Description des gopniks de différents pays (10 photos). Gopniks de différents pays

10.04.2019

En voyageant à l'étranger, les touristes russes décident parfois que dans d'autres pays, il y a des citoyens respectueux des lois exceptionnellement intelligents, amicaux et élégamment vêtus. Avez-vous vu des gopniks au Japon ? Non? En fait, vous ne les avez manqués que parce que vous ne saviez pas à quoi ils ressemblaient. À partir de ce matériel, vous apprendrez de qui avoir peur ou, au contraire, à côté de qui vous pouvez vous accroupir et parler de la vie à l'étranger

Chav (Angleterre)

CARACTÉRISTIQUE DISTINCTIF - un accent prononcé

BOISSON PRÉFÉRÉE – Carling

MUSIQUE PRÉFÉRÉE – Lady Sovereign, Basshunter

Commençons par les classiques. "Chav" vient du mot gitan "shavvi", qui signifie "enfant". En règle générale, il s'agit de représentants familles dysfonctionnelles qui vivent des allocations de chômage. De ce fait, ils deviennent des objets de mépris : les Britanniques se plaignent que les oisifs vivent de leurs impôts, sans profiter à la société. Dans les vêtements, les chavas préfèrent style sportif, bien qu'ils soient rarement vus en train de faire du sport.

Les filles de Chavetta portent des t-shirts moulants avec des logos marques célèbres, jean skinny ou alors jupes courtes, ugg boots ou baskets, mais se distinguent surtout par leurs coiffures : les cheveux décolorés aux racines repoussées sont tirés en une queue de cheval serrée, et les oreilles sont ornées de larges boucles d'oreilles en forme d'anneaux. Les Chavettas aiment généralement les bijoux brillants qui imitent l'or. Les hommes et les femmes laissent rarement une canette de bière et une cigarette de leurs mains, de sorte qu'ils peuvent être comptés en toute sécurité parmi les détails de la garde-robe. De la musique, les Chavs préfèrent le hip-hop et le R&B, malgré le fait qu'ils ne fuient pas le racisme quotidien. Les chavs aiment beaucoup les voitures, mais ne sont pas assez patients (ou trop aventureux) pour économiser de l'argent et acheter bonne voiture; préférez prendre beaucoup d'occasions et consacrer du temps et de l'argent à l'accorder. Ils communiquent dans un argot caractéristique avec un fort accent, le vocabulaire est riche en gros mots.

Knacker, Ned (Irlande, Écosse)

PARTICULARITE - Casquette Burberry

BOISSON PRÉFÉRÉE – Bière Buckfast, cidre bon marché

MUSIQUE PRÉFÉRÉE - transe

Le mot irlandais «knacker», en plus de l'équivalent local de «knacker», est également utilisé pour décrire une personne qui achète du bétail vieux ou malade afin de le tuer et de vendre la viande. On peut supposer que la connotation offensante s'étend à toutes ses significations. De plus, les neckers irlandais ne sont pas très différents des chavs britanniques - les mêmes apparence et mode de vie.

L'abréviation "ned" signifie "délinquant non éduqué", traduit de l'anglais - "criminel sans éducation". Ils diffèrent des chavs anglais principalement par leur accent et leur prédilection pour les fausses casquettes Burberry. Le haschich est souvent fumé, écrasé et roulé en cigarettes. Cette habitude est si répandue qu'il a fallu mot spécial pour les trous dans les vêtements, brûlés par les cendres de cigarettes avec des morceaux de haschisch - «bommers».

Bogan (Australie)

CARACTÉRISTIQUE DISTINCTIF - jeans noirs, uggs

BOISSON PRÉFÉRÉE – Victoria Bitter

MUSIQUE PRÉFÉRÉE – Cold Chisel, Midnight Oil, AC/DC

L'apparence des bogans est radicalement différente du style des autres gopniks : ils portent des chemises en flanelle, des jeans ou des leggings noirs, des pulls en laine et uggs. Les bogans se promènent dans des Holden Commodores ou des Ford Falcon d'occasion. Contrairement aux autres gopniks du monde, les bogans portent cheveux longs ou au pire longue frange. On ne peut pas dire qu'ils sont extrêmement agressifs ou qu'ils essaient de "faire sortir le mobile", mais dans l'esprit des Australiens, les bogans remplacent les éléments sans instruction et immoraux de la société. Les bogans se rassemblent dans des pubs, où ils regardent le football australien avec adoration et se battent parfois. Les filles Bogan sont considérées comme beaucoup plus agressives et incontrôlables. Ils passent le temps à se promener centres commerciaux et des supermarchés avec une bouteille de bière, criant et intimidant constamment d'autres femmes.

Cani (Espagne)

PARTICULARITE - coiffure "plate-forme courte"

BOISSON PRÉFÉRÉE – Tequimon, Molotov

MUSIQUE PRÉFÉRÉE - Paco Pil, Chimo Bayo, Daddy Yankee

Dans différentes autonomies d'Espagne, la sous-culture de la jeunesse de la classe ouvrière est appelée différemment. Le nom commun est cani, mais en réalité il y en a plus de deux douzaines : surmanito et willy à Séville, burraco à Malaga, doncho à Grenade, garrullo en Catalogne, ueso à Almeria, maca en Estrémadure, poker à Madrid et bien d'autres noms dans différentes autonomies, villes et villages.

Si nous parlons du style vestimentaire, tout dépend des capacités de chaque chien. Si un cani a une doudoune El Niño, il ne l'enlèvera pas même en août. Sous la doudoune doit être un survêtement. Si le gars a un torse en relief, il sera alors possible de le forcer à porter un t-shirt uniquement avant Noël. Tous les deux aiment des lunettes de soleil et portez-les quelle que soit la saison et l'ensoleillement. Il en va de même pour les casquettes de baseball. À transport public ils aiment mettre de la musique à partir d'un téléphone portable, plus souvent du flamenco, du raggaton ou du bacalao - une sous-espèce locale de la musique de club. Bien sûr, dans les transports en commun, vous ne pouvez rencontrer que ceux qui n'ont pas fonds propres mouvement. En règle générale, il s'agit d'un scooter Yamaha Jog-R avec un silencieux remplacé - celui d'usine est trop silencieux. Il est considéré comme un chic spécial de remplacer autant de pièces que possible du scooter afin qu'il puisse aller plus vite et faire plus de bruit.

Elñero (Colombie)

PARTICULARITÉ - mulet

BOISSON PRÉFÉRÉE – Aperitivos Vincorte, Gran Brindis

MUSIQUE PRÉFÉRÉE – Wispin & Yandel, Osmani Garcia

Nero (également connu sous le nom de turro en Argentine, nado au Mexique et tukki au Venezuela) diffère du kani principalement par ses cheveux - sur le continent sud-américain, les mulets (ou "sevens", comme les appellent les Colombiens) sont toujours tenus en haute estime . Selon des témoignages locaux, la plus forte concentration de niero est observée dans la ville de Medellin, qui en dernières années renforce son statut de capitale du trafic de drogue.

El Zarco, le héros du roman du même nom de l'écrivain mexicain Ignacio Manuel Altamirano et du film basé sur celui-ci, a été choisi comme exemple à suivre. El Zarco est le chef d'un groupe criminel, jeune et beau, mais agressif et sans pitié.

Comme le kani, les uniformes du nyero sont de faux survêtements Nike, Puma et Adidas. Parfois, il est complété par des amulettes ou des images suspendues autour du cou et un chien assis aux pieds. Plus le chien est en colère et gros, mieux c'est. Souvent, ils tirent sur les passants une cigarette, une demi-billet et un téléphone. Ils écoutent la pop latino-américaine habituelle, parfois le hip-hop latino-américain. En plus des petits larcins et de la distribution de drogue, ils gagnent parfois leur vie très d'une manière inhabituelle: vendre des bonbons dans les bus, en inventant les leurs histoire tragique ou en l'empruntant à une telenovela (la femme du frère jumeau de mon père l'a tué, la famille s'est retrouvée sans soutien de famille). Les nieros plus âgés travaillent comme assistants chauffeurs, s'assoient sur un tabouret latéral et collectent l'argent des passagers, tandis que les plus âgés deviennent chauffeurs et décorent leur lieu de travail icônes, drapeaux et porte-clés. À temps libre les nieros aiment jouer au futsal, toujours torse nu, se prendre en photo sur téléphone portable, comme des poussins russes ordinaires.

Rakaï (France)

PARTICULARITÉ - sac de taille

BOISSON PRÉFÉRÉE - vodka-pepsi

MUSIQUE PRÉFÉRÉE - K-Maro, Diam's

Rakai se démarque avec son survêtement Lacoste (parfois Sergio Tacchini ou Airness) et l'habitude de rentrer son pantalon dans ses chaussettes. Un sac de taille (également Lacoste) est porté sur le survêtement et un téléphone portable est suspendu à un cordon autour du cou. Comme les Espagnols, les gopniks français aiment écouter de la musique en dans des lieux publics, sans utiliser de casque, mais leur playlist est quelque peu différente : ils préfèrent le hip-hop, le R&B et la tectonique oubliée. Les Rakai se déplacent sur des cyclomoteurs, ce qui permet à certains d'entre eux d'arracher habilement des sacs des mains des passants tout en roulant. Une zone spéciale de rakai est les trains RER de banlieue. Ils ressemblent à notre métro, seuls les wagons sont à deux étages et très sales, et les stations sont plus longues. Là, ils se rassemblent en grands groupes de 15 à 20 personnes, pincent les filles, foncent dans toute la compagnie sur un Français frêle pour lui enlever de l'argent ou un téléphone, se balancent sur les rampes et crachent par terre.

Yankee (Japon)

PARTICULARITÉ - combinaison de travail

BOISSON PRÉFÉRÉE - peu importe

MUSIQUE PRÉFÉRÉE – Miliyah Kato, Spontania

Au Japon, les « Yankees » ne sont pas appelés Américains, comme dans le reste du monde, mais jeunes ouvriers japonais aux habitudes antisociales. On parle souvent d'eux comme de futurs membres des yakuza, mais les Yankees sont beaucoup plus inoffensifs et les délits se limitent aux larcins, inconduites, vandalisme et bagarres. Les Yankees pourraient bien s'entendre avec de simples garçons russes : tous deux préfèrent communiquer assis « sur les courts ».

Souvent, les Yankees soutiennent les idées nationalistes et s'inspirent de l'histoire du Japon, principalement des pilotes de samouraïs et de kamikazes. Comme ils appartiennent presque toujours à la classe ouvrière, ils essaient de souligner leur origine vestimentaire en portant des combinaisons qui ressemblent aux uniformes des ouvriers du bâtiment japonais. Au cours du demi-siècle où la sous-culture yankee s'est épanouie au Japon, leurs préférences ont quelque peu changé. Ces dernières années, les Yankees se sont beaucoup investis dans le hip hop japonais. Leur vie tourne autour des motos et des voitures, principalement celles qui ont une aura de gangster, comme la Toyota Celsior ou les muscle cars américaines. Comme tous les phénomènes culturels, les Yankees se reflètent dans films japonais, mangas et animés.

Dres (Pologne)

CARACTÉRISTIQUE DISTINCTIF - un chien d'une race de combat

BOISSON PRÉFÉRÉE - analogues de "Jaguar"

MUSIQUE PRÉFÉRÉE – Firma, AbraDab

Le mot « dres » est apparu dans les années 1990 grâce à survêtements(dres) qui a inondé les marchés. On suppose qu'auparavant, personne ne réunissait les robes en une seule sous-culture et qu'elles étaient simplement appelées hooligans ou criminels. Habitat - zones de sommeil des grandes villes, tout comme nos villes bâties immeubles de grande hauteur. Par conséquent, parfois, les robes s'appellent fièrement blokersi, c'est-à-dire "garçons du quartier". Une robe qui se respecte a toujours une chaîne pseudo-dorée avec une croix autour du cou. Les coiffeurs ne regardent pas dans les salons de coiffure, mais préfèrent se raser chauve avec l'aide d'amis ou coiffer leurs cheveux en arrière, versant beaucoup de gel sur leurs têtes.

Parmi les voitures, les Allemands sont préférés, fondamentalement seules les vieilles Volkswagen, Opel, Audi peuvent se permettre. Rising karki (cou, cou de taureau, frères) monte des BMW d'occasion. Très jeunes, sans expérience des braquages de rue, ils sont obligés de voyager en bus. Elle a aussi sa propre culture : les robes, quel que soit le nombre de frères, occupent les six dernières places. Ceux qui ne sont pas censés s'asseoir au niveau s'accrochent aux mains courantes, font basculer le bus et se collent aux citadins. Parfois, s'il y a un grand-père particulièrement grincheux, on peut lui donner une place. Du tout, personnes âgées sont en dehors du concept de ventouses, donc ils ne sont pas battus et non "jetés sur un téléphone portable". Ce qui est intéressant, la robe, contrairement à nos minces gopniks, fréquente les fauteuils à bascule. Ils ont aussi souvent des chiens. races de combat(Staffordshire Terriers et Pit Bulls).

Poubelle blanche (USA)

CARACTÉRISTIQUE DISTINCTIVE - vit dans une remorque

BOISSON PRÉFÉRÉE - bière et herbe

MUSIQUE PRÉFÉRÉE - Hard rock des années 1970

Si dans les zones urbaines l'honneur des gopniks est défendu par des gangstas noirs bien connus, alors dans les provinces il existe un large concept de «poubelle blanche» pour toutes les ordures. Dès le 19e siècle, les «poubelles blanches» ont commencé à être appelées les pauvres travailleurs blancs qui, avec les esclaves noirs, récoltaient les récoltes dans les plantations. Maintenant, les déchets blancs sont appelés pauvres américains mal éduqués, dont le comportement ne rentre pas dans le cadre de la moralité généralement acceptée. Bien qu'extérieurement ils ne ressemblent pas à des gopniks d'autres pays, ils sont précisément perçus comme des éléments déclassés.

L'image la plus courante des déchets blancs est blanc, qui vit dans une caravane ou au moins conduit une camionnette, a sa propre arme, porte une coupe de mulet, a beaucoup de tatouages sur le corps faits à la maison par ses amis. S'il travaille, il gagne très peu, et dépense immédiatement l'argent reçu pour un « nouveau téléviseur » au lieu de la nourriture pour les enfants, et le plus souvent il perçoit simplement des allocations de chômage. Il aime visiter le "village club", où il organisera certainement un combat. L'habitat est dans tout le pays, mais la plus grande concentration de ces personnes se trouve dans le sud. Il se distingue par un patriotisme zélé et une haine interethnique.

Dans les petites villes, des gangs de jeunes se forment souvent, ce qui peut également être attribué aux déchets blancs. Dans chaque colonie, il y a généralement plusieurs factions belligérantes qui se battent pour l'autorité et l'influence sur les habitants. Ils sont très bien organisés, obéissant au membre le plus âgé du gang, qui distribue les tâches aux plus jeunes. Habituellement, c'est du petit hooliganisme de rue, soutirer de l'argent aux "garçons et ventouses" ou cambrioler. Les systèmes stéréo et les armes sont le plus souvent sortis des maisons. Parfois, ils vendent de la drogue et des armes. Fait intéressant, ces gangs ont leurs propres codes. Par exemple, une des règles est que tout ce qui se passe dans un gang ne doit pas affecter les familles des membres.

Ars (Israël)

PARTICULARITÉ - chaîne dorée, coupe courte

BOISSONS PRÉFÉRÉES - bière, vin

MUSIQUE PRÉFÉRÉE – Yishai Levi, Amir Benayoun

Le mot "ars", semble-t-il, vient du "proxénète" marocain. Les Arsy sont des jeunes qui errent négligemment en troupeaux sous le soleil brûlant d'Israël et harcèlent les filles. Ils diffèrent comportement agressif dans les lieux publics, n'hésitez pas à parler très fort au téléphone entre étrangers(apparemment pour montrer leur supériorité), ils préfèrent faire le tour de la ville dans une voiture aux vitres ouvertes, d'où chacun peut entendre du rap ou de la musique arabe. Les ânes se rassemblent dans des cafés pseudo-grecs, où ils boivent du vin bon marché et se disputent avec les serveurs et les gars aux tables voisines.

Arsy s'habille d'un pantalon avec un sac et porte des chaînes en or géantes - plus il y a de chaînes autour du cou, mieux c'est. porter coiffures courtes"sous la marmite". Les ânes diffèrent également par leur attitude extrêmement dédaigneuse envers sexe féminin, tandis que chaque ars cherche à acquérir son propre (ou au moins un pour deux) frekha. Le mot "freha" est traduit de l'arabe par "joie", ils appellent les filles sans encours capacités mentales. Les "frais" israéliens se distinguent principalement par des tenues révélatrices.

En parcourant le monde, nous pensons que dans d'autres pays, il existe des citoyens respectueux des lois exceptionnellement intelligents, bienveillants et élégamment vêtus. Avez-vous vu des gopniks au Japon ou en Israël ? Non? En fait, vous ne les avez manqués que parce que vous ne saviez pas à quoi ils ressemblaient. A partir de ce matériel, vous apprendrez de qui avoir peur ou, au contraire, à côté de qui vous pourrez vous accroupir et parler de la vie à l'étranger.

1. CHAV (ANGLETERRE)

Particularité : accent prononcé.
Boisson : Carling.
Musique : Lady Sovereign, Basshunter, hip hop et R&B.

"Chav" vient du mot gitan "shavvi", qui signifie "enfant". En gros, ce sont des représentants de familles dysfonctionnelles qui vivent des allocations de chômage. De ce fait, ils deviennent des objets de mépris : les Britanniques se plaignent que les oisifs vivent de leurs impôts, sans profiter à la société. Ils portent des vêtements de sport, même s'ils sont rarement vus en train de faire du sport.

Les filles de Chavetta portent des t-shirts moulants avec des logos de marques célèbres, des jeans moulants ou des jupes courtes, des uggs ou des baskets, des cheveux décolorés avec des racines repoussées tirées en une queue de cheval serrée et leurs oreilles sont décorées de grandes boucles d'oreilles en forme d'anneau. Les hommes et les femmes laissent rarement une canette de bière et une cigarette de leurs mains, de sorte qu'ils peuvent être comptés en toute sécurité parmi les détails de la garde-robe. Ils ne fuient pas le racisme domestique. Les chavs aiment beaucoup les voitures, mais ne sont pas assez patients pour économiser de l'argent et acheter une bonne voiture; ils préfèrent en prendre un très utilisé et consacrer du temps et de l'argent à le régler. Ils communiquent dans un argot caractéristique avec un fort accent, le vocabulaire est riche en obscénités.

2. KNACKER, NED (IRLANDE, ÉCOSSE)

Signe distinctif : casquette Burberry.
Boisson : bière Buckfast, cidre bon marché.
Musique : transe.

Le mot irlandais «knacker», en plus de l'équivalent local de «knacker», est également utilisé pour décrire une personne qui achète du bétail vieux ou malade afin de le tuer et de vendre la viande. Les neckers irlandais ne sont pas très différents des chavs britanniques - la même apparence et le même style de vie.

L'abréviation "ned" signifie "délinquant non éduqué", traduit de l'anglais - "criminel sans éducation". Ils diffèrent des chavs anglais par leur accent et leur prédilection pour les fausses casquettes de la marque Burberry. Ils fument du haschich, qui est broyé et roulé en rouleaux.

3.BOGAN (AUSTRALIE)

Particularité : jean noir, ugg boots.
Boisson : Victoria Bitter.
Musique : Cold Chisel, Midnight Oil, AC/DC.

Le look est radicalement différent du style des autres gopniks : chemises en flanelle, jeans ou leggings noirs, pulls en laine noire et uggs. Les bogans se promènent dans des Holden Commodores ou des Ford Falcon d'occasion. Les bogans portent des cheveux longs ou une longue frange. On ne peut pas dire qu'ils sont extrêmement agressifs ou qu'ils essaient de "faire sortir le mobile", mais dans l'esprit des Australiens, les bogans remplacent les éléments sans instruction et immoraux de la société. Ils se rassemblent dans des pubs, où ils regardent le football australien avec adoration et organisent parfois des bagarres. Les filles Bogan sont considérées comme beaucoup plus agressives et incontrôlables. Ils passent le temps à se promener dans les centres commerciaux et les supermarchés avec une bouteille de bière, à crier et à intimider constamment les autres femmes.

4. CANI (ESPAGNE)

Particularité : coiffure "plate-forme courte".
Boisson : Tequimon, Molotov.
Musique : Paco Pil, Chimo Bayo, Daddy Yankee.

À différentes régions La sous-culture des jeunes espagnols est appelée différemment. Le nom commun est cani, mais en réalité il y en a plus de deux douzaines : surmanito et willy à Séville, doncho à Grenade, garrullo en Catalogne, pokero à Madrid et bien d'autres noms à différentes villes et villages.

Le style vestimentaire dépend des capacités de chaque cani individuel. Si un cani a une doudoune El Niño, il ne l'enlèvera pas même en août. Sous la doudoune doit être un survêtement. Si le gars a un torse en relief, il sera alors possible de le forcer à porter un t-shirt uniquement avant Noël. Tous deux adorent les lunettes de soleil et les portent, quelle que soit la saison et l'ensoleillement. Il en va de même pour les casquettes de baseball. Dans les transports en commun, ils aiment mettre de la musique à partir d'un téléphone portable, plus souvent du flamenco, du raggaton ou du bacalao - une sous-espèce locale de la musique de club. Dans les transports en commun, vous ne pouvez rencontrer que ceux qui n'ont pas leur propre véhicule. En règle générale, il s'agit d'un scooter Yamaha Jog-R avec un silencieux remplacé - celui d'usine est trop silencieux. Il est considéré comme un chic spécial de remplacer autant de pièces que possible du scooter afin qu'il puisse aller plus vite et faire plus de bruit.

5. EL ÑERO (COLOMBIE)

Signe distinctif : maillet.
Boisson : Aperitivos Vincorte, Gran Brindis.
Musique : Wispin & Yandel, Osmani Garcia.

Niero diffère du kani principalement par ses cheveux - sur le continent sud-américain, les mulets (ou "sevens", comme les appellent les Colombiens) sont toujours tenus en haute estime. La plus grande concentration de nyeros est observée dans la ville de Medellin, qui a renforcé ces dernières années son statut de capitale du trafic de drogue.

Ils portent de faux survêtements Nike, Puma et Adidas. Parfois, il est complété par des amulettes ou des images suspendues autour du cou et un chien assis aux pieds. Plus le chien est en colère et gros, mieux c'est. Souvent, ils tirent sur les passants une cigarette, une demi-billet et un téléphone. Ils écoutent la pop latino-américaine habituelle, parfois le hip-hop latino-américain. Outre les petits larcins et la distribution de drogue, ils gagnent parfois leur vie de manière très inhabituelle : ils vendent des bonbons dans les bus, s'inventent une histoire tragique ou l'empruntent à une telenovela (la femme du frère jumeau de mon père l'a tué, la famille s'est retrouvé sans soutien de famille). Les Nyoros plus âgés travaillent comme assistants chauffeurs, s'assoient sur un tabouret latéral et collectent l'argent des passagers, tandis que les plus âgés deviennent chauffeurs et décorent leur lieu de travail avec des icônes, des drapeaux et des porte-clés. Pendant leur temps libre, elles jouent au mini-football, toujours torse nu, se prennent en photo sur un téléphone portable, comme des filles russes ordinaires.

6.RACAILLE (FRANCE)

Particularité : sac ceinture.
Boisson : vodka-pepsi.
Musique : K-Maro, Diam's. Hip-hop, R&B et tectonique

Rakai porte des survêtements Lacoste (parfois Sergio Tacchini ou Airness) et a l'habitude de rentrer son pantalon dans ses chaussettes. Un sac de taille (également Lacoste) est porté sur le survêtement et le téléphone est suspendu à un cordon autour du cou. Comme les Espagnols, les gopniks français aiment écouter de la musique dans les lieux publics sans utiliser d'écouteurs. Ils se déplacent sur des cyclomoteurs, ce qui permet à certains d'entre eux d'arracher habilement des sacs des mains des passants tout en roulant. Une zone spéciale de rakai est les trains de banlieue RER. Ils ressemblent à notre métro, seuls les wagons sont à deux étages et très sales, et les stations sont plus longues. Là, ils se rassemblent en grands groupes de 15 à 20 personnes, pincent les filles, foncent dans toute la compagnie sur un Français frêle pour lui enlever de l'argent ou un téléphone, se balancent sur les rampes et crachent par terre.

7. YANKI (JAPON)

Particularité : salopette.
Boire : peu importe.
Musique : Miliyah Kato, Spontania.

Fondamentalement, les Yankees soutiennent les idées nationalistes et s'inspirent de l'histoire du Japon, principalement des pilotes de samouraïs et de kamikazes. Comme ils appartiennent presque toujours à la classe ouvrière, ils essaient de souligner leur origine vestimentaire en portant des combinaisons qui ressemblent aux uniformes des ouvriers du bâtiment japonais. Au cours du demi-siècle où la sous-culture yankee s'est épanouie au Japon, leurs préférences ont quelque peu changé. Ces dernières années, les Yankees se sont beaucoup investis dans le hip hop japonais. Leur vie tourne autour des motos et des voitures, principalement celles qui ont une aura de gangster, comme la Toyota Celsior ou les muscle cars américaines. Comme tous les phénomènes culturels, les Yankees se reflètent dans les films, mangas et anime japonais.

8. DRES (POLOGNE)

Particularité : race de chien de combat.
Boisson: analogues de "Jaguar".
Musique : Firma, AbraDab.

Le mot « dres » est apparu dans les années 1990 grâce aux survêtements (dres) qui ont inondé les marchés. On suppose qu'auparavant, personne ne réunissait les robes en une seule sous-culture et qu'elles étaient simplement appelées hooligans ou criminels. Habitat - zones de couchage des grandes villes, ainsi que les nôtres construites avec des bâtiments à plusieurs étages. Par conséquent, parfois, les robes s'appellent fièrement blokersi, c'est-à-dire "garçons du quartier". Une robe qui se respecte a toujours une chaîne pseudo-dorée avec une croix autour du cou. Ils préfèrent se raser chauve avec l'aide d'amis ou se coiffer les cheveux en arrière, en versant beaucoup de gel sur leur tête.

Ils préfèrent les voitures allemandes, fondamentalement seules les vieilles Volkswagen, Opel, Audi peuvent se permettre. Rising karki (cou, cou de taureau, frères) monte des BMW d'occasion. Très jeunes, sans expérience des braquages de rue, ils sont obligés de voyager en bus. Elle a aussi sa propre culture : les robes, quel que soit le nombre de frères, occupent les six dernières places. Ceux qui ne sont pas censés s'asseoir au niveau s'accrochent aux mains courantes, font basculer le bus et se collent aux citadins. Parfois, s'il y a un grand-père particulièrement grincheux, on peut lui donner une place. Les personnes âgées sont en dehors du concept de ventouses, elles ne sont donc pas battues et ne sont pas "jetées sur un téléphone portable". Contrairement à nos gopniks maigres, les habilleuses assistent à des chaises berçantes, obtiennent des chiens de races de combat.

9. WHITE TRASH (ÉTATS-UNIS)

Particularité : vit dans une roulotte.
Boire de la bière.
Musique : hard rock des années 1970.

White trash est un nom pour les pauvres américains peu éduqués dont le comportement ne rentre pas dans le cadre de la moralité généralement acceptée. Bien qu'extérieurement ils ne ressemblent pas à des gopniks d'autres pays, ils sont précisément perçus comme des éléments déclassés.

L'image la plus courante des déchets blancs est celle d'un homme blanc qui vit dans une caravane ou conduit une camionnette, a sa propre arme, porte une coupe de cheveux mulet et a de nombreux tatouages fait maison sur son corps. S'il travaille, il gagne très peu, et dépense immédiatement l'argent reçu pour un « nouveau téléviseur » au lieu de la nourriture pour les enfants, et le plus souvent il perçoit simplement des allocations de chômage. Il aime visiter le "village club", où il organisera certainement un combat. L'habitat est dans tout le pays, mais la plus forte concentration de ces personnes se trouve dans le sud. Il se distingue par un patriotisme zélé et une haine interethnique.

Dans les petites villes, des gangs de jeunes se forment souvent, ce qui peut également être attribué aux déchets blancs. Dans chaque colonie, il y a généralement plusieurs factions belligérantes qui se battent pour l'autorité et l'influence sur les habitants. Ils sont bien organisés, subordonnés au membre le plus âgé du gang, qui distribue les tâches aux plus jeunes. Habituellement, c'est du petit hooliganisme de rue, soutirer de l'argent aux "garçons et ventouses" ou cambrioler. Les systèmes stéréo et les armes sont le plus souvent sortis des maisons. Parfois, ils vendent de la drogue et des armes. Fait intéressant, ces gangs ont leurs propres codes. Par exemple, une des règles est que tout ce qui se passe dans un gang ne doit pas affecter les familles des membres.

10.ARS (ISRAËL)

Particularité : chaîne en or, coupe courte.
Boisson : bière, vin.
Musique : Yishai Levi, Amir Benayoun.

Le mot "ars" vient du "proxénète" marocain. Les ânes sont des jeunes qui errent négligemment en troupeaux sous le soleil brûlant d'Israël et qui agressent les filles. Ils se distinguent par des comportements agressifs dans les lieux publics, n'hésitent pas à parler très fort au téléphone entre inconnus, préfèrent faire le tour de la ville dans une voiture aux vitres ouvertes, d'où chacun peut entendre du rap ou de la musique arabe.

Les ânes s'habillent de pantalons avec des motneys et portent des chaînes en or géantes - plus il y a de chaînes autour de leur cou, mieux c'est. Ils portent des coiffures courtes "sous le pot". Les Ars diffèrent également par leur attitude extrêmement dédaigneuse envers le sexe féminin, tandis que chaque Ars s'efforce d'acquérir sa propre frekha (ou au moins une pour deux). Le mot "freha" est traduit de l'arabe par "joie", ils appellent les filles sans capacités mentales exceptionnelles. Les "frais" israéliens se distinguent principalement par des tenues révélatrices.

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France - Rakaï

Les Rakai, comme les vrais Français, ont un goût parfait. Ils ne portent que du Lacoste, adorent les sacs à main (aussi, bien sûr, Lacoste) et voient le summum du goût humain dans les pantalons rentrés dans les chaussettes. Ils traînent principalement dans les gares de banlieue : ils se rassemblent en troupeaux, écoutent la musique du téléphone, pincent les filles, pressent des dodiks et volent des sacs - et pas seulement Lacoste.

USA - Poubelle blanche

On ne parlera pas des gangstas noirs dans les mégalopoles, parlons de la province : pour toute la population marginale il y a le concept de « white trash » (« poubelle blanche »). Extérieurement, ils ressemblent à des éclaireurs à la retraite légèrement ivres. Majoritairement au chômage et vivant dans des roulottes. Ils aiment s'asseoir paisiblement avec les Kent, boire un verre, décider selon la situation d'organiser une bagarre, de presser les ventouses ou de fouiner dans les maisons des autres.

Angleterre - Chavs

Les Chavs vivent dans des banlieues anglaises pauvres - le déménageur londonien n'est pas pour eux. Les Chavs adultes ressemblent à des punks typiques : vêtements de sport, têtes rasées, corégone entre les dents, un verre à la main. Les professions sont également typiques : ils sont élevés pour l'argent, ils trompent la région, ils aiment boire de l'eau bénite dans les lieux publics, parler de la vie, réfléchir - ils se défoncent, en général.

Japon - Yankees

Les Yankees sont une jeunesse japonaise distincte de la classe ouvrière. Bien sûr, ils ne sont pas aussi voleurs que les yakuza, mais en même temps ils ne sont pas timides, ils affectionnent le hooliganisme, le vandalisme et, en général, les comportements bruyants par rapport à la culture japonaise. Quelques faits notables : s'asseoir sur des cortans, écouter du gangsta rap japonais (ce qui est fascinant en soi - apparemment, à propos de dure vie pour le saké), aiment les motos et se teignent les cheveux en blond.

Inde - Tapori

Tapori est un punk de rue désinvolte à Mumbai. Leur devise est : « Obtenir d'une ventouse est une cause sacrée. Par conséquent, leur travail principal est le divorce des touristes. Pendant leur temps libre, ils en font trop avec du gel pour les cheveux, font du shopping dans des magasins avec des chaînes et des dents en or, flirtent avec des filles avec des sifflets après eux et rêvent de devenir des stars de Bollywood, qui, soit dit en passant, utilisent activement leur image grotesque dans leurs films.

Espagne - Caní

Le gopnik du sud de l'Espagne est facile à repérer : il a l'air de braquer un prêteur sur gages (bagues, or, tout), écoute bruyamment les morceaux du téléphone dans les transports, il porte un T-shirt et une parka ouverte avec des lunettes de soleil par tous les temps. Si tout à coup Kani a une presse gonflée, alors nous retirons le T-shirt de la description précédente. Dans la vie, ils sont gais, bougent selon leur conscience, auquel cas ils peuvent apporter pas mal de kipish - extravertis, en général.

Irlande - Neds

Les Neds chassent dans la nature sauvage des zones de sommeil pauvres d'Irlande et, contrairement à leurs homologues anglais, ces messieurs se distinguent par leur agressivité accrue et leur résistance à l'alcool. Leur uniforme est un survêtement, un couteau et un visage mélancolique. Leurs activités sont une expression de leur respect envers les ventouses de la région à l'aide de blagues désobligeantes et de violence.

En voyageant à l'étranger, les touristes russes décident parfois que dans d'autres pays, il y a des citoyens respectueux des lois exceptionnellement intelligents, amicaux et élégamment vêtus. Avez-vous vu des gopniks au Japon ? Non? En fait, vous ne les avez manqués que parce que vous ne saviez pas à quoi ils ressemblaient. A partir de ce matériel, vous apprendrez de qui avoir peur ou, au contraire, à côté de qui vous pourrez vous accroupir et parler de la vie à l'étranger.

1. Chav(Angleterre)

Particularité : accent prononcé.

Boisson préférée : Carling.

Musique préférée : Lady Sovereign, Basshunter.

Commençons par les classiques. "Chav" vient du mot gitan "shavvi", qui signifie "enfant". En règle générale, ce sont des représentants de familles dysfonctionnelles qui vivent des allocations de chômage. De ce fait, ils deviennent des objets de mépris : les Britanniques se plaignent que les oisifs vivent de leurs impôts, sans profiter à la société. Dans l'habillement, les Chavs préfèrent un style sportif, même s'ils sont rarement vus en train de faire du sport.

Les filles Chavetta portent des T-shirts moulants avec des logos de marques célèbres, des jeans moulants ou des jupes courtes, des bottines UGG ou des baskets, mais elles se distinguent surtout par leurs coiffures : les cheveux décolorés aux racines repoussées sont tirés en une queue de cheval serrée, et leurs oreilles sont décorées de grandes boucles d'oreilles en forme d'anneau. Les Chavettas aiment généralement les bijoux brillants qui imitent l'or. Les hommes et les femmes laissent rarement une canette de bière et une cigarette de leurs mains, de sorte qu'ils peuvent être comptés en toute sécurité parmi les détails de la garde-robe. De la musique, les Chavs préfèrent le hip-hop et le R&B, malgré le fait qu'ils ne fuient pas le racisme quotidien. Les chavs aiment beaucoup les voitures, mais ne sont pas assez patients (ou trop aventureux) pour économiser de l'argent et acheter une bonne voiture ; ils préfèrent en prendre un très utilisé et consacrer du temps et de l'argent à le régler. Ils communiquent dans un argot caractéristique avec un fort accent, le vocabulaire est riche en gros mots.

2. Knacker, Ned(Irlande, Ecosse)

Signe distinctif : casquette Burberry.

Boisson préférée : bière Buckfast, cidre bon marché.

Musique préférée : transe.

Le mot irlandais «knacker», en plus de l'équivalent local de «knacker», est également utilisé pour décrire une personne qui achète du bétail vieux ou malade afin de le tuer et de vendre la viande. On peut supposer que la connotation offensante s'étend à toutes ses significations. En dehors de cela, les Neckers irlandais ne sont pas très différents des Chavs britanniques - le même look et le même style de vie.

L'abréviation "ned" signifie "délinquant non éduqué", traduit de l'anglais - "criminel sans éducation". Ils diffèrent des chavs anglais principalement par leur accent et leur prédilection pour les fausses casquettes Burberry. Le haschich est souvent fumé, écrasé et roulé en cigarettes. Cette habitude est si répandue qu'il fallait un mot spécial pour les trous dans les vêtements brûlés par les cendres de cigarettes avec des morceaux de hasch - "bommers".

3. Bogan(Australie)

Particularité : jean noir, ugg boots.

Boisson préférée : Victoria Bitter.

Musique préférée : Cold Chisel, Midnight Oil, AC/DC.

L'apparence des bogans est radicalement différente du style des autres gopniks : ils portent des chemises en flanelle, des jeans ou des leggings noirs, des pulls en laine noire et des bottes ugg. Les bogans se promènent dans des Holden Commodores ou des Ford Falcon d'occasion. Contrairement aux autres gopniks du monde, les bogans portent des cheveux longs ou, au pire, une longue frange. On ne peut pas dire qu'ils sont extrêmement agressifs ou qu'ils essaient de "faire sortir le mobile", mais dans l'esprit des Australiens, les bogans remplacent les éléments sans instruction et immoraux de la société. Les bogans se rassemblent dans des pubs, où ils regardent le football australien avec adoration et se battent parfois. Les filles Bogan sont considérées comme beaucoup plus agressives et incontrôlables. Ils passent le temps à se promener dans les centres commerciaux et les supermarchés avec une bouteille de bière, à crier et à intimider constamment les autres femmes.

4. Est-ce-que je peux(Espagne)

Particularité : coiffure "plate-forme courte".

Boisson préférée : Tequimon, Molotov.

Musique préférée : Paco Pil, Chimo Bayo, Daddy Yankee.

Si nous parlons du style vestimentaire, tout dépend des capacités de chaque chien. Si un cani a une doudoune El Niño, il ne l'enlèvera pas même en août. Sous la doudoune doit être un survêtement. Si le gars a un torse en relief, il sera alors possible de le forcer à porter un t-shirt uniquement avant Noël. Tous deux adorent les lunettes de soleil et les portent, quelle que soit la saison et l'ensoleillement. Il en va de même pour les casquettes de baseball. Dans les transports en commun, ils aiment mettre de la musique à partir d'un téléphone portable, plus souvent du flamenco, du raggaton ou du bacalao - une sous-espèce locale de la musique de club. Bien sûr, dans les transports en commun, vous ne pouvez rencontrer que ceux qui n'ont pas leur propre véhicule. En règle générale, il s'agit d'un scooter Yamaha Jog-R avec un silencieux remplacé - celui d'usine est trop silencieux. Il est considéré comme un chic spécial de remplacer autant de pièces que possible du scooter afin qu'il puisse aller plus vite et faire plus de bruit.

5. El ñero(Colombie)

Signe distinctif : maillet.

Boisson préférée : Aperitivos Vincorte, Gran Brindis.

Musique préférée : Wispin & Yandel, Osmani Garcia.

Nero (également connu sous le nom de turro en Argentine, nado au Mexique et tukki au Venezuela) diffère du kani principalement par ses cheveux - sur le continent sud-américain, les mulets (ou "sevens", comme les appellent les Colombiens) sont toujours tenus en haute estime . Selon les habitants, la plus grande concentration de niero est observée dans la ville de Medellin, qui a renforcé ces dernières années son statut de capitale du trafic de drogue.

Comme le kani, les uniformes du nyero sont de faux survêtements Nike, Puma et Adidas. Parfois, il est complété par des amulettes ou des images suspendues autour du cou et un chien assis aux pieds. Plus le chien est en colère et gros, mieux c'est. Souvent, ils tirent sur les passants une cigarette, une demi-billet et un téléphone. Ils écoutent la pop latino-américaine habituelle, parfois le hip-hop latino-américain. Outre les petits larcins et la distribution de drogue, ils gagnent parfois leur vie de manière très inhabituelle : ils vendent des bonbons dans les bus, s'inventent une histoire tragique ou l'empruntent à une telenovela (la femme du frère jumeau de mon père l'a tué, la famille s'est retrouvé sans soutien de famille). Les Nyoros plus âgés travaillent comme assistants chauffeurs, s'assoient sur un tabouret latéral et collectent l'argent des passagers, tandis que les plus âgés deviennent chauffeurs et décorent leur lieu de travail avec des icônes, des drapeaux et des porte-clés. Pendant leur temps libre, Nero aime jouer au mini-football, toujours torse nu, se prendre en photo sur un téléphone portable, comme des filles russes ordinaires.

6. Racaille(France)

Particularité : sac ceinture.

Boisson préférée : Vodka-Pepsi.

Musique préférée : K-Maro, Diam's.

Rakai se démarque avec son survêtement Lacoste (parfois Sergio Tacchini ou Airness) et l'habitude de rentrer son pantalon dans ses chaussettes. Un sac de taille (également Lacoste) est porté sur le survêtement et un téléphone portable est suspendu à un cordon autour du cou. Comme les Espagnols, les gopniks français aiment écouter de la musique dans les lieux publics sans utiliser d'écouteurs, mais leur playlist est quelque peu différente : ils préfèrent le hip-hop, le R&B et la tectonique oubliée. Les Rakai se déplacent sur des cyclomoteurs, ce qui permet à certains d'entre eux d'arracher habilement des sacs des mains des passants tout en roulant. Une zone spéciale de rakai est les trains RER de banlieue. Ils ressemblent à notre métro, seuls les wagons sont à deux étages et très sales, et les stations sont plus longues. Là, ils se rassemblent en grands groupes de 15 à 20 personnes, pincent les filles, foncent dans toute la compagnie sur un Français frêle pour lui enlever de l'argent ou un téléphone, se balancent sur les rampes et crachent par terre.

7. yankee(Japon)

Particularité : salopette.

Boisson préférée : Peu importe.

Musique préférée : Miliyah Kato, Spontania.

8. Dres(Pologne)

Particularité : race de chien de combat.

Boisson préférée : les analogues de Jaguar.

Musique préférée : Firma, AbraDab.

Le mot « dres » est apparu dans les années 1990 grâce aux survêtements (dres) qui ont inondé les marchés. On suppose qu'auparavant, personne ne réunissait les robes en une seule sous-culture et qu'elles étaient simplement appelées hooligans ou criminels. L'habitat, ce sont les dortoirs des grandes villes, tout comme la nôtre, constitués d'immeubles à plusieurs étages. Par conséquent, parfois, les robes s'appellent fièrement blokersi, c'est-à-dire "garçons du quartier". Une robe qui se respecte a toujours une chaîne pseudo-dorée avec une croix autour du cou. Les coiffeurs ne regardent pas dans les salons de coiffure, mais préfèrent se raser chauve avec l'aide d'amis ou coiffer leurs cheveux en arrière, versant beaucoup de gel sur leurs têtes.

Parmi les voitures, les Allemands sont préférés, fondamentalement seules les vieilles Volkswagen, Opel, Audi peuvent se permettre. Rising karki (cou, cou de taureau, frères) monte des BMW d'occasion. Très jeunes, sans expérience des braquages de rue, ils sont obligés de voyager en bus. Elle a aussi sa propre culture : les robes, quel que soit le nombre de frères, occupent les six dernières places. Ceux qui ne sont pas censés s'asseoir au niveau s'accrochent aux mains courantes, font basculer le bus et se collent aux citadins. Parfois, s'il y a un grand-père particulièrement grincheux, on peut lui donner une place. En général, les personnes âgées sont en dehors du concept de ventouses, elles ne sont donc pas battues et non "jetées sur un téléphone portable". Ce qui est intéressant, la robe, contrairement à nos minces gopniks, fréquente les fauteuils à bascule. Des chiens de race de combat (terriers du Staffordshire et pit-bulls) sont également souvent élevés.

9. poubelle blanche(ETATS-UNIS)

Particularité : vit dans une roulotte.

Boisson préférée : bière et herbe.

Musique préférée : Hard rock des années 1970.

L'image la plus courante de la poubelle blanche est celle d'un homme blanc qui vit dans une caravane ou au moins conduit une camionnette, a son propre pistolet, porte une coupe de mulet et a de nombreux tatouages sur le corps faits à la maison par des copains. S'il travaille, il gagne très peu, et dépense immédiatement l'argent reçu pour un « nouveau téléviseur » au lieu de la nourriture pour les enfants, et le plus souvent il perçoit simplement des allocations de chômage. Il aime visiter le "village club", où il organisera certainement un combat. L'habitat est dans tout le pays, mais la plus grande concentration de ces personnes se trouve dans le sud. Il se distingue par un patriotisme zélé et une haine interethnique.

10. Ars(Israël)

Particularité : chaîne en or, coupe courte.

Boisson préférée : bière, vin.

Musique préférée : Yishai Levi, Amir Benayoun.

Le mot "ars" vient apparemment du "proxénète" marocain. Les Arsy sont des jeunes qui errent négligemment en troupeaux sous le soleil brûlant d'Israël et harcèlent les filles. Ils se distinguent par des comportements agressifs dans les lieux publics, n'hésitent pas à parler très fort au téléphone entre inconnus (apparemment pour montrer leur supériorité), préfèrent faire le tour de la ville dans une voiture aux vitres ouvertes, d'où tout le monde peut entendre du rap ou la musique arabe. Les ânes se rassemblent dans des cafés pseudo-grecs où ils boivent du vin bon marché et injurient les serveurs et les gars aux tables voisines.

Pas seulement en Russie, les jeunes de la "classe ouvrière" ont leurs propres sous-cultures.

En Russie, les jeunes de moins de 30-35 ans sont appelés "gopniks". Ils disent que cette définition est apparue à partir de l'abréviation de Saint-Pétersbourg GOP (City Hostel of the Proletariat), qui est apparue à Leningrad au milieu des années 20.

En Russie, les jeunes des banlieues pauvres sont appelés "gopniks"

Aujourd'hui Les "Gopniks" sont appelés les jeunes des dortoirs des grandes villes. En règle générale, ce sont des représentants de la classe ouvrière ou même des chômeurs. Ils ont leur propre sous-culture. Par exemple, caractéristique dans les vêtements : porter des chaussures pointues en cuir dans un compartiment avec un survêtement. Attributs requis- bouchon, chaîne. L'utilisation constante de graines et de boissons bon marché comme bière forte et des cocktails à faible teneur en alcool.

Il s'avère que d'autres pays du monde ont leur propre "gopota". Au Royaume-Uni, en Irlande, en Espagne, en France et en Amérique du Sud.

En Angleterre on les appelle "Chav" (Chav), qui vient du mot gitan "shavvi", qui signifie "enfant" en traduction. En règle générale, ce sont des représentants de familles dysfonctionnelles qui vivent des allocations de chômage. De ce fait, ils deviennent des objets de mépris : les Britanniques se plaignent que les oisifs vivent de leurs impôts, sans profiter à la société. Dans l'habillement, les Chavs préfèrent un style sportif, même s'ils sont rarement vus en train de faire du sport.

chav britannique

Dans le voisin L'Irlande utilise le mot "knacker" pour désigner les jeunes défavorisés, qui était auparavant utilisé pour décrire une personne qui achète du bétail vieux ou malade afin de le tuer et de vendre la viande. Les neckers irlandais ne sont pas très différents des Chavs britanniques - la même apparence et le même style de vie.

Délinquant non éduqué écossais ou irlandais

À Ecosse on les appelle l'abréviation "ned", qui signifie "délinquant non éduqué", traduit de l'anglais - "criminel sans éducation". Ils diffèrent des chavs anglais principalement par leur accent et leur prédilection pour les fausses casquettes Burberry. Le haschich est souvent fumé, écrasé et roulé en cigarettes. Cette habitude est si répandue qu'il fallait un mot spécial pour les trous dans les vêtements brûlés par les cendres de cigarettes avec des morceaux de hasch - "bommers". De plus, les «gopniks» celtiques utilisent activement la «boisson au vin» Buckfast, un produit similaire qui n'est populaire qu'en Russie.

Des terribles criminels européens, les "classes inférieures" australiennes sont très différentes. Les soi-disant bogans (de Bogan). Ils portent des chemises en flanelle, des jeans ou des leggings noirs, des pulls en laine noire et des bottes UGG. Les bogans se promènent dans des Holden Commodores ou des Ford Falcon d'occasion. Contrairement aux autres gopniks du monde, les bogans portent des cheveux longs ou, au pire, une longue frange. On ne peut pas dire qu'ils sont extrêmement agressifs ou qu'ils essaient de "faire sortir le mobile", mais dans l'esprit des Australiens, les bogans remplacent les éléments sans instruction et immoraux de la société.

"bogan" australien

Aux États-Unis, dans les zones urbaines, l'honneur des gopniks est défendu par des gangstas noirs bien connus, et en province, il existe un concept large pour tous les déchets. "poubelle blanche". La "poubelle blanche" au XIXe siècle a commencé à appeler les pauvres travailleurs blancs qui, avec des esclaves noirs, récoltaient des récoltes dans les plantations. Maintenant, les déchets blancs sont appelés pauvres américains mal éduqués, dont le comportement ne rentre pas dans le cadre de la moralité généralement acceptée. L'image la plus courante de la poubelle blanche est celle d'un homme blanc qui vit dans une caravane ou au moins conduit une camionnette, a son propre pistolet, porte une coupe de mulet et a de nombreux tatouages sur le corps faits à la maison par des copains. L'habitat est dans tout le pays, mais la plus forte concentration de ces personnes se trouve dans le sud. Il se distingue par un patriotisme zélé et une haine interethnique.

Poubelle blanche américaine

À Espagne on les appelle "canni"(de l'espagnol Cani). Dans différentes autonomies d'Espagne, la sous-culture de la jeunesse de la classe ouvrière est appelée différemment. Le nom commun est cani, mais en réalité il y en a plus de deux douzaines : surmanito et willy à Séville, burraco à Malaga, doncho à Grenade, garrullo en Catalogne, ueso à Almeria, maca en Estrémadure, pokero à Madrid et bien d'autres noms dans différentes autonomies, villes et villages.

Cani espagnol

À Amérique du Sud Les "Gopniks" sont chassés par Nyero(également connu sous le nom de turro en Argentine, nado au Mexique et tukki au Venezuela) se distinguent des kani principalement par leur coiffure - sur le continent sud-américain, les mulets (ou "sevens", comme les appellent les Colombiens) sont toujours tenus en haute estime. Selon les habitants, la plus grande concentration de niero est observée dans la ville de Medellin, qui a renforcé ces dernières années son statut de capitale du trafic de drogue.

Nierros vénézuélien

Dans En France, les jeunes des quartiers populaires sont appelés "rakai". Rakai se démarque avec son survêtement Lacoste (parfois Sergio Tacchini ou Airness) et l'habitude de rentrer son pantalon dans ses chaussettes. Un sac de taille (également Lacoste) est porté sur le survêtement et un téléphone portable est suspendu à un cordon autour du cou. Comme les Espagnols, les gopniks français aiment écouter de la musique dans les lieux publics sans utiliser d'écouteurs, mais leur playlist est quelque peu différente : ils préfèrent le hip-hop, le R&B et la tectonique oubliée. Rakai se déplace sur des cyclomoteurs, ce qui permet à certains d'entre eux d'arracher habilement des sacs des mains des passants tout en roulant, bien que certains d'entre eux puissent se permettre d'acheter une nouvelle Logan ou une autre voiture économique. Une zone spéciale de rakai est les trains de banlieue RER. Ils ressemblent à notre métro, seuls les wagons sont à deux étages et très sales, et les stations sont plus longues.

Rakaï en France

À Au Japon, les "Yankees" ne s'appellent pas les Américains, comme dans le reste du monde, mais la jeunesse ouvrière japonaise avec des habitudes antisociales. On parle souvent d'eux comme de futurs membres des yakuza, mais les Yankees sont beaucoup plus inoffensifs et les délits se limitent aux larcins, inconduites, vandalisme et bagarres. Les Yankees pourraient bien s'entendre avec de simples garçons russes : tous deux préfèrent communiquer assis « sur les courts ». Souvent, les Yankees soutiennent les idées nationalistes et s'inspirent de l'histoire du Japon, principalement des pilotes de samouraïs et de kamikazes. Comme ils appartiennent presque toujours à la classe ouvrière, ils essaient de souligner leur origine vestimentaire en portant des combinaisons qui ressemblent aux uniformes des ouvriers du bâtiment japonais.

"yankees" japonais

À En Pologne, le mot "robe" est utilisé pour désigner les "gopniks" apparu dans les années 1990 grâce aux survêtements (dres) qui ont inondé les marchés. On suppose qu'auparavant, personne ne réunissait les robes en une seule sous-culture et qu'elles étaient simplement appelées hooligans ou criminels. Habitat - zones de couchage des grandes villes, ainsi que les nôtres construites avec des bâtiments à plusieurs étages. Par conséquent, parfois, les robes s'appellent fièrement blokersi, c'est-à-dire "garçons du quartier". Une robe qui se respecte a toujours une chaîne pseudo-dorée avec une croix autour du cou. Les coiffeurs ne regardent pas dans les salons de coiffure, mais préfèrent se raser chauve avec l'aide d'amis ou coiffer leurs cheveux en arrière, versant beaucoup de gel sur leurs têtes.

"robes" polonaises

Leur Les "Gopniks" sont même en Israël. Ici on les appelle le mot "ars", apparemment, vient du marocain "proxénète". Les ânes sont des jeunes qui errent négligemment en troupeaux sous le soleil brûlant d'Israël et qui agressent les filles. Ils se distinguent par des comportements agressifs dans les lieux publics, n'hésitent pas à parler très fort au téléphone entre inconnus (apparemment pour montrer leur supériorité), préfèrent faire le tour de la ville dans une voiture aux vitres ouvertes, d'où tout le monde peut entendre du rap ou la musique arabe. Les ânes se rassemblent dans des cafés pseudo-grecs, où ils boivent du vin bon marché et se disputent avec les serveurs et les gars aux tables voisines.

Ars israélien