Les enfants coquins lisent adorablement leur journal. Les enfants coquins de conte de fées lisent le texte en ligne, téléchargez-le gratuitement. Alors, un ours suce-t-il sa patte en hiver ?

09.12.2023

N. Sladkov « Vilains enfants »

Voici le pic de l'été - juillet. L'agitation printanière est terminée, l'agitation automnale n'a pas encore commencé. Par une chaude après-midi, il y a un tel silence dans la forêt qu'il semble que personne n'y habite. Et même s'il vit, il ne connaît aucun souci. Mais ce n'est qu'en apparence : la forêt regorge d'animaux et d'oiseaux, et ils ont encore plus de soucis.

L'ours était assis dans une clairière, émiettant une souche. Le lièvre galopa et dit :

- Des ennuis, Ours, dans la forêt. Les petits n'écoutent pas les vieux.

- Comment ça?! - a aboyé l'ours.

- Oui en effet! - répond le lièvre. - Chacun s'efforce à sa manière. Ils se dispersent dans toutes les directions.

- Eh bien, Lièvre, allons voir ce qu'il y a.

L'ours et le lièvre ont traversé les forêts, les champs et les marécages. Dès qu’ils entrèrent dans la forêt dense, ils entendirent :

- J'ai quitté ma grand-mère, j'ai quitté mon grand-père, j'ai quitté ma mère, j'ai quitté mon père !

- Quel genre de chignon est apparu ? - a aboyé l'ours.

- Et je ne suis pas du tout un chignon ! Je suis un petit écureuil adulte.

- Pourquoi ta queue est-elle courte alors ? Réponse, quel âge as-tu ?

- Ne sois pas en colère, Oncle Ours. Je n'ai même pas encore un an. Et cela ne suffira pas pendant six mois. Mais vous, les ours, vivez soixante ans, et nous, les écureuils, en vivons dix au maximum. Et il s'avère que moi, âgé de six mois, à vos dépens baissiers, j'ai exactement trois ans ! Souviens-toi, Bear, de toi-même à trois ans. Je suppose que tu as aussi une striure de l'ourse ?

- Ce qui est vrai est vrai ! - grogna l'ours. "Je me souviens, j'ai gardé mon jeune frère pendant un an, je suis devenue nounou, puis je me suis enfuie." Oui, pour fêter ça, je m'en souviens, j'ai déchiré la ruche. Oh, et les abeilles sont montées sur moi à ce moment-là – mes côtés me démangent maintenant !

- Bien sûr, je suis plus intelligent que tout le monde. Je creuse une maison entre les racines !

- Quel genre de cochon est-ce dans la forêt ? - rugit l'ours.

- Moi, cher Ours, je ne suis pas un porcelet, je suis un Tamia presque adulte et indépendant.

- Réponds-moi, Chipmunk, pourquoi as-tu fui ta mère ?

- C'est pour ça qu'il s'est enfui, parce qu'il est temps ! L’automne approche à grands pas, il est temps de penser au trou, aux provisions d’hiver. Toi, Ours, n'aie aucun souci en hiver : tu dors et tu suces ta patte !

- Ta vérité ! « J'ai peu de soucis en hiver », marmonna l'Ours. - Allons plus loin, Lièvre.

L'ours et le lièvre arrivèrent au marais et entendirent :

- Bien que petit, mais courageux, il a traversé le canal à la nage. Il s'est installé avec sa tante dans le marais.

- Entendez-vous comment il se vante ? - murmura le lièvre. - Il s'est enfui de chez lui, et chante même des chansons !

L'ours rugit :

- Pourquoi t'es-tu enfui de chez toi, pourquoi ne vis-tu pas avec ta mère ?

- Ne grogne pas, Ours, découvre d'abord ce que c'est ! Je suis le premier-né de ma mère : je ne peux pas vivre avec elle.

- Comment peux-tu ne pas faire ça ? - l'Ours ne se calme pas. « Les premiers-nés sont toujours les préférés des mères. »

"Ma mère est un Rat d'Eau", répond le Petit Rat. «J'ai amené des ratons trois fois au cours de l'été. Si tout le monde vit ensemble, il n’y aura pas assez d’espace ni de nourriture. Que cela vous plaise ou non, installez-vous. Ça y est, Ours !

L'Ours se gratta le cou et regarda le Lièvre avec colère :

- Tu m'as arraché, Lièvre, en vain pour une affaire sérieuse ! Il s'est alarmé en vain, tout dans la forêt se passe comme il se doit : les vieux vieillissent, les jeunes grandissent.

Et il est passé par les framboises.

Nikolaï Sladkov
Enfants coquins

L'ours était assis dans une clairière, émiettant une souche. Le lièvre galopa et dit :

Troubles, Ours, dans la forêt. Les petits n'écoutent pas les vieux. Ils ont complètement échappé aux griffes !

Comment ça?! - a aboyé l'ours.

Oui en effet! - répond le lièvre. - Ils se rebellent, ils craquent. Chacun s'efforce à sa manière. Ils se dispersent dans toutes les directions.

Ou peut-être qu'ils... ont grandi ?

Où sont-ils : ventre nu, queue courte, gorge jaune ?

Ou peut-être les laisser courir ?

Les mères de la forêt sont offensées. Le Lièvre en avait sept - il n'en restait pas un seul. Il crie : « Où êtes-vous allés, les oreilles tombantes, le renard vous entendra ! » Et ils ont répondu : « Et nous avons nous-mêmes des oreilles !

"Non," grommela l'ours. - Eh bien, Lièvre, allons voir ce qu'il y a.

L'ours et le lièvre ont traversé les forêts, les champs et les marécages. Dès qu’ils entrèrent dans la forêt dense, ils entendirent :

J'ai quitté ma grand-mère, j'ai quitté mon grand-père...

Quel genre de chignon est apparu ? - a aboyé l'ours.

Et je ne suis pas du tout un chignon ! Je suis un petit écureuil adulte respectable.

Pourquoi alors ta queue est-elle courte ? Réponse, quel âge as-tu ?

Ne sois pas en colère, oncle Ours. Je n'ai même pas encore un an. Et cela ne suffira pas pendant six mois. Mais vous, les ours, vivez soixante ans, et nous, les écureuils, en vivons dix au maximum. Et il s'avère que moi, âgé de six mois, j'ai exactement trois ans dans votre compte baissier ! Souviens-toi, Bear, de toi-même à trois ans. Je suppose que tu as aussi une striure de l'ourse ?

Ce qui est vrai est vrai ! - grogna l'ours. - Pendant encore un an, je me souviens, je suis allé chez des infirmières-nounous, puis je me suis enfui. Oui, pour fêter ça, je m'en souviens, j'ai déchiré la ruche. Oh, et les abeilles sont montées sur moi à ce moment-là – mes côtés me démangent maintenant !

Bien sûr, je suis plus intelligent que tout le monde. Je creuse une maison entre les racines !

Quel genre de cochon est-ce dans la forêt ? - rugit l'ours. - Donnez-moi ce personnage de film ici !

Moi, cher ours, je ne suis pas un porcelet, je suis un tamia presque adulte et indépendant. Ne soyez pas impoli, je peux mordre !

Réponds-moi, Chipmunk, pourquoi as-tu fui ta mère ?

C'est pour ça qu'il s'est enfui, il était temps ! L’automne approche à grands pas, il est temps de penser au trou, aux provisions d’hiver. Alors toi et le lièvre creusez un trou pour moi, remplissez le garde-manger de noix, puis je serai prêt à serrer ma mère dans mes bras jusqu'à ce que la neige tombe. Toi, Ours, n'aie aucun souci en hiver : tu dors et tu suces ta patte !

Même si je ne suce pas la patte, c’est vrai ! J'ai peu de soucis en hiver, marmonna l'Ours. - Allons plus loin, Lièvre.

L'ours et le lièvre arrivèrent au marais et entendirent :

Bien que petit, mais courageux, il traversa le canal à la nage. Il s'est installé avec sa tante dans le marais.

Entendez-vous comment il se vante ? - murmura le lièvre. - Il s'est enfui de chez lui et chante même des chansons !

L'ours rugit :

Pourquoi t'es-tu enfui de chez toi, pourquoi ne vis-tu pas avec ta mère ?

Ne grogne pas, Ours, découvre d'abord ce que c'est ! Je suis le premier-né de ma mère : je ne peux pas vivre avec elle.

Comment cela ne peut-il pas être fait ? - l'Ours ne se calme pas. - Les premiers-nés des mères sont toujours leurs premiers favoris ; ce sont elles qui s'inquiètent le plus !

Ils tremblent, mais pas tout le monde ! - Petit Rat répond. - Ma mère, la vieille Rat d'Eau, a amené des bébés rats trois fois au cours de l'été. Nous sommes déjà deux douzaines. Si tout le monde vit ensemble, il n’y aura pas assez d’espace ni de nourriture. Que cela vous plaise ou non, installez-vous. Ça y est, Ours !

L'Ours se gratta la joue et regarda le Lièvre avec colère :

Tu m'as arraché, Lièvre, à une affaire sérieuse ! J'ai été alarmé en vain. Dans la forêt, tout se passe comme il se doit : les vieux vieillissent, les jeunes grandissent. L’automne, oblique, approche à grands pas, c’est l’heure de la maturation et du réinstallation. Et donc soit-il !

Le soleil est blanc dans le ciel bleu. La terre brille de chaleur. Les distances flottent et scintillent.

Les rayures bleues des forêts coulent. Les bosquets, les collines et les monticules se balancent. Les buissons et les pierres chauffées tremblent. Les piliers se tordent à contrecœur et paresseusement. Des bardanes poussiéreuses gisaient le long des routes poussiéreuses.

Des gares et des villages lointains défilent : tels des navires de contes de fées aux voiles colorées.

Le vent plie le seigle et le blé et entraîne des vagues jaunes. Caresse l'herbe dans les prairies nuageuses - comme la fourrure d'une bête précieuse. Il gonfle les épillets et panicules bruns et révèle le sous-poil vert.

Et des tourbillons de poussière chaude courent et s'enroulent le long des routes chaudes.

Qu'est-ce qu'un balai ?

Une panicule est une inflorescence qui se ramifie de manière répétée avec de nombreuses fleurs. Les panicules sont différentes : complexes et simples. Par exemple dans l'avoine, la fétuque des prés ou les forêts de pins étendues.

Les sauterelles le long des matches de grève en bordure de route. Les pouliches s'envolent comme des étincelles rouges. Les corbeaux épuisés ouvrirent le bec. Les hirondelles plongent leurs seins chauds dans l'eau pendant qu'elles volent.

Les branches tombaient et devenaient lourdes. Les clairières chaudes sentent la confiture. Les rayons du soleil scintillent paresseusement d’un côté à l’autre.

Les nuages flottent paresseusement : immenses et mystérieux, comme des montagnes enneigées. Chaleur, détente, silence.

Haut de l'été. Juillet.

Enfants coquins

L'ours était assis dans une clairière, émiettant une souche. Le lièvre galopa et dit :

- Des ennuis, Ours, dans la forêt. Les petits n'écoutent pas les vieux. Ils ont complètement échappé aux griffes !

Pourquoi le débarras sent-il la confiture ?

Les framboises et les fraises aiment la lumière. Ils ne poussent pas dans les forêts sombres d’épicéas. Ils aiment les lisières ou les clairières. Comment ces plantes parviennent-elles à de nouvelles coupes ? Les graines sont transportées par les oiseaux. Ils picorent les baies, mais les graines ne sont pas digérées dans leur estomac. Avec les fientes, les crottes entières tombent au sol et germent. Dès qu'un buisson apparaît, un an plus tard, il y a déjà des fourrés de framboisiers ou un tapis de fraises à cet endroit. Et tout cela parce que les framboises envoient constamment des pousses vers le haut depuis leurs racines, et les fraises envoient des « moustaches » dans toutes les directions.

- Comment ça?! - a aboyé l'ours.

- Oui en effet! – répond le lièvre. - Ils se rebellent, ils craquent. Chacun s'efforce à sa manière. Ils se dispersent dans toutes les directions.

- Ou peut-être qu'ils... ont grandi ?

- Où sont-ils : ventre nu, queue courte, gorge jaune !

- Ou peut-être les laisser courir ?

– Les mères de la forêt sont offensées. Le Lièvre en avait sept - il n'en restait pas un seul. Il crie : « Où êtes-vous allés, les oreilles tombantes, le renard vous entendra ! » Et ils ont répondu : « Et nous avons nous-mêmes des oreilles !

"Ouais," grommela l'ours. - Eh bien, Lièvre, allons voir ce qu'il y a.

L'ours et le lièvre ont traversé les forêts, les champs et les marécages. Dès qu’ils entrèrent dans la forêt dense, ils entendirent :

- J'ai quitté ma grand-mère, j'ai quitté mon grand-père...

- Quel genre de chignon est apparu ? - a aboyé l'ours.

- Et je ne suis pas du tout un chignon ! Je suis un petit écureuil adulte respectable.

- Pourquoi alors ta queue est-elle courte ? Réponse, quel âge as-tu ?

– Ne sois pas en colère, Oncle Ours. Je n'ai même pas encore un an. Et cela ne suffira pas pendant six mois. Mais vous, les ours, vivez soixante ans, et nous, les écureuils, dix ans au maximum. Et il s'avère que moi, âgé de six mois, dans votre compte baissier, j'ai exactement trois ans ! Souviens-toi, Bear, de toi-même à trois ans. Je suppose que tu as aussi une striure de l'ourse ?

- Ce qui est vrai est vrai ! - grogna l'ours. - Une autre année, je me souviens, en infirmières marcha, puis s'enfuit. Oui, pour fêter ça, je m'en souviens, j'ai déchiré la ruche. Oh, et les abeilles sont montées sur moi à ce moment-là – mes côtés me démangent maintenant !

Que sont les nourrices ?

Pestun est un ourson d'un an qui reste avec la mère ourse. Après la naissance d’un autre ourson, le parent est appelé « nounou ». C'est ainsi que la famille d'ours composée de trois personnes reste ensemble : une maman ourse, une nourrice et un petit ourson. Les éleveurs passent encore une année avec l'ours. Parfois, il s'enfuit plus tôt et commence à mener une vie indépendante.

- Bien sûr, je suis plus intelligent que tout le monde. Je creuse une maison entre les racines !

- Quel genre de cochon est-ce dans la forêt ? - rugit l'ours. – Donnez-moi ce personnage de film ici !

– Moi, cher Ours, je ne suis pas un porcelet, je suis un Tamia presque adulte et indépendant. Ne soyez pas impoli, je peux mordre !

- Réponds-moi, Chipmunk, pourquoi as-tu fui ta mère ?

- C'est pour ça qu'il s'est enfui, parce qu'il est temps ! L'automne approche, oh trou, à propos des fournitures d'hiver il est temps de réfléchir. Alors toi et le lièvre creusez un trou pour moi, remplissez le garde-manger de noix, puis je serai prêt à serrer ma mère dans mes bras jusqu'à ce que la neige tombe. Toi, Ours, n'aie aucun souci en hiver : tu dors et tu suces ta patte !

Quelles fournitures un tamia fabrique-t-il pour l'hiver ?

Petit rongeur de la famille des écureuils, le tamia de Sibérie est un mammifère très mignon aux couleurs bigarrées. Déjà en août, le tamia commence à stocker des noix, des glands, des champignons et des baies pour l'hiver, les transportant dans des poches sur ses joues sur des distances considérables (jusqu'à 1 km). Le poids des réserves d'un tamia atteint 5 kg. Les tamias hibernent pendant l'hiver, mais se réveillent pour se nourrir.

- Cependant je ne suce pas les pattes mais la vérité! « J'ai peu de soucis en hiver », marmonna l'ours. - Allons plus loin, Lièvre.

L'ours et le lièvre arrivèrent au marais et entendirent :

- Même s'il était petit, il a été courageux et a traversé le canal à la nage. Il s'est installé avec sa tante dans le marais.

- Entendez-vous comment il se vante ? - murmura le lièvre. - Il s'est enfui de chez lui et chante même des chansons !

L'ours rugit :

- Pourquoi t'es-tu enfui de chez toi, pourquoi ne vis-tu pas avec ta mère ?

– Ne grogne pas, Ours, découvre d’abord ce que c’est ! Je suis le premier-né de ma mère : je ne peux pas vivre avec elle.

Alors, un ours suce-t-il sa patte en hiver ?

« Sucer une patte comme un ours dans une tanière » n'est qu'une blague figurative. C'est ce qu'ils disent lorsqu'ils veulent souligner le sort dans lequel une personne peut se retrouver si elle est complètement privée de nourriture. Un ours n’a pas besoin de sucer sa patte dans une tanière. La réserve de graisse accumulée en automne lui permet de dormir en toute sécurité tout l'hiver.

- Comment peux-tu ne pas faire ça ? – l'Ours ne se calme pas. « Les premiers-nés des mères sont toujours leurs premiers favoris ; ce sont elles qui s’inquiètent le plus pour eux ! »

- Ils tremblent, mais pas tous ! - Petit Rat répond. - Ma mère, vieille Le Rat d'Eau a amené des bébés rats trois fois au cours de l'été.

Nous sommes déjà deux douzaines. Si tout le monde vit ensemble, il n’y aura pas assez d’espace ni de nourriture. Que cela vous plaise ou non, installez-vous. Ça y est, Ours !

L'Ours se gratta la joue et regarda le Lièvre avec colère :

- Tu m'as arraché, Lièvre, à une affaire sérieuse ! J'ai été alarmé en vain. Dans la forêt, tout se passe comme il se doit : les vieux vieillissent, les jeunes grandissent. L’automne, oblique, approche à grands pas, c’est l’heure de la maturation et du réinstallation. Et donc soit-il !

Les rats d'eau donnent-ils vraiment naissance à des bébés rats trois fois pendant l'été ? Et qui d’autre accouche ou incube plus d’une fois ?

Non seulement le rat d'eau, mais aussi d'autres rongeurs donnent naissance à une progéniture plusieurs fois au cours de l'été. C'est ce que font les souris des bois, les campagnols, les petites souris et les souris souris. Ils ont des petits 3 à 4 fois par an. Parmi les oiseaux, les moineaux des champs, les moineaux domestiques, les mésanges charbonnières, les choucas et les charbonniers effectuent des couvées répétées et nourrissent leurs poussins une seconde fois.

Enfants coquins

L'ours était assis dans une clairière, émiettant une souche. Le lièvre galopa et dit :

Troubles, Ours, dans la forêt. Les petits n'écoutent pas les vieux. Ils ont complètement échappé à leurs griffes.

Comment ça?! - a aboyé l'ours.

Oui en effet! - répond le lièvre. - Ils se rebellent, ils craquent. Chacun s'efforce à sa manière. Ils se dispersent dans toutes les directions.

Ou peut-être qu'ils... ont grandi ?

Où sont-ils : ventre nu, queue courte, gorge jaune ?

Ou peut-être les laisser courir ?

"Non", grommela l'ours. - Eh bien, Lièvre, allons voir ce qu'il y a.

L'ours et le lièvre ont traversé les forêts, les champs et les marécages. Dès qu’ils entrèrent dans la forêt dense, ils entendirent :

J'ai quitté ma grand-mère, j'ai quitté mon grand-père, j'ai quitté ma mère, j'ai quitté mon père !

Quel genre de chignon est apparu ? - a aboyé l'ours.

Et je ne suis pas du tout un chignon ! Je suis un petit écureuil adulte respectable.

Pourquoi alors ta queue est-elle courte ? Réponse : quel âge as-tu ?

Ne sois pas en colère, oncle Ours. Je n'ai même pas encore un an. Et cela ne suffira pas pendant six mois. Mais vous, les ours, vivez soixante ans, et nous, les écureuils, en vivons dix au maximum. Et il s'avère que moi, âgé de six mois, dans votre compte baissier, j'ai exactement trois ans ! Souviens-toi, Bear, de toi-même à trois ans. Je suppose que tu as aussi une striure de l'ourse ?

Bien sûr, je suis plus intelligent que tout le monde. Je creuse une maison entre les racines !

Quel genre de cochon est-ce dans la forêt ? - rugit l'ours. - Donnez-moi ce personnage de film ici !

Moi, cher ours, je ne suis pas un porcelet, je suis un tamia presque adulte et indépendant. Ne soyez pas impoli, je peux mordre !

Réponds-moi, Chipmunk, pourquoi as-tu fui ta mère ?

Même si je ne suce pas la patte, c’est vrai ! « J'ai peu de soucis en hiver », marmonna l'Ours. - Allons plus loin, Lièvre.

L'ours et le lièvre arrivèrent au marais et entendirent :

Bien que petit, mais courageux, il traversa le canal à la nage. Il s'est installé avec sa tante dans le marais.

Entendez-vous comment il se vante ? - murmura le lièvre. - Il s'est enfui de chez lui et chante même des chansons !

L'ours rugit :

Pourquoi t'es-tu enfui de chez toi, pourquoi ne vis-tu pas avec ta mère ?

Ne grogne pas, Ours, découvre d'abord ce que c'est ! Je suis le premier-né de ma mère : je ne peux pas vivre avec elle.

Comment ça, c'est pas possible ? - l'Ours ne se calme pas. - Les premiers-nés des mères sont toujours leurs premiers favoris ; ce sont elles qui s'inquiètent le plus !

L'Ours se gratta la joue et regarda le Lièvre avec colère :

Tu m'as arraché, Lièvre, en vain pour une affaire sérieuse ! J'ai été alarmé en vain. Dans la forêt, tout se passe comme il se doit : les vieux vieillissent, les jeunes grandissent. L’automne, oblique, approche à grands pas, c’est l’heure de la maturation et du réinstallation. Et ainsi soit-il !

Comment recherchons-nous habituellement une approche auprès d’un « enfant difficile » ? Nous essayons de trouver un modèle d'éducation réussi dans notre environnement. « Mon enfant de 3 ans n'obéit pas, il se tient sur les oreilles, personne n'est son autorité. Et le voisin a un bébé de deux ans - déjà parfait, obéissant. Peut-être devrions-nous examiner de plus près comment elle se comporte avec lui, comment elle l'élève et tirer les leçons de cette expérience ? Prenez votre temps, vous pouvez vous tromper ici.

Bébé... Pour le bien de ce petit et cher petit homme, maman est prête à sacrifier sa vie. Je veux donner le meilleur à l'enfant, tout lui apprendre pour que son destin soit réussi et heureux. Mais les choses ne se passent pas toujours sans heurts sur cette voie. Parfois, on abandonne, impuissant. L'enfant est désobéissant, il est complètement incontrôlable et ne vous entend pas - que faire ?

Cet article est pour vous si :

les caprices, l'entêtement, l'hystérie ou l'ignorance des parents ne sont pas rares chez un enfant ;
Je n'ai plus la force d'exister sur le mode des cris éternels ;
vos nerfs sont constamment à vif, et lorsque vous vous mettez en colère, vous êtes tourmenté par un sentiment de culpabilité ;
une « crise de l’âge » se transforme en douceur en une autre, et il n’y a pas de fin en vue ;
J'ai tout un « Talmud » en tête issu des conseils d'un psychologue, de copines et de grands-mères - mais il n'y a aucun résultat.

Avec l'aide de la psychologie système-vecteur Yuri Burlan, nous découvrirons comment parvenir à l'obéissance des enfants et établir avec eux des relations calmes et de confiance.

Crises de vieillesse : attendre ou agir ?

Souvent, les comportements problématiques chez les enfants sont associés à une période de transition difficile dans l'enfance :

? - Apparemment, la crise de trois ans commence déjà.
? - Évidemment, la crise s'éternise.

Mais pendant que nous nous calmons, un temps précieux est perdu et les problèmes ne font que s’aggraver. Il est déjà « paniqué » : comment va-t-il étudier à l'école ? Comment peut-il établir des relations avec les gens ?

Le développement du psychisme d’un enfant franchit en fait certaines étapes d’âge. Mais cela ne signifie pas du tout que les parents devront « s'asseoir sur Corvalol » jusqu'à ce que leur enfant bien-aimé atteigne la majorité. Les périodes de crise peuvent être transformées en tremplin pour atteindre de nouveaux sommets dans le développement d'un enfant. Et en même temps, la relation du bébé avec ses parents deviendra plus étroite et plus chaleureuse. Vous pouvez commencer par des étapes simples.

Étape 1. Sélectionnez le modèle parental optimal

Les méthodes parentales qui fonctionnent très bien pour l'enfant du voisin peuvent s'avérer inutiles, voire destructrices, pour votre enfant. Regardons des exemples :

Le bébé reçoit les propriétés d'un vecteur cutané. Il est rapide, agile, agile. Rationnel et pragmatique : il recherche le bénéfice et le bénéfice pour lui-même en tout. C'est un getter naturel : il traîne des jouets dans la maison de partout. Aime concourir et concourir, être le premier en tout. Le comportement désobéissant de ces enfants s'exprime dans le fait qu'ils « se tiennent sur les oreilles », dispersent tout et ne s'efforcent pas d'apprendre et d'obéir. Si vous avez ce qu'on appelle, il est important de connaître la bonne approche.

La motivation pour lui peut être un achat souhaité ou un voyage dans un endroit nouveau et intéressant. L'enfant de peau doit clairement comprendre « ce qui en résultera » s'il répond à votre demande. Par exemple, comme ceci : "Si vous rangez rapidement les jouets maintenant, nous aurons le temps non seulement d'aller au magasin, mais aussi d'aller au terrain de jeu." Mais crier et essayer de faire honte ne fonctionnera tout simplement pas.

Une punition efficace en cas de désobéissance pour un tel enfant est une restriction dans l'espace (par exemple, l'isolement dans sa chambre) et dans le temps (annuler ou réduire le temps passé à regarder des dessins animés, à jouer avec des gadgets, etc.). Mais les coups et les fessées sont strictement interdits. La peau hypersensible d'un tel enfant subit un stress extrême. Pour soulager la douleur, des opiacés (endorphines) sont libérés, ce qui, avec le temps, fait perdre du poids à l'enfant. Et puis, sans comprendre pourquoi, il « se heurte simplement à la ceinture ».

Le bébé reçoit les propriétés du vecteur anal. C'est un « collectionneur » lent, un peu maladroit et peu athlétique. Vous ne pouvez pas le traîner pour courir et sauter – il serait bien plus disposé à s’asseoir sur le canapé avec un gadget. Son talent est un esprit systématique et analytique. Par conséquent, il est déterminé à tout faire lentement, scrupuleusement, en prêtant attention aux détails.

Il ne sera pas possible de motiver un tel enfant avec des cadeaux et des voyages - ils n'ont pas une telle importance pour lui. Mais ce dont il a réellement besoin, c’est de l’approbation et des éloges de ses parents. Son désir naturel est l'obéissance, il veut être le meilleur fils et élève. Faites tout parfaitement et obtenez des notes élevées.

Mais un tel bébé peut le devenir. Dans son cas, il est têtu, argumentatif en toute occasion. Pourquoi cela arrive-t-il? Cela se produit lorsque son rythme de vie tranquille va à l’encontre de celui de sa mère – rapide, active et mobile. Par exemple, un enfant est constamment poussé, pressé et tiré en arrière. Il réagit à cela avec un freinage encore plus fort -.

Pour changer cette situation, donnez à votre bébé plus de temps pour accomplir n’importe quelle tâche. Soutenez son désir de faire quelque chose non pas rapidement, mais efficacement. Assurez-vous de féliciter pour un excellent résultat. Si vous devez vous rendre quelque part, il est préférable de prévenir l'enfant à l'avance. Les changements soudains sont stressants pour lui ; il doit se préparer, s'adapter et terminer le travail qui l'occupe actuellement.

Le bébé est propriétaire d'un vecteur visuel.Émotionnel, impressionnable, « les larmes sont proches ». À la fois très timide, enclin à la peur – et empathique. Il a pitié des insectes et des araignées et sauve les coccinelles de la pluie. Potentiellement, il peut devenir une figure culturelle majeure ou se réaliser dans les métiers humanistes de médecin ou d'éducateur.

Si un tel enfant n'obéit pas, cela se traduit par des larmes. Le fait est que le bébé ne sait tout simplement pas encore comment faire face à l'énorme gamme émotionnelle attribuée à une personne visuelle dès la naissance. Éduquer les sentiments par la compassion peut aider ici.

Et à l'âge de six ou sept ans, un tel enfant peut déjà être impliqué dans toute l'assistance possible aux faibles. Aidez un voisin âgé, rendez visite à un ami malade. Lorsqu'un enfant réalise ses émotions dans l'empathie avec les autres, ses crises de colère et ses peurs disparaissent.

Le bébé est porteur du vecteur sonore. Introverti peu émotif, immergé dans ses pensées. Pour les parents rapides et actifs, cela peut susciter des doutes : est-ce que tout va bien pour l'enfant ? Par exemple, un enfant Sonic de 3 ans n'écoute pas. Que faire s'il ne vient même pas lorsqu'on l'appelle, ignore les demandes ? Il semble qu'il soit « lent à réfléchir » - il ne répond pas immédiatement, mais avec du retard. Il peut même commencer à parler plus tard que les autres enfants. S'efforce souvent d'être seul, isolé de la compagnie bruyante des enfants. Il arrive que vous ne l’intéressiez pas du tout à autre chose qu’aux « gadgets ». Que dois-je faire?

En fait, un tel enfant ne dispose pas d'un potentiel d'intelligence abstraite non pas faible, mais au contraire le plus élevé. Sa réflexion est d’une grande profondeur. Un tel enfant pourrait bien devenir un grand scientifique. Pour cela, il est nécessaire de créer les conditions nécessaires.

C’est d’abord une écologie saine. L’oreille particulièrement sensible d’un enfant réagit avec un stress intense au bruit, aux cris et à la musique forte. Créez une atmosphère de silence dans votre maison. La musique classique est utile - dans un environnement calme pour que l'enfant écoute attentivement. Cela vaut également la peine de lui parler à voix basse, doucement, clairement et clairement. Évitez les bavardages et les présentations trop expressives et émotionnelles.

Les enfants modernes sont porteurs de 3 à 4 vecteurs ou plus sur huit possibles. Pour construire un modèle d'éducation précis, vous devez prendre en compte les propriétés de chacun d'eux.

Il n'est pas du tout difficile de comprendre cette science - elle est utilisée avec succès par des milliers de parents à travers le monde. Ils partagent volontiers à quel point il devient facile de communiquer avec leur enfant. Après une guerre constante et des épreuves de force, leur parentalité est devenue une source de grande joie :

La formation « Psychologie Système-Vecteur » permet non seulement de comprendre l’âme de l’enfant et d’en trouver les clés. Il donne tout un système de recommandations à l’aide desquelles la parole des parents devient importante et significative pour l’enfant. Dévoilons quelques-uns de ces secrets.

Étape 2 : Donner du sens au mot parent

L'article a été rédigé sur la base de matériel de formation " Psychologie système-vecteur»