Qui bat son enfant. Je bats mon enfant : que dois-je faire ? Conversation sincère sur un sujet difficile

Pour commencer, j'ai toujours été un ardent opposant à l'utilisation de toute force physique contre un enfant, sans parler des châtiments corporels ... Je n'ai pas été battu dans l'enfance, mais dans le cul, surtout de mon père, je l'ai reçu assez souvent - pas exprès, dans le cœur, ce qui était particulièrement offensant à un âge avancé et si cela se produisait devant des gens .... J'ai décidé moi-même que je ne frapperais jamais mon enfant ....
Notre lyalechka tant attendue et follement adorée a maintenant 1 et 4 ans ... était tellement en colère .. Puis plus souvent, puis sur le pape, quand il se retourne, il ne le laisse pas s'habiller, puis sur ses mains, s'il attrape quelque chose non résolu ...
Tout de temps en temps, en quelque sorte pas particulièrement conscient ... Plus loin, plus ... À un moment, j'ai soudainement réalisé que ces petites choses "rares" devenaient soudainement très fréquentes ... J'ai commencé à me battre délibérément avec moi-même ... J'étais terriblement bouleversée, jusqu'à la dépression, quand elle est tombée en panne ... De plus, le comportement de l'enfant est devenu une conséquence naturelle du mien - elle a commencé à se battre, à me battre, un chat, un canapé, tout ce qui lui tombait sous la main, même elle-même ... ( une bonne mère a amené l'enfant à l'auto-agression)
Au cours des deux dernières semaines, d'une manière ou d'une autre, tout a bien fonctionné pour moi - je ne l'ai pas frappée une seule fois, j'ai essayé de réagir calmement à son comportement - en m'arrêtant, en me distrayant, en transférant l'attention ....
Ce matin, le petit s'est levé dans une sorte d'humeur très larmoyante. Parfois il m'arrive que je ne supporte pas très bien cela, je m'énerve, puis j'essaie de me doubler.. Aujourd'hui, il n'y a pas eu d'agacement accumulé, j'ai réagi à ses caprices avec humour... nourriture du réfrigérateur, elle ne l'a pas laissé creuser là, elle pleurait, je n'ai pas fait attention, je me suis détourné, et elle a tendu la main, a attrapé une tasse de lait sur la table et a couru, je l'ai suivie, j'ai attrapé elle, elle a naturellement jeté la tasse, et je l'ai giflée de toutes mes forces ... .. :-(((((
Puis, bien sûr, elle l'a attrapée dans ses bras, consolé... En général, elle-même a été choquée par sa réaction...

En général, une si terrible déception envers moi-même s'est accumulée en moi ... Quand je suis restée dans le besoin pendant tant d'années, je pensais que je serais la mère la plus merveilleuse du monde, j'ai préparé, lu de très bons livres, collecté des manuels sur comment s'occuper d'un enfant .... En conséquence, tout a été tué par la routine .... pour aller jouer à dessein avec un enfant, sans parler des jeux de développement, il faut faire un énorme effort sur soi-même ... Parfois Je deviens tellement indifférent, apathique, parfois elle a une humeur tellement hystérique, elle gémit sans cesse, je ne fais même pas attention...
en général, un complexe de mauvaise mère avec toutes les conséquences ... parfois, il me semble qu'elle serait mieux avec quelqu'un d'autre (nous avons adopté notre lyalechka, elle est avec nous depuis 5 mois), c'est pourquoi Dieu ne nous a pas donné ses enfants je ne suis pas capable d'élever un enfant normal....
Elle est mon rayon de soleil, mon trésor, je l'aime encore plus que mon mari... mais j'ai tellement peur de la gâter avec mes bizarreries, car je serai coupable si une personne agressive sort d'elle ...

Ce sont les choses ... J'ai commencé par l'autoflagellation, j'ai fini par m'apitoyer sur mon sort ... Et je comprends que rien ne changera tout seul. vous avez besoin de vous pardonner, de trouver de la force et de vivre, en essayant de devenir meilleur ....
Je comprends qu'il faut aussi apprendre à être mère, la théorie est bonne ici, mais la pratique présente encore ses surprises ... Mais j'ai très peur que pendant que j'étudie, comment puis-je le manquer, je suis peur de "finir ses études" ... je veux tellement qu'elle grandisse heureuse, sûre d'elle, calme, harmonieuse à l'intérieur .... pas comme moi ....

Certains seront surpris et trouveront cette question très étrange, car il est bien connu que la punition corporelle n'est pas la meilleure des stratégies disciplinaires.

Cependant, certains parents sont toujours d'avis que l'éducation au fouet est beaucoup plus efficace que l'éducation à la carotte, désormais populaire. Il est nécessaire de déterminer où est la ligne qui sépare la peine raisonnable et la cruauté injustifiée.

La question de savoir s'il faut battre ou non un enfant, en règle générale, se pose aux parents lorsque leur bébé bien-aimé atteint l'âge de deux ou trois ans.

Au cours de cette période d'âge, la formation d'une personnalité a lieu et le bébé absorbe également diverses informations, se dote de nouvelles compétences et apprend les limites de ce qui est permis.

De toute évidence, un tel processus de croissance doit s'accompagner de divers problèmes, car l'enfant apprend le monde par essais et erreurs. Il étudie et teste littéralement tout, et un tel comportement présente souvent un danger pour la santé des enfants.

Il est naturel que chaque parent essaie de protéger le bébé de diverses situations traumatisantes. Il est également clair que lorsque de tels cas se produisent, les mamans et les papas sont submergés par des émotions vives et fortes.

De plus, les enfants à l'âge de trois ans entrent dans une période de crise particulière, lorsque l'entêtement, le despotisme, le négativisme, l'obstination, des "notes" magistrales apparaissent dans leur comportement. Certains enfants deviennent même complètement incontrôlables.

Les adolescents sujets à l'égocentrisme, au maximalisme et à une tendance aux actions manipulatrices ne diffèrent pas par leur comportement exemplaire.

C'est pourquoi des explosions de colère peu fréquentes et le désir de donner une fessée à votre enfant bien-aimé dans le cœur des parents, même les plus aimants et les plus libéraux, vous rendent visite. Et c'est tout à fait normal, mais il existe des situations où le désir de punir physiquement un enfant peut être considéré comme quelque chose d'anormal.

Autres motifs de châtiment corporel

Les données statistiques montrent que la grande majorité des parents russes ont admis que, dans leur enfance, leurs parents avaient infligé des châtiments corporels à leur encontre.

De plus, 65% de tous les répondants sont toujours pleinement convaincus que l'utilisation de mesures disciplinaires aussi strictes par leurs parents n'était bonne que pour eux, par conséquent, des châtiments corporels sont parfois appliqués à leurs enfants.

Quelles sont les sources de ces décisions parentales ambiguës ?

  1. Traditions familiales. Certains adultes peuvent exprimer leurs propres griefs et complexes d'enfance à l'égard de leur enfant. De plus, les mères et les pères ne perçoivent même pas d'autres méthodes de persuasion et d'éducation, estimant qu'avec une gifle et une bonne parole, on peut obtenir plus qu'une bonne parole.
  2. Refus d'éduquer ou manque de temps. Comme indiqué précédemment, l'éducation est un processus complexe, de sorte que pour certains parents, il est beaucoup plus facile de frapper un enfant que d'avoir de longues conversations avec lui, lui prouvant le contraire.
  3. impuissance parentale. Les adultes s'agrippent à la sangle par désespoir et un manque banal de connaissances sur la façon de gérer un enfant méchant ou incontrôlable.
  4. propre échec. Parfois, les parents frappent leur enfant dans les fesses simplement parce qu'ils ont besoin de se mettre en colère contre quelqu'un pour leurs propres échecs. Toute inconduite enfantine devient une raison de se détacher et de « se détacher » du bébé pour ses problèmes au travail ou dans sa vie personnelle.
  5. Instabilité mentale. Certaines mamans et certains papas ont besoin d'émotions fortes. Ils les attrapent quand ils crient, battent les enfants pour rien. Puis, alimenté par de fortes émotions, le parent qui a battu l'enfant pleure avec lui.

Ainsi, il existe de nombreuses raisons d'utiliser des mesures disciplinaires sévères. Et ceux qui pensent que seuls les parents alcooliques ou autres personnalités antisociales sont friands de telles méthodes éducatives se trompent. Il reste à voir pourquoi de telles mesures ne sont pas souhaitables.

Pourquoi ne peux-tu pas frapper un enfant ?

Heureusement, de nombreux adultes qui punissent physiquement les enfants savent s'arrêter à temps et ne les frappent pas de plein fouet.

Cependant, même un léger coup (surtout sur la tête) peut blesser le corps de l'enfant. Et plus l'enfant est jeune, plus les conséquences sont graves. Et beaucoup d'entre eux sont invisibles pour le profane.

Si vous ne tenez pas compte des cas déjà très graves de maltraitance d'enfants dans la famille, vous pouvez trouver un grand nombre de parents qui s'autorisent périodiquement à recourir aux châtiments corporels.

Ils sont convaincus qu'il est possible de frapper un enfant sur les mains ou sur un point faible, car de telles mesures ne nuisent pas à la santé, mais elles ont un bon effet éducatif.

Cependant, ces mères et ces pères oublient que la punition peut affecter non seulement le physique, mais aussi le niveau psychologique.

  1. Le contact physique non désiré (fesser, piquer, secouer, fesser avec une ceinture) viole les limites personnelles de l'enfant. Il ne développe pas la capacité de défendre les limites de son « je ». Autrement dit, les opinions des autres, les mots seront trop importants pour une personne adulte.
  2. Sur la base de la relation avec la mère et le père, une confiance fondamentale dans le monde se forme. La violence de la part de la personne la plus proche provoque une méfiance envers les gens, ce qui affecte négativement la socialisation.
  3. La fessée constante fait que l'enfant se sent humilié, ce qui se traduit par une baisse de l'estime de soi. Et cela peut déjà entraîner la perte de qualités aussi importantes que l'initiative, la persévérance, l'estime de soi et la persévérance.
  4. Le parent battant donne l'exemple d'un comportement agressif. Un enfant qui est confronté à la rigidité d'un père ou d'une mère croit que les conflits doivent être résolus à l'aide de la force, des menaces et d'autres actes agressifs.
  5. Si les enfants sont fouettés, ils commencent à diviser toutes les personnes en «victimes» et «agresseurs» et choisissent inconsciemment le rôle qui leur convient. Les femmes victimes épousent des hommes agressifs, et les agresseurs masculins opprimeront leurs femmes et leurs enfants par des menaces ou des violences physiques.

Les châtiments corporels n'affectent pas la cause de la désobéissance et sont de courte durée. Au début, la peur d'être fessée est présente, mais ensuite l'enfant s'adapte et continue de jouer sur les nerfs des parents.

L'avis des scientifiques américains

La vérité que les expériences de l'enfance affectent la vie plus tard est familière à tout le monde. La violence physique par les proches est un facteur commun de survenue de troubles psycho-émotionnels et de maladies neurologiques à l'âge adulte.

Des scientifiques des États-Unis, étudiant les conséquences de l'utilisation des châtiments corporels à des fins éducatives, citent des données choquantes. Ainsi, les personnes régulièrement giflées et giflées à l'arrière de la tête se distinguaient par des capacités intellectuelles réduites.

Dans les cas particulièrement graves, il s'agissait même de troubles mentaux et physiques, car les centres chargés du traitement et du stockage des informations, de la parole et des fonctions motrices étaient gravement endommagés.

De plus, selon les mêmes scientifiques américains, les enfants qui subissent des châtiments corporels sont plus sujets aux maladies vasculaires, au diabète, à l'arthrite et à d'autres maladies tout aussi graves en grandissant.

De plus, les adolescents dont l'enfance a été éclipsée par l'agression parentale sont plus susceptibles de devenir toxicomanes, alcooliques et criminels. Et ils adoptent également un style parental cruel et le transmettent à leurs propres enfants. C'est-à-dire qu'une sorte de cercle vicieux se forme dans lequel l'agressivité engendre la cruauté.

Cependant, il convient de noter que ce travail a été critiqué par d'autres spécialistes. Certains scientifiques ont estimé qu'il y avait certaines inflexions dans les données présentées. Par exemple, les chercheurs n'ont pas pris la peine de catégoriser les parents et les mères et les pères sadiques qui utilisent occasionnellement des châtiments corporels légers.

C'est pourquoi il est extrêmement difficile de juger si la fessée et les gifles peuvent vraiment revenir hanter l'insuffisance mentale ou les problèmes cardiaques à l'âge adulte.

Le refus d'utiliser des «arguments» physiques dans la communication avec un enfant ne signifie pas qu'il vaut la peine d'abandonner complètement les mesures disciplinaires en tant que mesure efficace.

Si un enfant a commis une infraction vraiment grave, les adultes doivent prendre certaines mesures. Sinon, de rares cas de mauvaise conduite peuvent devenir un phénomène de masse, qui sera extrêmement difficile à gérer.

Comment punir ?

C'est quoi pour un enfant ? Un pédiatre en parle, ainsi que comment remplacer un ordinateur.

Eh bien, la "voltige" parentale la plus élevée est la capacité d'anticiper les situations conflictuelles. Tout d'abord, vous devez comprendre que la principale source de mauvais comportement est le désir d'attirer l'attention des adultes. Si vous commencez à communiquer plus souvent avec l'enfant, le nombre de caprices et d'inconduite diminuera immédiatement.

Les mesures alternatives ne fonctionnent pas : que faire ?

De nombreux parents, lisant de tels conseils, commencent à penser que les auteurs vivent dans une sorte de réalité parallèle ou idéale, dans laquelle l'enfant est toujours obéissant et la mère toujours calme et équilibrée.

Bien sûr, il y a des situations où les demandes, la persuasion, les explications ne sont pas en mesure d'aider à calmer et à amener un enfant qui est devenu têtu ou qui s'est mis en colère dans un état émotionnel normal.

Dans une telle situation, comme le pensent certains experts, une légère gifle peut détourner l'attention et devenir une sorte d'inhibiteur d'une explosion psycho-émotionnelle. Naturellement, la puissance du slap doit être contrôlée (ainsi que votre état mental).

De plus, les châtiments corporels (on ne parle pas de fessée dans ce cas) ne sont pas exclus si :

  • le comportement des enfants constitue une menace directe pour la vie et la santé d'un petit intimidateur (enfoncer les doigts dans les douilles, jouer avec le feu, se diriger vers une autoroute, s'approcher du bord d'une falaise, etc.);
  • l'enfant a franchi absolument toutes les limites de ce qui est permis, cherchant clairement à vous faire chier, et il ne répond pas aux autres mesures disciplinaires et peut même se comporter de manière inappropriée (voir le paragraphe précédent).

Après une légère gifle, il est impératif d'expliquer ce que la punition a suivi, comment se comporter correctement. N'oubliez pas de dire aussi que c'est l'acte que vous n'aimez pas, et non l'enfant lui-même. Tu l'aimes toujours.

Parents à l'atelier !

Curieux de savoir ce que les mamans et les papas eux-mêmes en pensent ? Comme c'est souvent le cas en matière d'éducation, les avis divergent sensiblement. Certains parents sont convaincus que la fessée et la fessée habituelle sur le cinquième point est une méthode disciplinaire tout à fait efficace.

Comme, ils ont battu avec des bâtons pour les fautes de nos ancêtres, et rien - ils n'ont pas grandi plus mal que les autres.

D'autres adultes s'opposent à toute influence forcée par rapport à l'enfant, estimant que la meilleure façon d'éduquer ce sont les conversations, les explications, les histoires et les exemples illustratifs. Voici quelques commentaires spécifiques de parents.

Anastasia, future maman :«Et j'ai souvent volé dans le pape: à la fois avec une ceinture et avec une paume. Et rien - tout va bien. Maintenant, je pense moi-même que si la conversation n'aide pas, vous pouvez utiliser la force. Mais pas pour battre, bien sûr, mais juste dans un endroit doux à la légère. L'enfant doit parfois être battu sur le pape s'il ne comprend pas les mots normaux.

Kristina, mère de Yaroslav, deux ans :"Dans mon enfance, j'étais souvent battu avec une ceinture, je m'offusque encore de ma mère. Elle pense toujours que si elle bat l'enfant, il n'y a pas de problème. J'ai fermement décidé que je ne donnerais pas la fessée à mes enfants. Et j'essaie de résoudre toutes les difficultés avec mon fils sans ceinture ni claques. J'essaie de négocier, même s'il est encore petit. Il semble fonctionner des conversations calmes.

Bien sûr, c'est à vous de décider quelles méthodes parentales s'appliquent spécifiquement à votre enfant. Cependant, il faut comprendre que la formation de la personnalité se produit dès la petite enfance et que cela dépend des parents de ce que le bébé actuel apportera dans la vie future.

De nombreux experts s'opposent aux châtiments corporels, citant des exemples bien motivés de la raison pour laquelle vous ne devriez pas battre vos enfants. Peut-être que leurs arguments vous aideront à décider lequel est le meilleur - un bâton ou une carotte.

Question à un psychologue

Mon fils a 1,5 ans. Il est fondamentalement un garçon calme. Mais parfois j'ai juste un sentiment de colère et de haine envers lui, même s'il n'a rien fait de tel. Je commence à le frapper au visage, aux mains. Juste. Au bout de 5 minutes, j'ai des remords et je pleure longtemps en me réprimandant. Je vous demande pardon, embrassez-le. Il est tout rouge, pleurant d'étouffement. Je n'y touche pas pendant quelques jours, mais encore une fois. Je ne bois pas, je ne suis pas toxicomane, il se contente de gémir et je commence à le gifler. Si mon mari le découvre, il me tuera tout simplement. Il peut rarement élever la voix vers son fils, et seulement lorsqu'il se livre beaucoup. Et je commence juste à frapper. Je m'assieds et pleure. Je n'ai pas besoin de vos jugements, j'ai besoin d'aide. Maman et papa ne m'ont jamais battu, papa nous a quittés, j'avais 8 ans, maintenant j'en ai 26. Mon mari m'aime, mon fils. En principe, personne ne m'a jamais battu. L'enfant n'était pas très désirable pour moi, mais mon mari le voulait vraiment et le lui a laissé. C'est peut-être pour ça que j'ai des crises d'agressivité ? Avec de l'argent dans la famille aussi, il n'y a pas de problèmes particuliers. Aidez-moi, s'il vous plaît!!!

Réponses des psychologues

Olga, apparemment, des sentiments qui ne lui sont pas destinés sont "transférés" à l'enfant. Peut-être que vous "éclaboussez" sur l'enfant ce qui devrait vraiment être adressé à votre mari ou à quelqu'un d'autre. Si vous voulez comprendre, travaillez avec un psychanalyste.

Petr Yuryevich Lizyaev - assistance d'un psychologue médical, psychanalyste à Moscou

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Bonjour Olga! voyons ce qui se passe :

Vous demandez de l'aide, ce qui signifie que vous réalisez vous-même qu'il y a quelque chose en vous qui vous empêche de vous sentir comme une mère qui peut donner à votre enfant un sentiment de sécurité, vous voulez comprendre et vous aider vous et votre enfant - personne ne peut vous blâmer pour cela. L'essentiel est que vous ne vous arrêtiez pas en chemin, mais que vous commenciez à travailler sur vous-même et que vous compreniez que si c'est difficile et difficile pour vous et que l'enfant souffre, vous pouvez le protéger même de vous-même!

parfois j'ai juste un sentiment de colère et de haine envers lui, même s'il n'a rien fait de tel. Je commence à le frapper au visage, aux mains. Juste. Au bout de 5 minutes, j'ai des remords et je pleure longtemps en me réprimandant. Je vous demande pardon, embrassez-le. Il est tout rouge, pleurant d'étouffement. Je n'y touche pas pendant quelques jours, mais encore une fois.

souvent, ce comportement indique que vous faites face à quelque chose à l'intérieur de vous que vous ne pouvez pas gérer, il y a un enfant à proximité - vous pouvez voir la source de vos sentiments en lui et projeter vos sentiments sur lui, le blâmant pour le fait que ces sentiments viennent à vous - vous versez ce flux sur lui. MAIS - cela suggère que la raison n'est PAS À L'EXTÉRIEUR, mais à l'intérieur ! Vous devez comprendre - ce à quoi vous faites face à l'intérieur de vous-même, ce qui se passe, quelles sont ces situations - peut-être que vous ne vous sentez pas à l'aise dans le rôle d'une mère et que vous commencez à vous perdre, à vous fâcher CONTRE VOUS-MÊME, MAIS il est difficile de avouez-vous, c'est pourquoi il se produit à nouveau une projection sur l'enfant.

MAIS - un tel comportement forme l'image d'une mère pour un enfant DANGEREUX - et plus cela dure longtemps, plus les relations malsaines se développeront entre vous. Par conséquent, vous devez comprendre ce sur quoi vous perdez le contrôle à l'intérieur de vous-même, ce que vous commencez à ressentir seul avec l'enfant (après tout, une telle réaction d'agression suggère qu'à ce moment vous ne vous sentez PAS comme un ADULTE, capable de protéger , plutôt une petite fille qui elle-même ne peut pas faire face à quelque chose à l'intérieur de vous-même) - donc, vous devez travailler SUR VOUS-MÊME - vous observer, comprendre vos sentiments, vous rencontrer, travailler avec la position d'ADULTE-ENFANT-PARENT, redonner un sentiment de contrôle sur vous-même, modification des comportements - c'est un chemin difficile, MAIS il n'y a PAS d'autre moyen - tout ne s'améliorera pas tout seul, mais ne fera qu'empirer et vous vous éloignerez encore plus de vous-même - vous devez donc vous arrêter ! commencez à travailler sur vous-même !

L'enfant n'était pas très désirable pour moi, mais mon mari le voulait vraiment et le lui a laissé.

Peut-être alors ne vous sentiez-vous pas prête pour le rôle de mère - et maintenant vous êtes confrontée à ce sentiment d'impuissance en vous-même. Vous pouvez blâmer l'enfant, le mari pour ce sentiment, car vous avez peur de vous rencontrer. Vous devez comprendre - de quoi avez-vous si peur en tant que mère, quelles situations de communication avec un enfant vous frustrent et assurez-vous de parler avec votre mari - vous aurez également besoin de son soutien! assurez-vous de commencer à travailler avec un psychologue - UNIQUEMENT PERSONNELLEMENT ! étant donné que de tels problèmes impliquent un travail en profondeur et que sous la forme d'un travail en face à face, vous pouvez vous immerger à l'intérieur et le psychologue pourra vous guider. Vous avez déjà fait un pas - vous avez pu écrire et admettre que ce problème existe - alors vous POUVEZ passer à autre chose ! aller....

Shenderova Elena Sergeevna, psychologue Moscou

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A dit): 09.04.2014 07:57

J'ai battu mon enfant...

J'ai battu mon enfant, j'ai commencé à remarquer que je fais ça souvent déjà, je le bats parce qu'il se met à crier, ça m'énerve quand il crie !!! Quand il vient de naître de moi et que je n'ai pas pensé à le frapper une seule fois, mais pour une raison quelconque, mon opinion s'est éteinte quand ils m'ont demandé si vous battiez votre enfant, j'ai répondu NON QU'EST-CE QUE VOUS? .. il était alors 5 mois il a eu sa première dent j'étais seul à la maison et je n'ai pas compris pourquoi il a crié comme ça toute la nuit, etc... puis je l'ai giflé sur le pape c'était la toute première fois, une fois je l'ai giflé moi-même , l'enfant a eu peur 100 fois... après que j'ai arrêté de le faire, je ne comprends pas pourquoi j'ai été touché par ces mots qu'on peut battre des enfants... que mes copines battent leurs enfants, leurs enfants sont vivants et en bonne santé, ce qui veut dire que tout ira bien avec le mien ... puis c'est devenu une habitude ... dès qu'il a commencé à m'énerver, je l'ai giflé sur le pape au début ce n'était qu'une seule gifle, puis trois fois, quand il était un an, nous avons déménagé dans un nouvel appartement, il a mis ses mains dans la prise, je lui ai parlé et lui ai expliqué que c'était impossible, ils m'ont conseillé de juste lui gifler les mains ... et j'ai giflé très fort ses mains étaient rouges je le lui ai dit ça bat un courant, puis il a commencé à m'énerver pour toujours grimper quelque part, il l'a fait comme ça, m'a regardé, a ri, il a joué avec moi et n'a pas compris que c'était dangereux et ça m'a énervé, puis à une fête il était déjà 1.4 il a commencé à se montrer devant d'autres enfants, a gracieusement agité ma main quand je l'ai nourri, pour cela je l'ai battu fort sur les mains et lui ai crié dessus avec des obscénités, il ne voulait pas aller à la douche pour nager parce que il voulait aller se promener dehors, quand je l'ai traîné dans la douche puis il est tombé par terre là et a crié comme un fou, pour ça je l'ai frappé fort sur le cul, quand il crie je ne peux pas me contrôler ça me fait chier off je deviens un démon je veux juste le tuer, le jeter dehors, le frapper pour qu'il se taise, je commence à le détester, je lui crie dessus avec les dernières obscénités, et ça arrive souvent une fois par semaine, mais en l'été c'était plus souvent, cela m'affecte aussi que si l'un de mes amis punit ses enfants, alors pour une raison quelconque, je commence à penser que je devrais le faire aussi ... ce soir, il a dormi en hurlant pendant dans un rêve, et m'a donné un coup de pied ... je l'ai serré dans mes bras, l'ai secoué, l'ai calmé, mais il ne s'est pas calmé, a continué à me donner des coups de pied ... à la fin ça m'a énervé, je l'ai battu sur les jambes avec ma main tellement que maintenant ma main me fait mal, a couvert sa bouche avec sa main, a dit des obscénités arrête de crier, je l'ai jeté de l'autre côté du canapé ... je pense qu'il est temps pour moi de guérir ou je vais le tuer bientôt ... le fils est un enfant planifié et pas seulement une grossesse errante, mais quand j'étais enceinte, mon mari m'a sorti le cerveau avec ses caprices, s'est moqué de moi, a poussé, en a jeté un avec des sacs quand nous avons quitté le magasin en hiver , se disputant constamment, se disputant, tout a commencé quand j'étais enceinte, quand j'ai donné naissance à un enfant, il y a eu des complications, l'enfant a commencé à mourir, du coup, j'ai eu une césarienne, mon plus grand rêve était d'accoucher moi-même, mais Je n'ai pas réussi à cause de - pour lequel je suis vraiment tombé en dépression... quand ils m'ont amené un enfant, je n'aimais pas ça, mais je ne comprenais pas pourquoi j'avais un tel sentiment que ce n'était pas le mien, mais l'enfant de quelqu'un d'autre ... et c'est ainsi que pendant trois mois je ne l'ai pas perçu comme le mien mais j'ai strictement rempli toutes les tâches que j'ai allaitées (jusqu'à deux ans) Je travaille avec lui, j'ai embauché des masseuses, je suis allé nager, je lui ai lu des contes de fées depuis son premier anniversaire jusqu'à ce jour, je joue, plaisante avec lui, je l'embrasse toujours Je l'aime très fort comme une mère, dès l'âge de 1,2 ans j'ai commencé à l'emmener dans un centre de perfectionnement et à la maison je travaille moi-même avec lui, j'apprends tout la géométrie, le modelage, les lettres, on dessine ensemble, je lui apprends tout , c'est le plus intelligent, le plus gentil, il m'aide depuis seulement 2 ans et il sait déjà beaucoup de choses que les autres ne savent pas, pour ma part je l'adore, je l'aime, mais quand il se met à crier, je deviens un démon et commencer à le battre et à le jeter. Qu'est-ce qui ne va pas avec moi… peut-être qu'il est temps de devenir fou… j'ai besoin d'aide, de conseils et pas seulement de bavardages !!! Je dois trouver comment me comporter quand il crie.

Je suis désolé d'avoir écrit autant, j'ai peut-être accumulé beaucoup plus en deux ans, personne ne comprend et ne veut pas écouter, désolé pour les mêmes erreurs.

Il y a beaucoup de réponses là-bas, j'en ai choisi une, si vous voulez la voir en entier ici

ivezha. fr/threads/3960

    chercher des ailes. (Avec)

    A dit): 04.05.2014 14:43

    A la question de savoir comment apprendre à se retenir...

    Personnellement, je n'ai pas battu l'enfant, mais je lui ai souvent fait pression moralement, j'ai pleuré ... c'est mauvais. J'ai réalisé que j'étais inondée de colère aveugle et que je déversais simplement certaines de mes émotions sur ma fille qui n'avaient rien à voir avec elle. J'ai dû apprendre à me contrôler. Et puis, curieusement, j'ai été aidé par une histoire de toxicomane. L'un des postulats de ceux qui ont arrêté, que vous devez réaliser, semble simple, mais je ne l'ai pas compris avant ... et donc: il n'y a que le moment présent. Si vous ne vous retenez pas maintenant, vous ne vous retiendrez plus jamais. Vous vous réveillez le matin - et tout recommence. Il n'y a pas de demain. Il n'y a pas de plus tard.
    Il est difficile d'expliquer comment, mais je m'en suis souvenu plusieurs fois au moment même où j'ai réalisé que MAINTENANT, je commencerais à exercer une pression déraisonnable sur ma fille et ... hélas, je ne peux pas expliquer comment cela a aidé moi j'arrête. Tout faisait rage à l'intérieur, quelque chose était impatient de se déverser dans la colère (pour une raison quelconque, c'était bien que la fille pleure maintenant - c'est une sorte de cruauté sanguinaire, un désir de tourmenter), mais d'une manière ou d'une autre, en une seconde, c'est venu: prise de conscience de sa colère, une prévision de ce qui va se passer ensuite, puis j'ai ressenti le moment du choix, faire ceci ou pas, puis j'ai fait un choix - me retenir. Et à ce moment-là, tout était calme. La colère était partie. Tout cela s'est passé en quelques secondes. Non, après ça, la colère ne m'a pas rongé de l'intérieur. Il y avait juste un sentiment que lui, comme l'eau, s'écoule au moment du choix. C'est-à-dire que ce n'était pas par la force. Il n'y avait rien de tel que moi, ressentant une irritation sauvage, je souriais avec force. Au contraire, pour que la colère disparaisse, vous vous éloignez complètement de la situation.

    Oh, désolé, je ne peux pas vraiment expliquer comment c'est.

    Et puis, après m'être retenu plusieurs fois de cette manière, tout a commencé à décliner ... J'ai commencé à voir davantage ma fille, et pas moi-même.

    Au fait, oui, ma colère m'a aussi inondé de marées précisément dans les moments de désobéissance. Mais ici, j'ai eu un travail séparé et long sur moi-même ... maintenant, il m'est étrange d'imaginer que vous puissiez me désobéir.

    Voici une situation, par exemple.

    Je pense toujours à la bonne chose à faire mais je commence à être confus, il exige de monter une machine à écrire sur la machine à écrire de quelqu'un d'autre, je lui dis que c'est à quelqu'un d'autre, pas à nous, ils ne nous permettent pas, dès qu'il entend que ce quelqu'un d'autre tombe par terre, il se met à crier, à exiger , je reste debout à le regarder hurler en essayant de lui expliquer que ce n'est pas notre machine, puis je lui dis que la terre est sale, lève-toi, il hurle,

    Il sent votre hésitation et votre faiblesse, je pense ... la situation, soit dit en passant, pourrait être battue (offrir quelque chose en échange de la machine à écrire, proposer de demander aux propriétaires si c'est possible, proposer d'échanger quelque chose avec les propriétaires de la machine à écrire). Et en même temps, intérieurement, pas une seconde à douter du COMMENT et du POURQUOI. Vous obtenez trop de tout, comme si tout ce qui vous importait était de le gérer et comme si vous doutiez que vous devriez le gérer.

    Cette situation m'a rappelé un peu le comportement typique d'une personne qui n'est pas sûre de ce qu'elle dit ou ment (je ne suis pas du tout psychologue, mais je mène souvent des négociations commerciales). Comment se comportent ces personnes ? Ils conduisent trop raisons pour les justifier. Toutes les raisons sont petites, dispersées et indirectement liées à l'affaire.

    Il est probable que l'enfant ressente votre hésitation, votre insécurité. Ils lui mentent, proteste-t-il.

    Regardez combien de choses : soit la voiture appartient à quelqu'un d'autre, soit nous n'y sommes pas autorisés, soit le terrain est sale. Un flot de non, pas un seul oui. Mais il y a toujours un OUI.

J'ai battu mon enfant, j'ai commencé à remarquer que je fais ça souvent déjà, je le bats parce qu'il se met à crier, ça m'énerve quand il crie !!! Quand il vient de naître de moi et que je n'ai pas pensé à le frapper une seule fois, mais pour une raison quelconque, mon opinion s'est éteinte quand ils m'ont demandé si vous battiez votre enfant, j'ai répondu NON QU'EST-CE QUE VOUS? ... il était puis à 5 mois, il a eu sa première dent j'étais seul à la maison et je n'ai pas compris pourquoi il a crié comme ça toute la nuit, etc.. puis je l'ai giflé sur le pape c'était la toute première fois, une fois je l'ai giflé moi-même j'ai eu peur que l'enfant ait eu peur 100 fois... après j'ai arrêté de le faire je ne comprends pas pourquoi j'ai été touché par ces mots qu'on peut battre les enfants.... que mes copines battent leurs enfants, leurs enfants sont vivant et en bonne santé, ce qui signifie que tout ira bien avec le mien ... puis c'est devenu une habitude .. dès qu'il a commencé à m'énerver, je l'ai d'abord giflé sur le pape, ce n'était qu'une gifle, puis trois fois, quand il avait un an, nous avons déménagé dans un nouvel appartement, il a mis ses mains dans la prise, je lui ai parlé et lui ai expliqué que c'était impossible, ils m'ont conseillé de simplement lui gifler les mains ... et j'ai fessé très fort ses mains étaient rouge, je lui ai dit h puis le courant bat comme ça, puis il a commencé à m'embêter à jamais grimper quelque part, il l'a fait comme ça, m'a regardé, a ri, il a joué avec moi et n'a pas compris que c'était dangereux et ça m'énervait, puis il était lui rendant déjà visite 1.4 a commencé à se montrer devant d'autres enfants, a gracieusement agité la main quand je l'ai nourri, pour cela je l'ai battu fort sur les mains et lui ai crié dessus avec des obscénités, il ne voulait pas aller à la douche pour nager parce qu'il voulait aller se promener dehors quand je l'ai traîné dans la douche, puis il est tombé par terre et a crié comme un fou, pour ça je l'ai frappé fort sur le cul, quand il crie je ne peux pas me contrôler, ça me fait chier off, je deviens un démon, je veux juste le tuer, le jeter dehors, le frapper pour qu'il se taise, je commence à le détester, à lui crier dessus avec les dernières obscénités, et cela arrive souvent une fois par semaine, mais en été c'était plus souvent, ça me touche aussi que si un de mes amis punit ses enfants, alors pour une raison quelconque je commence à penser que c'est la même chose pour moi doit faire... ce soir il a dormi ou al dans un rêve, et m'a donné un coup de pied ... Je l'ai serré dans mes bras, l'ai secoué, l'ai calmé, mais il ne s'est pas calmé, il a continué à me donner des coups de pied ... à la fin ça m'a énervé, je l'ai battu dans les jambes avec ma main si fort que maintenant mon bras me fait mal, elle a couvert sa bouche avec sa main, a dit avec des obscénités, arrête de crier, l'a jeté de l'autre côté du canapé ... Je pense qu'il est temps pour moi d'être soigné ou Je le tuerai bientôt. .. le fils est un enfant planifié et pas seulement une grossesse égarée, mais quand j'étais enceinte, mon mari m'a sorti le cerveau avec ses caprices, s'est moqué de moi, m'a poussé, en a jeté un avec des sacs quand nous sommes sortis du magasin en hiver, constamment disputée, scandalisée, tout a commencé quand je suis tombée enceinte quand j'ai accouché, il y a eu des complications, l'enfant a commencé à mourir, du coup, j'ai eu une césarienne, mon plus grand rêve était d'accoucher moi-même, mais je ne l'ai pas fait réussir à cause de quoi je suis vraiment tombé dans la dépression ... quand ils m'ont amené un enfant, je n'aimais pas ça, mais je ne comprenais pas pourquoi j'avais un tel sentiment que ce n'était pas le mien, mais l'enfant de quelqu'un d'autre . .. et c'est ainsi que pendant trois mois je ne l'ai pas perçu comme le mien, mais j'ai strictement rempli toutes les tâches que j'ai allaitées (jusqu'à deux ans) Je travaille avec lui, j'ai embauché des masseuses, je suis allé nager , je lui ai lu des contes de fées depuis son premier anniversaire à ce jour, je joue, plaisante avec lui, l'embrasse toujours, je l'aime beaucoup comme une mère, dès l'âge de 1,2 ans j'ai commencé à l'emmener dans un centre de développement et à la maison je travaille avec lui moi-même , j'enseigne la géométrie , le pka, lettres, on dessine ensemble, je lui apprends tout, c'est le plus intelligent, le plus gentil, il m'aide depuis seulement 2 ans et il sait déjà beaucoup de choses que les autres ne savent pas, pour ma part je l'adore , je l'aime, mais quand il commence à crier, je deviens un démon et commence à le battre et à le jeter. Qu'est-ce qui ne va pas avec moi... peut-être qu'il est temps de devenir fou... J'ai besoin d'aide, de conseils et pas seulement de bavardages !!! J'ai besoin de trouver comment me débrouiller au moment où il crie.

Je suis désolé d'avoir écrit autant, j'ai peut-être accumulé beaucoup plus en deux ans, personne ne comprend et ne veut pas écouter, désolé pour les mêmes erreurs.

  • SW. Svetlana, je tiens à vous exprimer mon soutien.


    Quel âge as-tu?
    Que faisiez-vous avant la grossesse ?

  • Bonjour, Svetlana, raconte-nous comment s'est déroulée la grossesse, selon quelles indications tu as eu une césarienne. Comment vont tes hormones maintenant ?
  • Je veux aussi que vous, bravo, que vous vous avouiez et que vous résolviez ce problème.
    Je veux vous demander quel genre d'enfance avez-vous eu, votre mère vous a-t-elle battu?
  • Qu'en pense votre mari ? pourquoi bats-tu un enfant?
    Comment communique-t-il avec l'enfant ?
  • --- Ajoutée ---

    La grossesse se passait mal, après que mon mari et moi nous soyons disputés, il m'a battu à l'époque ... est allé à l'hôpital avec des indications de fausse couche spontanée ... puis j'ai couché plusieurs fois à cause du ton, des indications de césarienne l'accouchement est déjà survenu lors de la naissance elle-même quand j'ai accouché, ils ont fait du CTG, il s'est avéré que l'enfant suffoquait, son rythme cardiaque baissait et ils m'ont coupé, il s'est avéré qu'il était enveloppé dans le cordon ombilical ... avec des hormones ... Je ne sais pas, je n'ai pas vérifié.

    Ajoutée ---

    Oui, mes parents m'ont battu, mon père a commencé à me battre à partir de la cinquième année, puis ma mère m'a battu, surtout giflé le pape, puis je me souviens quand nous étions en cinquième année, nous sommes venus de l'école et papa est venu ivre et nous a battus très mal avec le renn d'un soldat avec une plaque, nous a conduits dans le coin et a martelé, durement avec une balançoire ... pour le fait que nous ne l'avons pas préparé à manger ... c'est comme ça qu'il l'a dit ... après ce jour il a commencé à nous battre, il ne nous avait jamais battus du tout auparavant, nous l'aimions, marchions avec lui, j'aimais coucher avec lui, mais après ce jour-là, nous le détestions ... ma mère a alors commencé à me battre, une fois qu'elle a battu moi et m'a jeté les pieds nus dans la neige parce que je ne voulais pas éplucher l'oignon ... eh bien, et ainsi de suite, je l'ai souvent eu comme ça, mes sœurs m'ont piégé, ma mère les a crues.

    Ajoutée ---

    mon mari n'est pas au courant du fait que je le bats, quand mon mari est à la maison, c'est plus facile pour moi d'avoir un enfant avec moi, puis il joue avec lui et aide mon mari à marcher avec lui et ainsi de suite un peu. .. mon mari n'entend que quand je lui crie dessus, il est contre, eh bien je suis contre la même chose, mais je ne peux pas me retenir ... il va bien avec un enfant une fois, il lui a donné une fessée, je lui ai dit que lions ça avec ça, que ça ne mènera pas au bien, il ne lui a plus donné la fessée avec moi.

    Ajoutée ---

    SW. Svetlana, je tiens à vous exprimer mon soutien.
    De nombreuses mères sont confrontées à des problèmes similaires, et parfois vous et seulement quelques-unes admettent qu'il y a un problème et qu'il doit être résolu.

    SW Svetlana, parlez-nous de votre relation actuelle avec le père de l'enfant ?
    Que faites-vous à part vous occuper de votre fils ?
    Quel âge as-tu?
    Que faisiez-vous avant la grossesse ?

    Notre relation avec mon mari est mauvaise, nous nous disputons toujours, nous nous disputons dès que je suis tombée enceinte, mon mari a commencé à se quereller pour chaque petite chose, puis c'est devenu une habitude de faire des scandales tous les week-ends ... Je ne fais plus rien qu'un enfant, l'enfant ne va pas au jardin, le mari ne le prescrit pas... sans titre de séjour ils ne nous mettent même pas sur la liste d'attente... j'ai dit cent fois à mon mari quand on ira prescrire? il refuse pour diverses raisons ... J'ai 27 ans.Avant la grossesse, j'ai travaillé dans un salon automobile, puis, avec mon mari, je l'ai aidé.

  • Nous avons une mauvaise relation avec mon mari, nous nous disputons toujours, nous nous disputons dès que je suis tombée enceinte, mon mari a commencé à se quereller pour tout, puis c'est devenu une habitude de faire des scandales tous les week-ends...

    Êtes-vous satisfait d'une telle relation? Et le mari ? Pourquoi ne pas divorcer alors ?

  • Les relations avec mon mari ne me conviennent pas, nous nous sommes disputés avec lui, la dernière fois qu'il m'a balancé et mon fils a couru pour me protéger ... Je déteste déjà mon mari, j'ai peur d'un divorce, où je vivra avec un enfant, je pense constamment à la façon de m'éloigner de mon mari, mais je pense à la façon dont mon fils va grandir sans père ... Je ne peux pas faire face à mon fils moi-même, il devient de plus en plus désobéissant, il a cessé de m'écouter du tout, une semaine s'est écoulée, il est déjà un garçon différent, pas obéissant, il était juste en visite, il a ouvert la bouche et a crié si quelque chose n'allait pas comme il le voulait, ou ils ne lui ont pas donné quelque chose, ils ne l'a pas laissé aller où il veut ... il ouvre juste la bouche et commence à crier jusqu'à ce qu'il siffle ... aujourd'hui encore, il a été battu sur le pape déjà sorti pendant deux semaines, je criais constamment et non l'obéissance, il a apporté le designer à la cuisine, on a joué aux maisons avec lui, il a construit, il s'est levé et a tout brossé avec sa main sur le sol, tout s'est brisé en petits détails, je lui ai dit que ce n'était pas bien de faire ça, lui ai demandé de nettoyer il, il s'est enfui .. .puis il est revenu et a commencé à tout jeter effrontément avec son pied pour montrer qu'il ne le ferait pas ne rien nettoyer. Puis il a commencé à agiter ses mains vers moi, à lancer des cubes, à tomber par terre et à crier, cela m'a fait sortir et je l'ai giflé sur le pape, je me suis déjà fatigué de son comportement, il ne veut pas un bon relation, il me semble...
  • Laisse l'enfant à ton mari. Ou donnez-le à une famille d'accueil. Eux-mêmes - à un psychologue. Oui, et cela ne ferait pas de mal de montrer le fils à des spécialistes.
  • Un psychothérapeute est un médecin qui traite les maladies mentales de gravité légère à modérée, résultant du stress, héréditaires, basées sur des traumatismes mentaux de l'enfance, mais non associées à des maladies cérébrales graves ou à d'autres lésions physiologiques. La qualification de psychothérapeute est attribuée à un psychiatre qui a au moins trois ans d'expérience professionnelle et qui a suivi une formation complémentaire.

    Un psychothérapeute, contrairement à un psychologue qui n'est pas un médecin spécialiste, a le droit de diagnostiquer, de prescrire et d'effectuer un traitement. Il se distingue d'un psychiatre par les méthodes de traitement. Si un psychiatre traite des patients avec des médicaments qui affectent l'activité cérébrale, le psychothérapeute s'appuie initialement sur des méthodes d'influence de la parole, en les complétant avec des médicaments si nécessaire. (Avec)

    Je pense que vous avez un besoin urgent d'un psychothérapeute. Vous détestez votre mari et éliminez le mal sur l'enfant. Si vous laissez tout tel quel, alors pour l'enfant, cela menace à la fois de graves traumatismes psychologiques et physiques. En parallèle, vous avez besoin d'un psychologue pour prendre soin de votre bébé en ce moment. L'enfant vous sent et se comporte en fonction de votre comportement. Lorsque les bébés font leurs dents, ils deviennent très moroses. De plus, vous utilisez déjà assez souvent les châtiments corporels, c'est une mesure extrême, par impuissance. Ça ne marche pas - je vais te battre, et quand les gifles cesseront d'aider, commenceras-tu à te battre comme ton père ? D'urgence, d'urgence à l'accueil interne chez le médecin.
    Personne ne vous enlèvera votre enfant, le médecin vous aidera à comprendre la situation, à trouver des solutions acceptables et à vous prescrire des sédatifs.

    Dernière édition par Ritta; 05/01/2014 à 16:51 .
  • Cette nuit, il a dormi en hurlant dans un rêve et m'a donné des coups de pied ... Je l'ai serré dans mes bras, je l'ai secoué, je l'ai calmé, mais il ne s'est pas calmé, il a continué à me donner des coups de pied ... à la fin ça m'a énervé, je l'ai battu sur les jambes avec ma main si fort que moi-même maintenant sa main lui fait mal, lui a couvert la bouche avec sa main, a dit avec des obscénités arrête de crier, l'a jeté de l'autre côté du canapé ...

    SW. Svetlana, qu'est-ce que tu es? se sentir après ce que vous avez décrit, que faites-vous, que dites-vous à l'enfant ?
    À quelle vitesse se calme-t-il ?

  • Je me sens dégoûtant que je sois le même que mes parents, le même monstre et créature, l'enfant ne se calme que dans mes bras, il monte dans ses bras et me serre dans ses bras, enfouit son nez sur mon épaule et arrête de pleurer, se calme toujours dans différentes manières, parfois rapidement parfois pendant longtemps, mais cela alors quand je ne le prends pas, il marche après moi et rugit, je ne comprends tout simplement pas comment me comporter avec lui, que faire après la punition, puisque Je l'ai puni, je l'ai juste serré dans mes bras, je lui ai dit qu'il ne fallait pas mal le faire, je dis que j'ai grondé à cause de sa désobéissance ... Je comprends que je suis juste fatigué et que tous les gens autour de moi sont enragés, l'enfant m'agace avec ses cris simples, il se met à vomir et ça m'agace, je ne sais pas comment me retenir.
  • Je me sens dégoûtant que je sois le même que mes parents, le même monstre et créature, l'enfant ne se calme que dans mes bras, il monte dans ses bras et me serre dans ses bras, enfouit son nez sur mon épaule et arrête de pleurer, se calme toujours dans différentes manières, parfois rapidement parfois pendant longtemps, mais cela alors quand je ne le prends pas, il marche après moi et rugit, je ne comprends tout simplement pas comment me comporter avec lui, que faire après la punition, puisque Je l'ai puni, je l'ai juste serré dans mes bras, je lui ai dit qu'il ne fallait pas mal le faire, je dis que j'ai grondé à cause de sa désobéissance ... Je comprends que je suis juste fatigué et que tous les gens autour de moi sont enragés, l'enfant m'agace avec ses cris simples, il se met à vomir et ça m'agace, je ne sais pas comment me retenir.



    Vivez-vous séparément avec votre mari ou avec quelqu'un d'autre de votre famille ?

    Dernière édition par Tatyana I; 05/02/2014 à 07:17 .
  • Et si vous ne frappez pas, au contraire, étreignez-vous quand vous voulez frapper ? Se faire un câlin, s'embrasser, se souhaiter un pauvre fatigué (quoi qu'on dise, c'est parfois dur pour tout le monde avec de jeunes enfants) de pleurer ensemble.
    Il a 2 ans, j'ai bien compris du sujet?
    À mon humble avis: pensez simplement que s'il se calme dans vos bras, vous disposez d'une ressource qui vous aidera à le calmer dans de tels moments. Et puis, à un tel âge, ils nous sentent, une race différente à distance (une marraine a un enfant complètement calme, sans aucune raison, a commencé à crier bêtement, demande maman, il s'est avéré que maman à ce moment est tombée dans le jardin avec des crises cardiaques, et il était dans la maison), et quels sentiments vous enverrez en communiquant avec lui, il reflétera les mêmes. (un exemple du fait qu'il te bat parfois, tu le bats et il te bat). Imaginez qu'il a juste peur et pour cette raison il vous suit et pleure, et votre tâche est de le serrer dans vos bras et de lui dire ainsi "n'aie pas peur, bébé, maman est avec toi, maman est proche, elle t'aime et te protégera !"

    Vivez-vous séparément avec votre mari ou avec quelqu'un d'autre de votre famille ?


    Nous vivons séparément de tous les parents, un appartement de deux pièces, j'essaie de me retenir parfois comme un démon prend possession et commence juste à le battre ... Je pense constamment que si je le serre dans ses bras quand il est méchant, exige qu'il n'est pas autorisé ou quelque chose d'extraterrestre, il commencera à crier, ils tomberont et je le serrerai dans mes bras ... que se passera-t-il ensuite ? Je pense toujours à bien faire les choses, mais je commence à être confus, il demande à monter une machine à écrire sur la machine à écrire de quelqu'un d'autre, je lui dis que c'est à quelqu'un d'autre, pas à nous, ils ne nous permettent pas, dès qu'il entend que c'est à quelqu'un d'autre ça tombe par terre, il se met à crier, exigeant, je reste debout à regarder comment il crie en même temps j'essaie de lui expliquer que ce n'est pas notre machine, puis je lui dis que la terre est sale, lève-toi, il crie, aujourd'hui, comme tfu tfu, il a marché sans incident, il a crié, je suis tombé, je me suis contrôlé, il ne lui a pas parlé tout de suite, mais il s'est levé, m'a suivi, corrompu et a pris son abandonné jouets, les a apportés au coffre, je comprends qu'il me bat parce que je l'ai battu, il a commencé à se battre dès que j'ai commencé à le battre, je comprends que battre mène à battre, je ne peux tout simplement pas me retenir parfois tu es furieux moi tellement que tout vole tout seul ... alors seulement je commence à penser à ce que j'ai fait ... pas plus tard qu'hier, par exemple, je lui ai demandé de supprimer ce constructeur dispersé, qu'il a lui-même gracieusement jeté de la table sur le sol et regarda avec plaisir comment il se brise en miettes puis je me suis levé et je l'ai jeté avec mon pied, je lui ai demandé de l'enlever, puis j'ai dit que le concepteur serait perdu s'il tombait comme ça, a proposé de l'aider, et il s'est juste levé et lui a donné un coup de pied avec son pied , puis est tombé sur lui, puis il s'est juste levé et est parti ... même s'est enfui, je l'ai renvoyé, et il a commencé à me frapper, à me lancer un designer, à agiter les mains, à crier, à donner des coups de pied à ce Lego, pour lequel il a obtenu frappé au cul, a fini par fondre en larmes et s'est rendormi dans mes bras, a grimpé sur moi pour l'instant rugi, j'ai enlevé ce créateur et l'ai jeté sur le balcon, une fois que c'est déjà arrivé, j'ai juste enlevé tous ses jouets pendant deux semaines , puis lui en a progressivement donné un à la fois en lui disant qu'il remettait les jouets à leur place et que ce jouet voulait lui revenir comme ça mais là ça recommence...
  • Je pense constamment que si je le serre dans mes bras quand il est méchant, demande qu'il ne soit pas autorisé ou quelque chose d'extraterrestre, il commence à crier, à tomber et je vais le serrer dans mes bras ... que se passera-t-il ensuite? Je pense toujours à bien faire les choses, mais je commence à être confus, il demande à monter une machine à écrire sur la machine à écrire de quelqu'un d'autre, je lui dis que c'est à quelqu'un d'autre, pas à nous, ils ne nous permettent pas, dès qu'il entend que c'est à quelqu'un d'autre ça tombe par terre, il se met à hurler, exiger, je reste debout à regarder comment il hurle en essayant de lui expliquer que ce n'est pas notre machine, alors je lui dis que la terre est sale lève-toi, il hurle





    Et encore une question :

    aujourd'hui, comme tfu tfu, il a marché sans incident, il a crié, est tombé, je me suis contrôlé, lui ai parlé, il ne s'est pas levé tout de suite, m'a suivi, s'est corrompu et a emporté ses jouets abandonnés, les a apportés au coffre,

    Il ne t'a pas encore testé pour la force

    hier, par exemple, je lui ai demandé d'enlever ce constructeur dispersé, qu'il a lui-même gracieusement jeté de la table sur le sol et a regardé avec plaisir comment il se brisait en miettes, puis s'est levé et l'a jeté avec son pied, je lui ai demandé de l'enlever , puis a dit que le constructeur serait perdu si ça tombait comme ça, a proposé de l'aider, et il s'est juste levé et lui a donné un coup de pied avec son pied, puis est tombé sur lui, puis il s'est juste levé et est parti ... même s'est enfui, Je l'ai renvoyé et il a commencé à me battre, à me jeter un designer, à agiter ses mains pour crier, à donner un coup de pied à ce Lego, pour lequel il a été frappé au cul, en conséquence, il a éclaté en sanglots et s'est rendormi dans mon bras, grimpé sur moi pendant qu'il rugissait, j'ai enlevé ce constructeur et je l'ai jeté sur le balcon, une fois que c'est arrivé alors j'ai juste enlevé tous ses jouets pendant deux semaines puis lui ai donné progressivement un à la fois, en disant qu'il remettait les jouets en place et ce jouet voulait lui revenir comme ça, mais maintenant tout a recommencé...

  • Uv.Olga Je ne suis pas psychologue, mais cette situation est douloureusement familière ... Ma seule course dans une telle chute sur le sol s'est mordue la langue.
    Autant que je me souvienne du discours, dans le post précédent, il s'agissait du fait que l'enfant pleurait la nuit et que vous l'avez réconforté. Peut-être qu'il a fait un mauvais rêve.
    Dans cette situation, vous décrivez comment l'enfant essaie de le prendre avec sa gorge - ce sont des choses différentes.
    IMHO: il est inutile d'expliquer à un enfant qui crie dans cette situation !!!
    Vous attrapez le bacon (pas encore très lourd) et le traînez à la maison, sans crier ni frapper, et à la maison dites qu'il ne s'est pas bien comporté et c'est pourquoi vous avez arrêté de marcher.
    Deuxième option : Restez calmement à côté de l'enfant qui se débat et restez silencieux, démontrant ainsi que la variation ne fonctionnera pas. Lorsqu'il est fatigué de crier, dites : "Calmez-vous !! Non, c'est non."
    Et encore une question : Qui t'a dit que ça allait empirer ???
    Un autre IMHO: il est normal qu'un enfant de cet âge vérifie à quel point vous pouvez plier vos parents et comment vous pouvez les gérer (j'ai maintenant 6 ans et tout est passé, le mot NON est perçu de manière adéquate). La séquence principale est de ne pas changer la décision NON signifie NON.

    Il ne t'a pas encore testé pour la force

    Est-ce que vous vous contentez souvent de le serrer dans vos bras, de le féliciter, de l'embrasser en guise d'encouragement, par exemple, ou juste comme ça, sans raison ?

    Je ne suis pas Olga...

    Je le serre souvent dans mes bras comme ça, nous jouons toujours à des jeux, parfois je commence juste à le serrer, à lui chatouiller le ventre, il vient toujours m'embrasser, je le serre dans mes bras en retour, je le félicite toujours pour tout ce qu'il fait, mais de différentes manières pour ce qu'il est alors il l'enlèvera, je dirai, tu vois comme tu as bien fait, allez, cinq, et je l'embrasse sur la tête, pour le fait qu'il s'est lui-même assis sur le pot et a fait tout son affaires, je le serre dans mes bras, le félicite, frappe dans nos mains avec lui, parfois j'exprime simplement l'intonation qu'il est super, il est un bon gars et il a fait un excellent travail et nous tapons dans nos mains, je le félicite toujours, par exemple, il va éparpillez de la nourriture pour chat, je lui dis, et maintenant récupérez-la, il commence à obstinément, mais à la fin il récupère, je change immédiatement d'intonation par la force, tire un sourire et dis, vois comme tu es bon, il s'est avéré que nous allons cinq, nous câlin, nous nous embrassons ... Je le loue toujours, l'embrasse, le serre dans mes bras. Il crie toujours à différentes occasions, parfois dans un rêve la nuit, parfois il crie partout dans la rue et ça m'énerve toujours.

  • Désolé j'ai foiré quelque chose.
  • Pourquoi ne pas consulter un neurologue à propos de son comportement ? Et pourquoi refusez-vous vous-même l'assistance médicale ?
    Il n'y a pas de bouton magique, pas de pilule magique qui supprimera les réactions indésirables. Qu'attendez-vous du forum ? Que voulez-vous de vous-même ? Que voulez-vous d'un enfant ?
  • Pourquoi ne pas consulter un neurologue à propos de son comportement ? Et pourquoi refusez-vous vous-même l'assistance médicale ?
    Admettre qu'il y a un problème n'est que la moitié du chemin pour le résoudre.
    Il n'y a pas de bouton magique, pas de pilule magique qui supprimera les réactions indésirables. Qu'attendez-vous du forum ? Que voulez-vous de vous-même ? Que voulez-vous d'un enfant ?

    Je ne veux pas de consultation chez un psychologue, au contraire, j'en rêve, je veux communiquer en réalité avec une personne vivante à propos de mes problèmes, c'est juste qu'en ce moment il n'y a pas d'argent pour payer ça.. J'ai déjà pris rendez-vous avec un neurologue pour une ambulance, je ne refuse pas l'aide, il n'y a pas encore d'argent pour ça... J'attends du soutien et des conseils du forum pour savoir comment apprendre à se retenir, quoi faire au moment où le sang bout, comment agir et se comporter correctement quand l'enfant a déjà tout enragé, je veux apprendre de moi-même la patience, la retenue, et en général je veux arrêter de le battre, je ne veux rien de l'enfant ... je comprends que le problème est en moi et non en lui, il est encore petit pour vouloir quelque chose de lui, bien sûr vous pouvez dire que je veux qu'il ne touche pas, ne crie pas, ne jette pas quand quelque chose n'a pas fonctionné pour lui, mais je comprends qu'il ne peut pas encore se retenir et c'est mon devoir de lui apprendre cela, mais moi-même je ne peux pas et moi-même je ne sais pas comment le faire ... quand nous avons une situation avec lui qui ça commence à m'énerver, puis beaucoup de pensées me traversent la tête quoi faire, comment se comporter, quoi lui dire, les premiers mots sont toujours calmes, j'essaie d'expliquer quoi et comment, mais il commence à donner des coups de pied, à lancer , se battre, mordre et s'en prendre .. aujourd'hui je l'ai juste emmené au pot, je lui dis allons-y, il est temps pour toi de t'asseoir là, il ne veut pas ... je sais avec certitude qu'il est temps pour qu'il commence à dire que prenons des voitures et allons au pot, il n'y va pas mais ment et joue, je l'ai ramassé et j'ai dirigé, et il m'a attrapé à la jambe ... la réaction a fonctionné instantanément, j'ai été touché sur le pape tout de suite...

  • Je sais avec certitude qu'il est temps Je commence à dire que prenons les voitures et allons au pot, il n'y va pas, mais ment et joue, je l'ai ramassé et l'ai conduit, et il m'a attrapé à la jambe ... la réaction a fonctionné instantanément , je me suis tout de suite tapé sur le pape...

    A reçu un coup au cul pour savoir mieux que vous quand il est temps pour lui d'aller au petit pot ?

  • Il sait peut-être qu'il est temps pour lui d'aller au pot, mais il ne s'assied pas lui-même et fait tout par terre... alors je calcule le moment où il voudra à nouveau utiliser les toilettes. n'ont jamais fait d'erreur. Il a reçu un coup au cul pour m'avoir mordu à la jambe.
  • A la question de savoir comment apprendre à se retenir...

    il n'y a que le moment présent

    Voici une situation, par exemple.

    Je pense toujours à la bonne chose à faire mais je commence à être confus, il exige de monter une machine à écrire sur la machine à écrire de quelqu'un d'autre, je lui dis que c'est à quelqu'un d'autre, pas à nous, ils ne nous permettent pas, dès qu'il entend que ce quelqu'un d'autre tombe par terre, il se met à crier, à exiger , je reste debout à le regarder hurler en essayant de lui expliquer que ce n'est pas notre machine, puis je lui dis que la terre est sale, lève-toi, il hurle,

    Il ressent votre hésitation et votre faiblesse, je pense ... la situation, soit dit en passant, pourrait être battue (offrir quelque chose à la place de la machine à écrire, proposer de demander aux propriétaires si c'est possible, proposer d'échanger quelque chose avec les propriétaires de la machine à écrire ). Et en même temps, intérieurement, pas une seconde à douter du COMMENT et du POURQUOI. Vous obtenez trop de tout, comme si tout ce qui vous importait était de le gérer et comme si vous doutiez que vous devriez le gérer.

    trop

    Regardez combien de choses il y a : parfois la voiture de quelqu'un d'autre, parfois ils ne nous laissent pas faire, parfois la terre est sale. Un flot de non, pas un seul oui. Mais il y a toujours un OUI.

  • Je me souviens comment j'ai appris à mon fils à utiliser le pot (non, je ne me considère en aucun cas comme un exemple et j'ai un *** nuage d'erreurs) Je l'ai juste porté au pot après m'être levé le matin et après un déjeuner sieste, et le pot était bien en vue. Je ne l'ai jamais grondé même lorsqu'à l'âge de 3 ans il pouvait jouer et même chier son pantalon... Mais quel mini-bonheur mon mari et moi avons vécu lorsque notre fils a couru dans la maison et s'est assis lui-même sur le pot. C'était même de la fierté pour lui ou quelque chose ... J'ai compris !!
    Je pense que vous avez battu le madysh à cause d'un sentiment d'impuissance ... Je veux tout faire mieux que tout le monde, mais pour une raison quelconque, cela ne fonctionne pas.
  • --- Ajoutée ---

    A la question de savoir comment apprendre à se retenir...

    Personnellement, je n'ai pas battu l'enfant, mais j'ai souvent fait pression sur moi moralement, m'a fait pleurer ... c'est mauvais. J'ai réalisé que j'étais inondée de colère aveugle et que je déversais simplement certaines de mes émotions sur ma fille qui n'avaient rien à voir avec elle. J'ai dû apprendre à me contrôler. Et puis, curieusement, j'ai été aidé par une histoire de toxicomane. L'un des postulats de ceux qui ont arrêté, que vous devez réaliser, semble simple, mais je ne l'ai pas compris avant ... et donc: il n'y a que le moment présent. Si vous ne vous retenez pas maintenant, vous ne vous retiendrez plus jamais. Vous vous réveillez le matin - et tout recommence. Il n'y a pas de demain. Il n'y a pas de plus tard.
    Il est difficile d'expliquer comment, mais je m'en suis souvenu plusieurs fois au moment même où j'ai réalisé que MAINTENANT, je commencerais à exercer une pression déraisonnable sur ma fille et ... hélas, je ne peux pas expliquer comment cela a aidé moi j'arrête. Tout faisait rage à l'intérieur, quelque chose était impatient de se déverser dans la colère (pour une raison quelconque, c'était bien que la fille pleure maintenant - c'est une sorte de cruauté sanguinaire, un désir de tourmenter), mais d'une manière ou d'une autre, en une seconde, c'est venu: prise de conscience de sa colère, une prévision de ce qui va se passer ensuite, puis j'ai ressenti le moment du choix, faire ceci ou pas, puis j'ai fait un choix - me retenir. Et à ce moment-là, tout était calme. La colère était partie. Tout cela s'est passé en quelques secondes. Non, après ça, la colère ne m'a pas rongé de l'intérieur. Il y avait juste un sentiment que lui, comme l'eau, s'écoule au moment du choix. C'est-à-dire que ce n'était pas par la force. Il n'y avait rien de tel que moi, ressentant une irritation sauvage, je souriais avec force. Au contraire, pour que la colère disparaisse, vous vous éloignez complètement de la situation.

    Oh, désolé, je ne peux pas vraiment expliquer comment c'est.

    Et puis, après m'être retenu plusieurs fois de cette manière, tout a commencé à décliner ... J'ai commencé à voir davantage ma fille, et pas moi-même.

    Au fait, oui, ma colère m'a aussi inondé de marées précisément dans les moments de désobéissance. Mais ici, j'ai eu un travail séparé et long sur moi-même ... maintenant, il m'est étrange d'imaginer que vous puissiez me désobéir.

    Voici une situation, par exemple.

    Il ressent votre hésitation et votre faiblesse, je pense ... la situation, soit dit en passant, pourrait être battue (offrir quelque chose à la place de la machine à écrire, proposer de demander aux propriétaires si c'est possible, proposer d'échanger quelque chose avec les propriétaires de la machine à écrire ). Et en même temps, intérieurement, pas une seconde à douter du COMMENT et du POURQUOI. Vous obtenez trop de tout, comme si tout ce qui vous importait était de le gérer et comme si vous doutiez que vous devriez le gérer.

    Cette situation m'a rappelé un peu le comportement typique d'une personne qui n'est pas sûre de ce qu'elle dit ou ment (je ne suis pas du tout psychologue, mais je mène souvent des négociations commerciales). Comment se comportent ces personnes ? Ils conduisent trop raisons pour les justifier. Toutes les raisons sont petites, dispersées et indirectement liées à l'affaire.

    Il est probable que l'enfant ressente votre hésitation, votre insécurité. Ils lui mentent, proteste-t-il.

    Regardez combien de choses il y a : parfois la voiture de quelqu'un d'autre, parfois ils ne nous laissent pas faire, parfois la terre est sale. Un flot de non, pas un seul oui. Mais il y a toujours un OUI.

    Il y a de l'hésitation et de la faiblesse parce que je ne sais pas quoi dire et comment y faire face, j'appuie toujours sur ce qu'il fait dans les endroits bondés, tout le monde commence à avoir l'air de le voir pour la première fois... ça commence à appuyer et m'embêter, je commence à penser que tout le monde autour va penser que mon enfant est fou... j'ai encore un complexe sur ce sujet, quand il avait 1 mois ils ont fait une échographie sur le cerveau et là une sorte de liquide a dépassé la norme, mais ce n'est pas une déviation, mais juste sa physiologie est comme ça, avec le temps tout est parti et est revenu à la normale, mais quand ma belle-mère l'a découvert, elle a commencé à parler de mon fils comme s'il était malade dans la tête, elle lui parlait toujours comme une personne mentalement retardée et a dit une fois qu'il fallait faire attention avec mon fils dans la communication et ne pas le laisser pleurer, j'ai demandé pourquoi ? elle a répondu: eh bien, il a des déviations dans la tête ... c'est là que je suis restée coincée .... maintenant je crains toujours que tout le monde pense qu'il est fou ...
    à propos de battre la situation, parfois ça sort, mais parfois le propriétaire est contre le changement et le partage, ça arrive et il n'y a rien d'autre pour distraire son fils sauf qu'il ne veut rien, il n'a pas à tenir bon ... tout donner ... et ici vous avez des crises de colère .
    Oui, je pense toujours que ma tâche est de le calmer au moment où il devient hystérique, parfois quand ça ne marche pas, je me lève et je pense quoi d'autre à faire pour le calmer, ou en général, il peut attendez juste qu'il crie, se retourne...

    Vous avez écrit une histoire très instructive, je vous comprends.

  • Je me souviens comment j'ai appris à mon fils à utiliser le pot (non, je ne me considère en aucun cas comme un exemple et j'ai un *** nuage d'erreurs) Je l'ai juste porté au pot après m'être levé le matin et après un déjeuner sieste, et le pot était bien en vue. Je ne l'ai jamais grondé même lorsqu'à l'âge de 3 ans il pouvait jouer et même chier son pantalon... Mais quel mini-bonheur mon mari et moi avons vécu lorsque notre fils a couru dans la maison et s'est assis lui-même sur le pot. C'était même de la fierté pour lui ou quelque chose ... J'ai compris !!
    IMHO: Svetlana pense pour qui tu dois être une mère idéale?
    Je pense que vous avez battu le madysh à cause d'un sentiment d'impuissance ... Je veux tout faire mieux que tout le monde, mais pour une raison quelconque, cela ne fonctionne pas.


    Je l'ai giflé sur le pape non pas parce qu'il ne voulait pas s'asseoir sur le pot, mais parce qu'il m'a mordu si fort à la jambe que l'ecchymose est restée, mais à la fin il s'est assis lui-même sur le pot. Je suis aussi content quand il s'assoit sur le pot pendant la journée, je le plante moi-même avant d'aller me coucher, avant une promenade et après le sommeil, je contrôle tout ça, mais cette fois il m'a mordu et l'a eu, et non pas parce qu'il résisté aller au pot.
    Je ne veux pas être un idéal, c'est juste que l'essentiel pour moi est d'apprendre à me retenir, à comprendre quoi penser et comment agir au moment où la chapelle tombe en panne, comment comprendre quand l'attraper pour ne pas rejeter toute la négativité sur mon fils.Mes parents ne savaient pas se retenir, et même en général, ce ne sont pas des idéaux, je ne veux en rien être comme eux, mais tout monte de l'intérieur ... parfois quand je le gifle, je pense que cela aurait dû être fait ... pour le fait qu'il m'ait attrapé, je l'ai giflé comment la protection elle-même a fonctionné, rapidement comme l'éclair ... je l'ai frappé quand je l'ai déjà et je ne sais pas quoi faire, comment me comporter pour qu'il comprenne que c'est impossible de faire ça. Il vaut mieux faire quelque chose, je pense que tout le monde le veut, mais je veux que tout soit normal. Je suis satisfait de tout ce que je fais, une chose en moi m'agace que je ne sois pas retenu, criant et le frappant, mais ce arrive rarement mais à juste titre ... J'ai juste peur que cela devienne une habitude et que cela se produise souvent ...

    Ajoutée ---

    Ne me mords pas.

    La réponse à ma question est que nous essayons de faire en sorte que les autres ne pensent pas que l'enfant n'est pas à part entière, et si c'est le cas, alors vous êtes une mauvaise mère qui a donné naissance à un tel ...

    J'ai aussi un complexe sur ce sujet, quand il avait 1 mois ils ont fait une échographie sur le cerveau et là une sorte de liquide a dépassé la norme, mais ce n'est pas une déviation, mais juste sa physiologie est comme ça, avec le temps ça tout est parti et est revenu à la normale, mais ma belle-mère quand elle l'a appris, elle a commencé à parler de mon fils comme s'il avait un mal de tête, elle lui parlait toujours comme à un déficient mental et une fois a dit qu'il fallait être prudent avec mon fils dans la communication et ne pas le laisser pleurer, j'ai demandé pourquoi ? elle a répondu: eh bien, il a des déviations dans la tête ... c'est là que je suis restée coincée .... maintenant je crains toujours que tout le monde pense qu'il est fou ...

    La même chose, l'enfant est fou, mais vous êtes à blâmer ...

    à propos de battre la situation, parfois ça sort, mais parfois le propriétaire est contre le changement et le partage, ça arrive et il n'y a rien d'autre pour distraire son fils sauf qu'il ne veut rien, il n'a pas à tenir bon ... tout donner ... et ici vous avez des crises de colère .
    Oui, je pense toujours que ma tâche est de le calmer au moment où il entre en crise de nerfs, parfois quand ça ne marche pas, je me lève et pense quoi d'autre à faire pour le calmer, ou en général, il peut juste attendre jusqu'à ce qu'il crie, se retourne ...
    Je ne mens pas à mon enfant, je lui dis tel quel, s'ils ne donnent pas la même machine à écrire, alors ils ne donnent pas que puis-je faire ...? allez lui en acheter pour qu'il se calme... la terre est vraiment sale, je ne veux plus le laisser approcher des jouets des autres avant quand je ne le laissais pas entrer et qu'il ne s'approchait pas ça valait le coup une fois pour permettre de tels caprices maintenant... quand je tente de le rassurer non seulement je dis non, je lui offre beaucoup de choses en retour pour regarder les oiseaux et nourrir les canards, et monter sur la colline et grimper à un arbre, mais il a toujours NON et NON lui donne ce qu'il voulait, donc il faut quitter le site...

    Vous refaites l'enfant, vous ratez l'heure où il va aux toilettes, vous sortez de votre peau, prenez toute la responsabilité de son comportement sur vous-même... Perplexe en même temps, je vais bien, pourquoi se comporte-t-il comme ça?
    Eh bien, il criera, il criera, il comprendra que l'option NE FONCTIONNE PAS et s'arrêtera.
    Vous ne le voyez pas, vous ne l'acceptez pas tel qu'il est, vous le remodelez, mais en même temps il ne se sent pas en sécurité, alors il grimpe dans ses mains avec ou sans raison.

    Qu'est-ce qui serait si terrible s'il se faisait pipi ?
    Bien sûr qu'il s'est assis, où ira-t-il, tu es plus fort ?
    Tu n'as rien compris ... J'ai dit que je n'étais pas tendu à ce sujet, le moment est venu et il a commencé à tout faire lui-même, j'ai juste suggéré et sciemment donné un exemple quand il pouvait chier son pantalon.
    Imaginez la situation où un enfant jouait et voulait aller aux toilettes, et... oubliait, se faisait pipi. Il s'est mis mal à l'aise, maintenant il devra s'éloigner du jeu et changer de vêtements alors que lui-même pourrait se lever et faire pipi rapidement et continuer calmement le jeu. Pensez-vous que lui-même ne comprendra pas cela avec le temps?
    NE PAS forcer avec la taille signifie permettre à la situation d'atteindre son achèvement.
    Pourquoi, pourquoi avez-vous besoin de le contrôler ? Il n'apprendra donc jamais à aller aux toilettes lui-même, il attendra que sa mère le dirige)))

    mais cette fois il m'a mordu et l'a eu, et non pas parce qu'il a résisté à aller au pot.
    Je ne veux pas être un idéal, c'est juste que l'essentiel pour moi est d'apprendre à me retenir, à comprendre quoi penser et comment agir au moment où la chapelle tombe en panne, comment comprendre quand l'attraper pour ne pas rejeter toute la négativité sur mon fils.Mes parents n'ont pas su se retenir, et même en général, ce ne sont pas des idéaux, je ne veux en rien être comme eux, mais tout monte de l'intérieur ... parfois quand je le gifle, je pense que cela aurait dû être fait ... pour le fait qu'il m'ait attrapé, je l'ai giflé comment la protection elle-même a fonctionné, rapidement comme l'éclair ... je l'ai frappé quand je l'ai déjà et je ne sais pas quoi faire, comment me comporter pour qu'il comprenne que c'est impossible de faire ça. Il vaut mieux faire quelque chose, je pense que tout le monde le veut, mais je veux que tout soit normal. je suis satisfait de tout ce que je fais une chose en moi m'agace que je ne sois pas retenu, criant et le frappant, mais cela arrive rarement mais avec précision ... J'ai juste peur que cela devienne une habitude et que ce soit souvent ...

    Auteur Vos parents vous ont-ils correctement demandé de vous soumettre et vous ont-ils battu, vous ont-ils chassé dans la neige si vous n'obéissiez pas ?
    IMHO : VOUS cherchez maintenant une réponse pour faire faire à un enfant ce que je veux sans utiliser de force physique ?

    Vous devez apprendre à interagir, à entendre, à accepter et à diriger. Cela signifie tenir compte de ses opinions et de ses désirs, du droit à l'erreur et de l'expression de soi.

    Dernière édition par Tatyana I; 05/05/2014 à 06:29 .
  • Svetlana, bonjour...
    Je viens de commencer à lire votre sujet et peut-être plus loin dans les messages, vous avez déjà pris une décision productive en faveur de la résolution de la situation .... mais maintenant je ne peux pas résister ....
    Maintenant, mon garçon d'un an et demi dort à côté de moi, en se frappant la poitrine, et d'après ce que j'ai lu, un sanglot éclate, une boule dans la poitrine et des larmes....
    Je vous en supplie, remplissez votre tâche principale, protégez le petit homme, au moins de vous-même, comme vous êtes maintenant.
    Mais le temps passe et le temps presse, l'enfant a déjà absorbé, il va maintenant falloir "traiter" ce que vous avez réussi à paralyser et peut-être ressentirez-vous encore plus d'émotions négatives....
    Je sympathise sincèrement avec votre bébé et avec vous. Travaillez sur vous-même, vous êtes obligé, c'est votre responsabilité, maintenant. Une mère ne se contente pas de porter et d'accoucher. Ma mère a également été battue par mon père, mais cela ne nous a aucunement affectés. Et vous le pouvez, croyez en vous.
    Bonne chance. Je ne pouvais tout simplement pas passer...

  • Svetlana, bonjour! Un an s'est déjà écoulé... Dis-moi, comment ça va avec toi maintenant ? Une grande partie de ce que vous avez décrit est similaire à ma situation, je me sens comme une mère misérable pour avoir levé la main sur mon enfant (il a 2,8 ans maintenant), un enfant avec un caractère et un tempérament complexes, une hyperactivité peut être tracée, un neurologue a diagnostiqué une "émotionnelle labilité" il y a un an, il est assez courant que mon enfant fasse une crise de colère, crie jusqu'à ce que les veines de son cou gonflent, s'allonge sur le sol, se batte, y compris donner des coups de pied, mordre, pincer jusqu'à des ecchymoses, tirer ses cheveux, presque ne réagit pas aux commentaires... Nous tous les amis sommes choqués par notre enfant, complètement incontrôlable, nous ne marchons que là où il veut, mais il ne reste pas du tout immobile, il ne joue pas beaucoup sur les cours de récréation, même eu cacher la draisienne, parce qu'il n'obéit pas, il va loin, vole sur la route, il doit courir derrière lui. Il hurle avec ou sans, ça me prend aussi un demi-tour, comme on dit, je ne me retiens pas toujours, je peux me cogner douloureusement les lèvres ou même au visage, ça me prend le cul presque tous les jours. Au début, nous expliquons tout dans le bon sens, puis déjà d'une voix élevée, puis je m'effondre (mon mari aussi parfois ne peut plus se retenir) et lève la main ou le tire comme un fou. Je me sens comme un monstre, mais le système nerveux ne peut plus le supporter. Je prends des sédatifs de temps en temps, mais ils ne m'aident pas beaucoup.