Crise psychologie de l'enfant de 7 ans brièvement. La crise de sept ans: caractéristiques et caractéristiques, recommandations aux parents. Conflit entre les besoins et l'environnement

31.03.2019

Souvent, les adultes perçoivent le comportement inattendu d'un enfant à des périodes d'âge critique avec une grande négativité. "Il est devenu incontrôlable!", "Il est devenu complètement incontrôlable", "Il m'obéit complètement!", "Je fais tout pour lui, mais il est impoli et impoli!", "Il fait tout malgré!" - ces pensées et des pensées similaires viennent d'abord à l'esprit des parents d'enfants de 6 à 7 ans. Des livres, des magazines, des articles sur Internet donnent des millions de conseils sur la façon de se comporter avec un enfant à un moment ou à un autre, mais cela ne fonctionne pas pour vous ou un effet temporaire est obtenu. Pourquoi? Cela signifie-t-il que vous êtes un mauvais parent et un éducateur complètement incompétent? Eh bien, bien sûr que non!

Tous les conseils et comportements que nous suivons sur les conseils de quelqu'un d'autre, sans comprendre ce qui se passe avec l'enfant en ce moment, apporte peu de résultat. Dans le même temps, les enfants se sentent contre nature dans le comportement de leurs parents et ne perçoivent pratiquement pas ce que nous voulons leur transmettre par des phrases mémorisées et des actions qui nous sont imposées. Mais même une petite prise de conscience des raisons du comportement des enfants en ce moment donne une compréhension suffisante des mots ou des réactions à la situation nécessaire en ce moment, afin de remettre votre relation sur la bonne voie. Vous devenez plus variable et plus significatif dans la communication avec votre enfant et obtenez de meilleurs résultats grâce à vos actions.

Examinons un peu plus en profondeur les raisons du comportement d'un enfant de 6 à 8 ans

Principal et trait distinctif cette période est l'apparition chez l'enfant opinion personnelleet adoption décisions personnelles... Cela se produit entre 5 et 9 ans environ. Si à 3 ans nous étions confrontés aux envies de l'enfant de faire ce qu'il veut ou aime du moment, et que ces envies étaient de nature situationnelle, alors plus proche de 7 ans, ces envies deviennent justement son opinion personnelle. Il ne veut pas seulement acheter ces vêtements en particulier. Il a besoin de l'acheter parce que c'est à la mode. Peu importe comment la mère insiste, n'explique pas qu'une autre chose est plus pratique et pratique, l'enfant commence déjà à donner des raisons personnelles et des explications de son propre choix. Et, si maintenant on ne l'écoute pas avec respect, on coupe en milieu de phrase par des phrases: "Tu es encore trop jeune!", "Quand tu seras grand, alors tu parleras!", Puis l'enfant a un traumatisme psychologique.

Avec ces mots, vous formez une future personne faible, facilement contrôlée, qui n'a pas sa propre opinion. Ces personnes ne savent souvent pas comment se comporter correctement dans des situations spécifiques, et afin de choisir une stratégie de comportement, elles observeront les premières dans leur champ de vision et copieront les mots et les actions des autres sans une compréhension et une compréhension appropriées. Ainsi, les gens sans leur propre opinion dans le futur tombent dans des sectes, des groupes criminels, etc. Par conséquent, il est très important de soutenir la formation de notre propre opinion chez l'enfant, mais en même temps, nous n'avons pas peur de fixer les limites du comportement afin que l'enfant comprenne que cela est possible et non autorisé, autorisé et illégal.

Il est très important que pendant cette période l'enfant ait son propre territoire, s'il n'existait pas auparavant. C'est sa chambre personnelle ou son coin dans l'appartement avec son lit personnel, sa table personnelle, sa chaise personnelle et son étagère personnelle dans le placard. Et c'est précisément son territoire, où l'accès aux parents doit être limité. L'enfant sera le propriétaire de cet espace. Lui-même nettoie là-haut ou pas, arrange des objets ou demande de l'aide, des conseils aux parents. On ne peut que suggérer, assumer, suggérer, mais pas forcer, pas imposer! Maintenant, l'enfant devient une personne avec son propre espace personnel. Souvent, les mères avec un sens inné de l'ordre et de la propreté ne se tiennent pas ici et commencent le nettoyage, ce qui brise à nouveau l'opinion personnelle de leur enfant et l'habituent à la paresse et à l'oisiveté. Les mères elles-mêmes reçoivent un traumatisme psychologiquepuisque enlevant le territoire de quelqu'un d'autre, ils attendent d'autres remerciements, mais ne les reçoivent pas.

Si vous n'écoutez pas l'opinion de l'enfant, le forcer à faire ce que les anciens veulent, le punir avec une ceinture - tout cela conduit à protester. Et cette rébellion, selon la nature de l'enfant, peut atteindre deux lignes comportementales opposées extrêmes. Il y aura soit une fermeture complète de lui de ses parents, soit il en résultera une démonstration ouverte de son agressivité. En outre, dans ce cas, les enfants peuvent commencer à mentir par peur d'être punis ou par l'attitude irrespectueuse possible de leurs aînés. Il est important que chaque adulte comprenne et se souvienne afin d'éviter des conflits inutiles et de ne pas perdre le contact avec l'enfant.

Aussi cela stade d'âge associé au début de la période socialisation... Maintenant, l'enfant doit appartenir à une sorte de groupe dans la cour ou à l'école. Et il est très important de ne pas s'y dissoudre, mais d'être une personne distincte avec votre propre opinion, goût et apparence. Sa position et son statut dans chaque groupe sont en cours de formation.

À cet âge, dans une plus ou moins grande mesure, vol d'enfant... L'enfant ne réalise pas pleinement à quel point un tel comportement est mauvais et mauvais. Ils aiment juste quelque chose et ils la prennent, sans se rendre compte qu'ils volent. Ce comportement doit être contrôlé, là encore calmement et dans le respect de toute action de l'enfant. Il est impératif d'expliquer ce qu'est le vol, comment les autres s'y rapportent et à quoi il mène.

Période de préparation à l'école

Crise 7 ans est une période de préparation à l'école et au début éducation scolaire... Pour que cette période se passe plus facilement pour l'enfant, avec moins de chocs, il est nécessaire de veiller à ce qu'il s'habitue à l'école à l'avance, si vous voyez que l'enfant a besoin de s'habituer au nouvel environnement. Il est très important de choisir un établissement d'enseignement en fonction non pas de son prestige, mais du niveau des qualifications de l'enseignant. Le confort psychologique et émotionnel dans ce cas est plus précieux que tout coût consacré à l'éducation dans une école d'élite.

Pour de nombreux enfants, il sera extrêmement utile d'amener un enfant d'âge préscolaire à se préparer exactement à l'école où il envisage d'entrer. C'est tout d'abord nécessaire pour qu'il comprenne, accepte et s'habitue à l'avance à un nouvel environnement, une nouvelle société, une nouvelle vie. Il arrive que les enfants soient simplement perdus couloirs scolaires, partant, par exemple, d'une leçon dans le besoin, ce qui conduit à nouveau à un stress supplémentaire. Éviter situations similaires il est conseillé de se promener dans l'école à l'avance et d'étudier l'emplacement des cours. Ce sera formidable si la nouvelle équipe scolaire sera formée à partir de la composition principale du groupe de maternelle que l'enfant a fréquenté. Cela réduira considérablement le niveau d'anxiété et de tension dans les premiers jours de l'école.

Souvent, un élève de première année n'est pas prêt pour le fait qu'il n'est pas le seul élève de la classe, mais l'un des 20 à 30 des mêmes élèves. Il ne comprend souvent pas que l'enseignant ne peut pas lui accorder 100% de l'attention. Par conséquent, le ressentiment, la confusion surgissent, il lui semble qu'il n'est pas digne d'attention. Il est possible qu'il soit difficile pour un enfant de naviguer dans la communication et la compréhension des autres enfants lorsqu'il se rend compte qu'ils sont tous différents, chacun avec son propre caractère et comportement individuel. Pour éviter ou minimiser ces réactions, il est impératif que vous fréquentiez la maternelle au moins 2 ans avant l'école. Ce n'est qu'alors qu'ils passeront le stade de la socialisation, lorsque des manifestations telles que la colère, la rage, l'agression envers les pairs seront élaborées et transformées en stratégies de comportement acceptables. Si l'enfant ne réussit pas cette étape, il ne sera probablement pas accepté par l'équipe de l'école et deviendra un paria dans la classe.

Pour que l'enfant s'habitue le plus rapidement possible à l'école et s'y rende avec plus de joie et d'enthousiasme, il suffit d'appliquer quelques règles simples.

Tout d'abord, chaque 1er septembre à l'école élémentaire peut être transformé en petite fête en famille: décorez la salle avec des panneaux et des affiches thématiques, organisez un dîner en famille avec un gâteau et discutez du déroulement de cette journée, établissez un plan de réussite pour cette année scolaire. Pour les élèves de première année, la première fois ce sera un grand soutien si les parents discutent avec lui de tout ce qui touche à l'école.

Ainsi, en voyant l'enfant le matin, vous pouvez lui parler de la façon dont il étudiera aujourd'hui, à quel point c'est important et nécessaire pour lui. Il est très important de le faire dans une bonne humeur positive afin de charger l'enfant d'énergie positive pendant toute la journée d'école. Rencontrer l'élève après le cours, il sera très utile de discuter du déroulement de cette journée, des notes qu'il a reçues, de ce qu'il a pu répondre dans le cours, de ce qu'il n'a pas pu répondre, de ce qu'il a aimé aujourd'hui et de ce qu'il n'a pas fait. C'est formidable quand les parents discutent non seulement de problèmes éducatifs, mais aussi de relations avec d'autres élèves, avec qui l'enfant était bon, c'était agréable de communiquer et avec qui c'était mauvais. Il est impératif de tirer des conclusions finales. Et, bien sûr, nous communiquons avec l'enfant avec respect, soutien et ne grondons pas pour les échecs et les erreurs.

Il est très important de se souvenir de l'interdiction de territoire de comparer votre enfant avec les autres. Toute comparaison avec quelqu'un conduit au fait qu'il commence à s'attirer les faveurs afin de gagner l'approbation et l'amour d'un adulte. Les enfants commencent donc à aller à l'école non pour apprendre et acquérir des connaissances, mais pour obtenir de bonnes notes. Ceci est encore aggravé par le fait que, en se détachant de la famille, à l'école, les enfants vivent dans une nouvelle société, où ils sont perçus différemment, pas à la maison. Ici, ils ne ressentent pas l'amour et les soins qu'ils ont l'habitude de recevoir de leurs parents. Il leur semble qu'ils sont seuls et que personne ne les aime, ne comprend pas. Dans ce cas, la famille peut apporter un soutien et un soutien importants à l'enfant. Pour cela, il suffit, par exemple, d'organiser au moins une fois par semaine un goûter familial, où tout le monde, y compris l'enfant, raconte comment sa semaine s'est déroulée. Et encore une fois, nous ne condamnons personne ni ne discutons de personne. Ce sera un cercle très important de soutien familial pour tout le monde, et pas seulement pour l'enfant.

Tout ce qui précède joue un grand rôle dans la mise en forme amour propre enfant. De plus, de nombreux psychologues recommandent aux enfants de pratiquer des sports à partir de 5 ans. Cela aidera non seulement à développer l'estime de soi, mais aussi développer la responsabilité, les compétences travail physique et état interne utilité. Vous pouvez proposer un choix de plusieurs sections sportives afin que l'enfant choisisse lui-même une activité à son goût. Il y a des parents qui font des erreurs ici aussi. Souvent, lorsqu'ils donnent leur enfant aux clubs et sections, les adultes ne sont guidés que par leur opinion personnelle et leur choix. Ils choisissent exactement ce qu'ils aimeraient faire eux-mêmes, mais pour une raison quelconque, ils n'ont pas réussi. Maintenant, une personne adulte s'efforce de se réaliser à travers son propre enfant, brisant son esprit et transgressant ses désirs personnels. Naturellement, les enfants résisteront autant qu'ils le peuvent. Soit ils n'étudieront pas dans ces cercles et ces écoles en général, soit ils les fréquenteront par la force et conserveront la haine et le rejet de ces activités pour le reste de leur vie. Naturellement, il n'est pas nécessaire de s'attendre à un quelconque bénéfice d'une telle formation.

En plus de tout ce qui précède, la connaissance et la compréhension des étapes de compréhension du monde, en fonction de son âge, aident très bien à construire le bon comportement avec un enfant.

Implication dans le travail et les responsabilités

Dans la période de 5 à 7 ans, l'enfant apprend le travail. Il est très important de l'initier à ce moment aux travaux ménagers, à l'aide dans le pays. L'enfant est déjà prêt, peut et doit pouvoir effectuer les tâches les plus simples: laver la vaisselle, mettre la table, faire la lessive, faire le lit, laver le sol, etc. Vous pouvez lui proposer un type de travail, qui deviendra sa responsabilité. Lui seul devra superviser et être responsable de la mise en œuvre de ces travaux.

Enseignement et enseignants

À l'âge de 7 à 9 ans, en relation avec le début de l'enseignement scolaire, commence la période d'apprentissage des études. Je voudrais noter qu'à ce moment, la valeur de l'enseignant devient beaucoup plus importante que la valeur du parent. L'opinion de tout enseignant devient incontestable et la plus correcte. La plupart des parents sont très contrariés par cela, ils essaient de briser cette barrière, mais cela ne fera que conduire à des querelles et des conflits supplémentaires. Vous ne devriez pas réagir si négativement et brusquement à cela. Malgré cette position de l'enfant, vous restez toujours son parent, il a toujours besoin de vous, de votre soutien, de votre amour et de vos soins. Et c'est encore plus nécessaire maintenant qu'il n'y paraît à première vue.

La période à l'âge de 7 ans est associée à l'apparition d'un grand nombre de peurs et de stress.

Cela peut être dû au début de l'école, ainsi qu'à ses caractéristiques personnelles.

Pendant cette période, la peur des mauvaises notes surgit. La peur de la solitude peut apparaître. Il y a souvent une peur d'être attaqué par des personnages de contes de fées. Cela est dû à une passion excessive pour les dessins animés modernes, les films mystiques et les programmes. En conséquence, la soi-disant triade des peurs peut surgir: la solitude - l'obscurité - l'espace clos. Dans de tels cas, il est très dangereux de punir les enfants en les enfermant dans une pièce sombre. Cela peut entraîner des problèmes psychologiques très négatifs.

Après 5 ans, l'enfant commence à se rendre compte que tout dans cette vie est temporaire, les gens sont mortels. Il y a une peur de la mort, à la fois de ses propres parents et de ses parents. De plus, la peur pour les parents est beaucoup plus forte et ressentie plus vivement que pour soi-même.

Des doutes apparaissent sur leurs capacités et leurs capacités. Les enfants ont peur de ne pas correspondre à l'opinion publique, ils ne veulent pas être un «mouton noir». Il semble à l'enfant que s'il n'est pas ce que les autres veulent qu'il soit, alors il ne sera pas aimé. S'il ne peut pas surmonter cette peur, la dépasser, alors à l'avenir, il aura des problèmes de prise de parole en public, il sera fortement dépendant des opinions des autres.

Un grand nombre de peurs, de soucis, une grande surcharge physique, psychologique, mentale, tout cela peut conduire un enfant au stress. Devrait être dessiné attention particulière aux signes qui indiquent la présence de stress chez un enfant:

- rejet fréquent, ressentiment, agressivité, rigueur exagérée

- l'enfant retourne à l'enfance (se couvrir d'une couverture avec sa tête, s'allonger en position fœtale, s'isoler des problèmes avec les mots «je suis à la maison», je n'y suis pas)

- nervosité accrue

- sautes d'humeur

- des larmes quand de nouvelles personnes apparaissent

— changement inattendu comportement hyperactif à passif

Si vous remarquez l'apparition de ces signes dans le comportement et qu'ils persistent pendant une longue période, vous ne devriez pas vous engager dans une «auto-médication», vous devez absolument demander l'aide d'un psychologue qualifié.

Pour éviter le stress chez les enfants, vous devez utiliser les conseils suivants des psychologues:

- Plus de paix et de tranquillité.

- Protégez au maximum l'enfant de la radio, de la télévision, de l'ordinateur

- Incluez des thés apaisants dans l'alimentation, du lait chaud avec du miel le soir

- Diversifier la nourriture couleurs vives... Par exemple, vous pouvez ajouter une baie rouge vif à la bouillie, décorer la soupe avec un brin d'herbes.

- Marchez beaucoup, communiquez avec les animaux, observez la nature

- Pour consacrer plus de temps à la communication avec l'enfant. Maintenant, il a plus que jamais besoin de votre expérience et de vos connaissances.

Chaque enfant est différent

Il convient de noter qu'il existe des recommandations générales de psychologues, mais chaque enfant est individuel et a ses propres expérience personnelle et un ensemble de propriétés mentales innées de la personnalité. Un enfant de 7 ans sera ouvert et extrêmement actif socialement, l'autre sera fermé et plein de peurs. On s'habitue rapidement à de nouvelles personnes et à de nouveaux environnements, tandis que le second nécessitera une longue adaptation. Cela doit être pris en compte.

INTRODUCTION

La question de l'existence de périodes stables et transitoires, ou critiques, dans le développement d'un enfant a été soulevée dans les années 1920 et 1930. dans les études de P.P. Blonsky et L.S. Vygotsky sur la périodisation de l'enfance. La nécessité de distinguer ces périodes est dictée par la pratique pédagogique: enseignants, éducateurs, parents sont constamment confrontés à des difficultés à éduquer, à des caprices, à des conflits, à la désobéissance, à la grossièreté des enfants à certaines périodes de leur vie. Le diagnostic de cette transition est l'un des problèmes les plus urgents de la psychologie du développement moderne. Les recherches de nombreux psychologues sont consacrées à l'analyse détaillée de ce phénomène complexe sous divers aspects.

AL. Wenger, D.B. Elkonin, G.A. Zuckerman, en tant que critère de transition vers un nouvel âge, est appelé le développement d'un comportement arbitraire chez les enfants; sens spécial attaché au processus de formation de la "position intérieure de l'élève". Dans les études d'E.E. Sapogova, en tant que critère pour le début de la transition de l'âge préscolaire à l'école primaire, met en évidence la formation de l'imagination et la fonction symbolique de la conscience de l'enfant.

Sur l'exemple de la crise de sept ans dans les œuvres de L.I. Bozhovich, il a été démontré que le retard dans la transition vers de nouvelles conditions de vie conduit à des phénomènes compris comme la preuve d'une crise de développement. C'était l'expression de l'idée de A.N. Leontyev sur la nature sans crise du développement. Les crises n'étaient pas considérées comme une norme, mais comme une pathologie du développement, en conséquence mauvaise éducation.

L'âge critique dans la théorie de A.N. Leontyev - le moment d'un changement d'activité de premier plan. À l'âge de sept ans, les activités ludiques sont remplacées par des activités éducatives. L'émergence d'une nouvelle activité est associée au mécanisme de l'émergence de nouveaux motifs. Leont'ev pensait qu'une crise (période douloureuse et aiguë de développement) n'est pas une condition nécessaire pour le passage d'une période stable à une autre, d'une activité de premier plan à une autre. Au regard de cette affirmation, il y a une divergence cardinale entre les positions de L.S. Vygotsky et A.N. Leontiev.

Il n'y a pas de consensus parmi les psychologues professionnels sur les crises d'âge, alors chaque parent décide lui-même de se cacher et d'attendre la fin de la tempête ou de se battre de toutes ses forces pour que l'enfant évite les périodes douloureuses de son développement. Il n'y a que des opinions, mais pas de recette générale.

La période de transition de 6 à 7 ans, appelée crise de 7 ans, a à peine été étudiée. Cela explique la pertinence de notre travail. Il y a une contradiction entre la nécessité d'une approche scientifique de l'éducation des enfants pendant cette crise et le manque de qualifications et de méthodes parentales appropriées.

Le but de ce travail est d'étudier les symptômes de crise chez les élèves de première année modernes et d'offrir aux parents les méthodes d'éducation les plus rationnelles.

Pour atteindre l'objectif ci-dessus, les tâches suivantes ont été définies:

Recherchez la littérature sur la crise pendant 7 ans.

Mener une étude sur les symptômes de crise chez les enfants modernes de sept ans.

Offrir les meilleures méthodes d'éducation qui aideront non seulement à atténuer les symptômes négatifs de la crise, mais également à jeter les bases de la formation d'une personnalité chez l'enfant.

1. CARACTÉRISTIQUES MENTALES D'UN ENFANT ET MANIFESTATION D'UNE CRISE DE 7 ANS

1.1 CARACTÉRISTIQUES MENTALES D'UN ENFANT À 7 ANS

La crise de sept ans est une crise d'autorégulation. L'enfant commence à réguler son comportement avec des règles. Auparavant docile, il commence soudainement à réclamer de l'attention sur lui-même, le comportement devient prétentieux. D'une part, une naïveté démonstrative apparaît dans son comportement, qui est perçu par les autres comme une insincérité. En revanche, il semble trop adulte: il présente des normes aux autres.

La période de transition est caractérisée par des formes de comportement exagérées. L'enfant ne contrôle pas ses sentiments - il ne peut pas se retenir, mais il ne sait pas non plus comment les contrôler. Le fait est qu'ayant perdu certaines formes de comportement, il n'en a pas encore acquis d'autres.

Le besoin fondamental est le respect. Tout jeune écolier revendique le respect, d'être traité comme un adulte, de reconnaître sa souveraineté. Si le besoin de respect n'est pas satisfait, il sera alors impossible de construire une relation avec cette personne sur la base de la compréhension.

Les enfants apprennent à répondre à leurs besoins physiques et spirituels de manière acceptable pour eux-mêmes et pour ceux avec qui ils interagissent. Les difficultés à assimiler de nouvelles normes et règles de comportement peuvent entraîner une maîtrise de soi injustifiée et une maîtrise de soi trop nécessaire. E. Erickson dit que les enfants en ce moment «s'efforcent de trouver rapidement de telles formes de comportement qui les aideraient à introduire leurs désirs et leurs intérêts dans un cadre socialement acceptable». Il a exprimé l'essence du conflit avec la formule «initiative contre la culpabilité». Encourager l'autonomie des enfants contribue au développement de leur intelligence et de leur esprit d'initiative. Si les manifestations d'indépendance s'accompagnent souvent d'échecs ou que les enfants sont punis trop sévèrement pour tout acte répréhensible, cela peut conduire au fait que le sentiment de culpabilité prévaut sur le désir d'indépendance et de responsabilité.

Le comportement et le développement des enfants sont influencés par le style de leadership des adultes: autoritaire, démocratique ou anarchique. Les enfants se sentent mieux et se développent avec plus de succès sous un leadership démocratique.

Dès le moment où l'enfant est allé à l'école, son développement affectif plus qu'avant, dépend de l'expérience qu'il acquiert à l'extérieur de la maison. Les peurs de l'enfant reflètent la perception du monde environnant, dont la portée est en train de s'élargir. Les peurs inexplicables et fictives du passé sont remplacées par d'autres, plus conscientes: visites chez le médecin, phénomènes naturels, relations entre pairs. La peur peut prendre la forme d'anxiété ou d'inquiétude.

À cet âge, les revendications des enfants à une certaine position dans le système des affaires et des relations personnelles de la classe apparaissent. L'état émotionnel de l'enfant commence de plus en plus à être influencé par la façon dont sa relation avec ses camarades se développe, et pas seulement par la réussite scolaire et les relations avec les enseignants. Au moment de leur arrivée à l'école, les attitudes des écoliers les uns envers les autres sont régies principalement par les normes de moralité «adulte», c'est-à-dire. réussite scolaire, répondant aux exigences des adultes.

L.S. Vygotsky voit le sens psychologique de la crise de sept ans dans le fait que, ayant perdu sa spontanéité, l'enfant acquiert la liberté dans la situation présente. Cette liberté lui est donnée par l'arbitraire et la médiation de sa vie mentale. Il commence à comprendre et à prendre conscience de ses expériences, une «logique des sentiments» surgit. De plus, la capacité de généraliser leurs propres expériences apparaît. Ce n'est que maintenant que l'enfant, pleinement conscient de lui-même, peut dire «j'aime ça, mais ce n'est pas le cas», sans être guidé par les préférences d'un adulte significatif. Par l'implication dans la vie scolaire, l'éventail des intérêts et contacts sociaux enfant; la communication avec les adultes et avec les pairs devient arbitraire.

Le principal néoplasme mental, auquel conduit la crise de sept ans, est la capacité et le besoin de fonctionnement social. L'enfant s'efforce d'obtenir une certaine position sociale - la position de l'élève.

L. S. Vygotsky identifie quelques traits qui caractérisent la crise de sept ans:

1) Les expériences acquièrent un sens (un enfant en colère se rend compte qu'il est en colère), grâce à cela, l'enfant a de nouvelles relations avec lui-même, ce qui était impossible avant la généralisation des expériences.

2) Par la crise de sept ans, il y a pour la première fois une généralisation des expériences, ou généralisation affective, la logique des sentiments. Un enfant d'âge scolaire développe une généralisation des sentiments, c'est-à-dire que si une situation lui est arrivée plusieurs fois, il a une formation affective, dont la nature fait également référence à une expérience ou un affect unique, car un concept renvoie à une seule perception ou mémoire.

Une caractéristique de la sphère psycho-émotionnelle des enfants âgés de 7 à 10 ans est la curiosité, un vif intérêt pour tout ce qui est nouveau et brillant. Ce trait est combiné à un désir prononcé d'imiter beaucoup, et parfois de copier quelque chose sans une attitude suffisamment critique à l'égard de l'objet d'attention, par conséquent, l'exemple personnel des parents, leurs méthodes d'influence morale et esthétique sur l'enfant sont une valeur éducative extrêmement importante. . L'atmosphère de convivialité, l'amour des adultes les uns pour les autres, le respect et la compréhension mutuels, une disposition sensible à venir immédiatement à la rescousse n'ennoblit que les enfants, contribue à la formation des plus gentils. qualités mentales, développez le monde de leurs sentiments, pensées, points de vue dans la direction la plus favorable.

Un mauvais exemple de parents peut être la raison de la formation de l'indifférence d'un enfant aux normes de comportement en dans des lieux publics, attitude irrespectueuse et même grossière envers les aînés, les femmes, les camarades. Si l'hypocrisie et la tromperie règnent dans la famille, querelles constantes et les scandales, tout cela laissera définitivement une empreinte profonde sur la psyché et le comportement de l'enfant, peut faire de lui une personne nerveuse ou une personne en colère et cruelle, impolie et despotique, trompeuse et sans principes.

Il est du devoir des parents de tout mettre en œuvre pour protéger la psyché vulnérable de l'enfant des influences qui traumatisent profondément son système nerveux fragile.

Un grand dommage moral est infligé à l'enfant par le désir des adultes d'approcher les enfants avec une norme morale différente de celle d'eux-mêmes. Parfois, les parents disent des jurons devant leurs enfants, commettent des actes malhonnêtes, mais punissent leur enfant pour de telles actions, exigent de la propreté et de l'intelligence de leur fils ou de leur fille, et eux-mêmes sont négligents, insouciants. Une attitude hypocrite envers un enfant suscite en lui un sentiment de ressentiment et de colère, contribue à la formation d'une qualité aussi dégoûtante que la tromperie.

Ils réagissent douloureusement à l'atteinte à leur estime de soi, il est atrocement difficile de supporter des punitions si elles sont injustes ou impliquent une pression physique. Les châtiments corporels infligés aux écoliers sont totalement inacceptables, car ils insultent profondément les enfants, provoquent de violentes manifestations et peuvent provoquer maladie nerveuse (bégaiement, névrose obsessionnelle-compulsive, incontinence urinaire).

L'expérience pédagogique montre que les enfants qui sont soumis à des châtiments corporels grandissent timides et timides, sombres et trompeurs, mais entrent volontiers dans des combats avec leurs pairs, profitent de chaque occasion pour offenser les moins puissants ou les plus jeunes, tout en faisant preuve de malice et d'amertume.

Même le soi-disant châtiment corporel léger (une légère gifle ou un léger coup) soumet la psyché de l'enfant à l'épreuve la plus sévère en raison de la collision dans son âme de sentiments opposés - l'amour et la haine - pour un être cher.

Les incitations varient, mais il est important de les utiliser à bon escient. Tout extrême est indésirable: il est tout aussi dangereux de trop louer un enfant que de ne pas remarquer sa diligence. L'éloge approprié d'un étudiant pour une mission consciencieusement accomplie, pour l'initiative montrée, renforce sa foi en ses propres forces et capacités, contribue au développement de la volonté et de l'affirmation de soi.

Les enfants de 7 à 8 ans sont caractérisés par la spontanéité et la crédulité. Les adultes doivent tenir compte de cela et prendre soin des manifestations d'honnêteté, de sincérité et de franchise dans le raisonnement et le comportement des enfants. Le développement accéléré de l'intelligence en rapport avec la scolarité crée la base d'une formation plus parfaite de l'esthétique et sentiments moraux chez les enfants, pour des expériences subtiles nées de la communication avec la nature, la littérature, l'art et, surtout, avec les gens. Éduquer les sentiments écoliers juniors peut être considéré comme efficace si les parents et les enseignants sont capables de les familiariser avec la beauté de la nature, de leur inculquer l'amour de la beauté, de leur apprendre à apprécier la richesse spirituelle d'une personne, ses actions dignes d'imitation.

Dans l'éducation et l'éducation des enfants de 7 à 10 ans, le rôle du début émotionnel est grand. Professeur exceptionnel V.A. Sukhomlinsky a fait valoir l'impossibilité d'un plein développement mental un enfant «sans courant poétique, émotionnel et esthétique». Il a écrit: «Observant pendant de nombreuses années travail cérébrale élèves du primaire, j'étais convaincu que dans les périodes de grande élévation émotionnelle, la pensée de l'enfant devient particulièrement claire et la mémorisation se produit de manière plus intensive. "

1.2 TYPES D'ACTIVITÉ NERVEUSE SUPÉRIEURE CHEZ LES ENFANTS

L'académicien N.I. Krasnogorsky a concrétisé la doctrine pavlovienne des types d'activité nerveuse supérieure en relation avec l'enfance.

Les enfants sanguins se distinguent par un type d'activité nerveuse supérieure forte et équilibrée, ils ont également bien exprimé réactions émotionnelles... Ils sont capables de contrôler leurs émotions et de les subordonner aux exigences de l'environnement approprié. La parole sanguine est bien développée, forte, rapide, bien formée, riche. Les enfants s'adaptent bien à l'environnement scolaire, font face avec succès à la charge scolaire et sont émotifs dans leur comportement. Traits typiques des enfants optimistes: gaieté, optimisme, foi en leurs propres forces et capacités, une attitude critique envers les lacunes des autres et les leurs. Cependant, ces enfants surestiment souvent leurs capacités physiques et intellectuelles.

Chez les enfants flegmatiques, l'activité rationnelle l'emporte clairement sur la sphère émotionnelle. Ils contrôlent bien et, si nécessaire, suppriment leurs émotions et leurs désirs, sans complications, s'adaptent aux conditions vie scolaire... Les personnes flegmatiques se comportent uniformément, calmement, leur discours est calme, mesuré, généralement non accompagné de gestes. En équipe, ces gars sont disciplinés, retenus par rapport à leurs propres défauts et aux défauts des autres, réagissent calmement à la censure ou à l'approbation de leurs actions, évitent les conflits, ont tendance à être seuls.

Les enfants au tempérament colérique se caractérisent par une excitabilité émotionnelle prononcée et des sautes d'humeur rapides. Ils restreignent faiblement leurs désirs et leurs émotions, leurs actions sont souvent caractérisées par des explosions d'excitation, parfois d'agressivité. Les colériques ne s'adaptent pas toujours tout de suite à la vie scolaire, car ils sont sujets aux conflits avec les autres, font preuve d'incontinence en classe, de tempérament bouillant, de passion en réponse aux commentaires de l'enseignant. De tels enfants, avec un type d'activité nerveuse supérieure forte mais déséquilibrée, sont plus guidés dans leur comportement par les sentiments et les désirs et moins par la raison. Ils sont disposés à étudier la musique, à réagir vivement à la poésie, art... Chez les enfants au tempérament colérique, les réactions autonomes sont aggravées; avec toute excitation émotionnelle, ils pâlissent ou rougissent facilement. Il est né, ils ont des processus inhibiteurs peu développés dans le cortex cérébral, il leur est donc difficile de surmonter les barrières de la vie. Si les désirs d'un tel enfant ne coïncident pas avec les possibilités de leur réalisation, le négativisme et la nervosité apparaissent dans son comportement. Au type colérique (extrême dans sa sévérité) N.I. Krasnogorskiy a attribué les soi-disant enfants difficiles à éduquer, dans le comportement desquels l'indiscipline, le débridement, le désir d'entrer en conflit avec les adultes et les pairs, et la pensée simplifiée se manifestent constamment. Leur éducation nécessite purement approche individuelle et ce n’est pas facile. Cependant, la plupart des enfants tempérament colérique très bien adaptés aux influences pédagogiques, s'ils sont construits sur une base pédagogique correcte, en tenant compte des caractéristiques du tempérament.

Le tempérament mélancolique correspond à un type faible d'activité nerveuse supérieure. Chez les enfants mélancoliques, les fonctions corticales et sous-corticales du système nerveux sont affaiblies, il y a une faible mobilité des processus nerveux. En d'autres termes, leurs capacités de réflexion et leur sphère émotionnelle s'épuisent facilement. Les enfants se fatiguent rapidement, ils ne sont pas capables de supporter ni à long terme, ni à exercice physique... Ils sont sensibles, pleurnichards, fiers, impressionnables, très sensibles aux punitions et aux récompenses. Les enfants mélancoliques ont du mal à s'adapter à l'environnement scolaire, beaucoup d'entre eux hésitent à aller à l'école. Avec une mauvaise éducation, ils peuvent facilement développer des affections ou des maladies névrotiques.

La crise peut se dérouler de différentes manières, en fonction de l'état de préparation de l'enfant pour un nouveau type d'activité et du moment de la transition vers celle-ci. Premièrement, des symptômes négatifs peuvent survenir lorsque l'enfant est prêt pour une activité d'apprentissage et qu'il n'y a pas de transition vers celle-ci. Deuxièmement, une crise peut se manifester en cas de transition vers une activité éducative et de la réticence de l'enfant à y passer. Ainsi, on peut distinguer deux types de crise de 7 ans.

Les principales phases du premier type de crise:

I. Phase sous-critique. Jouer dans structure globale l'activité de l'enfant commence progressivement à s'estomper en arrière-plan en raison de la formation des conditions préalables à la prochaine phase de développement. L'enfant n'est pas immédiatement conscient des raisons de son insatisfaction à l'égard du jeu «pur». Il essaie de modifier le jeu, de l'adapter à la solution de nouveaux problèmes et est attiré par une activité productive, significative et valorisée par les adultes. Par la communication avec les adultes et les enfants plus âgés, grâce à une préparation dirigée à l'école dans la famille et à l'école maternelle, l'enfant commence à former un désir subjectif de devenir écolier.

II. La phase critique elle-même. Objectivement et subjectivement, l'enfant est prêt pour la transition du jeu à l'activité éducative, mais la transition formelle vers l'apprentissage est tardive: l'enfant est contraint de rester quelque temps dans le cadre de l'ancienne activité et des anciennes relations avec les adultes. Il est insatisfait de sa position d’enfant d’âge préscolaire, éprouve un inconfort émotionnel et personnel et, par conséquent, des symptômes négatifs apparaissent dans son comportement, visant principalement les parents.

III. Phase post-critique. Avec l'âge, un enfant arrive à l'école, commence à maîtriser des activités éducatives adaptées à ses aspirations et à ses capacités. Le confort interne est progressivement rétabli et les symptômes négatifs disparaissent dans le comportement.

Couler période de transition les élèves de première année (deuxième type) ont différences significatives... Le contenu de ces phases de la période de transition dans ce cas est le suivant.

Dans la phase I, l'enfant est complètement satisfait de l'activité ludique, car les possibilités de formation des prérequis qui le transfèrent au stade suivant de développement existent toujours en jeu. Dans le processus de préparation à l'école, qui est le même pour tous les enfants de cet âge, un enfant peut développer un désir subjectif pour l'école et une conscience de lui-même prêt pour cela, mais les conditions préalables objectives de la transition ne sont pas encore formées.

Lors de la phase II, lorsqu'un enfant entre en I avec les conditions préalables à la transition du jeu à l'activité éducative non formées à un niveau suffisant, il reçoit les premières remarques disciplinaires, éprouve un échec dans la mise en œuvre des activités éducatives et continue de graviter vers le jeu. . Dans ces conditions, en plus de commencer à se comparer aux autres enfants, l'enfant éprouve un mécontentement face à sa position sociale, éprouve un inconfort émotionnel et personnel. En conséquence, des symptômes comportementaux négatifs apparaissent, dirigés non seulement contre les parents, mais également contre l'enseignant.

Dans de rares cas, les parents retirent l'enfant de la classe I, puis les conditions préalables à la transition vers l'activité éducative complètent la formation à l'activité ludique continue. Dans la plupart des cas (phase III), l’enfant est contraint d’effectuer simultanément des activités éducatives obligatoires et des activités ludiques souhaitées sur un pied d’égalité. Prérequis pour une transition normale vers nouvelle étape le développement complète la formation à l'aide d'un jeu continu et d'activités pédagogiques maîtrisées. Le confort émotionnel et personnel est progressivement rétabli, les symptômes négatifs sont atténués. Mais, d'une part, le processus d'adaptation dans ces conditions peut être beaucoup plus long et moins productif, et d'autre part, le décalage qui a commencé en première année peut s'accumuler d'une année à l'autre, provoquant l'échec scolaire de l'enfant.

1.4 MANIFESTATION DE CRISE DANS LE COMPORTEMENT DE L'ENFANT

L'un des principaux symptômes de la crise de sept ans est les singeries, les maniérismes, la désobéissance. L'enfant devient incontrôlable, il ne réagit pas aux propos de ses parents, fait semblant de ne pas les entendre ou entre en conflit ouvert. En général, toutes les crises se ressemblent. comment crise chez les adolescenteset la crise de trois ou sept ans, tous s'expriment dans le déni de tout et peuvent être illustrés par un simple dialogue familier à tous les parents:

Seryozha, mets ton chapeau. Il fait froid dehors.

Pas froid.

Mettez votre chapeau.

Je ne porterai pas

Pas Seryozha!

Cependant, malgré la similitude extérieure, chaque crise d'âge a sa propre logique. Si plus tôt l'enfant «combattait» principalement pour l'indépendance, la capacité d'agir de manière autonome, alors à l'âge de sept ans, la manifestation de la crise est associée à la perte de la spontanéité enfantine, c'est-à-dire au «coincement» du moment intellectuel entre l'expérience et l'action. Ordinaire règles de la maison, créé par les parents, devient pour l'enfant l'incarnation du monde «enfantin», dont il préférerait s'éloigner. L'enfant ressent un besoin urgent d'être un «adulte», de se comporter comme un adulte, de s'habiller convenablement, d'accepter décisions indépendantes... Dans une large mesure, cela est facilité par l'environnement très culturel dans lequel les enfants sont élevés. Dès son plus jeune âge, on apprend à un enfant que lorsqu'il ira en première année, cela témoignera qu'il a grandi. Devenu écolier, un enfant s'attend à devenir un «adulte» avec l'acquisition de sa propre position sociale.

Benjamin Spock écrit: «L'enfant arrête d'utiliser des mots trop« adultes »et son style de discours devient impoli. Il ne veut porter que des vêtements et des coiffures comme les autres mecs ... Il peut complètement oublier comment manger à table, s'assoit à table avec les mains sales, se fourre la bouche et prend son assiette avec une fourchette. Il peut par distraction donner un coup de pied sur le pied de la chaise, ... claquer les portes ou oublier de les fermer derrière lui. Il change de modèle: il imitait les adultes, et maintenant - ses pairs. Il revendique son droit d'être indépendant de ses parents ... Ces mauvaises manières et mauvaises habitudes énervé beaucoup les parents. Ils pensent que l'enfant a oublié tout ce qu'on lui a appris depuis si longtemps. En fait, ces changements prouvent que l'enfant a toujours appris ce que c'est bonne conduitesinon il ne se serait pas rebellé contre lui. Lorsque l'enfant sent qu'il a établi son indépendance, un bon comportement reviendra.

Le caractère d'un élève plus jeune présente les caractéristiques suivantes: impulsivité, tendance à agir immédiatement, sans réfléchir, sans peser toutes les circonstances (la raison en est la faiblesse liée à l'âge de la régulation volontaire du comportement); manque général de volonté - un écolier de 7 à 8 ans n'est pas encore capable de poursuivre le but visé pendant longtemps, de surmonter constamment les difficultés. Les caprices et l'obstination s'expliquent par les carences de l'éducation familiale, c'est une sorte de protestation contre les exigences de l'école, contre la nécessité de sacrifier ce que l'on «veut» pour ce dont on «a besoin».

De temps en temps, les enfants d’âge scolaire hésitent à aller à l’école. Les symptômes (maux de tête, crampes d'estomac, vomissements, vertiges) sont bien connus. Ce n'est pas une simulation, et dans de tels cas, il est important d'en découvrir la raison le plus tôt possible. Cela peut être la peur de l'échec, la peur des critiques des enseignants, la peur du rejet par les parents ou les pairs. Dans de tels cas, l'intérêt amical et persistant des parents pour la fréquentation scolaire de l'enfant est utile.

2. MÉTHODES D'ÉLIMINATION DES MANIFESTATIONS NÉGATIVES DE LA CRISE 7 ANS

La raison des réactions négatives de l'enfant est le décalage entre les relations et les exigences parentales et les désirs et les capacités de l'enfant. Changez d'attitude envers l'enfant - il n'est plus petit - soyez plus attentif à ses opinions et jugements.

Le ton de commandement et d'édification à cet âge est inefficace.

Si les scandales sont fréquents, faites une pause.

Autant d'optimisme et d'humour que possible dans la communication avec les enfants.

Stratégie d'évaluation positive de l'enfant:

Une évaluation positive de l'enfant en tant que personne, une démonstration d'une attitude bienveillante à son égard («Je sais que vous avez fait de gros efforts» «Vous garçon intelligent (fille))

Indications d'erreurs commises lors de l'exécution de la mission ou de violations des normes de comportement («mais aujourd'hui, quelque chose n'a pas fonctionné pour vous»).

Analyse des causes des erreurs et des mauvais comportements ("Regardez, vous avez fait le contraire (pas tout à fait)")

Discussion avec l'enfant sur les moyens de corriger les erreurs et les formes de comportement autorisées dans cette situation.

Expression de confiance qu'il réussira ("demain (bientôt) vous réussirez ...")

Essayez d'être plus attentif à votre enfant, montrez plus d'amour, chaleur, affection, dites-lui plus souvent que vous l'aimez et qu'il vous manque.

Il sera utile pour les enfants d'accomplir des tâches spéciales, des devoirs, «leurs» affaires. Ils doivent être plus occupés par des activités productives - dessin, modélisation, conception, application. Il ne faut pas les forcer à jouer, il vaut mieux leur proposer des jeux-tâches spéciaux (tâches pour effectuer des actions selon le modèle, tâches qui demandent de l'initiative et de l'indépendance). En classe, ces enfants devraient se voir proposer des tâches qui ressemblent à une tâche d'apprentissage, plus complexe, donnant un résultat productif.

Il est recommandé d'offrir plus de tâches pour le développement de l'imagination, de la fantaisie, de l'initiative créative (jouer au «théâtre», inventer un conte de fées avec suite «en chaîne», mettre en scène et lire des contes de fées par rôles; tâches créatives dans activités productives - sculpter un "miracle-yudo" à partir de pâte à modeler, qui l'imagine comme on imagine, dessine, qui a vu comment forêt d'hiver en promenade, découpez un "animal magique" dans du papier, qui n'existe pas dans le monde, etc.). Ces tâches stimuleront le développement de la condition préalable la plus importante pour la transition vers l'activité éducative - une fonction de signe.

On peut recommander aux parents des conversations calmes avant le coucher, des conversations du soir sur ce qui s'est passé chez l'enfant pendant la journée. Il est parfois important de le mettre dans la position de «senior», «adulte», lorsque la «responsabilité» lui est assignée. Pour ce faire, vous pouvez le laisser dans le groupe pour l'aîné, lorsque l'enseignant part, le nommer responsable du silence, des jouets. Vous pouvez organiser une «journée des métamorphes», pendant laquelle les enfants joueront eux-mêmes les rôles d'éducateur, de nounou, d'infirmière. À la maison, il est utile pour les enfants de souligner des tâches spéciales, en les complétant, ils verraient le résultat et sentiraient son importance pour toute la famille (par exemple, garder les chaussures de tous les membres de la famille propres, nourrir le chat, arroser les fleurs) .

Si des symptômes négatifs sont enregistrés dans le comportement de l'enfant, alors l'adulte ne doit pas entrer en dispute avec l'enfant, pas besoin d'insister pour accepter son opinion, menacer de représailles, le taquiner, «négocier» un bon comportement, surtout en présence des autres enfants, vous ne devez pas traiter cet enfant «difficile» est biaisé, pour punir «pour tout» à la fois. S'il n'était pas possible d'éviter une situation de conflit, il est préférable de ne pas remarquer l'enfant pendant un certain temps (puisque les symptômes négatifs sont dirigés vers les adultes, puis en l'absence du spectateur, ils disparaissent rapidement), puis se comportent comme si rien ne s'est passé, trouvez une occasion de le féliciter pour quelque chose. Vous pouvez parler à votre enfant en privé, mais sans souligner votre attitude condescendante à son égard, vous ne pouvez pas démontrer votre autorité. Mieux vaut, au contraire, le mettre dans la position «d'avoir le droit de vote», «gros». Il est très utile de créer des situations pour l'enfant où le bon comportement lui-même deviendrait l'objectif (vous pouvez organiser une «journée d'obéissance» et la passer sans un seul commentaire, «une journée de bonnes actions», «une journée de courtoisie») , vous pouvez jouer en équipe). Les parents sont encouragés à commencer un cahier de comportement pour leur enfant avec deux colonnes - rouge et noir - où les bonnes et mauvaises actions seraient enregistrées pendant une semaine, et le samedi pour résumer. Mais ce cahier ne doit pas être autorisé à se transformer en un moyen de chantage.

Pour former la position de l'enfant en tant qu'élève et les conditions préalables à la transition du jeu à l'apprentissage, il est recommandé de prêter attention à la formation d'un comportement volontaire, à la capacité de planifier ses actions et de voir leur résultat. Pour ce faire, vous pouvez inviter les enfants à planifier leur journée par eux-mêmes, demander à l'enfant de dire comment vous pouvez marcher mentalement du jardin à la maison, donner la tâche de trouver comment vous pouvez dessiner, sculpter, découper quelque chose. Il est nécessaire d'enseigner à l'enfant les compétences les plus simples du travail éducatif - la capacité d'accepter une tâche, de décrire les moyens de sa mise en œuvre, etc.

Par conséquent, les tâches pour la formation de l'indépendance, la maîtrise de soi et les compétences d'apprentissage sont utiles, c'est-à-dire que celles qui «enseignent à apprendre» peuvent être effectuées avec des enfants dans de petites expériences dans un coin de vie, des expériences physiques, puis leur demander d'expliquer à leur manière l'essence des phénomènes observés: pourquoi l'eau de la bouilloire bouillonne-t-elle, pourquoi apparaît-elle au printemps l'herbe verte, et jaunit en automne). Il est très utile d'utiliser des tâches d'autocontrôle: par exemple, on peut conseiller aux parents de créer un calendrier pour l'enfant dans lequel il marquerait l'achèvement de ses devoirs debout avec des marqueurs de couleur.

2.2 RECHERCHE SUR LES SYMPTÔMES DE LA CRISE DES ÉLÈVES MODERNES

Pour étudier la manifestation des particularités de la crise de 7 ans chez les enfants modernes, un questionnaire a été utilisé pour les parents d'Elena Vladimirovna Kulichkovskaya, (une enseignante-psychologue de la catégorie de qualification la plus élevée). Le questionnaire vise à identifier le niveau de socialisation de l'étudiant.

L'enquête a été menée dans trois écoles différentes: dans une école à enseignement traditionnel, dans une école axée sur une langue étrangère, dans une école dont les enfants sont scolarisés selon le système «École 2100».

Une enquête menée dans une école ordinaire a montré que 3% des répondants étaient en retard par rapport à leurs pairs en matière de développement. Dans 97% des cas, il y a des difficultés à élever un enfant, dont 61% sont dus à une crise développementale, dans 36% des cas réactions négatives l'enfant sont une manifestation de caractéristiques individuelles ou le résultat d'une mauvaise éducation.

Une étude des élèves de première année d'une école axée sur une langue étrangère a montré les résultats suivants: 9% - à la traîne par rapport à leurs pairs, 58% - connaissent une crise de développement, 33% des élèves de première année ont des réactions comportementales négatives - le résultat d'une mauvaise éducation ou caractéristiques individuelles.

Une étude sur des écoliers inscrits dans le système School 2100 a montré des résultats différents: aucun retard social n'a été révélé, seulement 39% des élèves de première année connaissent une crise de développement et les réactions négatives chez 61% des enfants sont des caractéristiques individuelles ou le résultat d'une mauvaise éducation.

Ainsi, on peut dire que la crise de 7 ans se manifeste chez les enfants modernes et dépend d'un ensemble de facteurs divers, dont le niveau de développement et de préparation à l'école.

CONCLUSION

Pour exclure la consolidation des symptômes négatifs de la crise et surmonter les résultats d'une mauvaise éducation, il est nécessaire de changer l'attitude envers l'enfant et de réviser le système d'exigences pour lui. Étant donné que les principaux besoins d'un enfant à cet âge sont le respect de lui et le désir de devenir adulte, il est nécessaire de développer l'indépendance dans les actions de l'enfant, de lui confier des questions importantes pour la famille, avec lesquelles il peut faire face, et de déterminer son rôle dans la famille. Mais l'enfant n'est pas encore adulte et oublie souvent nombre de ses tâches ou ne peut pas contrôler ses émotions par lui-même. Pour surmonter ces problèmes, il est nécessaire de créer des conditions pour que l'enfant puisse contrôler ses actions par lui-même, sans les instructions des adultes. L'une des solutions est un système de maîtrise de soi: lecture de journaux intimes, de journaux sportifs, de listes de bonnes actions, etc. En écrivant ses actions, l'enfant apprend à se regarder de l'extérieur, à partir d'une autre position, en contrôlant et en analysant ses actions. Journal de lecture (annexe 1), journal de bonne conduite (annexe 2), journal de formation (annexe 3) ont été testés en pratique, leur utilisation donne un résultat positif.

Au cours des travaux, diverses sources littéraires sur ce sujet ont été étudiées. Les caractéristiques de la manifestation de la crise et des enfants modernes de sept ans ont été identifiées et étudiées, ainsi que des solutions alternatives pour sortir de la crise ont été proposées.

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Bonne journée tout le monde! Maintenant, les mères des filles peuvent se reposer un peu et «sauter» la conférence d'aujourd'hui. Aujourd'hui, nous parlerons des garçons espiègles et des particularités de leur psychologie et de leur éducation. Cependant, tous restent. Nous sommes déjà seuls grande famille, dans lequel les enfants et les problèmes des autres ne se produisent pas. Au fait, sur les problèmes.

On pense que les fils apportent aux mères beaucoup plus de soucis et de soucis que les filles. Cela fait mal aux gens trop agités. Dès qu'ils ont appris à marcher, ils bourrent déjà des cônes, grimpent dans les flaques d'eau et les arbres, poursuivent les pigeons. Une sorte de petits bandits. Comment y faire face?

Plus tôt, nous en avons parlé. Aujourd'hui, je veux m'arrêter sur une période spécifique où il est nécessaire de porter une attention particulière à de nombreux moments du comportement de l'enfant. La psychologie d'un enfant de 7 ans, en particulier d'un garçon, nécessite une publication séparée, ai-je décidé, et je vous invite aujourd'hui à discuter des points importants de ce sujet.

Le fils de «papa»

Rappelez-vous comment les garçons ont été élevés durement dans l'ancienne Sparte? Cela a été fait sans faute par les hommes. Et les garçons faibles et frêles, disent-ils, ont été complètement jetés de la falaise. C'étaient des moments terribles. Mais maintenant, avec des pères vivants, il y a beaucoup de fils de maman choyés qui grandissent.

Alors, chères mères, la règle numéro 1 pour élever un fils n'est pas de chouchouter ou de faire pousser une plante d'intérieur. De plus, à 6-7 ans, lorsque la nature masculine d'un garçon commence à s'épanouir dans une couleur violente. Les psychologues pensent que c'est à cet âge futur homme est déjà clairement conscient de son le genre, et cela doit être soutenu de toutes les manières possibles, pour expliquer au fils ce qui est bon et ce qui est mauvais, là où il est nécessaire d'agir comme un homme, de donner un exemple positif.

Il est maintenant temps de «remettre» l’enfant au père pour l’éducation. Laissez-les passer du temps ensemble plus souvent. Le garçon a simplement besoin de cela, il absorbe, comme une éponge, n'importe quelle parole et action du père. Si papa n'est pas là, ou, par exemple, il travaille comme chauffeur de camion ou marin de longue distance, alors grand-père, parrain et oncle conviendront également pour le rôle d'éducateur.

Il arrive qu'ils ne soient pas là, que faire alors? Mères, eh bien, nous sommes un peuple courageux, et nous pouvons élever nous-mêmes un homme à part entière. Laissez papa vous abandonner et voir son fils une fois par mois. Vous ne devez pas et n'avez aucun droit moral de dire du mal de lui. Quoi qu'il en soit, mais il est père, et pour le garçon, il est maintenant sacré.

Je suis sûr que la plupart d'entre vous ont encore plein familles heureuses, et papa est «disponible». Alors, chers pères, votre présence silencieuse à la maison ne suffit pas. Il est temps d'agir! Le fils vous regarde de tous les yeux et copie en tout. Si, en rentrant du travail, vous tombez sur le canapé et regardez la télévision, l'enfant pense qu'un vrai homme devrait faire exactement cela. Et je devrais me lever, aider ma mère à nettoyer la vaisselle de la table, ou même préparer le dîner.

Respect pour sexe féminin les garçons apprennent des papas.

Un peu plus et à l'école, il rencontrera de nouvelles filles, et il se comportera avec elles de la même manière que vous traitez votre conjoint. Même s'il y a des querelles dans la famille, essayez de «jurer de manière civilisée». N'oubliez pas que l'enfant participe également à vos conflits, bien qu'en tant qu'observateur. Tous les reproches et insultes qu'il entend des parents les uns aux autres sont gravés dans sa mémoire.

Désormais, le père devrait impliquer davantage son fils dans des activités masculines. Pêcher, réparer un vélo, jouer au football dans la rue - les hommes de tout âge adorent ce passe-temps. Ignorer votre fils, invoquer la fatigue et le stress, est difficile. Alors ne soyez pas surpris que l'enfant ait cassé la fenêtre de l'école, battu le garçon du voisin ou incendié quelqu'un. boites aux lettres... Alors il essaie d'attirer l'attention sur sa personne et en même temps élimine le ressentiment.

À propos des pistils, des étamines et du premier amour

Que devrait faire maman pendant cette période? Eh bien, bien sûr, ne vous asseyez pas. La tendresse et la chaleur de maman sont encore nécessaires pour le garçon. Maman est la personne la plus proche qui regrettera, écoutera et aidera toujours. Les deux parents en éducation devraient se compléter harmonieusement. N'oubliez pas que le bébé arrive bientôt, et c'est un monde nouveau, mais inconnu pour lui.

Maintenant, nous devons non seulement inculquer à notre petit-fils l’amour de l’ordre, mais aussi les fondements de la décence.

Et encore une fois, n'oubliez pas la clarté, c'est-à-dire exemple personnel... Un père qui jette des chaussettes dans l'appartement et qui est impoli avec ses voisins est un mauvais exemple. Un père qui arrange bien les choses, prend soin de son hygiène et de la propreté de ses chaussures, est poli et juste - un exemple positif. Agissez, parents. Malgré le fait que bientôt le premier professeur apparaîtra dans la vie de votre garçon, vous resterez pour lui les principaux professeurs.

À l'âge de 7-8 ans, selon les observations des psychologues, votre fils peut visiter son premier amour. Oui, tôt, scolaire et un peu naïf. Alors préparez-vous, mamans et papas. Très bientôt, votre enfant voudra avoir une conversation sérieuse avec vous. Éducation sexuelle pendant cette période a ses propres caractéristiques et subtilités.

· Essayez de ne pas laisser de questions sans réponse sur les filles et leur relation avec elles. Le fils vous demandera sûrement comment vous vous êtes rencontrés. Alors dites-le, mais ajoutez des moments fabuleux et magiques à votre histoire.

· Bien sûr, il y aura des questions sur où et comment vous, un couple amoureux, l'avez obtenu. Soyez prudent ici. Il est trop tôt pour qu'un enfant parle même de "pistils d'étamine". «Vous avez comparu avec nous parce que nous nous aimons beaucoup», cette réponse est tout à fait appropriée. Il vaut mieux tout expliquer à votre fils dans un langage accessible et enfantin, et non dans des expressions abstruses d'ouvrages de référence médicale.

· Il vaut mieux ne pas mentionner la violence et la cruauté. S'il y a un film à la télévision où une femme est insultée ou a levé la main sur elle, changez immédiatement. Pour la psyché d'un enfant en développement et tendre, c'est un vrai coup dur. Les tyrans et les maniaques aussi, vous savez, ne grandissent pas seuls. Tout vient de la famille.

Si vous pensez que votre fils est trop agressif envers le sexe féminin, demandez-lui de dessiner un dessin simple - votre famille. En règle générale, selon l'image, vous pouvez déterminer de nombreuses caractéristiques du futur personnage et de l'attitude envers soi-même et les parents. Une petite mère et un grand papa dominateur sont un signe que la mère n'a clairement pas d'autorité dans la famille, son mari l'opprime moralement et physiquement. C'est ainsi que votre fils se comportera avec les filles à l'avenir.

Psychologie du garçon et son éducation

Les psychologues conseillent aux parents pendant cette période de se ressaisir, d'être patients et de se donner le plus possible à l'enfant. Soyez sur un pied d'égalité avec lui. L'éducation autoritaire a longtemps été rejetée par tous les enseignants, elle ne porte pas de fruits.

Les parents et amis qui peuvent toujours être consultés pour obtenir des conseils sont ce que vous devriez devenir pour votre fils maintenant.

Et de l'incompréhension et du "manque d'attention" grandissent aigris partout dans le monde et en même temps des hommes indécis et renfermés. Cela ne menace pas votre fils, car maintenant vous savez comment vous comporter pour élever une personne digne, aimante, juste, une vraie personne. Continuez dans le même esprit! Eh bien, je vous laisse un petit moment. J'attends avec impatience vos commentaires et retours, à bientôt!

7 ans - période difficile dans la vie d'un enfant. C'est le moment où tous ses stéréotypes se décomposent, toutes ses idées sur le monde, qui se sont formées tout au long de sa petite enfance. Toute la vie change: l'activité ludique est remplacée par des parents ou éducateurs éducatifs, constamment présents à la maternelle - à des enseignants stricts, mode libre jours - sur une définition rigide. Tout cela se traduit par une crise d'un enfant de 7 ans, ce qui, bien sûr, entraîne certaines conséquences. Qu'est-ce qu'une crise d'un enfant de 7 ans et quelles en sont les conséquences?

L'essence et les symptômes de la crise d'un enfant de 7 ans

Malgré le fait que les moments de crise de l'enfant sont toujours remarqués par les parents, la crise de 7 ans passe parfois tranquillement et imperceptiblement. Beaucoup de parents, malgré le fait qu'ils se souviennent bien des crises de 3 ans, ou âge de transition, la crise est qualifiée de calme depuis 7 ans. Mais tout le monde n'a pas cette chance. Ces parents, dont l'enfant a encore plus de mal à endurer la crise pendant 7 ans, constatent l'apparition d'angoisse, d'isolement, de secret de leur enfant.

Cela est dû au fait que la vie de l'enfant est divisée en interne (psychologique) et externe. Désormais, il y a moins d'actions impulsives, car un lien plus clair est établi entre la motivation intrinsèque et les actions de l'enfant. En d'autres termes, pendant la crise de 7 ans, une certaine orientation sémantique apparaît dans les actions de l'enfant, et lui, quelles que soient ses envies, doit devenir adulte.

Par rapport à l'âge «pré-crise», l'estime de soi de l'enfant change radicalement. Si auparavant il se traitait positivement, indépendamment de quoi que ce soit, maintenant le «je» de l'enfant est divisé en «je-réel» et «je-idéal». «Je suis réel» est la conscience de l'enfant de qui il est vraiment. «I-idéal» est ce qu'il aimerait être. En conséquence, l'estime de soi devient plus adéquate, et «I-idéal» répond à des exigences très élevées.

L'attitude de l'enfant envers les adultes devient également différente. Si auparavant il se comportait à peu près de la même manière avec sa famille et ses amis, et avec des inconnus, sans les diviser pour lui-même, maintenant il peut déjà séparer strictement qui est le sien et qui est un étranger, et ajuster son comportement par rapport à des personnes différentes, et aussi créer une vision différente de différentes personnes.

Un autre symptôme de l'apparition d'une crise chez un enfant de 7 ans est la ruse en tant que violation des attitudes ou exigences habituelles des parents sous une forme latente et la création délibérée de situations dans lesquelles l'enfant peut gagner un certain bénéfice pour lui-même. C'est généralement ludique et c'est une blague, pas une infraction grave. Par exemple, au lieu de se laver les mains avant de manger, soit l'enfant ne les lave pas du tout, soit va aux toilettes, y passe du temps, puis va à table sans se laver les mains. Peut également jouer avec de l'eau et sortir les mains mouillées (mais sales), en les montrant de manière démonstrative à la mère. Si sa mère lui fait des reproches, il dit qu'il a oublié, retourne à la salle de bain et se lave les mains. Si un bébé a des frères ou des sœurs, cette astuce vise souvent d'abord les relations avec eux, puis les relations avec les parents.

L'un des symptômes les moins courants est une réponse inadéquate aux critiques des parents. Le fait est qu'un enfant, en train de faire quelque chose, compte sur les éloges de ses parents, et quand il ne le reçoit pas, il peut réagir très violemment: pleurer, accuser les parents de ne pas comprendre, etc.

Un autre symptôme de l'apparition d'une crise chez l'enfant de 7 ans est qu'un enfant peut commencer à poser des questions générales, c'est-à-dire non liées à un événement spécifique et à la vie quotidienne. Les sujets clés sont: la politique, l'origine des planètes, la vie sur Terre et d'autres planètes, l'évolution du vivant, la vie dans d'autres pays, les questions morales et éthiques (par exemple, les films visionnés), parfois même les liens familiaux sont affectés. Tout cela témoigne de l'expansion de la sphère d'intérêts de l'enfant à l'âge de 7 ans, de son désir d'apprendre quelque chose de nouveau sur le monde et d'y trouver sa place. De plus, un adulte dans ce genre de conversation agit comme un expert pour l'enfant, et l'enfant lui-même révèle sa capacité d'analyse.

Pour un enfant en période de crise de 7 ans, l'indépendance devient très importante, la capacité de faire quelque chose sans l'aide d'un adulte, choix indépendant domaines d’activité. Par exemple, un enfant pendant cette période lave volontiers ses affaires, va acheter du pain - en un mot, il participe à des activités auxquelles il n'avait pas participé auparavant, abandonnant souvent ce qu'il aimait auparavant. De plus, en règle générale, si vous lui demandez quelque chose, l'enfant sera têtu et ne le fera pas ou le fera avec réticence, mais si l'idée de quelque chose lui est venue personnellement, le bébé le fera sûrement. avec grand plaisir!

Cette caractéristique, qui caractérise la crise de 7 ans, est associée au développement de activité indépendante enfant. Par exemple, en plus de jouer, il commence à aimer faire des choses comme la couture, le tricot, la conception ou d'autres matériaux, etc. De plus, le résultat d'une telle activité indépendante est d'une grande valeur pour l'enfant.

Ainsi, on peut dire que pendant la crise de 7 ans, tout le monde intérieur de l'enfant change au-delà de la reconnaissance. Le principal symptôme de la crise qui a commencé, les psychologues appellent la perte d'immédiateté de l'enfant, qui se manifeste par des singeries, des maniérismes et une tension artificielle du comportement. Après tout, que signifie l'immédiateté dans le comportement? Cela signifie que l'enfant est extérieurement le même que l'intérieur. La crise de 7 ans, lorsque survient la perte de cette immédiateté, introduit un moment intellectuel dans les actions de l'enfant, qui agit désormais comme un médiateur entre l'expérience et l'acte naturel.

En outre, l'enfant peut devenir retiré, incontrôlable, il peut devenir désobéissant, rejeter les exigences précédemment acceptées, peut commencer à entrer en conflit avec les parents et les autres membres de la famille, soit simplement en les ignorant du mot, soit en les rejetant ouvertement.

Pourquoi cela se produit-il et comment gérer un enfant aussi méchant?

Pour répondre à cette question, vous devez savoir que le respect devient le principal, et surtout, un besoin fondamentalement nouveau pour un enfant pendant cette période. En ce moment, les enfants ont simplement besoin de se sentir respectés, traités comme des adultes et de reconnaître leur indépendance. Si ce besoin principal de communication avec un enfant de 7 ans est ignoré, la compréhension dans une relation avec lui ne sera plus attendue.

* Voici un exemple spécifique de la pratique psychologique:

«Kirill a six ans et trois mois. Le garçon se distingue par sa curiosité et sa prudence. Il est heureux d'aider papa quand quelque chose doit être réparé ou réparé, il va lui-même à la maternelle, il met les choses en ordre. DANS groupe senior Cyril était considéré comme l'un des gars les plus responsables, il s'est vu confier les tâches les plus difficiles. À la maison, Cyril a l'habitude d'obéir à ses parents, en particulier à son père, qui est une grande autorité pour lui. Pour l'été, les parents ont envoyé leur fils chez sa grand-mère. Lorsqu'on lui a demandé comment se comportait Kirill, la grand-mère s'est plainte de ne pas avoir réagi à ses paroles, qu'il était temps de mettre fin au jeu et d'aller dîner, et qu'il était très difficile de le coucher. Réponse typique: "Sasha (cousine de douze ans) est réveillée, pourquoi le devrais-je?"

Bien sûr, les parents ne comprennent pas ce qui se passe avec le garçon et comment y faire face. Mais du point de vue d'un psychologue, c'est une étape naturelle dans le développement d'un enfant approchant une crise de 7 ans. Comme nous l'avons déjà dit, pendant cette période, la formation de la motivation aux actions du bébé a lieu, il définit de nouvelles règles qui n'ont pas été établies par lui, et apprend à agir en fonction d'elles. La première réaction de l'enfant dans cette situation est d'enfreindre ces règles.

Sur la base de ce qui précède, la caractéristique la plus significative de la crise d'un enfant de 7 ans peut être appelée le début du processus de séparation des côtés interne et externe de la personnalité de l'enfant, ce qui lui donne lieu à de nombreuses expériences nouvelles et , par conséquent, certains changements de comportement et de relations avec le monde extérieur.

Caractéristiques des expériences de l'enfant accompagnant la crise de 7 ans:

Les expériences deviennent significatives, c'est-à-dire que l'enfant commence à comprendre le sens des expressions: «je suis heureux», «je suis bouleversé», «je suis en colère», «je suis gentil», peut naviguer consciemment dans ses propres expériences;

L'enfant apprend à généraliser ses expériences, c'est-à-dire que si la même situation se répète plusieurs fois avec lui, il est capable de l'analyser et de tirer certaines conclusions. Cela a une certaine signification - en généralisant ses expériences, l'enfant forme une attitude envers lui-même, sa propre estime de soi;

À la suite de la compréhension de ses expériences, l'enfant peut ressentir une sorte de lutte entre elles, qui se traduira également par de l'anxiété.

Comme déjà mentionné, au début de la crise de 7 ans, un enfant commence à se sentir adulte, ce qui se manifeste par son besoin urgent d'être un «adulte», de parler et de s'habiller comme un adulte, d'exiger que il soit traité comme un adulte. Ceci est largement facilité par les parents eux-mêmes, qui disent souvent à l'enfant d'âge préscolaire qu'il deviendra adulte lorsqu'il ira à l'école. Et en attendant ça passe une bonne journée, l'enfant croit fermement qu'il est automatiquement devenu adulte et a le droit d'exiger une attitude appropriée envers lui-même. Ceci est également associé à un néoplasme dans la psychologie d'un enfant de 7 ans, que l'on appelle la «position interne d'un écolier». Qu'est-ce que ça veut dire? En général, ce néoplasme commence à se former en moyenne à partir de 5 ans: au début, les enfants rêvent de l'école, de la façon dont ils vont faire des choses vraiment sérieuses à l'école, et vers 7 ans, ils ont un réel besoin d'acquérir de nouvelles connaissances et admission à l'école.

Quelles sont les étapes de la formation de la position de l'étudiant et de sa motivation?

Ils se distinguent par 3:

1) À l'âge de 6 ans, l'enfant a le désir d'aller à l'école, mais jusqu'à présent il ne s'adresse qu'aux forme extérieure, sans prendre en compte le moment significatif de la vie scolaire. En d'autres termes, l'enfant aime écouter des histoires sur l'école, il se demande s'il y a une forme là-bas, comment les leçons et les changements sont organisés, les attributs externes de l'école. Mais cette position, en fait, est encore préscolaire - l'enfant ne pense pas aux responsabilités que l'école lui impose, ne pense pas au changement obligatoire de sa routine quotidienne, etc. Pour lui, seule la forme externe est importante.

2) légèrement plus tard bébé prend déjà en compte les moments significatifs de la vie scolaire, mais, fondamentalement, son attention est dirigée vers les aspects sociaux et non éducatifs. En d'autres termes, l'école attire l'enfant avec la possibilité de faire de nouvelles connaissances, la possibilité d'être «comme tout le monde» (après tout, la société dit que tout le monde a besoin d'aller à l'école) et de ne pas apprendre quelque chose.

3) Au cours de la crise des 7 ans, un enfant commence déjà à avoir une véritable «position d'écolier», qui s'exprime non seulement dans un intérêt social, mais aussi éducatif. Mais cette position n'est pleinement formée qu'à l'âge de huit ans.

Pendant la crise de 7 ans, comme vous pouvez déjà le comprendre, il y a un développement actif de la sphère motivationnelle, de nouveaux motifs de comportement surgissent, parmi lesquels les motifs qui induisent l'enfant sont d'une importance particulière. Voici les motifs suivants:

Motif cognitif (éducatif), c'est-à-dire le désir d'apprendre et d'apprendre quelque chose de nouveau;

Motifs sociaux larges, c'est-à-dire que l'enfant accepte l'opinion générale selon laquelle il est nécessaire d'apprendre;

Motif de position, c'est-à-dire le désir de l'enfant de prendre une nouvelle position dans la société;

Motifs externes à l'apprentissage lui-même, c'est-à-dire ceux qui accompagnent l'aspect externe de l'apprentissage à l'école, par exemple l'obéissance aux exigences des adultes;

Le motif du jeu, c'est-à-dire l'attente que la vie éducative soit une sorte de jeu;

Le motif pour obtenir une note élevée, c'est-à-dire l'attente des éloges et de l'affirmation de soi de l'enseignant en raison de cela parmi les pairs.

Comment savez-vous quelle motivation prévaut chez votre enfant?

Chaque enfant a des motifs principaux différents. Quelqu'un va à l'école, tout d'abord, pour faire de nouvelles connaissances, quelqu'un - pour faire plaisir à ses parents bonnes notes, quelqu'un - pour vraiment acquérir des connaissances. Comment comprendre exactement ce qui guide votre enfant lorsqu'il va à l'école?

Il existe de nombreuses méthodes pour étudier les motivations d'un enfant. Mais il existe un moyen très simple de comprendre ce que votre enfant attend exactement de l'école.

Peut être lu à votre bébé petite histoire, où chacun des personnages explique son désir d'aller à l'école de différentes manières (selon l'un des motifs énumérés). La motivation qu'un enfant choisit pour lui-même signifie qu'elle prévaut dans son attitude à l'égard de son inscription à l'école.

La recherche montre que les enfants de 6 ans sont plus susceptibles de choisir une motivation ludique (souvent en combinaison avec d'autres, comme sociale ou positionnelle). De plus, il y a une fonctionnalité très intéressante: dans l'environnement d'apprentissage, c'est-à-dire si bébé arrive à l'école dès l'âge de 6 ans, ce motif cède la place à un positionnement, puis cognitif beaucoup plus lent qu'il n'aurait pu se produire. Sur cette base, on peut conseiller aux jeunes mères de ne pas envoyer leur enfant à l'école avant l'âge généralement accepté - car cela peut ralentir son développement de la motivation.

Que doivent faire les parents lorsqu'ils remarquent une crise de 7 ans chez leur enfant?

En règle générale, le début de la vie scolaire conduit à la résolution de la crise pendant 7 ans. Mais cela ne signifie pas que les parents doivent s'asseoir et attendre calmement que le premier enseignant prenne leur enfant dans ses bras. Le fait est que même l'école n'est pas une panacée pour tous les problèmes. Si votre bébé a niveau faible préparation psychologique pour l'école, puis lorsqu'elle pénètre dans un nouvel environnement inconnu, la crise ne peut qu'empirer et s'abattre sur les parents dans ses manifestations les plus colorées. Cela peut s'expliquer par le fait que chez ces enfants, la crise de 7 ans a simplement commencé un peu plus tard, ce qui confirme une fois de plus la régularité de cette étape du développement mental de l'enfant, et les parents doivent traiter avec patience et comprendre les particularités du comportement. de leurs enfants en cette période difficile. Tout d'abord, vous devez comprendre que l'enfant se comportera moins bien si votre attitude à son égard ne répond pas à ses attentes. Essayez de changer votre attitude à son égard, considérez-le comme un adulte et prêtez attention à ses jugements. Alors, au final, quelques précieux conseils pour élever un enfant pendant une crise de 7 ans et organiser la communication avec lui:

- "y compris" le ton d'ordre et d'édification par rapport à un enfant de cet âge, vous n'obtiendrez absolument rien dans l'établissement de relations avec votre enfant;

Si vous pensez que les scandales avec un enfant sont de plus en plus fréquents, faites une pause l'un de l'autre;

Maintenez beaucoup d'optimisme et d'humour lorsque vous communiquez avec votre enfant;

Essayez toujours d'évaluer positivement votre enfant - à la fois lui en tant que personne et ses actions. Si vous signalez les erreurs de l'enfant, analysez ensemble les causes de ces erreurs et discutez des moyens de les corriger et exprimez votre confiance en sa réussite;

Essayez d'être plus attentif à votre enfant, montrez-lui plus d'amour, de chaleur, d'affection, dites-lui plus souvent que vous l'aimez et qu'il vous manque;

Proposez des tâches spéciales pour les enfants, des jeux de tâches, des missions diverses, «vos» affaires. Engagez-les dans des activités productives - faites avec eux divers métiers, évaluez les résultats, félicitez-les. Pendant les cours, faites plus de pauses pour changer les types d'activités: par exemple, éducation physique, pause musicale;

Offrez à votre enfant plus d'activités liées au développement de la créativité, de l'imagination et de l'imagination. Cela stimulera la fonction de signe - la condition préalable la plus importante pour la transition vers l'activité éducative;

Lorsque vous communiquez avec votre enfant, n'oubliez pas les conversations calmes avant le coucher, les conversations du soir, les discussions sur les événements de la journée. Essayez de montrer votre attention au monde intérieur de l'enfant, parlez-lui comme un adulte;

Si un enfant est méchant, vous n'avez pas besoin de vous disputer avec lui, d'imposer votre opinion, de menacer de punition. Il est préférable de prendre du temps et d'arrêter de communiquer pendant un certain temps, puis de ne pas se souvenir de ce qui s'est passé. Il est utile de créer des situations où un bon comportement serait une fin en soi (organiser une «journée d'obéissance» et la passer sans un seul commentaire, «une journée de bonnes actions», «une journée de courtoisie», etc.). Vous pouvez créer un "cahier de comportement", où en 2 colonnes en différentes couleurs les mauvais seraient enregistrés et bonnes actions pendant une semaine, et à la fin de la semaine pour résumer. Mais ce cahier ne doit jamais être utilisé pour faire chanter un enfant;

Les tâches visant à développer l'indépendance, les compétences de prise de décision et la maîtrise de soi seront utiles.

Si vous utilisez au moins certaines des recommandations données ici, vous pourrez surmonter les manifestations négatives de la crise des 7 ans et sortir avec honneur de cette période, également difficile pour l'enfant et les parents.

Comment les parents devraient-ils se comporter? Comment pouvez-vous aider votre enfant à s'adapter à l'école?

Les parents reçoivent généralement une attention particulière un phénomène similaire ne vous attachez pas et, en général, peu de gens croient à l’existence d’une crise de développement. Tout le monde se souvenait il y a longtemps que seule l'adolescence est terrible, les mères attendent cette terrible puberté avec horreur, parfois sans même supposer que le terrain pour de futures hystériques est en cours de préparation maintenant, à l'âge de 7-9 ans, et si ce test est passé avec succès par nature, alors les futurs changements hormonaux ne deviendront pas si effrayants et dangereux.

Alors qu'arrive-t-il à un enfant à cet âge? Et cette crise est-elle uniquement liée au fait que l'enfant passe dans un nouveau statut social d'étudiant? La transition vers un nouveau statut est très importante, mais encore plus importantes sont les changements que le cerveau de l'enfant subit au cours du processus de maturation à cet âge. Dans la tranche d'âge de 6-7 à 9-10 ans, il y a des changements significatifs dans nature générale interactions des hémisphères cérébraux, à la suite desquelles l'enfant peut déjà réguler son comportement et passer d'une activité objective à action mentale (analyse, généralisation, raisonnement, inférence, etc.).

À l'âge de 7 ans, l'enfant change beaucoup. Le visage perd ses traits de "poupée", les dents changent, commence croissance rapide, changer le régime alimentaire, le goût, augmenter l'endurance, la force musculaire, améliorer la coordination des mouvements. Le système nerveux central et les glandes jouent un rôle important à cet égard. sécrétion interne, de nouvelles relations dans leur travail; c'est à cet âge qu'il commence à travailler intensément thyroïde... Selon de nombreux scientifiques, c'est cette glande qui est responsable de l'instabilité émotionnelle bien connue et changement rapide humeurs chez les enfants de sept ans. Naturellement, le critère principal pour un premier niveleur n'est pas les changements endocriniens, mais ils ne peuvent être ignorés.

Très rarement, une crise de 7 ans se traduit par une agression directe émanant d'un enfant, c'est probablement la crise d'âge la plus calme, parfois, si les parents se comportent correctement et réfléchissent à leurs exigences, cela peut être évité complètement. Il est nécessaire d'expliquer à l'enfant à temps, s'il ne s'est pas rendu compte lui-même de la gravité de la situation, ce qui a exactement changé dans sa vie, pour aider l'enfant à réévaluer correctement ses propres valeurs. Les jeux, les promenades, les dessins animés sont secondaires, en premier lieu - l'étude.

Mais tout cela est facile en théorie; en pratique, les croyances seules ne suffisent pas. Il est nécessaire de rappeler constamment à l'enfant qu'il devient adulte, ce qui signifie qu'il est responsable, et que le territoire de sa responsabilité réside dans l'acquisition de connaissances. Et ici, les parents eux-mêmes devront faire preuve de patience. DANS cette période Dans le processus de devenir, l'enfant accorde plus d'attention à ses expériences, devient extrêmement émotif, dur dans ses déclarations et, si les adultes, au lieu d'expliquer calmement et facilement les nouvelles exigences de l'école, fixent des tâches spécifiques pour lui, blâmeront et forceront, alors le résultat ne sera même pas nul. Vaut-il la peine de dépenser plus d'énergie, la vôtre et celle de votre enfant, pour obtenir un moins à la sortie?

Il y a plusieurs années, Oleg, un de mes élèves, devenu élève de première année, ne comprenait pas pourquoi il était obligé d'aller à l'école. Le 1er septembre, il s'est honnêtement tenu en ligne, a pris une photo, a donné un bouquet au professeur, il est allé volontiers à l'école les deuxième et troisième, mais à la fin de la semaine, il était fatigué de cette occupation. Pour la vérité, il convient de noter qu'il n'a pas fréquenté la maternelle, il a été élevé principalement par sa grand-mère et sur les responsabilités de grandir un jeune homme n'avait aucune idée. Naturellement, il n'était pas prêt pour un tel test en tant qu'école. Deux semaines plus tard, il a catégoriquement refusé d'aller à l'école, et un mois plus tard, il est tombé malade, et très gravement. Ce n’était pas une simulation, c’était juste un dysfonctionnement de son système nerveux. Et les parents sont principalement responsables de cela. Non seulement l'enfant n'était pas préparé aux changements dans le cours général de sa vie, mais les parents, ayant décidé qu'Oleg avait déjà grandi et était obligé d'étudier, sont allés «de la manière la plus simple» - sans entrer dans les détails de ses expériences. , ils font simplement leurs devoirs. Maintenant, il est en dixième, erre de trois à trois et a l'asthme bronchique... Et je suis sûr que si quelque chose pouvait être changé, ma mère reviendrait volontiers à cette époque et se comporterait un peu différemment par rapport à son fils. Mais ensuite, elle ne voulait rien entendre - après tout, Oleg était «obligée et obligée», et les termes de sa tâche comprenaient «forcer et punir» lorsque le garçon n'obéit pas.

Une autre manifestation de la crise à l'âge de sept ans peut être la proximité émotionnelle, l'invention d'histoires incroyables et la pure tromperie. Naturellement, vous ne pouvez pas manquer de remarquer cela, mais avant de gronder et d'appeler à l'honnêteté, découvrez ce qui a provoqué votre fils ou votre fille à un tel comportement.

Un de mes élèves, rentré de l'école, a dit à ma mère combien il était difficile pour lui de combiner études et travail. Nous ne savons pas où et quand il a entendu cette phrase, mais c'est ainsi qu'il s'est exprimé. De plus, comme il s'est avéré plus tard, un travail très sérieux lui a été confié: il a rectifié des pièces très importantes pour les moteurs d'avion sur la machine et, pendant la pause, il a réussi à travailler sur des recettes et à résoudre des problèmes de mathématiques. Au début, tout ressemblait à un simple fantasme d'enfance, mais au milieu année scolaire «Le travail dans une usine aéronautique» l'a tellement épuisé qu'il a commencé à se plaindre de la constante mal de crâne, pleurait souvent et se sentait très mal. Sa tromperie n'était pas seulement un fantasme - c'était un besoin de tendre la main à ses parents, d'essayer de leur expliquer à quel point il est difficile pour lui d'apprendre, qu'il a besoin d'aide et de compassion.

Tous les enfants, et en particulier un garçon à qui l'on apprend dès son plus jeune âge que «les hommes ne pleurent jamais, ils sont forts, courageux et patients», ne sont pas prêts à se confesser avec leurs proches. La tâche des parents est de discerner les problèmes de leurs propres enfants et de leur apporter une assistance. Parfois, une sympathie élémentaire peut suffire: «Je comprends que c'est difficile pour vous. Je vois que vous essayez, et tout ne se passe pas comme vous le souhaiteriez. Mais vous n'êtes pas seuls, nous vous aimons et sommes toujours prêts à vous aider. "

Au cours de la période de 6 à 7 ans, il y a de graves changements dans la sphère émotionnelle de l'enfant. Si pour un enfant d'âge préscolaire toute critique de ses capacités ou de son apparence est «ils ne sont pas satisfaits de moi» et rien de plus, alors pour un élève de première année, tout mot ou action visant une évaluation négative de ses capacités est mortel. Des critiques peu flatteuses à cet âge peuvent radicalement affecter la formation de ses qualités personnelles à l'avenir.

Je suis toujours étonné de ce droit exclusif des adultes de «fléau» leurs propres enfants. Bien sûr, nous voulons que nos enfants évitent les erreurs, pour qu'ils ne perdent pas de temps, étudient bien, font du sport ... Nous voulons tout ce que nous n'avons pas fait nous-mêmes dans l'enfance, et si nous le faisions, ce n'était pas assez diligent.

Nous sommes désolés pour nos occasions manquées et nous transférons nos désirs aux enfants. Nous, les adultes, voulons ce qu'il y a de mieux pour l'enfant. Et pour lui d'entendre et de comprendre - nous crions. Seulement, y compris la «juste colère» et les critiques, nous, malheureusement, au lieu d'appeler propre enfant à une nouvelle compréhension de l'école, des devoirs, on tue tout désir d'apprendre en elle. Nous formons nous-mêmes une personne avec des complexes dans le futur qui ne croit pas en nos propres capacités et capacités.

Une de mes connaissances, une très jolie fille dans l'enfance, devenue fille, ne pouvait en aucun cas comprendre que les jeunes ne s'occupaient pas d'elle du tout car il était possible de rayer son mémoire et non par compassion pour elle. apparence sans prétention. Au primaire, ma mère aimait beaucoup la comparer à ses camarades de classe, et à chaque fois, en regardant les photos, elle notait avec tristesse dans sa voix: «Quel dommage que vous ayez différent petites fonctionnalitéscomme celui de Sveta "ou:" Si seulement tu as un nez comme celui de Tanya ", terminant la conversation par la même phrase:" Mais tu as des jambes comme une ballerine. " À l'âge de vingt ans, Zinaida a réalisé qu'elle était attirante non seulement pour la minceur de ses jambes, mais les hommes ont des sentiments pour elle qui sont loin de la compassion et se sont précipités dans la «vraie vie». Maintenant, elle est mariée pour la troisième fois et semble heureuse. Mais peut-être que sa vie se serait déroulée un peu différemment si sa mère, au lieu de s'engager dans des activités d'évaluation, se réjouissait simplement de la beauté et de l'intelligence de sa fille.

La première année d'école ne porte pas de jugement, c'est-à-dire qu'aucune note n'est utilisée pour évaluer les performances des élèves. Mais cela ne signifie pas que vous devez «fermer les yeux» sur l'attitude insuffisamment responsable de votre fils ou de votre fille à l'égard de l'accomplissement des devoirs d'un étudiant. Le manque de contrôle et l'absence de valeur ne sont pas la même chose. Avoir besoin juste milieu - vous ne pouvez pas gronder, mais vous ne pouvez pas non plus vous permettre de vous détendre. Le mieux serait d'inclure la propre évaluation de l'enfant. Mais pour tout mon assez longtemps pratique de l'enseignement Je n'ai rencontré que deux élèves du primaire qui pouvaient marquer leurs propres efforts.

Discutez des erreurs avec votre enfant, mais ne le grondez pas et ne l'éduquez pas, comparez avec d'autres enfants, même si à ce moment les enfants des autres vous semblent exemplaires. En aucun cas, n'évaluez pas les connaissances et les compétences, mais assurez-vous de discuter de ses actions et de ses aspirations.

«Vous ne pouvez pas facilement tirer un poisson de l'étang» - laissez ce proverbe devenir la devise de votre vie, gardez votre enfant actif pour surmonter les difficultés, remarquez les moindres réalisations de votre propre fils ou fille, célébrez les grandes et petites victoires avec toutes vos cœur.

Transition à l'âge scolaire - ce n'est pas seulement un changement d'activité, c'est aussi un changement complet de la routine quotidienne, du mode de vie, et de ne pas en tenir compte très point important dans la vie d'une petite personne est impossible. Plus récemment, il est allé à la maternelle, a pris le petit-déjeuner, a dîné à certaines heures de la journée, a dormi pendant la journée, a marché sur la cour de récréation - il a vécu selon l'horaire exact établi par les enseignants de la maternelle. Mais, devenu étudiant, il était quelque peu perdu - il semblerait que son temps libre soit devenu beaucoup plus important, à l'école, il n'est pas occupé plus de quatre heures à faire devoirs - encore 3 heures, dormir pendant la journée n'est pas nécessaire, marcher n'est pas toujours possible, mais il faut s'occuper de quelque chose. Puis meilleur ami l'élève devient un ordinateur ou un téléviseur.

Au primaire, quand les charges ne sont pas encore très élevées, les jeux sur ordinateur et les dessins animés ne nous dérangent pas beaucoup: «Que l'enfant se repose, une sorte de déchargement». À savoir qu'il n'y a pas non plus de déchargement. Ne nous trompons pas - la première année est difficile non seulement pour les enfants, mais aussi pour les parents, donc «en confiant notre fille ou notre fils à l'ordinateur», nous fournissons tout d'abord l'occasion de nous détendre un peu pour nous-mêmes.

Faites une routine quotidienne pour la semaine. Mais cela ne doit pas être un plan oral, avec des conversations selon lesquelles "ce serait bien d'aller au cinéma dimanche et de finir de lire un livre sur un sorcier mercredi". Si, pour une raison quelconque, vous ne pouvez pas planifier toute la semaine, laissez-le être le programme du lendemain. La participation de l'enfant à la discussion et à l'élaboration de ce plan est obligatoire.

Vous pouvez accrocher une grande planche en métal dans la chambre de l'enfant (des planches similaires sont vendues dans les départements de bureau), le dimanche un "plan hebdomadaire stratégique" peut y être appliqué avec un marqueur spécial. Au fur et à mesure qu'ils sont terminés, les points sont effacés, le samedi, les parents et l'enfant doivent résumer et discuter de leurs propres erreurs.

Plus le tableau est grand, mieux c'est - le calendrier a besoin de détails. Le plus important dans ce genre de travail, je vois le temps des devoirs et l'horaire scolaire. Lorsque votre fils ou votre fille sait que tous les jours à huit heures du matin, il doit aller à l'école, même s'il n'en a pas envie, ou qu'il fait froid dehors, de 16 à 18 ans - recettes de mathématiques et exemples donnés par l'enseignant à à la maison, la question est "pourquoi?" disparaîtra de lui-même. Vous vous souvenez du conte de fées d'Exupery sur le Petit Prince? L'allumeur, qui allume les lanternes tous les soirs, ne l'a pas fait du tout parce qu'il le voulait tellement - «un tel accord». Et cet accord nous paraît incontestable, même si nous savons, comme le Petit Prince, qu '«il n'y a personne sur la planète à part l'allumeur de réverbère».

Le plan élaboré pour la semaine est particulièrement pratique pour les enfants qui, en plus de l'école, assistent aux cercles et sections sportives... À première vue, il semble qu'il n'y ait rien de difficile dans une telle combinaison. Mais progressivement, certaines des activités «commencent à boiter». Chérir propre temps, ne le gaspillez pas et cela n'arrivera pas. Nous sommes des adultes et il est facile pour nous de comprendre cela, mais pour un enfant, nos conversations sur la difficulté de rattraper et de récupérer le temps perdu ne sont pas informatives. Les exemples peuvent être convaincants. Entrez dans le cercle des intérêts de votre propre fils ou fille, choisissez un personnage qui est particulièrement important pour l'enfant et racontez des histoires de sa vie, mieux véridiques, quoique quelque peu exagérées par vous. Attirez son attention sur les images artistiques, sur les déclarations des héros de ses films préférés. Un de mes élèves, ayant regardé le prochain épisode " Guerres des étoiles"Et après avoir entendu la phrase:" La vie n'est rien, le temps est tout! ", J'ai tellement cru à la" vérité cosmique "que les problèmes d'organisation des devoirs ont disparu d'eux-mêmes.

Notez clairement le temps pour les cours en dehors de l'école, ne laissez pas «s'asseoir» les heures prescrites, expliquez (et soyez cohérent en cela) que «vous ne devriez pas vous asseoir à votre bureau et faire semblant de faire quelque chose».

Routine quotidienne approximative d'un élève du primaire

7h00 - Montée.

7h00-7h30 - Nettoyage des lits, lavage.

7h30-8h00 - Petit déjeuner.

8h30-13h00 - Cours à l'école.

13h30-15h00 - Déjeuner, repos.

15h00-16h00 - Marche ou jeux à domicile (pas sur ordinateur).

16h00-18h00 - Faire ses devoirs.

18h00-18h30 - Dîner.

18h30-20h00 - Temps libre.

20h00-20h15 - Se préparer pour le lit.

20h15-21h00 - Lecture de livres avec papa ou maman. (Un enfant ne peut lire seul que s'il y a un bon éclairage.)

Une routine quotidienne vous aidera à traverser plus facilement le processus d'adaptation physiologique pour l'école.

Les psychologues identifient 3 étapes principales de cette adaptation.

1. Stade de "tempête physiologique" - les 3-4 premières semaines d'entraînement. Cela, comme toute tempête, se termine par des coûts énergétiques importants de tous les systèmes corporels. Pour certains enfants, cette étape est si difficile qu'ils peuvent tomber malades, la plupart d'entre eux ont une perte de poids.

2. Le stade de l'adaptation initiale ou instable. Au cours de cette période, le corps de l'enfant trouve des options acceptables, proches des optimales, pour répondre aux nouvelles conditions.

3. Le stade d'adaptation relativement stable - la tension diminue, le corps s'est presque adapté au nouveau mode de vie.

Faites attention à l'état général de l'enfant à ce moment. Il est possible que ses caprices, la violation de l'autorégulation des comportements, les plaintes de maux de tête, le manque d'appétit ne s'expliquent pas du tout par le fait qu'il «est un lâcheur et ne veut pas étudier». Nous devons essayer de survivre à cette période sans aucune perte de santé particulière, et ici votre tâche n'est pas de forcer, mais d'aider à faire face à très tâche difficile adaptation de votre fils ou fille à un nouvel environnement social.