sur le fermoir des clips, broches et chaînes, sur l'œil des pendentifs.

L'année 1953 a été marquée par l'ajout de toutes sortes de signes (chiffres, lettres, points dans différentes zones) aux noms personnels, grâce auxquels il est possible d'établir correctement la date de production des bijoux russes. Par exemple, 1985 est noté : , et 2000 : .

Pour les professionnels, un simple coup d'œil au nom du personnel suffit pour comprendre qui a réalisé la décoration. Un spécialiste déterminera toujours facilement qu'il y a un faux devant lui. Le produit peut être un faux s'il ne porte pas de stigmatisation. Et sa qualité dans ce cas, très probablement, sera faible.

Enregistrement du nom

L'Inspection d'État a le pouvoir d'enregistrer et de réenregistrer les noms des usines qui ont leurs propres adresses spécifiques et sont liées à cette inspection, car il y a une division territoriale.

Cependant, la "Chambre d'essai de Russie" de la FKU peut autoriser l'inspection d'État à fournir les documents nécessaires à un fabricant qui n'est pas territorialement sous son influence.

Afin d'enregistrer un nom personnel pour la première ou la deuxième fois, le fabricant doit apporter à l'inspection d'État des photocopies du certificat, des cartes d'enregistrement, lorsque des types de travaux tels que la fabrication de bijoux, la réparation de montres et de bijoux, la fabrication de pièces pour montres et leurs mécanismes et les montres elles-mêmes sont prescrits.

Pour l'enregistrement et le réenregistrement régulier du timbre, il est nécessaire de payer la taxe d'État.

Le réenregistrement d'un nom personnel est une confirmation officielle de l'un quelconque des éléments. Elle est réalisée chaque année, et la date y est cryptée.

Pour subir cette procédure, un fabricant de bijoux russe doit fournir des impressions de sa création réalisées sur une surface polie. Chaque empreinte du nom personnel est placée si elle est appliquée de différentes manières (laser, étincelle électrique et aussi mécanique).

Si le nom personnel est en mauvais état (police illisible, mauvaise surface, flou, décalage avec le croquis, etc.), l'inspection d'État peut refuser d'effectuer la procédure d'enregistrement.

Lorsque le nom devient inutile, vous devez vous en débarrasser.

Si les informations sur une personne morale ou un entrepreneur individuel changent et que cela se reflète dans une carte spéciale, le code sera toujours à la disposition du fabricant, mais dans certains cas, il peut être annulé et ne pas être utilisé avant janvier de l'année suivante.

À l'achèvement des travaux liés à la production (restauration / réparation) de bijoux, les fabricants doivent informer l'inspection d'État dans les meilleurs délais.

Qui établit les normes de l'image de marque ?

Cette tâche est confiée à la FKU "Assay Chamber of Russia". Elle peut autoriser la production d'échantillons d'état associés à des poinçons afin de les apposer de manière masquée.

Le nom est contenu dans le poinçon d'état. De plus, il comprend le symbole du chiffrement IPN, des échantillons, des certificats. Ils peuvent être appliqués ensemble dans un seul contour et séparément.

De l'histoire des poinçons

À l'hiver 1899, une nouvelle loi réglementant l'image de marque a été introduite et, dans les villes russes, ils ont commencé à utiliser un timbre représentant le visage d'une fille dans un kokoshnik sur le côté gauche. Non loin de cette image, les premières lettres du nom et du prénom du responsable du territoire d'essai ont été placées, et dans certains cas, les numéros de l'échantillon de bobine.

En 1908, quelques modifications ont été apportées au timbre. Dans toutes les zones de test, les mêmes dessins du visage de la fille ont continué à être utilisés, mais maintenant des lettres grecques ont été ajoutées ici : différentes pour toutes les zones de test. L'échantillon est resté doré.

En 1927, le visage de la jeune fille a été remplacé par une image d'un ouvrier avec un marteau. Lorsque le système métrique a commencé à être utilisé dans les villes russes, une nouvelle méthode est apparue, où le nombre de millièmes de métal précieux dans l'alliage était crypté: le chiffre de l'organisation du dosage (lettre grecque) est fixé dans le poinçon. Ce système est encore utilisé aujourd'hui.

À l'été 1958, des timbres ont commencé à être utilisés, qui étaient un marteau et une faucille en trois dimensions ou une étoile à cinq extrémités. Pour la première fois, ils commencent à utiliser la lettre russe au lieu du grec.

En 1994, de nouveaux poinçons sont entrés en vigueur dans les villes russes, qui sont encore utilisés aujourd'hui. Ils représentent le visage d'une fille dans un kokoshnik sur le côté droit. Le chiffre est apposé avec une lettre russe. Il y a environ 20 inspections d'analyse, et chacune d'elles a sa propre lettre.

Aujourd'hui, tous les bijoux russes doivent porter l'empreinte du nom de l'usine de fabrication, enregistrée dans le bureau de test russe, et un poinçon apposé comme prescrit dans les règles de poinçonnage des bijoux. Il doit y avoir un maximum de 4 caractères dans l'impression du nom du fabricant.

Les documents accompagnant le produit indiquent généralement la zone et la méthode d'application.

Les empreintes sur les produits en or et en argent sont réalisées conformément aux exigences des Règles de poinçonnage des produits. L'empreinte de la marque doit être lisible, claire, afin que vous puissiez voir facilement tous ses détails, ainsi que le contour de la monture.

Le mariage ne comprend pas :

• décalage des empreintes de la marque par rapport à l'empreinte du nom du fabricant ;
• léger dommage à la surface dans la zone de l'empreinte de la marque.

Dans certains produits russes, il existe des inserts en pierres coûteuses, qui peuvent également être estampés. Les fabricants de diamants marquent les pierres.

Comme indiqué dans les "Règles de vente de certains types de marchandises", tous les bijoux vendus (ceci s'applique aux cuillères)

Une police typographique est utilisée pour remplir l'étiquette. Vous pouvez le faire avec un stylo bleu ou noir. Ainsi, chaque bijou doit être muni d'un poinçon, d'une empreinte du nom du fabricant et d'une étiquette.Ils doivent être munis d'une étiquette contenant les détails. Il est rempli par l'usine de fabrication ou l'institution commerciale, en se concentrant sur la norme de l'industrie russe.

Normes modernes

Noms et poinçons sur les produits en argent

Pour les produits en argent, des tests de bobine, métrique et de lot sont fournis. Si la décoration a été réalisée à la fin de l'avant-dernier et du siècle dernier, la marque sera dorée. S'il a été fabriqué avant la fin de l'avant-dernier siècle, des chiffres romains lui ont été appliqués, en d'autres termes, un test de lot.

Noms et poinçons sur l'argent et les récompenses

En 1997, il a été décidé de stigmatiser tout l'argent (ne participant pas à la circulation monétaire) et les récompenses (non gouvernementales) lors de l'inspection des essais.

Noms et poinçons sur les articles apportés des pays de la CEI

Tous les articles fabriqués à partir de matières premières coûteuses, importés dans notre pays depuis les pays de la CEI, produits avant l'hiver 1992 avec des impressions d'anciens poinçons, sont autorisés à ne plus être marqués. Ils peuvent être vendus sous leur forme originale. Dans le cas où les décorations auraient été réalisées ultérieurement ou si des poinçons nationaux y auraient été apposés, ils devront alors être à nouveau marqués.

Si la décoration est légère ou coûteuse, un document est alors délivré, qui spécifie le type de matière première, l'échantillon, le poids et d'autres détails.

Noms et poinçons sur les produits étrangers

Quant aux bijoux et aux cuillères qui sont importés dans notre pays depuis l'étranger, ils doivent être à nouveau marqués. Pour mener à bien cette démarche, certains documents d'accompagnement sont nécessaires.

Si "gold-feld" est marqué sur les produits, il ne fait aucun doute qu'ils sont en alliage et recouverts d'or. Le fabricant prescrit l'échantillon du métal précieux et l'épaisseur de sa couche. Dans le cas où un produit recouvert d'or est fabriqué dans une usine allemande, le mot «Goldmult» est écrit dessus, ce qui peut être traduit par «dessiné avec de l'or».

Modalités d'apposition des noms et poinçons

• Mécanique: les poinçons sont apposés sur les produits à l'aide de coups (pour cela, un marteau ou un équipement de marquage spécial est utilisé). Les impressions sont placées à l'intérieur et à l'extérieur. De plus, des sous-verres sont utilisés qui correspondent à la forme de la décoration;

C'est la méthode la plus populaire.

Avantages : les impressions sont lisibles, de haute qualité, faites pour durer.

Inconvénients : lors du marquage, la décoration peut souffrir (après un coup de marteau, sa forme changera légèrement).

• Electro-étincelle : des empreintes de poinçons sont apposées sur les bijoux avec des marques-électrodes en cuivre à l'aide d'une installation spéciale. L'empreinte est obtenue avec une étincelle. Tout cela se fait dans l'eau, sous courant ;

Plus de 300 bijoux sont ainsi marqués au cours d'une journée de travail.

Avantages : les impressions sont lisibles, de haute qualité, dureront longtemps. Les poinçons de cette manière peuvent être apposés sur des bijoux de formes inhabituelles, ainsi que sur des produits creux.

Inconvénients : Le seul inconvénient est qu'il faut plus de temps pour se préparer à la procédure. Si le produit présente même des pores subtils, des irrégularités ou des défauts de moulage, cette méthode est déjà inacceptable.

• Laser : produit sur une machine laser. Des masques sont appliqués. Il y a une ligne pointillée le long des bords du timbre. Les bijoux doivent être correctement préparés pour la procédure.

Moins d'un quart des bijoux sont marqués avec cette méthode (plus de 500 bijoux par jour ouvrable).

Avantages : Les impressions sont lisibles. Il est possible de marquer différentes surfaces (courbes, concaves, plates).

Il y aura bientôt une nouvelle méthode basée sur l'utilisation d'un laser d'écriture.