L'adolescent prend tout avec hostilité. Quatre façons de rendre votre enfant obéissant. Pourquoi un adolescent rejette-t-il toutes les valeurs de ses parents ?

26.11.2023

Ce sujet sera probablement éternel. Au début, nous grondons et ne comprenons pas nos parents, et lorsque nous devenons adultes, nos enfants ne nous comprennent pas. Pourquoi cela se produit-il, parce que personne ne veut être un mauvais parent et nous attendons tous de l'amour et de la compréhension entre nos proches.

La grande majorité des parents critiquer leurs enfants, leur imposent leur point de vue en le présentant comme le seul correct. Et bien sûr, parce que les adultes sont habitués à être responsables des enfants ; ils ont plus d’expérience et de connaissances. Mais pour une raison quelconque, les enfants suivent les conseils de leurs ancêtres avec hostilité, les haïssant parfois tranquillement toute leur vie, et se jurent que cela n'arrivera jamais à leurs enfants. Mais nous transférons involontairement ces relations difficiles dans nos familles. Et nous ne sommes pas responsables de cela, nous avons simplement formé un certain modèle de comportement, et il n'y a pas d'échappatoire.

Relations entre parents et enfants

Et ce n'est que dans de rares familles qu'il règne vraiment compréhension mutuelle, amour, les enfants consultent les aînés, les parents font confiance et approuvent toutes les actions des enfants. C’est l’idéal vers lequel nous devrions tendre. Après tout, chaque famille devrait veiller à ce que ses enfants grandissent librement, avec le droit d'exprimer librement leurs pensées et de se développer en tant que personnalité indépendante et à part entière. Cela n’est possible que s’il existe une parfaite compréhension mutuelle entre les générations.

Types de parents

1 Des perdants sans épines. Malheureusement, ce type de parent est très courant. Les parents qui n’ont rien accompli sont des personnes faibles et peu sûres d’elles ; ils ne peuvent tout simplement pas être une autorité pour leurs enfants. Cela ne veut pas dire que l'enfant ne les aime pas. Mais on ne peut cacher à ses yeux qu'un parent faible, malgré toute son inutilité, essaie de commander et de montrer le chemin à son enfant. C’est là que surgissent les protestations et les conflits. Souvent, dans de telles familles, les enfants commencent à traiter leurs parents avec mépris, à les commander et à les manipuler, et parfois même à utiliser la force physique. Il arrive que ces enfants deviennent des individus socialement dangereux ou, au contraire, deviennent des personnes fortes et puissantes.

2 parents autocratiques. Ce type de parent est également très courant. Dès le plus jeune âge, ils ne permettent pas au bébé de faire un pas tout seul. Des cris et des secousses se font constamment entendre. À l'avenir, chaque étape de l'enfant sera soumise à des contrôles, des commentaires et des interdictions. Tout cela est recouvert de mots sur l'amour et le soin, une tentative de protéger, préserver, empêcher quelque chose. Mais de quel genre de préoccupation pouvons-nous parler lorsque chaque étape, chaque action indépendante est critiquée ? L'enfant est simplement obligé d'obéir, sans droit à l'expression de soi. De tels enfants grandissent pour devenir des personnes opprimées, pressées ou, au contraire, agressives et cruelles, qui tentent d'exprimer leur ressentiment sur le monde entier. Le ressentiment envers ces parents dure toute la vie et les relations au sein de la famille sont le plus souvent héritées de l’enfance. Les parents et les enfants ne sont pas très heureux dans une telle famille et dans la vie en général.

Et les relations les plus souhaitables entre parents et enfants naissent si elles se construisent sur la base d’un mentorat bienveillant. Des parents sincèrement intéressés par tous les aspects de la vie de leurs enfants. Ils ne se contentent pas de leur fournir tout ce dont ils ont besoin, de les nourrir, de les laver et de les habiller, mais ils approfondissent toutes les nuances des problèmes des enfants, dès le plus jeune âge et tout au long de leur vie.

Ces parents n’emmènent pas seulement leur enfant à la maternelle ou à l’école, mais communiquent, donnent des conseils, approuvent et soutiennent dans les situations difficiles et participent à toutes les affaires de l’enfant. Mais en même temps, ils n'imposent pas leur opinion, mais les conseillent avec douceur et les aident à prendre la bonne décision. Par exemple, se rendant compte des méfaits du champagne pour enfants, ils conseillent de boire du soda ordinaire le jour du Nouvel An, et l'enfant prend sa propre décision. Les parents et les mentors ne forceront jamais leur enfant à faire ce dont ils rêvaient eux-mêmes, le forçant à réaliser leurs espoirs non réalisés. Ils ne feront qu'aider l'enfant à découvrir ses talents et à trouver sa propre voie de développement, en acceptant et en approuvant son choix.

Il convient toujours de rappeler le véritable objectif de l’éducation : élever des personnes heureuses et harmonieusement développées.

Ce n’est pas pour rien qu’on accorde autant d’attention à la relation entre enfants et parents. Après tout, la météo dans nos futures familles, dans l'équipe, dans la société en dépend. De nombreux enfants souffrent de mauvaises relations avec leurs parents toute leur vie, continuant à être en conflit avec eux à l'avenir, ne communiquant pas pendant des années ou ne conservant qu'une apparence d'humilité, et haïssant et méprisant secrètement leurs ancêtres pour leurs propres échecs. Vous pouvez nouer de bonnes amitiés à tout moment, l'essentiel est de le vouloir sincèrement, d'entendre l'autre côté et de changer, avant tout, vous-même.

Souvent, la relation entre parents et enfants est non seulement tendue, mais très complexe. Il arrive même que des enfants s'enfuient de la maison en raison de conflits au sein de la famille, et les parents éprouvent souvent des émotions négatives lorsqu'ils communiquent avec leurs enfants adultes. Afin de faire face avec compétence à de telles situations, vous devez comprendre ce que nous, les adultes, faisons de mal. Il ne faut pas s’attendre à une telle analyse de la part des enfants, car les adultes sont plus sages et plus expérimentés. Ce sont donc les parents qui devront résoudre ces conflits.

Tout d’abord, nous devons comprendre quel type de parents nous sommes. Après tout, comprendre un problème représente déjà 50 % de sa solution.

Souvent, la responsabilité des parents à l’égard de leurs enfants se résume à la préoccupation fondamentale de savoir si l’enfant est nourri, s’il porte des chaussures, s’il est habillé, s’il est allé à l’école, et c’est tout. Mais cela n’est clairement pas suffisant.

Il y a des parents qui s'efforcent avant tout d'être amis avec leurs enfants. En soi, ce n’est pas mauvais. Dans ce cas, les parents font confiance à leurs enfants, s'efforcent de ne pas imposer leurs opinions et entretiennent par tous les moyens des relations amicales. Ces parents s'intéressent souvent aux affaires des jeunes, s'habillent à la mode des jeunes et essaient de se tenir au courant des innovations techniques, de la musique moderne et de l'argot des jeunes. Ils n'interfèrent pas avec les enfants, leur permettent de suivre leur propre chemin et leur laissent la liberté en tout. Le problème avec de telles relations est que les enfants ont suffisamment d’amis sans cela, mais un leadership avisé fait souvent défaut.

Cependant, les parents ne doivent pas être seulement des amis : leur tâche est bien plus large. Vous devez apprendre, non seulement approuver tout ce que font les enfants, mais aussi avoir suffisamment d'autorité pour guider les enfants tranquillement et discrètement sur le bon chemin.

Parfois, des problèmes entre parents et enfants surviennent en raison du sens accru des responsabilités de la génération plus âgée. Ces parents ont inconsciemment peur de l'évaluation de la société. Il leur semble que toute action de leur enfant peut susciter des critiques, quelqu'un peut les condamner pour le fait que leurs enfants sont mal élevés. Dans ce cas, des cris, des secousses, des réprimandes et de longs discours sont constamment entendus. Il n'y a plus d'amour pour l'enfant lui-même, mais seulement de l'admiration pour ses mesures éducatives. Dans une telle famille, il n'y a pas de caresses ni de baisers, l'enfant n'est pratiquement jamais félicité pour quoi que ce soit, mais est seulement réprimandé pour tous ses méfaits. Mais en même temps, les parents oublient qu’ils se privent, ainsi que leur famille, de quelque chose de très important. Ils sont privés d’amour et perdent ces moments lumineux et joyeux que les enfants peuvent offrir.

Les parents d’adolescents se plaignent souvent de leur désobéissance. Même les exigences élémentaires des parents et les règles de comportement sont perçues avec hostilité par les adolescents et ne sont pas respectées. Comment élever des adolescents ? Comment faire face à leur rébellion ? Quelles sont ses raisons ? Peut-être que l'enfant n'est pas un rebelle malveillant ?

Rebelle – qui est-ce ?

Un rebelle est une personne qui n'est pas d'accord avec quelque chose, proteste et exprime activement sa position. Ces actions demandent du courage, elles sont souvent dangereuses et ne sont pas soutenues par le pouvoir en place, car... visant à saper les fondations existantes et les autorités généralement reconnues.

Pourquoi un adolescent rejette-t-il toutes les valeurs de ses parents ?

L'adolescence se caractérise par un désir d'indépendance, qui se manifeste par une impulsion à s'affranchir de la tutelle parentale. Le début de la prise de conscience de leurs sentiments est associé à leur désir de pensée et d’action indépendantes.

Si auparavant un enfant croyait tout ce qu'on lui disait, que ses parents étaient pour lui des modèles et une autorité indéniable, alors ce n'est pas typique pour un adolescent. Il a sa propre idée sur tout : sur le monde, les gens, la justice, la beauté, etc. Les adolescents critiquent catégoriquement et surestiment toutes les valeurs. Cette position est souvent appelée maximalisme juvénile.

Les principales situations conflictuelles entre enfants et parents surviennent en raison de la compréhension diamétralement opposée des parties quant à l’autonomie sur laquelle insistent les adolescents. Les enfants ne voient en elle que la liberté de l'influence des adultes, en rébellion contre les valeurs parentales. Cela inclut la liberté de choisir son propre style de vie, à savoir : un code de conduite, le choix de ses amis, de ses vêtements, etc. Ils ne reconnaissent pas l’autre aspect de ce concept : la responsabilité. Une telle compréhension unilatérale des valeurs donne souvent lieu à des différends et des conflits. Après tout, la liberté sans responsabilité se transforme en anarchie.
Système de valeurs les adolescents se construisent souvent sur la base de :

la destruction de ce qui a été construit sur la base de l'expérience des générations précédentes, lui, rejetant ce qui lui a été proposé tout fait, s'efforce de créer le sien ;
la valeur principale est la liberté, il s'efforce de faire ce qu'il veut ;
connaissance du monde en général, expérimentation avec les objets qui l'entourent, les relations et même soi-même ;
adhésion à une idéologie atypique, culte d'une forte personnalité, idole, rebelle ;
choisir parmi toutes les compétences de relation au monde la plus accessible et, de son point de vue, digne.

Quelle est la raison de la rébellion ?

Pourquoi un adolescent développe-t-il des désirs rebelles ? Cette question inquiète de nombreux parents d'adolescents. Une autre question les préoccupe : « Pourquoi leurs enfants ne sont-ils pas pressés de partager leurs sentiments avec leurs parents, mais recherchent-ils pour ce faire la compagnie de jeunes rebelles comme eux ?

Les parents doivent comprendre le désir naturel de l’enfant d’être en compagnie d’adolescents ayant des problèmes et des sentiments similaires. Basique raisons de la rébellion, sont les suivants:

S'il existe des restrictions strictes dans la famille où l'enfant ne peut pas faire ses preuves ou s'exprimer. Il est entouré d'une palissade de règles dont la violation entraîne des restrictions encore plus sévères. C'est comme essayer d'étaler du beurre froid sur du pain moelleux, mais augmenter l'effort conduit à un résultat encore pire : le pain ne fait que s'effriter davantage.
Quand l'intimidation est la principale méthode d'éducation dans la famille. Mais même si vous remplacez la tactique de la punition sévère par une autre, plus flexible, vous ne pourrez obtenir aucun résultat si vous ne supprimez pas les restrictions à la liberté et n'assouplissez pas le système de contrôle sur l'adolescent.
Des règles de comportement qui ne sont pas clairement définies par les parents conduisent souvent au fait que même si l'enfant n'est pas un délinquant malveillant et ne s'efforce pas de le devenir, l'enfant expérimente ces règles. Il essaie de tester empiriquement jusqu’où les violations peuvent être poussées. Si une fois il parvient à rester impuni même pour un délit grave, alors la prochaine fois il essaiera d'aller plus loin, vérifiant ainsi les limites de la permissivité.
Un environnement familial hostile dans lequel l'un des parents est soit un toxicomane, soit un alcoolique, soit un parent violent envers l'autre parent.
Si les parents ne se soucient pas de l’enfant, ils ne s’intéressent pas à la façon dont il vit.
Manque d'attention de la part des adultes et des pairs.
Dépravation dans l'éducation, quand il n'y a absolument aucune limite à ce qui est permis, ce qui donne lieu à l'égoïsme et à l'égocentrisme chez un adolescent.
Différence dans les paroles et les actions des parents , quand ils exigent d'un enfant quelque chose dans lequel eux-mêmes ne sont pas un exemple pour lui.
Les caractéristiques physiologiques de cet âge sont une production accrue d’hormones et l’incapacité de contrôler leur pression. Les niveaux hormonaux maximaux provoquent souvent des perturbations dans le corps et conduisent à des névroses.

Comment aider un rebelle dans la famille. Le rôle des parents dans l'éducation d'un adolescent

À l’adolescence, les enfants vivent des bouleversements émotionnels et des drames. Durant cette période, l’enfant a plus que jamais besoin d’amour. Mais l’amour parental doit être plus mature qu’avant. Ici quelques conseilsà cette occasion:

Pour un adolescent en ce moment l'amitié est très importante. Par conséquent, les parents doivent faire un maximum d’efforts pour devenir les meilleurs amis de leur enfant. En le respectant et en respectant son opinion, vous devez vous limiter à des conseils et non à des instructions catégoriques.
Montrer à votre enfant un amour inconditionnel, nous avons besoin d'un choix judicieux du type d'aide dont il a besoin, afin qu'il ne soit pas complètement dépendant de ses parents, se contentant de prendre, mais pas de donner. Il est important de lui apprendre à faire tout ce qui est en son pouvoir. La capacité de cuisiner des plats simples, de repasser ses vêtements et d’autres compétences en matière de soins personnels est un élément nécessaire pour préparer un adolescent à l’âge adulte et fonder sa propre famille.
Ne pas faire pression sur un adolescent et augmenter le nombre d'interdictions. Cela leur donnera envie de tout faire pour contrarier leurs parents. Vous devez exprimer votre mécontentement face au comportement de l'enfant non pas sous la forme d'un scandale, mais en analysant chaque excès, tout en identifiant tous les avantages et les inconvénients de la situation sans sermons ni conférences. Le but de cette discussion devrait être les conclusions indépendantes de l’enfant sur le sujet de la conversation. Mais ce qui précède ne signifie pas que la permissivité doit être la bienvenue, sinon l'enfant deviendra un tyran et un égoïste.
Gagner la confiance de l'enfant-un adolescent c'est difficile, mais le perdre est très facile. Par conséquent, il vaut la peine de prendre au sérieux ses expériences et ses problèmes. Les parents doivent se souvenir d'eux-mêmes à cet âge et comprendre ce qui est vraiment important pour leurs enfants maintenant afin d'avoir le droit de les aider dans leurs problèmes.
Ne dramatisez pas l'étrangeté des tentatives d'expression d'un adolescent. C'est sa recherche de son propre chemin, la lutte pour l'indépendance, sa formation en tant que personne.

On ne peut pas forcer un adolescent à faire quelque chose qu’il n’aime pas.. Il n'en résultera rien de bon et la confiance de votre fils ou de votre fille peut être complètement perdue. Du point de vue des parents, essayer d’intéresser un enfant à quelque chose d’utile en vaut certainement la peine. Mais rien de plus. Cela vaut particulièrement pour le choix d'un futur métier !
Implication dans les intérêts et les loisirs de l'enfant(groupes musicaux de jeunes, sports, etc.), parfois sans même les séparer, est un exemple de respect de l’opinion d’un adolescent et souvent le chemin le plus proche vers le respect mutuel.

La responsabilité est la marque d’une personne mûre. Les parents ont donc besoin déterminer l'éventail des responsabilités permanentes de l'enfant dans la famille et veiller à leur stricte mise en œuvre. À mesure que l'adolescent grandit, il convient d'élargir et de compliquer ces tâches. Par exemple, un enfant de onze ans peut promener un chien, arroser des fleurs et un enfant de quatorze ans peut garder l'appartement en ordre. Une grande patience est requise de la part des parents qui donnent à leurs enfants la possibilité de faire des erreurs et d'apprendre à les corriger, sans interférer dans ce processus avec des conseils et des conférences intrusifs. Mais cela est également nécessaire pour leur inculquer des responsabilités.

La meilleure façon de contrôler un adolescent est de passer du temps libre avec lui. Proposer des activités familiales intéressantes où l'enfant se sent comme une seule équipe avec ses parents, qu'il s'agisse de randonnées, d'excursions, de jeux, etc., est un bon moyen de créer des liens avec l'enfant et une alternative à la « mauvaise compagnie ».

Si tous les efforts déployés pour freiner la rébellion n'aident pas et qu'il y a d'autres enfants dans la famille pour qui l'exemple d'un adolescent rebelle aussi ardent pourrait être préjudiciable, alors vous devriez demander l'aide d'un psychologue spécialisé ou d'un autre (selon la situation). ). Parfois, il est même souhaitable de protéger temporairement un rebelle invétéré des autres enfants. Cela est particulièrement vrai en cas de manifestations extrêmes de protestation (toxicomanie, alcoolisme, troubles névrotiques graves, etc.).

Élever un adolescent difficile n'est pas une tâche facile, où il faut déployer beaucoup d'efforts pour gagner la confiance de l'enfant.
L'amour inconditionnel et la sagesse des parents peuvent aider leur enfant difficile à grandir, qui cherche péniblement son chemin dans la vie, essayant différents rôles :
surmonter l'incompréhension et la solitude ;
devenez plus confiant en vos capacités ;
grâce à la confiance parentale, devenir une personne digne et indépendante ;
en encourageant les efforts pour réussir dans la vie ;
en fin de compte - pour être heureux.

1. La lutte pour l’attention. La désobéissance est aussi une occasion d’attirer l’attention. L'attention portée à un enfant est nécessaire à son bien-être émotionnel.

Il se bat pour votre attention, dont il a besoin pour son développement normal.

Cela se produit si les parents sont occupés par leurs propres affaires. L'enfant remarque que lorsqu'il joue tranquillement et étudie bien, les gens cessent tout simplement de s'intéresser à lui. Mais dès qu'il commence à avoir des problèmes, il enfreint les règles et les interdits, ne remplit pas les conditions requises, ses parents lèvent continuellement les yeux de leurs études, font des commentaires et lui crient dessus.

Par conséquent, si votre enfant se porte bien et obtient d'excellentes notes, n'oubliez pas de le féliciter et de le soutenir. Dites-lui à quel point vous êtes fier de lui. Récompensez le bien, vous n’aurez alors pas à punir le mal.

2. La lutte pour l'affirmation de soi. L’enfant déclare la guerre aux instructions, commentaires et peurs interminables des adultes. L’opportunité d’avoir votre propre opinion, de prendre vos propres décisions, d’acquérir votre propre expérience, même si elle est fausse. Il a du mal à s’affirmer car il est opprimé par votre pouvoir extrême et votre tutelle.

Après tout, même les enfants disent constamment : « Moi-même ». À l'adolescence, lorsqu'un enfant peut déjà faire beaucoup de choses par lui-même, la lutte pour l'affirmation de soi s'intensifie. Un adolescent perçoit une tutelle excessive comme une humiliation de sa dignité et une atteinte à son indépendance. Il prend avec hostilité les inquiétudes, commentaires et instructions exprimés par ses parents, même si ces derniers ont raison. L'enfant est têtu, volontaire et veut montrer qu'il est aussi un individu.

Et ici, il est très important de trouver la bonne approche. Ne vous embêtez pas avec des conseils et des commentaires trop fréquents, ne donnez pas d'ordres sévères ou ne critiquez pas vivement.

3. Désir de vengeance. Un enfant peut se venger :

Pour des comparaisons qui ne lui sont pas favorables avec des frères et sœurs plus âgés ou plus jeunes.
Pour s'être humiliés par les membres de la famille.
Pour le divorce et l'arrivée d'un nouveau membre dans la famille.
Pour l'injustice et les promesses non tenues.
Pour avoir montré l’amour des adultes les uns envers les autres.

Un enfant peut également avoir un désir de vengeance à cause d’une punition injuste, d’une remarque dure ou d’une promesse non tenue. Les expériences internes, le ressentiment, que l'enfant ne peut pas toujours exprimer, le poussent à violer la discipline, à se comporter mal et à obtenir de mauvais résultats scolaires.

4. Manque de confiance en votre propre réussite. Les raisons pour lesquelles on ne croit pas en sa propre réussite peuvent être les échecs scolaires, les relations en classe et avec l’enseignant et la faible estime de soi. Après tout, les échecs, accompagnés de critiques constantes de la part des adultes et des enfants, convainquent progressivement l'enfant qu'il est un échec. Dans ce cas, il s'en fiche. Mauvais signifie mauvais. Dans ce cas, l’effet de désavantage mixte apparaît très souvent. L'enfant commence à avoir des difficultés à l'école, il échoue dans plusieurs matières, et tout cela se traduit par un comportement de défi à la maison. Les problèmes familiaux conduisent à l’échec scolaire.

Dans ce cas, il est très important que les parents connaissent la véritable raison pour laquelle la confiance de leur enfant dans la réussite a vacillé.

Les parents sages perçoivent toujours la désobéissance de leur enfant comme un signal SOS !, un appel à l’aide de l’âme de l’enfant. Et pour réellement apporter une aide, ils recherchent la cause sous-jacente d’un mauvais comportement. Les actions des parents qui souhaitent réellement aider leurs enfants en dépendront.

Dans certains cas, gardez le silence ou écoutez l'enfant et, dans certains cas, punissez-le pour l'infraction. Après tout, l'enfant souffre aussi parce que ses parents ne font pas attention à ses erreurs.

Les psychologues conseillent aux parents qui souhaitent comprendre la véritable raison du mauvais comportement de leurs enfants d'écouter leurs propres sentiments. Ils vous aideront à découvrir la cause profonde du mauvais comportement de votre enfant.

Bon après-midi J'ai un problème : ma fille adulte a refusé de communiquer avec moi. En bref sur la situation : L'atmosphère dans famille Elle était toujours tendue, a demandé son mari - tout le monde lui devait toujours, moi et ma fille. Il a ouvertement intimidé sa fille - elle était grosse, incompétente, etc., mais il a donné argent pour ses déplacements pendant et après l'école. Je l'ai défendue de toutes les manières possibles et j'ai essayé de prendre le « coup » sur moi-même. L'institut s'est choisi lui-même. L'idée du divorce me revenait constamment à l'esprit, mais je n'arrivais tout simplement pas à me décider... Quand j'ai vraiment commencé à déranger ma fille, j'ai failli le décider, mais ma fille ne m'a pas soutenu (elle était encore en dernière année, parce que j'ai dit qu'elle devrait m'aider et qu'elle devrait oublier de voyager - il n'y aurait pas d'argent. Ma fille a obtenu son diplôme universitaire. J'ai tout fait pour la protéger de son père - ils lui ont acheté un appartement, elle mon père lui a trouvé un travail. Et ici, j'ai décidé de divorcer. J'ai divorcé.. Au début, la relation avec ma fille était normale - nous parlions de tout, principalement de ses problèmes, de ses aventures et des raisons pour lesquelles rien ne lui tombait sous le contrôle - pas dans amitié avec des filles, pas avec des garçons... Elle a perçu mes conseils comme des conférences, n'a rien fait dans ce sens... 3 ans se sont écoulés et j'ai réalisé qu'elle n'avait besoin que de quelqu'un à qui se plaindre et comme portefeuille - elle ne voulait catégoriquement pas son propre argent suffit. J'ai rencontré un homme et nous avons commencé à passer beaucoup de temps ensemble. Ma fille l'a rencontré, elle l'a aimé au début, mais ensuite elle ne l'a pas aimé, parce que... J'ai commencé à lui faire des commentaires - comme si ma mère avait besoin d'aide... Ma fille a commencé à s'offusquer... Et puis le temps des vacances est arrivé - moi et mon homme allions aller chez mes parents (ils ont déjà connais le). Ma fille l'a découvert - je ne l'ai pas caché et j'ai dit qu'elle voulait aussi venir avec nous, je lui ai dit que je voulais y aller ensemble. Elle s'est offensée, mot pour mot... et m'a déversé un tas de tout sur moi : que je ne l'aime pas, que je ne comprends pas, et que je ne veux pas comprendre, etc., et si c'est ça Dans ce cas, elle ne veut pas communiquer avec moi. J'ai essayé de lui parler mais ça n'a pas marché. Il prend tout avec hostilité et réagit brusquement à tout. Elle a dit que je l'avais échangée contre un homme.... Je suis très blessée et offensée. que-faire dans cette situation? La fille a 25 ans.

Bonjour Tatiana ! Au départ, la fille a grandi dans une relation malsaine - elle a vu que sa mère ne pouvait pas se protéger et se respecter, qu'elle se permettait de prendre tous les coups sur elle-même, mais elle a appris que sa mère était précisément pour cela - pour que elle serait blessée ; et il faut un homme pour donner argent et fournissent. Après le divorce, écrivez-vous que vous l'avez aidée de toutes les manières, mais qu'elle n'a JAMAIS eu envie de vous aider et de vous entendre, puisqu'elle NE VOUS A PAS vu essayer de vous aider ! Il s'avère maintenant que vous êtes confronté aux conséquences de l'influence du système qui était dans votre famille- tu vois que quand tu ne te remarquais pas, vivais avec tes maris, les endurais, prenais les coups - tu n'as rien fait de bien pour ta fille, elle s'est habituée à te traiter de la même manière et que le côté matériel est plus important pour elle que le côté humain. Alors qu'elle restait immature et infantile. Et maintenant, vous ne devez pas penser à votre fille, mais lui montrer que VOUS POUVEZ vous traiter différemment - vous pouvez vous respecter, vous aimer et NE PERMETTRE À PERSONNE D'AUTRE de s'essuyer les pieds sur vous et d'endurer la douleur. Votre fille a grandi, laissez-la apprendre à être indépendante, arrêtez de la parrainer, sinon elle restera enfantine. Elle était habituée à ce que sa mère fasse passer ses intérêts avant les siens, mais maintenant elle était confrontée au fait que sa mère était enfin capable de faire passer les siens avant les siens - après tout, elle a déjà grandi, est adulte et peut subvenir à ses besoins. propres intérêts elle-même ! C'est sa réaction enfantine et infantile, l'essentiel n'est PAS de se laisser diriger par elle, mais de se permettre de respirer et de vivre VOTRE vie, et de laisser votre fille vivre la sienne !

Shenderova Elena Sergeevna, psychologue Moscou

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Bonjour Tatiana !

Bravo, vous avez décidé et vous passez à l'action ! Changez votre vie pour le mieux. Oui, pour la fille, c'est une nouvelle expérience, jusqu'à présent elle a surtout « consommé », et maintenant elle doit accepter la pensée - elle n'est pas la seule des stars de sa mère, sa mère est également digne de faire SES propres efforts. Sa réaction est assez infantile et prévisible, mais pardonnez-lui - c'est la première fois en 25 ans qu'une fille vit une telle expérience et ne sait toujours pas comment réagir de manière adéquate. Vous savez, à un moment donné, ma fille était terriblement indignée que j'aie le droit de déterminer moi-même à quelle heure je devais me coucher. Pas avec elle, juste scandaleux ! À 25 ans, il est temps de prendre vos propres décisions et de payer vous-même vos déplacements. Donnez-lui l'exemple - avec vos actions, et non avec de l'argent dans un portefeuille ouvert. Bonheur et patience à vous !

Yudina Elena Vladimirovna, psychologue Noginsk

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