Exécution incorrecte et correcte des droits et obligations parentaux

08.08.2019

L'article 156 du Code pénal de la Fédération de Russie prévoit : une amende pouvant aller jusqu'à 100 000 roubles ; travail obligatoire ou correctif jusqu'à trois ans; une interdiction d'occuper certains postes dans les établissements d'enseignement pendant cinq ans au maximum; jusqu'à trois ans d'emprisonnement.

En cas d'atteinte à la santé d'un enfant, l'auteur devra répondre en vertu d'autres articles du Code pénal. Par exemple, l'art. 116 (coups), art. 111 (infliger intentionnellement des lésions corporelles graves), art. 112 (infliger intentionnellement des lésions corporelles moyennes), art. 115 (infliger intentionnellement des lésions corporelles mineures), art. 117 (torture), art. 119 (menace de mort) et autres. La loi russe prévoit un certain nombre de sanctions pour l'usage de diverses formes de violence (physique, sexuelle ou psychologique).

Article connexe : Responsabilité des parents pour mauvaise exécution des devoirs parentaux

Les parents sont responsables de la mauvaise éducation et de l'entretien des enfants. L'éducation et l'entretien d'un enfant sont reconnus comme insuffisants si les droits et intérêts légitimes de l'enfant ne sont pas assurés, y compris si l'enfant se trouve dans une situation socialement dangereuse. Une situation socialement dangereuse est comprise comme une situation dans laquelle :

En cas de menace directe pour la vie de l'enfant ou sa santé, la commission des affaires de la jeunesse statue sur l'éloignement de l'enfant, exerçant les fonctions de tutelle et d'organes de tutelle. Compte tenu de l'intérêt de l'enfant, le tribunal peut retirer l'enfant à ses parents sans privation des droits parentaux (restriction des droits parentaux).

Article inapproprié sur la garde d'enfants

1) inexécution ou mauvaise exécution des devoirs d'élever un enfant en soi, commise tant par l'action que par l'inaction, qui, par sa nature et ses conséquences, est cruelle : privation de nourriture, de chaussures, de vêtements ; violation flagrante de la routine quotidienne, due aux besoins psychophysiologiques d'un enfant d'un certain âge; privation de sommeil, repos; non-respect des normes élémentaires d'hygiène ; non-respect des recommandations et prescriptions du médecin pour la prévention des maladies et le traitement de l'enfant; refus ou évasion de fournir à l'enfant les soins médicaux nécessaires;

Le Code de la famille de la Fédération de Russie stipule que si les parents (l'un d'eux) ne remplissent pas leurs devoirs d'éducation, d'éducation, d'entretien des enfants, à la demande de l'un des parents (représentants légaux) ou des proches parents de l'enfant , l'autorité de tutelle et de tutelle, la commission chargée des affaires des mineurs et de la protection de leurs droits, ainsi que d'autres organes et institutions chargés de la protection des droits des mineurs, la question de la limitation ou de la privation des droits parentaux peut être engagée ( articles 69-76 du code de la famille).

Garde d'enfants inappropriée

Ainsi, si vous avez besoin d'obtenir un calendrier pour rédiger une demande auprès des autorités de sécurité sociale, dans laquelle vous devez refléter dans le contrat de travail, mais en plus, selon les règles de l'article 14 de la loi fédérale du 19 04 1998 84 -FZ "Sur le statut du personnel militaire", déposer une plainte archivistique à une décision sur l'application des mesures d'exécution.

Où pouvons-nous aller avec notre question ? Le fait est que de nouveaux voisins vivent dans notre entrée depuis un an maintenant, se comportant de manière suspecte - il n'est pas possible de les rencontrer à l'entrée, les portes ne s'ouvrent pas, on a l'impression qu'ils mènent une vie nocturne. Leur enfant est d'âge préscolaire, au cours de l'année ils l'ont vu 5 fois, ils ne sortent pas l'enfant en promenade, parfois on le voit à la fenêtre et on l'entend courir dans l'appartement. .. Ce comportement des adultes par rapport à l'enfant est alarmant.

L'article 63 (p. 1) du RF IC rappelle que les parents sont responsables de l'éducation et du développement de leurs enfants. Mais le RF IC n'indique pas de quel type de responsabilité il s'agit. Il semble qu'il puisse exister à la fois une responsabilité morale et une responsabilité légale, prévues par différentes branches de la législation : administrative, civile, familiale, etc. La responsabilité administrative des parents (et des personnes qui les remplacent) est juste établie par l'article commenté.

Cette infraction est considérée comme accomplie à partir du moment de l'aveu d'inaction, c'est-à-dire expiration du délai fixé par la loi pour l'accomplissement d'une obligation particulière de parent ou de tuteur. Cette infraction étant continue, il faut tenir compte des règles de l'art. 4.5 (clause 2) du Code des infractions administratives de la Fédération de Russie que le délai de prescription pour engager la responsabilité administrative pour les infractions continues est calculé à partir du jour où elles sont découvertes (voir également la clause 14 de la Résolution du Plénum de la Cour Suprême Tribunal de la Fédération de Russie du 24 mars 2005 N 5).

Responsabilité des parents en cas d'inexécution ou de mauvaise exécution des devoirs parentaux

L'infraction prévue par l'article 5.35 du Code des infractions administratives de la Fédération de Russie « Manquement des parents ou autres représentants légaux de mineurs à leurs obligations d'entretien et d'éducation des mineurs » consiste en l'inaction des parents ou autres représentants légaux de mineurs, c'est à dire lorsqu'ils manquent délibérément à leurs devoirs d'élever et d'éduquer les enfants: ils ne se soucient pas de l'éducation morale, du développement physique des enfants et du renforcement de leur santé, créant les conditions nécessaires pour qu'ils reçoivent une éducation en temps opportun, une éducation réussie, etc. .

- représentation ou description épisodique non naturaliste de relations sexuelles entre un homme et une femme qui n'exploite pas l'intérêt pour le sexe et n'est pas de nature excitante ou offensante, à l'exception de la représentation ou de la description d'actions de nature sexuelle (partie 5 de l'article 11, article 9).

Droits et obligations des parents

Si la mère a déjà 16 ans, selon la loi, elle peut exercer ses droits parentaux de manière indépendante, sinon, l'enfant se voit attribuer un tuteur qui est tenu de l'aider à exercer ces droits. Sa participation est réduite à l'aide à la garde des enfants, aux conseils parentaux, etc. Le tuteur de l'enfant, étant son représentant légal, défend ses intérêts et ses droits devant tous tiers. En cas de désaccord entre le tuteur de l'enfant et sa mère mineure, chacune des parties a le droit de s'adresser aux autorités de tutelle et de tutelle qui ont nommé le tuteur, qui résolvent le problème à leur discrétion.

Les parents ont le droit de choisir les méthodes (moyens et méthodes) d'éducation dans l'exercice des droits parentaux, cependant, en même temps, le paragraphe 1 de l'art. 63 du Code de la famille établit certaines restrictions. La loi définit clairement le but de l'éducation, à savoir veiller à la santé des enfants, ainsi qu'à leur développement physique, mental, moral et spirituel. En outre, il est interdit d'exercer des fonctions parentales en conflit avec les intérêts des enfants. Ces dernières impliquent, selon le droit de la famille, d'assurer aux enfants une éducation à part entière et des conditions appropriées à leur développement.

RESPONSABILITÉ DES PARENTS POUR LA MAUVAISE EXÉCUTION DES RESPONSABILITÉS PARENTALES

La possibilité d'obtenir réparation en faveur de l'enfant pour lui avoir causé un dommage moral ou matériel n'est pas directement prévue par le droit de la famille, mais découle des dispositions de l'art. 151, 1064, 1099 du Code civil de la Fédération de Russie. Un parent qui a admis les faits de violation de ses devoirs, n'a pas rempli ses obligations de fournir à l'enfant de la nourriture et des vêtements, ce qui a porté atteinte à la santé de l'enfant, peut être tenu civilement responsable sous la forme d'une indemnisation pour préjudice moral et dégâts.

Le non-respect par les parents de leurs obligations en matière d'éducation et d'éducation des enfants mineurs est compris comme le caractère systématique d'actions illégales (inaction) menées sur une longue période de temps ; Ce délit fait référence à une infraction administrative continue.

Pour une garde d'enfants inappropriée, les parents risquent jusqu'à 3 ans de prison

La création de conditions familiales garantissant une éducation décente à l'enfant relève de la responsabilité directe des parents. En cas de mauvaise exécution des devoirs d'élever des enfants, les parents peuvent être tenus responsables, y compris la responsabilité pénale (article 156 du Code pénal de la Fédération de Russie).

Les employés du département du ministère de l'Intérieur de la Russie pour le district de Blagodarnensky ont révélé le fait que les parents s'occupaient mal de trois enfants mineurs. Comme l'a découvert la police, les citoyens ont maltraité les enfants, les ont gardés dans des conditions insalubres et n'ont pas fourni la quantité de nourriture nécessaire. Des père et mère peu scrupuleux privent les mineurs de la possibilité de fréquenter des établissements préscolaires et éducatifs et, lorsque des maladies sont détectées, ils sont privés de soins médicaux qualifiés.

Article garde d'enfants inappropriée

Le manque de soins parentaux, un microclimat normal dans la famille, l'incapacité des parents à fournir un soutien matériel adéquat aux enfants, le manque de contrôle sur leur comportement peuvent servir de base à un adolescent pour commettre un acte antisocial. La responsabilité administrative des parents et des personnes qui les remplacent en vertu du présent article a une base indépendante et n'intervient pas pour la commission d'infractions par des adolescents, mais en relation avec eux.

L'article 156 du Code pénal de la Fédération de Russie prévoit la responsabilité pénale en cas de non-accomplissement ou de mauvaise exécution des devoirs d'élever un mineur par un parent ou une autre personne à qui ces devoirs sont confiés, ainsi que par un enseignant ou un autre employé d'une institution éducative, éducative, médicale ou autre obligée de surveiller un mineur, si cet acte est lié à un traitement cruel d'un mineur

25 juil. 2018 771

La raison d'être de tout système étatique est de protéger ses citoyens. Tout d'abord, les catégories de la population qui, en raison de leur âge, de leur état de santé ou de leur sexe, ne peuvent se protéger par elles-mêmes, en ont besoin. La protection de la maternité et de l'enfance est positionnée par la législation russe comme l'un des domaines prioritaires dans ce domaine. À cet égard, nous examinerons un problème tel que la mauvaise exécution des devoirs parentaux et les sanctions prévues pour de telles infractions dans la Fédération de Russie.

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Normes de base

Il ne suffit pas de donner naissance à un enfant, il faut qu'il soit correctement éduqué. Cela implique, tout d'abord, la création des conditions d'une pleine intégration dans la société. Ils comprennent toute une gamme de mesures pour l'entretien matériel de l'enfant, le développement de ses compétences, capacités et compétences.

La base de la relation entre parents et enfants est exprimée à l'art. 38 de la Constitution de la Fédération de Russie, qui stipule que les soins et l'éducation sont à la fois le droit et l'obligation des parents.

Malheureusement, la réalité russe moderne est telle que les lois protégeant les droits et les intérêts de l'enfant ne fonctionnent même pas à moitié. Par conséquent, nous n'examinerons pas le côté pratique de la question, mais uniquement les points reflétés dans la législation :

Toutes les règles de base qui doivent être mises en œuvre en ce qui concerne les enfants mineurs sont reflétées dans Loi fédérale n° 124. Elles concernent non seulement les devoirs des parents, mais aussi les structures étatiques.
outre Art. 43 de la Constitution de la Fédération de Russieétablit le droit de tout citoyen de la Fédération de Russie à recevoir une éducation et établit que la responsabilité principale de sa mise en œuvre en ce qui concerne les mineurs incombe à leurs parents (en l'absence de tels, aux tuteurs).
Code familial réglemente également une vaste couche de relations entre parents et enfants. Ainsi, l'article 80 établit que les adultes sont tenus de subvenir aux besoins financiers de leur enfant mineur. Cela signifie lui fournir une bonne nutrition, un ensemble de vêtements suffisant pour la saison et la possibilité de recevoir une éducation secondaire. Les parents peuvent régler indépendamment la procédure et la forme de l'aide entre eux, si cela n'est pas contraire à la loi.
Art. 63 CI RFétablit pour les parents la nécessité de donner à leurs enfants un enseignement général et leur donne le droit de choisir le lieu et la forme d'enseignement. Les adultes doivent également prendre soin de la santé spirituelle, mentale, morale et physique des enfants. Certes, ni dans l'article lui-même, ni dans ses commentaires, il n'y a une définition claire de ce dans quoi cela est exprimé.
Art. 64 CI RFétablit que les intérêts des enfants mineurs sont obligés de défendre et de protéger les parents ou les tuteurs légaux (en l'absence des premiers). Ils représentent les intérêts de leurs enfants dans toutes les organisations et devant les particuliers. Il n'est pas nécessaire d'obtenir une autorisation spéciale pour mettre en œuvre cette fonction. Cependant, si les autorités de tutelle et de tutelle révèlent des contradictions dans l'intérêt des enfants et de leurs parents, ces derniers perdent le droit de représentation et une personne autorisée lui est désignée.

Lire:

Examinons plus en détail ce que c'est "une mauvaise exécution des devoirs parentaux". L'aspect objectif de ces infractions consiste, à la fois dans l'action et l'inaction de l'auteur, et se divise selon les types suivants :

Dans le domaine du contenu matériel. L'enfant ne dispose pas d'un endroit confortable où vivre, de la nourriture, des vêtements, etc. ne sont pas fournis.
Dans le cadre de l'éducation. Les enfants ne sont pas inculqués aux compétences de la vie en société, on ne leur enseigne pas les normes de comportement.
Dans le domaine de l'éducation. L'enfant n'est pas acheté les choses nécessaires à l'apprentissage, empêché d'aller à l'école ou n'est pas surveillé pour l'assiduité.
Si nécessaire, représentez les intérêts de l'enfant. Cela peut être le manque de surveillance, la présomption d'atteinte aux intérêts matériels de l'enfant, etc.

Toutes les infractions considérées sont qualifiées de longue durée. C'est-à-dire que si l'enfant n'a pas mangé de déjeuner ou n'a pas eu le temps d'acheter des bottes d'hiver pour le temps froid, il ne sera pas considéré comme tel.

Les parents, les tuteurs et les représentants d'intérêts peuvent agir en tant que sujets de l'infraction. Ils n'incluent pas les organisations étatiques et publiques (institutions pour enfants, médicales ou juridiques). Le côté subjectif de l'infraction s'exprime sous une forme intentionnelle et dans des actions par négligence.

Pénalités prévues

La CI de la Fédération de Russie établit que les personnes sont légalement responsables du non-respect des obligations parentales, mais ne le précise pas. Par conséquent, on ne peut que supposer que cette déclaration implique une mesure de responsabilité administrative, pénale et civile.

En cas de non-respect des devoirs des parents, ils se tournent tout d'abord vers l'art. 35 du Code des infractions administratives de la Fédération de Russie. Il établit que cette infraction est passible :

Émission d'un avertissement ou imposition d'une amende d'un montant de 100 à 500 roubles.
Imposition d'une amende de 2 000 à 3 000 roubles si l'un des parents entrave les rencontres avec l'autre parent ou d'autres parents proches ou ne se conforme pas aux décisions de justice concernant l'enfant. Si de tels actes se répètent, l'amende passe à 5 000 roubles et le coupable peut être soumis à une arrestation administrative pouvant aller jusqu'à 5 jours.

La responsabilité pénale

Lire:

La peine prévue à l'art. 156 du Code pénal de la Fédération de Russie attend les parents si le non-respect des obligations à l'égard des enfants s'accompagne d'une attitude cruelle à leur égard. Et on ne parle pas seulement de violence physique, mais aussi psychologique. Sont considérées comme telles les actions suivantes :

Humiliation de la dignité personnelle, moquerie d'une personne.
Punition physique, coups. De plus, non seulement l'enfant lui-même, mais aussi les membres de la famille devant l'enfant.
Restriction de la liberté de mouvement.
Exploitation de l'enfant, recours au travail forcé des enfants.
Tentative d'inviolabilité sexuelle, c'est-à-dire tentatives de corruption.
Insultes verbales.

Afin d'attirer et de condamner en vertu de cet article, l'intention directe doit être visible dans les actions du coupable. Ici, non seulement les parents et les tuteurs, mais aussi les employés des institutions pour enfants, des organisations médicales et sociales peuvent agir en tant qu'auteurs. Dans ce cas, les sanctions sont les suivantes :

Imposition d'amendes pouvant aller jusqu'à 100 000 roubles.
Participation à des travaux correctifs jusqu'à 2 ans.
La mise en œuvre du travail forcé jusqu'à 3 ans, plus la possibilité de privation du droit d'exercer un certain type d'activité pendant une période de 5 ans.
La peine maximale est une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à 3 ans. Elle peut également s'accompagner d'une interdiction de se livrer à certaines activités pendant une période de 5 ans.

Les parents qui éludent systématiquement (4 mois de suite) le paiement de la pension alimentaire pour leur enfant seront également passibles de sanctions pénales. Dans ce cas, le tribunal peut déterminer les peines suivantes :

Participation au travail correctif pendant un an au maximum.
Travail forcé obligatoire jusqu'à un an.
L'auteur peut être arrêté jusqu'à 3 mois.
Possibilité d'être emprisonné jusqu'à un an.

Dans le même temps, il convient de tenir compte du fait que l'exécution des peines ne dispense pas le coupable de la nécessité de rembourser la dette alimentaire.

En contact avec

La plupart des gens aiment leurs enfants, prennent soin d'eux, essaient de bien les élever, leur inculquent une variété de compétences de vie et leur donnent la meilleure éducation.

En même temps, sans penser qu'ils agissent en tant que parents, conformément aux exigences des articles de loi.

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Quelles lois régissent cette question?

Prendre soin des enfants est le devoir constitutionnel de papa et maman(partie 2 de l'article 38).

Les responsabilités parentales sont régies par le chapitre 12 du Code de la famille de la Fédération de Russie, dont chacun des articles explique l'essence des droits et obligations des parents de différentes catégories– couples mariés, célibataires, mineurs, parents adoptifs, etc. dans différentes circonstances de la vie.

L'État accorde une grande attention à l'éducation de la jeune génération, adoptant des lois fédérales, ainsi que d'autres actes juridiques réglementaires, dont le nombre dépassait 140 documents.

Malgré les mesures prises, la question de la responsabilité parentale, leur prise de conscience de l'importance des valeurs familiales dans l'éducation des enfants reste d'actualité.

Nouvelle "loi sur l'éducation"

Quant à l'éducation des enfants, elle est clairement enregistrée dans la nouvelle loi de la Fédération de Russie «sur l'éducation» de 2015 n ° 273-FZ (adoptée le 21 décembre 2012), qui souligne également les devoirs des parents dans le domaine de l'éducation. champ.

En plus de choisir un établissement d'enseignement, une forme d'enseignement, des langues nationales et étrangères, le parent est obligé de s'intéresser aux programmes et aux méthodes d'enseignement.

Assister à divers examens médicaux et psychologiques d'un enfant est le droit des parents, ainsi que la protection des intérêts de leur progéniture mineure. Et ici le respect des diverses règles, régimes et procédures de l'établissement d'enseignement relève de la responsabilité des parents.

Les parents sont tenus de participer activement à la résolution de tous les différends et conflits dans un établissement d'enseignement avec la participation de leurs enfants, de ne pas le laisser suivre son cours et de ne pas soumettre la situation à l'intervention des autorités de tutelle, en particulier des forces de l'ordre.

Les tâches d'élever des enfants mineurs

L'obligation d'élever un enfant (article 63 du RF IC) signifie inculquez-lui les bonnes manières, développez-le de manière globale, apprenez-lui à être en société et être en demande. L'éducation est attendue sous tous les angles - le développement spirituel, physique et mental de la personnalité de la progéniture.

Élever un enfant n'est pas une tâche facile., nécessitant une dépense de temps, de travail, d'âme, mais sans cela, cela ne fonctionnera tout simplement pas pour atteindre le résultat souhaité.

En cas de séparation des père et mère, pour l'entretien des enfants de moins de 18 ans, celui du couple avec lequel vivent les enfants a droit à une pension alimentaire, retenue sur les revenus de l'autre.

Les fonds pour l'entretien de la progéniture peuvent être transféré par accord entre papa et maman, sans intervention de la justice.

Non-respect des responsabilités parentales

La part du lion des familles s'acquitte de ses obligations vis-à-vis des enfants conformément à ses propres idées sur l'éducation et l'éducation des enfants. Voilà pourquoi, pas tout le monde et ne fait pas toujours tout correctement.

Les responsabilités sont considérées comme non remplies ou pas entièrement remplies si enfants mineurs :

ne pas visiter régulièrement cours d'école;
jurant, ne sait pas comment se comporter;
voler, mendier, errer;
consommer des boissons alcoolisées, et médicaments, et etc.

Un enfant à qui papa, maman ou les deux parents, avec lesquels ils ne sont pas engagés, trouve tout de suite de quoi combler les heures d'inactivité, et son les "ancêtres" négligents peuvent être punis.

Quelles sont les conséquences d'une mauvaise performance ?

Les parents qui s'acquittent mal de leurs devoirs à l'égard d'enfants de moins de 18 ans sont passibles de sanctions administratives (partie 1 de l'article 5.35 du Code des infractions administratives de la Fédération de Russie). C'est un avertissement ou une amende, mais ce n'est que la première fois.

Si le manquement à l'obligation parentale est aggravé par la cruauté, la punition est déjà plus grave., il s'agit d'une sanction pénale (article 156 du Code pénal de la Fédération de Russie) sous la forme d'une très forte amende, ou d'une période obligatoire allant jusqu'à 440 heures, ou jusqu'à 3 ans de travail forcé.

En présence d'une combinaison de motifs, manifestée dans l'ensemble du complexe de dettes non honorées envers les enfants compliquée par l'atteinte intentionnelle criminelle à la santé d'un bébé mineur, ses parents (article 69 du RF IC).

Une décision peut être prise (art. 73 al. 2) quand la vie ou l'éducation d'un enfant est valide il y a une menace réelle posée par le comportement de maman ou papa.

Qui applique les dispositions de la loi ?

Indubitablement, la communauté et l'école jouent un rôle dans l'identification des familles dysfonctionnelles où les enfants sont maltraités physiquement ou sexuellement, où les enfants sont négligés, affamés et les parents boivent ou mènent une vie antisociale.

Les organismes chargés de l'application de la loi surveillent également la conformité et identifient les poches de problèmes en exposant les bordels, où les enfants sont forcés d'être, abandonnés et ne reçoivent pas une éducation adéquate, Sécurité.

Mais ce sont précisément les autorités et les tutelles surveiller la façon dont les parents remplissent leur devoir envers leurs enfants qui n'ont pas encore 18 ans. Les employés de l'OLP ont le pouvoir non seulement de nommer des tuteurs, mais aussi de :

résoudre les problèmes de placement des enfants dans des institutions pour enfants;
protéger les intérêts de l'enfant dans les procédures judiciaires;
avoir vote décisif lors des réunions des commissions sur les affaires juvéniles défendre leurs intérêts.

Malgré les mesures prises par le gouvernement, le nombre de familles dysfonctionnelles dans lesquelles il y a des descendants mineurs ne diminue pas.

A temps pour prêter attention à une telle cellule de la société, lorsque l'enfant n'a pas eu le temps de se désintéresser complètement d'une vie normale, et les jardins d'enfants et les écoles, et pas des voisins indifférents, et un commissaire de district attentif peut vous aider.

Les mesures préventives peuvent apporter des résultats positifs ce n'est que lorsque le problème n'a pas encore acquis un caractère irréversible qu'il est alors possible de se passer de mesures sévères contre les parents qui se sont écartés du cours principal de leur vie - élever et subvenir aux besoins des enfants.

L'État considère que la garde des enfants est le devoir de tout parent. Très souvent, ce commandement est violé. Les enfants sont exposés à la violence domestique, laissés sans surveillance adéquate, impliqués dans la consommation d'alcool. Mais la mauvaise exécution des devoirs parentaux à l'égard des enfants entraîne une responsabilité légale. Il est établi par la législation en vigueur et contient des sanctions prévues par différentes branches du droit : droit de la famille, administratif, civil, pénal.

L'article 63 de la Constitution de la Fédération de Russie considère l'éducation de leurs enfants comme un droit et une obligation des parents. Quelle que soit l'évolution de la vie d'une mère et d'un père, où qu'ils se trouvent, ils sont également responsables de l'entraînement, du développement physique et de la création des conditions nécessaires pour la jeune génération.

Le père et la mère sont les représentants légaux de leurs enfants, sans autorisation spéciale, ils peuvent protéger leurs droits et intérêts dans les relations avec toutes personnes et organisations, y compris lors de l'examen des affaires devant les tribunaux. Les deux parents doivent subvenir aux besoins de la jeune génération en nourriture, vêtements, jouets, repos et traitement. Dans le même temps, leur manque de fonds nécessaires pour cela ne peut être pris en compte. Le divorce des époux et leur résidence séparée ne sont pas exempts d'obligations.

Les parents choisissent eux-mêmes les moyens et les méthodes pour élever leurs enfants. limite la mise en œuvre de telles mesures par le fait qu'elles ne doivent pas être utilisées au détriment de la santé et du maintien moral de l'enfant. Dans le cas contraire, une responsabilité légale peut être engagée.

Responsabilité fédérale

La responsabilité pénale

L'article 156 du Code pénal de la Fédération de Russie est directement lié au respect des exigences contenues dans le texte du Code de la famille. La responsabilité en vertu de cette composition ne peut être engagée qu'en cas de maltraitance d'enfants par des parents, des enseignants, des tuteurs et des administrateurs, d'autres employés d'organisations engagées dans des services sociaux ou des institutions qui surveillent des mineurs. De telles actions doivent être combinées avec l'échec ou la mise en œuvre insuffisamment claire d'une fonction telle que l'éducation des enfants. Dans le même temps, le concept de cruauté est ici décisif lorsqu'il s'exprime dans des actes du coupable tels que:

D'autres méthodes d'éducation inacceptables sont la privation de nourriture, de vêtements, de sommeil et de repos, l'absence d'assistance médicale et autre. Les méthodes de traitement des enfants ne doivent pas porter atteinte à leur dignité humaine. Il existe différentes peines pour ce crime. Ce:

Amende jusqu'à 100 mille roubles;
Travail obligatoire jusqu'à 400 heures;
Emprisonnement jusqu'à 3 ans sans le droit d'occuper certains postes à l'avenir ou de travailler dans les domaines d'activité concernés.

L'article 157 du Code pénal de la Fédération de Russie prévoit une sanction pour non-paiement d'une pension alimentaire pour l'entretien des mineurs, ainsi que des enfants handicapés qui ont atteint l'âge de 18 ans dans les cas où cela s'est produit à plusieurs reprises. Punition - travail correctif ou forcé jusqu'à 1 an, ainsi qu'une peine d'emprisonnement pour la même période.

La responsabilité civile n'est engagée qu'en présence d'une faute. Dans ce cas, le législateur voit un lien direct entre le maintien de l'enfant dans la famille et son comportement. Les parents ne sont pas appelés à rendre des comptes uniquement dans les situations où ils peuvent prouver que la bonne éducation excluait le mal aux étrangers, et donc ils ne l'ont pas prévu et ne pouvaient pas l'empêcher.

Responsabilité établie par le Code de la famille de la Fédération de Russie

L'enfant, selon l'art. 54 du RF IC, a le droit de vivre et d'être élevé dans une famille. C'est la cellule de base de la société et elle contribue au développement normal physique, intellectuel, moral et surtout social des enfants. C'est en elle que l'enfant se transforme en citoyen à part entière. L'éducation familiale donne aux parents des biens particuliers et d'autres opportunités en tant que sujets des relations juridiques familiales. La loi ne prévoit pas de liste de méthodes spéciales à cet effet, mais exige que les droits ne soient pas abusés au détriment de l'enfant. Lorsque les droits sont violés, l'État intervient dans les affaires du ménage par le biais de la tutelle et des autorités de tutelle.

Les parents sont légalement considérés comme les représentants de leurs propres enfants. Ils ont priorité sur les autres personnes le droit de les éduquer. Mais s'il existe des contradictions entre les intérêts de l'enfant et ceux de son père ou de sa mère, alors les parents ne doivent plus défendre nulle part les droits de leurs enfants. À cette fin, les autorités de tutelle désignent un représentant (partie 2 de l'article 64 du Royaume-Uni). L'une des principales responsabilités d'un parent est de fournir aux enfants une éducation générale dans une école ou dans toute institution équivalente.

Le droit de la famille se caractérise par des sanctions particulières, par exemple, telles que la privation ou. Il est également possible que l'enfant soit emmené. Les relations familiales sont souvent protégées par des méthodes de droit civil. Ceux-ci inclus:

Reconnaissance du droit (détermination de paternité).
Rétablissement de la situation existant avant la violation du droit (annulation du mariage).
Reconnaissance d'une transaction annulable comme invalide (définition d'un contrat de mariage en tant que tel).

Dans certains cas, le droit de la famille utilise des sanctions sous forme de dommages-intérêts, de pénalités, d'indemnisation pour préjudice moral. Ainsi, par exemple, si une personne qui a payé une pension alimentaire a une dette, elle est alors obligée de payer une pénalité d'un montant de 0,5% du montant des fonds impayés pour chaque jour de retard par décision de justice.

La privation est considérée comme une mesure extrême de responsabilité et est appliquée dans des cas particuliers aux parents coupables. Le RF IC régit cette procédure en détail. Les raisons de cette mesure sont exhaustives. Elles sont:

Il n'est possible de priver les droits parentaux que par une décision de justice, qui est prise au cours d'une audience en présence d'un procureur et de représentants de l'autorité de tutelle et de tutelle. En conséquence, le parent est privé de tous les droits fondés sur le lien avec l'enfant. Mais l'obligation d'entretenir les mineurs ne lui est pas retirée. Les enfants conservent les droits de propriété découlant du fait de la parenté avec leurs père et mère. Avec une telle privation, il n'y a pas de limite de temps. Le renouvellement des pouvoirs ne se produit que lorsque les parents changent leur mode de vie et leur attitude envers les enfants.

La restriction des droits parentaux peut être mise en œuvre dans des situations où il existe des circonstances objectives, par exemple une maladie chronique, un trouble mental ou un comportement parental inacceptable pour un enfant et qui n'est pas suffisamment dangereux. Le contact avec les enfants est autorisé. La restriction des droits est considérée comme temporaire. Si les raisons d'une telle mesure ont disparu, les droits des parents sont pleinement rétablis. Lorsque, pendant 6 mois, ils ne changent pas de comportement, une privation de droits peut leur être appliquée sur requête de l'autorité de tutelle et de tutelle.

Si la vie et la santé d'un mineur sont menacées par un danger qui le met au bord de la mort, une mesure exceptionnelle est alors appliquée - le retrait de l'enfant. Cette procédure est utilisée par les tuteurs et curateurs à la réception d'un acte d'un organisme gouvernemental local. Le bébé est hébergé provisoirement puis, dans un délai d'une semaine, il saisit le tribunal pour demander la privation des droits parentaux ou leur restriction. Les sanctions ci-dessus ne sont utilisées que dans les cas où il existe un risque que les enfants soient avec leurs parents, une menace pour leur santé ou leur vie.

La responsabilité en vertu du droit de la famille est établie dans les cas où les obligations alimentaires ne sont pas remplies. Très souvent, les parents refusent d'aider leurs enfants. Selon le mode et la durée du non-respect de cette obligation, leurs droits sont privés ou une action pénale est engagée. Les personnes qui ne paient pas de pension alimentaire pour leur enfant sont privées de la possibilité de recevoir des fonds de leurs enfants lorsqu'ils atteignent l'âge de la majorité. Afin de rationaliser les questions liées à la responsabilité des parents, tuteurs, parents adoptifs peu scrupuleux, le ministère de l'Éducation a proposé de les inscrire dans un registre spécial. Les personnes de cette liste ne pourront plus communiquer avec les enfants, et plus encore, s'engager dans leur éducation.

Responsabilité administrative et juridique

Art. 5.35 du Code des infractions administratives de la Fédération de Russie sous le titre "Le non-respect par les parents ou autres représentants légaux des obligations d'entretien et d'éducation des mineurs" comprend une infraction qui se traduit par l'inaction des parents ou d'autres personnes. Dans ce cas, ils ne remplissent délibérément pas leurs fonctions pour le développement des enfants, ils ne sont pas intéressés à créer un environnement pour obtenir un enseignement secondaire, pour un apprentissage réussi. De telles actions doivent être systématiques, c'est-à-dire qu'elles doivent exister depuis longtemps.

De nombreuses situations de la vie relèvent du non-respect des obligations contenues dans la partie 1 de l'article. Ainsi, si le bébé ne va pas à l'école, les parents ne s'engagent pas dans le processus de son éducation. L'enfant jure de manière obscène et hooligans - cela signifie qu'il est mal élevé.

Les obligations parentales peuvent être violées dans 4 directions : dans le maintien, l'éducation, l'éducation et la protection des droits des mineurs. Dans la première situation, les droits de l'enfant sont limités sous la forme de ne pas lui fournir un logement, de ne pas se nourrir et de se vêtir en quantité suffisante. L'éducation ne sera pas appropriée si le mineur n'apprend pas les compétences simples de bon comportement, les règles existantes d'étiquette, de courtoisie, de respect des aînés.

L'éducation des enfants ne peut se faire sans fournitures scolaires, manuels et cahiers. Les parents ne peuvent pas laisser l'enfant aller à l'école, ne lui donnent pas la possibilité d'étudier. L'éventail des obligations en matière de protection des droits et des intérêts des enfants est l'absence de mesures protégeant les mineurs des influences négatives extérieures, par exemple le refus du tuteur de protéger les droits de l'enfant devant les tribunaux.

Commentaire de l'art. 5.35 contient une explication selon laquelle si le non-accomplissement ou l'accomplissement incomplet des devoirs d'élever un enfant est lié à des mauvais traitements, alors un tel acte peut être qualifié d'infraction pénale, dont la composition contient l'art. 156 du Code pénal de la Fédération de Russie.
La partie 2 de l'article contient des actes plus spécifiques, qui sont principalement liés à la non-exécution des décisions de justice :

sur l'aménagement du lieu de résidence des enfants;
sur la procédure d'exécution des droits civils;

En outre, la privation de la possibilité de communiquer avec les parents et les proches parents, ainsi que l'obstruction à l'éducation et à l'éducation des enfants, sont punissables.

Outre le père et la mère, les tuteurs, les curateurs, les personnes qui ont adopté des enfants en justice sont astreints à la responsabilité administrative. Les citoyens privés des droits parentaux, ainsi que d'autres personnes, si leurs pouvoirs ont pris fin avant que l'infraction ne soit commise, ne peuvent être déclarés coupables. En d'autres termes, ne sont pas tenues pour responsables les personnes qui, bien qu'étant les représentants légitimes de l'enfant, mais ayant cessé de l'être au moment de l'événement qui a causé l'infraction.

L'infraction décrite dans la partie 1 de l'art. 5,35 est passible d'une amende de 100 à 500 roubles. La partie 2 du même article contient une sanction sous la forme d'une peine plus grave - de 2 à 3 mille. La loi fédérale du 23 juillet 2013 a introduit un paragraphe dans le texte prévoyant l'imposition d'une sanction administrative pour la commission répétée des actions énumérées dans la partie 2. Le montant de l'amende est de 4 à 5 000 roubles ou une arrestation jusqu'à à 5 jours.

Le cas d'un délit relevant de la partie 3 de l'art. 5.35 doit être considéré par l'arbitre. La Commission des affaires juvéniles (KDN), après examen des pièces, décide de classer l'affaire ou de la traduire en justice, tout en indiquant le type et le montant de la peine. Le tribunal ou le DTC considère le matériel déjà préparé, dont une partie est un protocole sur l'infraction commise.

Le Code des infractions administratives de la Fédération de Russie détermine les personnes habilitées à rédiger un protocole. Ces droits sont réservés aux policiers, aux membres de la commission et aux huissiers. Ce dernier peut dresser des actes sur la commission des infractions visées aux parties 2 et 3 de l'art. 5.35 du Code des infractions administratives. À cet égard, le Service fédéral des huissiers de justice a publié des recommandations méthodologiques, qui contiennent des explications sur les actions des fonctionnaires en cas d'infractions. En pratique, le DTC analyse les dossiers reçus de la police.

Les infractions contre les enfants peuvent être détectées grâce à un processus de plaintes émanant d'un large éventail de personnes qui signalent des mauvais traitements et l'éducation des enfants. Avec une telle déclaration aux organismes autorisés peuvent être:

la mère de l'enfant par rapport à son ex-conjoint ;
voisins qui ont la possibilité de surveiller la famille;
employés d'écoles et d'établissements médicaux;
famille proche;
procureurs qui ont reçu des informations sur l'infraction.

La demande doit indiquer la raison pour laquelle cette personne s'adresse à l'autorité compétente, souligner brièvement quel type d'inconduite et par qui ont été commis. Vous trouverez ci-dessous une liste de motifs pouvant justifier la clarification des conditions de résidence de l'enfant.

Base	La description
Mauvaise exécution de l'obligation parentale	Ces personnes comprennent principalement les non-payeurs de pension alimentaire. Par exemple, s'il s'agit du père de l'enfant, son conjoint peut rédiger une demande de tutelle. Les personnes qui se soustraient à leurs devoirs n'ont généralement pas les conditions de vie les plus simples, leurs maisons sont sales et mal rangées.
Laisser le bébé à l'hôpital	En cas de refus de prendre le nouveau-né, le personnel de l'établissement doit en informer les tuteurs ou les parents. S'ils ne veulent pas accepter l'enfant, les employés des autorités de tutelle en sont informés. Ils hébergeront le mineur et intenteront une action en justice pour privation de droits.
Abus de droit	Ceux-ci incluent les parents qui interdisent à l'enfant de communiquer avec ses pairs, l'habituent aux dépendances, créent des conditions qui entravent le développement et l'éducation des enfants.
Traitement cruel	Dans ces cas, les enfants sont soumis à des châtiments corporels, des passages à tabac, des intimidations, des blessures et des dommages.
Mauvaises habitudes	Les parents ou l'un d'entre eux sont systématiquement sous l'influence de l'alcool ou de drogues, par conséquent, dans de telles situations, les employés des autorités de tutelle sont appelés d'urgence.
maladie mentale	Un trouble mental chez la mère (père) devient la raison pour laquelle la question de son incapacité et le transfert du bébé à l'autorité de tutelle ou au second parent doivent être décidés.

Les autorités compétentes examinent la plainte dans un délai de 30 jours à compter de la date de sa réception. Le demandeur doit recevoir une réponse. Si les faits de coups, intimidations, violences sexuelles sont confirmés, l'enfant doit être retiré à la famille, puisque sa vie et sa santé sont en danger direct. Le bébé est placé temporairement dans une institution spécialisée. Les poursuites sont signalées au parquet.

Pratique de l'arbitrage

Il existe une abondante pratique judiciaire sur les questions de non-respect par les citoyens de leurs obligations d'élever des enfants. Ainsi, par exemple, le tribunal du district de Pervomaisky de Saratov a été saisi d'une action en justice de M. visant à priver Z. de ses droits parentaux à l'égard d'un enfant mineur. La demanderesse, à l'appui de sa demande, a déclaré que les liens matrimoniaux entre elle et le défendeur étaient depuis longtemps complètement interrompus, que l'époux ne remplissait pas ses devoirs d'entretien d'un mineur, ne participait pas à son éducation. L'accusé boit de l'alcool devant l'enfant, provoque des conflits et fait preuve d'agressivité envers le plaignant. A cet égard, elle demande de priver Z. de ses droits parentaux.

L'accusé Z. n'était pas d'accord avec les affirmations lors de la réunion. Il a expliqué qu'il ne voulait pas hésiter à élever un enfant, il veut préserver ses droits et s'occuper du bébé à l'avenir. Le demandeur et le défendeur sont dans une relation aggravée, il ne nie donc pas qu'il ait parfois bu dans des situations conflictuelles afin de se calmer. À l'heure actuelle, il a trouvé un nouveau travail, va mener une vie sobre, s'entendre avec le plaignant.

Le tribunal, après avoir entendu le plaignant, est parvenu à la conclusion suivante : l'article 69 du Royaume-Uni comprend une disposition selon laquelle l'un ou les deux époux peuvent perdre leurs droits parentaux s'ils : ne remplissent pas leurs devoirs, évitent de payer une pension alimentaire, sont des alcooliques chroniques.

En évaluant les éléments de preuve recueillis dans l'affaire, le tribunal estime que Z. aurait pu commettre des cas d'inexécution de ses fonctions, mais au moment où l'affaire a été examinée, ils n'étaient pas de nature régulière, ils se sont déroulés sur une durée insignifiante. période de temps. Selon le tribunal, il n'y a pas de raisons suffisantes pour satisfaire les revendications énoncées. Dans l'intérêt de l'enfant, le tribunal considère que la privation des droits parentaux du défendeur apparaît déraisonnable et prématurée. Sur la base de ce qui précède, le tribunal a décidé de rejeter la demande de M. contre Z..

Par conséquent, les parents ont une plus grande responsabilité dans l'éducation et l'entretien de leurs enfants. est puni par la loi, tel que prévu par les articles des Codes de la Famille, Administratif, Civil et Pénal.